Chapitre 2 L ( Symbolisme ) |
L’ABEILLE, LE MIEL, LA RUCHE, LA CIRE | DIVERS AUTEURS | ARCADIA | 2002 |
L’abeille (du latin : apis) est un insecte social, élevée dans des ruches, et selon la légende les abeilles sont nourricières des Dieux et symbolisent le pouvoir royal et divin. La légende et Aristote les fait naître dans le ventre d’un taureau sacrifié, et le Dieu solaire des égyptiens, honoré dans la ville de Memphis sous la forme d’un taureau prend le nom d’Apis, incarnation du dieu Ptah. Universellement elle symbolise le travail, la persévérance, le don de soi, mais également l’âme d’un mort, la naissance, la mort et la renaissance, elle a une vie courte (environ 24 jours) et meurt dès qu’elle pique. A Eleusis l’abeille symbolisait la sagesse et la clairvoyance, et les prêtresses de Grèce et d’Ephèse étaient appelées : des abeilles, car elles étaient sensée être des messagères des Dieux. Virgile dans son 4e livre des Géorgiques explique que les abeilles sont une partie de l’Esprit de Dieu, et ne pouvant pas mourir, elles montent directement au ciel. Pour Platon les âmes des hommes sobres et sages se réincarnent en abeille. Ronecker nous explique comment le symbolisme des abeilles touche au spirituel, de par son double aspect- collectif et individuel, temporel et spirituel-. En groupe elles symbolisent l’organisation et la discipline, individuellement elles deviennent les animatrices de l’Univers, entre ciel et terre, elles participent aux deux mondes, symbolisant le principe vital et matérialisant l’âme. L’abeille produit donc du miel, de la cire, de la propolis et de la gelée royale. Le miel produit noble par excellence est très prisé dans toutes les cultures traditionnelles et dans toutes les parties du monde. La Bible (Ancien Testament) parle très souvent du miel, récompense suprême pour l’homme vertueux, et promesse d’un paradis où coulent en abondance le lait et le miel. Est raconté l’histoire de Samson avec les philistins, le miel associé à l’initiation et à la force. On nous explique l’histoire de Jonathan fils de Saül et la forêt de miel. L’hydromel, boisson des dieux. On parle des abeilles mérovingiennes, celles sur le manteau de Napoléon, remplaçant les fleurs de lys, les templiers et les Rose+Croix. Pour le christianisme l’abeille est emblème de Résurrection, et certains Pères de l’Eglise ont comparé l’activité incessante de l’abeille avec l’activité spirituelle et vivifiante du Christ. Christ-juge qui donnera aux justes les douceurs éternelles figurées par le miel. J. Lambert nous explique la ruche et les ruchers anciens, avec la Reine, son travail, la gelée royale et la propolis. On y trouve des guêpes, des frelons et autres bestioles proches des abeilles. La cire produite sert à la fabrication de cierges, de bougies, de torches, à la confection de sceaux, d’effigies et d’autres fonctions de la vie journalière, sa consommation autrefois était très importante. Elle symbolise la Sagesse, la divine Sophia, elle figure la malléabilité de l’esprit qui procède de la douceur du cœur. St Bernard dans son texte « la vigne mystique » déclare : « L’âme chrétienne doit former une cire, capable de recevoir l’empreinte du sceau royal de la croix, et de nourrir la flamme de la charité ». Enfin, Luc Olivier d’Algange, dans son texte : Les abeilles d’or, nous emmène dans les méandres de la voie hermétique et alchimique. Je terminerais par cette magnifique phrase de Rainer Maria Rilke « Nous sommes les abeilles de l’invisible, nous butinons éperdument le miel du visible pour l’accumuler dans la grande ruche d’or de l’invisible » |
la bible à la lumière du symbole | Julien bahaeghel | ALPHEE | 2007 |
Julien BEHAEGHEL présente ici une autre lecture, plus universelle, plus
mythologique, de ce livre qui a influencé trois mille ans d’histoire
humaine. Il dévoile pas à pas, à travers le parcours de la quarantaine
d’ouvrages bibliques, combien ces textes sacrés contiennent leur propre
structure symbolique, plus ou moins cachée. Les grands symboles communs à la plupart des traditions constituent la trame de l’ouvrage : le serpent, l’arbre, la montagne sacrée, l’axis mundi, la pierre, le nombre, l’ange, la beauté en sont quelques-uns des chapitres. Cette étude contribue non seulement à la connaissance du symbole mais débouche sur une véritable perspective philosophique, pour aider ceux qui cherchent à poursuivre leur chemin dans l’épaisseur du temps et de la matière, à la recherche de leur « lumière ». |
la caverne | M. philibert | Pardes | 2003 |
Refuge et lieu d’effroi, la caverne concentre le havre de l’intimité et les tourbillons de la spiritualité. C’est un lieu magique peuplé d’êtres fantasmatiques, de fée, de dragons, de nains, de démons et autres monstres. Pénétrons dans la caverne. |
la chaîne d’union | Jean onofrio | MAISON DE VIE | 2006 |
Présentant les innombrables chaînes non humaines entre des éléments qui
participent en s’assemblant à la perpétuation de la vie, cet ouvrage pose
la question de l’importance de ce symbole qu’est la chaîne d’union. Il propose de découvrir comment, rattaché aux sciences traditionnelles, astrologie, magie, alchimie, ce symbole touche réellement les êtres au plus profond de leur matérialité et de leur humanité. Est-elle un exemple simple d’une fraternité universelle d’entraide et de participation, ou représente-t-elle un enjeu si important que de sa compréhension dépend la survie de la Franc-maçonnerie ? Cet ouvrage tente de mettre ces aspects en lumière et de faire percevoir cet enjeu essentiel. |
la charité | Odile GANDON | AUTREMENT | 1993 |
La charité, l’amour, l’aumône, bonne conscience, compassion, ses pièges, ses dérivés et un bon livre qui essaie de nous y faire voir clair. |
la corde des francs-maçons | Michel lapidus | MAISON DE VIE | 2006 |
La
corde dont la présence en Loge fait l’unanimité des Francs-maçons, n’en
demeure pas moins un symbole méconnu à bien des égards. Elle est
cependant, pour de nombreuses traditions, le principe organisateur du ciel
et de ses constellations. Outil symbolique de construction de l’initié, la corde à nœuds ouvre le chemin de la connaissance des métiers et celui de la magie par la confection de nœuds : éléments qui allient à la fois les concepts les plus avancés de la science moderne aux perceptions les plus anciennes de la tradition. La corde aux lacs d’amour par ses deux formes, sur le sommet des murs du temple et autour du tableau de Loge, nous questionne : d’où viennent-elles ? Quelles sont leurs fonctions rituelles ? N’y aurait-il pas une loi de la corde à respecter pour découvrir l’amour vrai ? |
LA FEMME DANS LES CONTES DE FEES | Louise VON FRANZ | Albin MICHEL | 2000 |
L’auteur collaboratrice durant 30 ans de JUNG,
s’est efforcée de mettre en lumière dans ce livre |
la forme & la pierre, triskell, pierre de vie | J. bonvin | MOSAÏQUE | 2002 |
« Il
y a cinq ans, Jacques BONVIN présentait les premiers résultats de ses
travaux sur la tripartition des énergies. Aujourd’hui, dans ce nouveau
livre revu et augmenté, il nous apporte d’autres révélations tout aussi
troublantes, touchant l’action des formes sur notre santé et notre
environnement. De nouvelles recherches enrichies de témoignages et de travaux de laboratoires de biophysique, spectrophotographies Kirlian ou Bio-Électronique de VINCENT. Cette approche particulièrement riche se révélera utile à la fois pour le géobiologue ou le thérapeute, mais surtout pour le particulier, qui trouvera là des informations essentielles sur la dénitratation de l’eau, la régénération alimentaire, ou comment améliorer de façon considérable la production de son jardin, sans engrais, afin de retrouver le goût des légumes et des fruits sains. Sensibilisé par le monde des formes, Jacques BONVIN retrouve aujourd’hui un principe de vie venu du monde des Celtes, qui est un apport incontestable pour les chercheurs de l’énergétique. Une forme qui agit, parce que son procédé de fabrication géopolymérique est le même que celui utilisé par les anciens Égyptiens pour construite la pyramide de Kheops : le principe de la Pierre Coulée ! Une forme qui est une réalité régénératrice des principes de vie de l’Univers, une source de guérison tant physique que spirituelle ! » Pour Jean SERVIER, le Triskell ou Triscele est le symbole de l’évolution de l’homme dans le cosmos. |
la grande déesse – mère | S. husain | ALBIN MICHEL | 1998 |
Cette déesse-mère on la retrouve dans toutes les traditions et toutes les civilisations. L’auteur nous entraîne sur tous les continents et avec des photos couleur superbes et des commentaires symboliques et ésotériques nous explique cette déesse-mère et ses relations avec le cosmos, la terre, les hommes, sa fécondité, les vierges, la déesse destructrice, les fêtes religieuses et païennes. |
l’aigle | Geneviève ST-MARTIN | PARDES | 1996 |
« Roi des oiseaux
», l’aigle trône dans le ciel. Il est la voie de communication vers
l’immensité, le Soleil, la Lune et tous les astres. Il préside aux vents,
aux pluies, aux orages. Il est l’oiseau-tonnerre. L’aigle est l’instrument des forces supérieures, l’agent des dieux de l’empyrée, le compagnon des plus altières divinités. Il est l’emblème impérial par excellence, en Perse, à Rome, en Germanie, etc. Rois et chefs de guerre ont orné leurs parures de ses attributs. Pour le monde chrétien, il symbolise l’ardente foi et le docte théologie. Il est associé au plus sublime des évangélistes, jean, « selon l’intelligence spirituelle », dit St AUGUSTIN. Pour l’alchimie, faire voler l’aigle c’est manifester la lumière ; la préparation des aigles est considérée comme le premier degré de la perfection. À tous ces titres, il sera la monture privilégiée des dieux, et les hommes sages sauront le faire figurer aux frontons de leurs biens les plus subtils. L’aigle est l’image du pouvoir suprême et inaccessible. Il symbolise la vision royale de l’esprit et l’emprise de soi. On y développe les rapports de l’aigle avec l’évangéliste St JEAN, l’alchimie, la tradition chrétienne, les dieux, dans l’Islam où il est appelé SIMORGH, le chamanisme etc. |
L’AIGLE - SON SYMBOLISME ESOTERIQUE ET SPIRITUEL | DIVERS AUTEURS | ARCADIA | 2005 |
L’aigle est un symbole puissant , et ses supports de réflexion vont de
l’héraldique à la religion en passant par une spiritualité omniprésente et
cela depuis des millénaires , car l’aigle est , avec le dragon le seul
animal qui appartienne à l’emblématique de tous les temps et de tous les
pays , il est ,dit on le seul animal a pouvoir regarder le soleil . On y parle de l’aigle à deux têtes, emblème du St empire dont le REAA se veut héritière du moins sur le plan spirituel . On retrouve l’aigle à deux têtes chez les Hittites, l’empire Austro- Hongrois , l’Allemagne , la Russie des tsars , etc …. En alchimie l’aigle est une des clés du grand Œuvre .La disparition progressive des emblèmes de l’aigle sur les drapeaux et bannières, marque peut être une transition spirituelle avec son remplaçant : le Phénix. Dans l’ésotérisme chrétien, l’aigle représente St Jean l’évangéliste, mais surtout il représente le triomphe de Jésus Christ, loué par le pseudo Méliton qui déclara : aquila christus , et tous les Pères de l’Eglise à partir de St Paul assimilèrent l’aigle à Jésus Christ : l’aigle , emblème du Christ , conducteur des âmes vers Dieu et emblème de la résurrection du Christ et de celle des chrétiens . |
la justice | BARANES & FRISON – ROCHE | AUTREMENT | 1995 |
La justice est une obligation puisqu’elle constitue un lien entre les individus. Il y a d’abord l’injustice puis la justice qui doit juger, pourquoi, comment, chacun de nous devons et pouvons juger, à commencer par notre propre comportement mais là… |
la lumière | Olivier doignon | MAISON DE VIE | 2007 |
Observant que le grand mérite de la Franc-maçonnerie est d’avoir conservé
une tradition de la Lumière, l’auteur présente une étude des fondements de
cette affirmation. S’appuyant sur les notions symboliques et sur les thèmes les plus familiers des Loges de la Franc-maçonnerie se réclamant de la tradition des bâtisseurs, cet ouvrage révèle la multiplicité des aspects du rattachement de ces loges à cette tradition. Si ce rattachement trouve son assise dans un mythe de création d’essence lumineuse transmis par les anciens, les rites pratiqués prennent une importance majeure, et le rôle symbolique du Vénérable Maître est déterminant. Ainsi cet ouvrage est-il une sorte de guide de voyage pour les adeptes et pour les Loges choisissant la Lumière comme mystère, comme matière première de l’œuvre, comme processus de création à incorporer. La lumière, les ténèbres, les piliers, la sagesse, la chaine d’union, les voyages. |
la lumière | Divers Auteurs | ARCADIA | 2007 |
Important dossier sur cette notion de lumière, qui n’est pas facile à
expliquer. A. DANEMAN nous développe La Lumière à travers le coq du
cabinet de réflexion et de l’Ibis Égyptien. L’Égypte ou le culte de La
Lumière a reçu sa parfaite expression. Le tabernacle des Lumières par
Ghazali, H. Lustman et J. Murat expliquent La Lumière à travers le REAA et
les trois grandes lumières. St Jean Baptiste et St Jean, l’Évangéliste
dans son Évangile annoncent tous deux cette lumière à travers la Parole
qui était auprès de Dieu et qui est Dieu. M.M. Davy à travers « L’homme du 8ème jour » développe cette lumière – résurrection et N. Flubacher nous explique La Lumière initiatique (Dossier 501). |
LA LUMIÈRE ET L’ILLUMINATION | RIBADEAU DUMAS | Dangles | 1982 |
L’énigme de la lumière source de vie spirituelle et de connaissance. |
LA LUNE, LE SOLEIL, LA VOÛTE CÉLESTE, LA VOÛTE ÉTOILÉE | DIVERS AUTEURS | ARCADIA | 2003 |
Important dossier symbolique et métaphysique sur ces
composants de la F.M. On y trouve des articles de divers auteurs dont :
René Désaguliers, Edmond Mazet, Johfra, Bayard, Servier…
Raymond Lulle dans son livre « la
clavicule » dit : « Le soleil est le père
de tous les métaux et la lune en est la mère », à ce titre il
reprend la phrase écrite dans la table d’émeraude. |
la lune … mythes et rites | DIVERS | Du Seuil | 1962 |
La lune objet de mythes et de rites est ici décortiquée par des chercheurs à travers diverses civilisations religieuses, philosophiques et populaires. On part en Égypte, Sumer, Babylone, Israël, l’Islam, l’Inde, la Chine, le Japon, la Sibérie etc. |
la main | Roger parisot | PARDES | 2005 |
L’homme est-il intelligent parce qu’il a une main, ou a-t-il une main
parce qu’il est intelligent ? La question opposait le présocratique
Anaxagore de Clazomènes au postsacrotique ARISTOTE. En fait, il y a entre
la main et la nature de l’homme une relation essentielle ; et la main
caractérise autant l’Homo faber que l’Homo sapiens. C’est ainsi que Paul
VALÉRY jugeait les mains de l’homme « égales et rivales de sa pensée ». Sans doute, la main est-elle, du corps humain, la partie la plus riche en signifié symbolique. Elle re-présente le pouvoir et le commandement. Le pouvoir divin, d’abord, et le petit Eliacin, dans l’Athalie de Jean RACINE, dit être un orphelin : « Entre les mains de Dieu tombé dès ma naissance. » Puis, le pouvoir royal et ses droits régaliens, que figure emblématiquement la « main de justice ». L’autorité cléricale, enfin, qui transmet sa bénédiction par l’imposition des mains. L’universelle distinction entre la droite et la gauche – directus et sinister, en latin – les concerne évidemment ; et leur rôle socioculturel est marqué, chez nous, par l’opposition et la complémentarité, héritées de la Kabbale, entre le côté gauche – celui de la rigueur – et le côté droit – celui de la miséricorde – de l’Arbre séfirotique, c’est-à-dire des attributs de Dieu. Ainsi, le Christ sera dit la « main droite de Dieu ». En Chine, la main droite indique la voie de l’« agir », la gauche, celle du « non agir » (wou wei) ; mais il faut penser qu’il s’agit de la contemplation, réputée plus efficace que l’action. En Inde, le tantrisme de la main droite est celui de la méditation, et le tantrisme de la main gauche est celui de toutes les transgressions. Divines, royales, sacerdotales, les mains sont aptes à toutes les conduites rituelles : elles bénissent, consacrent, ordonnent, enseignent, guérissent. Artisanales, ouvrières, laborieuses, elles manient l’archet, le pinceau, la plume, le ciseau, l’aiguille et tous les outils. Les signes de leurs doigts, les lignes de leur paume, sont des langages codés, et elles ont leur mot à dire en maçonnerie, en héraldique et en alchimie. Elles inspirent des jeux, des contes, des films et forces locutions linguistiques. Elles expriment l’homme tout entier, qui engage sa foi en prêtant serment en levant la main droite. |
la mandragore | Albert m. schmidt | FLAMMARION | 1958 |
Dirigée par M.M. DAVY, cette collection des symboles sur la mandragore
étudie l’alchimie et le spirituel et démystifie le côté sorcellerie qui
lui était attribué. Tirant de l’univers végétal les métaphores de ses rêves, l’homme souhaite pouvoir cueillir les objets qu’il croit propres à satisfaire ses divers désirs. La mandragore, forme humaine que l’on cueille, par ses propriétés stupéfiantes, aphrodisiaques, obstétriques, semble restituer l’homme à son intégrité originelle. La mandragore naît de l’image laïcisée d’un Christ gnostique, frère puiné des dieux païens dont l’érotisme délirant ou funèbre féconde une terre en émoi. Qui veut s’emparer de la mandragore doit observer un rituel habile à lui conserver ses vertus, et se substituer un être vivant qui détourne à son dam la malédiction mortelle qu’elle profère en paraissant au jour. La mandragore, image de Dieu et des dieux, comble de bienfaits celui qui la soigne, mais si ce dernier lui voie un culte de latrie, elle devient l’instrument démonique de sa perte. Contemplant le symbole de la mandragore, les écrivains prennent conscience de leurs particularités affectives et les expriment par fables closes, sans les exténuer. |
la marelle ou les 7 marches du paradis | Gérard de sorval | Dervy | 1996 |
Le jeu d’enfant de la marelle est ici décortiqué et expliqué par un symbolisme ésotérique. On y trouve : la grottes, la vouivre, l’oie, le donjon, le cheval, l’épée, le pont, le puit, la fontaine, le labyrinthe, le bouclier, la prison, l’anneau d’or, les dés, le crâne, la nef, la marelle et la triple enceinte. |
la nuit | Jacqueline kelen | RENAISSANCE DU LIVRE | 2005 |
La
nuit n’est pas seulement l’autre versant du jour. Elle figure à la fois l’immensité et l’intimité. Elle déploie tout un imaginaire fait de beauté, de silence, de douceur, mais aussi d’effroi et de maléfices. Elle procure le repos, le sommeil, ou fait lever des inquiétudes, des délires, et annonce la mort. Elle veille sur l’amour, sur l’espace intérieur, sur la création artistique. Elle invite au recueillement et à la contemplation. Sans doute est-elle le manteau de l’invisible. Les poètes, les mystiques l’ont traversée et chantée. De Jean de la CROIX à Charles PEGUY, de MICHEL-ANGE à Novalis, de Rûmî à Pessoa. Et les peintres et sculpteurs ont eux aussi œuvré dans l’obscur en tentant de représenter les figures étranges et enchantées de l’univers nocturne. Au royaume des nuits, on rencontre Shéhérazade, la sage et inlassable conteuse de Bagdad, la Belle au bois dormant, la déesse Séléné amoureuse d’Endymion, Éros rejoignant Psyché à la tombée du jour, Jacob ou Joseph visités par de grands songes, Roméo et Juliette éternels amants voués au ciel étoilé… |
la patience – passion de la durée consentie | C. CHALIER | AUTREMENT | 1994 |
La patience enseigne à l’homme de vivre l’inachevé de ce qu’il faut à la fois aimer et dépasser. Vivre le présent et attendre le lendemain, ne pas accepter l’oppression, la résignation, et la soumission. Apprécier par contre le positif de la passivité en laissant l’être disponible au hasard, et le hasard… |
la pierre | M. philibert | PARDES | 2004 |
La
Pierre, sujet aride (s’il en est !), dense, pesant, mais également
fondamental, originel, premier. Roche, minerai, minéral, joyau, pierre
cubique, qu’est-elle vraiment ? Voilà le fruit de la Terre mère, lentement mûri dans ses entrailles fécondes, ou le météore produit par quelque feu ouranien. Lia Fail, reine pétrifiée, émettait des sons quand un roi venait s’asseoir près d’elle. Entre le rocher ou le bloc aux vertus curatives et magiques, et la pierre cubique, y a-t-il seulement une différence ? L’un est brut et l’autre taillée ou recomposée. Celui qui ne mortifie pas sa matière, peut-il espérer parvenir à la pierre philosophale ? Le curieux, avide, recherche vainement le lien qui associe le porphyre, le cristal, le lapis-lazuli ou le marbre et l’or potable. Perdu dans le miroitement de pierreries étincelantes, aussi vaines que dispendieuses, il ne sait plus s’il faut broyer du cinabre ou avaler du diamant pour gagner l’immortalité. Pourtant, le principe actif du règne minéral est la meilleure des médecines. L’âme de la pierre égare les imprudents ou les sots. Quant au carrier, il se demande où il va quérir sa première pierre, ou sa pierre d’angle. Il a oublié, tout simplement, que la pierre principe existe de toute éternité, au centre du monde. Pour quelques-uns, la pierre suppose une vie entière d’études. |
la pierre brute | Olivier doignon | Maison de Vie | 2003 |
Avec la pierre brute on approche de la création et de son mystère. Que contient la pierre brute ? Pourquoi est-elle à l’Orient, son esprit, sa matière, les quatre éléments, pensée ternaire. |
la pierre cubique | Michel lapidus | Maison de Vie | 2003 |
Son origine, ses rapports avec l’apprenti et le compagnon, son secret, sa symbolique géométrique, ses fonctions, de l’Arche de Noé, la Pierre des philosophes, Mozart, le chef d’œuvre du compagnon. |
LA PIERRE CUBIQUE À POINTE | JEANNE LEROY | ÉDITION MAISON DE VIE | 2010 |
La pierre cubique à pointe représente le chef-d’œuvre que tout maçon doit parvenir à réaliser en qualité de compagnon fini. Les tableaux de loge du XVIIIe siècle représentent clairement que tout itinéraire initiatique correspond à la transformation de la pierre brute en pierre cubique à pointe. Cette image de l’ascension vers la Transcendance, correspond aussi à la recherche de la pierre philosophale. La hache fichée en son sommet, semblable à un marteau taillant, évoque la réalisation spirituelle à son apogée grâce à la réception de l’illumination initiatique. Elle a pour but de faire jaillir la lumière enfermée au cœur de la pierre. Le sommet de la pierre cubique à pointe est assimilable à un omphalos, une représentation visible et concrète du « centre du monde », d’une ouverture sur le divin, quintessence de l’être, point de rencontre du manifesté et du non-manifesté. La pierre cubique à pointe symbolise l’achèvement de l’œuvre, l’aboutissement réalisé, le couronnement des efforts. Souvent oublié ou méconnue, elle synthétise l’ensemble des connaissances de l’adepte. Cette pierre polie et burinée est, avec la planche à tracer du Maître, le symbole le plus important de la connaissance initiatique de l’Ordre maçonnique. Est développé : Différence entre les acrotères et la pierre cubique, les bétyles, les pierres de foudre, les haches, l’omphalos, le terme de compagnon, processus initiatique par les transformation de la pierre, la pyramide et sa symbolique initiatique, l’ascension cosmique, l’ascia, la tétraktys, les Grands Elus et les Rose+Croix, des Elus au Chevalier Kadosh, les quatre faces de la pierre cubique à pointe, la recherche de la pierre philosophal, pierre des philosophes, V.I.T.R.I.O.L.U.M. |
la quadrature du cercle et ses métamorphoses | Roger BEGEY | Du Rochet | 1993 |
Des explications assez pointues sur : le point, le centre, le cercle, le carré, le triangle, la sphère, la pierre, la clef de voûte et la croix celte. C’est à travers le trait créateur et le nombre d’or que l’auteur nous fait évoluer dans ce labyrinthe géométrique. |
L’ARBRE | ROGER PARISOT | PARDES | 2002 |
Par sa taille élancée, ses formes puissantes, son port majestueux, l’arbre a toujours séduit les poètes. Ronsard a chanté sa forêt de Gâtine, qu’il voulut dans ses vers protéger de la cognée des bûcherons. Musset a dit son amour du saule, Lamartine a prêté sa voix aux cèdres du Liban, et célébré le chêne dans son hymne à Jéhovah. Victor Hugo dans ses contemplations, a montré le profond respect qu’il éprouvait pour les arbres, au milieu desquels, disait il : Je sens quelqu’un de grand qui m’écoute et qui m’aime » On peut dire que l’arbre, qu’il soit Chêne ou sapin, Cèdre ou figuier, Frêle ou Bouleau, est un symbole total, un carrefour des significations, un signe fondamental de ce que R. Guénon appelait « la langue sacrée » : Il se prête à des interprétations aussi pertinentes que cohérente, dans leur diversité. Mais on ferait un contre sens si l’on croyait que les idées, les croyances, et les conceptions qui sont liés à ce symbole ont une origine empirique, qu’elles sont nées de la contemplation des arbres dans la nature, qu’elles ont été suggérées par les impressions ressenties à ce spectacle et/ ou qu’elles sont le produit psychique d’une fonction fabulatrice bergsonienne ou d’un onirisme poétique bachelardien. Ce livre étudie les arbres et symboles suivants :
Le monde comme arbre
géant
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L’ARBRE ET SON SYMBOLISME | DIVERS AUTEURS | ARCADIA | 2002 |
Avec l’arbre, archétype symbolique plein de mystère, nous nous trouvons devant des horizons infinis. L’arbre est une réalité prodigieuse, et les hommes l’ont toujours pressenti. Aussi loin qu’on remonte dans la nuit des temps, on trouve l’admiration de l’arbre, la vénération de l’arbre et même le culte de l’arbre, non pas un culte à l’arbre lui-même, mais à la force divine qui l’habite. Il représente une révélation, un univers de régénération permanente, en poussant, en verdissant, en fleurissant, en fructifiant, en se dépouillant et en renaissant à chaque printemps, il incarne la vie inépuisable. On retrouve dans les diverses mythologies l’idée de l’arbre central, reliant le Ciel et la Terre, arbre cosmique et pilier central du Monde. Georges Chopiney célèbre l’arbre et ses bienfaits en nous dévoilant toutes ses qualités. Julien Behaeghel nous parle de l’arbre au trésor et le gardien – en général un serpent ou un dragon- qui le défend comme dans les légendes et mythes. Pour lui l’arbre est par excellence même l’expression de la vie, de la sagesse et de la réalisation de l’Un et du Multiple. Il nous parle également de l’arbre des Séphiroth, expression cabaliste de la pénétration/pérégrination de l’Esprit dans la Matière, et pénétration de l’éclair divin dans le crée. Jean Servier explique l’arbre dans l’Egypte pharaonique où le texte des pyramides affirme : Si tu es Atoum, tu es un arbre vert. Ré, Horus et d’autres divinités naissent des arbres, qui signalent et protègent la tombe d’Osiris. G.C. Laugier nous parle des chênes en général et tout particulièrement de celui de St Louis, celui de Guernica, celui de Dom Rémy, les chênes de la forêt de Gastine chanté par Ronsard, les chênes des druides celtes et son célèbre gui, la légende de Philémon transformé en chêne, et pour les alchimistes le feu secret, celui qui ne mouille pas les mains, se trouvait dans un tonneau de chêne, sans oublier le chêne qui servit d’asile à Castor et Pollux, et celui qui servit de porte- manteau à la Toison d’Or. L’alchimie nous parle de ses arbres, qu’ils soient philosophiques, Opus Magnum, mercuriel. Les ménestrels gallois et les poètes irlandais nous font participer à leurs gestes du combat des arbres dans leur livre mythique « Le livre rouge d’Hergest ». On participe aux rites forestiers avec le rituel de l’Ordre des fendeurs, rituel compagnonnique où, sur une souche placée à l’Orient et faisant office d’autel, était placée une Bible, et à l’occasion d’une initiation on remettait à l’impétrant une hache, destiné à fendre une bûche. Le Père J.M. Martin explique l’arbre et la ville et fait un rapprochement entre l’Apocalypse, la descente de la Jérusalem Céleste et l’arbre-totem au centre de la ville. Suzanne Braun, docteur en histoire d’art, développe le symbole de l’arbre dans l’iconographie chrétienne et explique le pourquoi des arbres dans tous les tableaux religieux chrétiens et pourquoi l’arbre de Vie et l’arbre de la Connaissance sont deux symboles antinomiques. Enfin par l’association maçonnique : Symboles et Traditions, une importante et remarquable étude très complète parue en 1990, sur la symbolique traditionnelle, ésotérique, mythique, alchimique, maçonnique et spirituelle de l’arbre. |
L’ARC EN CIEL DES ANGES | LE FIL INVISIBLE | 2001 | |
Un étonnant arc en ciel des anges en image |
la règle des francs-maçons de la pierre franche | Olivier doignon | MAISON DE VIE | 2002 |
Les bâtisseurs de
toutes époques, dont les Francs-maçons de la pierre franche sont les
héritiers, considèrent que les forces créatrices à l’œuvre dans l’univers
se conforment à la Règle. Règle d’assemblage, Règle de construction, elle
assure la cohérence des mondes au sein de l’univers. La connaître, la servir, pratiquer l’Art Royal en unissant le monde céleste et le monde terrestre, mettre l’éternité au présent et l’incarner dans l’accomplissement de l’œuvre, tels sont les enjeux proposés aujourd’hui par les Francs-maçons de la pierre franche. Ce livre, rempli de références historiques, présente une approche méthodique de la Règle, et tente de nous faire percevoir sa vitalité. Cette quête de la Règle ne répond-elle pas pleinement à la question de la finalité de l’espèce humaine ? On y trouve : Règle et régularité, l’Égypte, QUMRAN, St AUGUSTIN, St BENOÎT, maître EC-KART, les landmarks, les anciens devoirs, les trois grandes lumières et l’Art Royal. |
la sagesse – la force du consentement | Alain LE NINEZE | AUTREMENT | 2000 |
La sagesse idéale de paix intérieure de connaissance de maîtrise de soi. Une valeur importante dans la pensée grecque mais qui est banalisée dans notre monde fait de passion, d’excès de révolte et de rêves prométhéens. Retrouver des notions de transcendance et de métaphysique qui rétabliront l’équilibre. |
la science des symboles | René alleau | Payot | 1996 |
On y trouve l’origine sémantique du mot symbole, l’analogie, le synthème typographique du symbolisme et son interprétation du cosmos. |
la symbolique de la lettre g | Édouard de ribaucourt | ARQUA | 2005 |
"L’étoile flamboyante" était jadis l’image du fils du soleil, auteur des
saisons et symbole du mouvement, de cet Horus, fils d’Isis, de cette
matière première, source intarissable de vie, cette étincelle du feu
incréé, semence universelle de tous les êtres. Au milieu de l’étoile
paraît la lettre G. » S’il est un symbole d’excellence, incontournable de l’initiation maçonnique et bien au-delà, de la Tradition polaire tout entière, c’est bien de la lettre G qu’il s’agit… Édouard de RIBAUCOURT – Une des personnalités les plus en vue de son époque dans le milieu Traditionnel, haut grade du GODF puis fondateur de la GLIR ancêtre de la GNLF, Édouard de RIBAUCOURT à travers une analyse des différentes langues, grecque, hébraïque, phénicienne, ainsi que de la symbolique des nombres 3, 5, 7 nous invite à le suivre dans son étude de 1907. La lettre G, que les historiens de l’Art Royal voient apparaître au centre de l’étoile flamboyante à partir de 1737 va, dès cette époque de Lumières, en tant qu’élément archétypal du temple à rebâtir devenir par excellence, l’icône de la pensée symbolique, langage muet s’il en fut pour mieux marquer les consciences concernées par cette conception spiritualiste de la Tradition Primordiale. Celle-ci, lorsque maçonnique, a ses arcanes, ses grades, ses degrés. Sa vérité est d’initier en essence le profane, le cherchant. Subtilement. Comme une inhibition volontaire et sacrée dont le seul but est la vénération des mystères dans l’athanor véritable de la Loge. Et l’Initiation authentique n’est-elle pas, assurément, comme le suggère Mircea Eliade « le phénomène spirituel le plus significatif de l’histoire de l’humanité » ? |
la symbolique de la mort ou herméneutique de la résurrection | J. trescases | TREDANIEL | 1993 |
De Babylone à
ELEUSIS, de l’Égypte à la Chrétienté, la Symbolique de la Mort et de la
Résurrection a engendré et fécondé les plus prestigieuses civilisations. Le message transmis par les diverses expressions de cette symbolique est remarquablement concordant et peut-être explicité par l’analyse systématique d’un rituel préservé et vivant. La symbolique de la mort et de la résurrection, choquante pour l’intellect, mais réconfortante dans son intime compréhension, ne promet aucunement le prolongement indéfini de la vie de l’individu, ce qui serait d’ailleurs de peu d’intérêt ; mais elle invite l’adepte, ou le fidèle à s’éveiller immédiatement, – ici et maintenant, – à la vie véritable, saisie dans sa globalité, son unité et son identité. Après « l’Étoile Flamboyante, ou la recherche d’une parole perdue », Jacques TRESCASES poursuit, dans une interprétation fidèle à la Tradition, mais dans un langage actualisé à la lumière de la psychologie de la motivation, l’élucidation méthodique des rites et des mystères, tels qu’ils nous ont été transmis depuis la Haute Antiquité, et tels qu’ils sont encore pratiqués de nos jours dans la franc-maçonnerie. La compréhension de la symbolique de la mort et de la résurrection permet à l’initié de se réaliser dans la voie qu’il s’est choisie et au banalisé de devenir l’homme véritable, ou homme de vérité, – réintégré dans la chaîne de vie, porteur de lumière et facteur de paix, de joie et d’amour. Y sont développés OSIRIS, les mystères d’ÉLEUSIS, les trois morts initiatiques, HIRAM, la parole perdue, les voyages des 9 maîtres, l’acacia, le mot sacré et entre l’équerre et le compas. |
la symbolique du feu | J.B. bayard | TREDANIEL | 1992 |
Le Feu demeure
l’un des plus grands symboles en raison de sa signification et de son
rôle. D’origine divine, provenant du ciel, il anime, vivifie et
spiritualise ; il est un grand thème initiatique, la lu-mière étant
émanation du Feu. L’importance du feu se révèle dans la gnose chrétienne, dans l’ésotérique soufi, dans la Kabbale. La symbolique du feu s’étend encore à la chaleur magique, aux qualités des différentes eaux de feu, à la nature même de l’homme qui est feu, par la combustion de son corps, par la chaleur de son sang et de son haleine ; par son énergie génératrice ; mais son Esprit participe aussi essentiellement à la valeur du Feu. Jean-Pierre BAYARD réunit ici toute une documentation sur la genèse du mythe et ses variantes dans les traditions religieuses ou dans les diverses formes de la Sagesse. Ce livre, écrit dans un langage direct et d’un accès facile, ne se borne pas uniquement à être descrip-tif ou à être un catalogue d’érudit. Tout document devient une source d’interprétation et c’est avec subtilité que Jean-Pierre BAYARD explique le mythe du Phénix, le thème du rajeunissement et de la résurrection, car pour être initié ou pour renaître il convient de passer par le Feu. Une annexe qui donne des extraits du Dictionnaire Mytho-Hermétique de Dom Pernety, une biblio-graphie, un index, des tables achèvent de faire de cet ouvrage un auxiliaire précieux pour l’étude de la symbolique. Il s’adresse non seulement aux spécialistes mais à tous ceux qui s’intéressent à la re-cherche de la spiritualité. Y est décrit : les forgerons, l’immortalité, la purification, la lumière, le feu initiatique, de St Jean, le sang, la couleur rouge, le soleil, l’eau, la chaleur magique, les bûchers, les incinérations et les rites funéraires. |
la symbolique du temple | J.P. bayard | EDIMAF | 1991 |
C’est un rare
mélange d’érudition et de spiritualité que l’on trouve dans les ouvrages
de Jean-Pierre BAYARD. Docteur ès lettres en maçonnologie, il est en même
temps l’un des grands spécialistes de la Franc-maçonnerie contemporaine. C’est à la notion de « Temple » dans la pensée occidentale qu’est consacré le présent ouvrage. L’image archétypale et symbolique, les édifices mythiques, Tour de Babel ou Temple de Salomon, les monuments légendaires : Stonehenge, Borobudur ou Compostelle, véhiculent jusqu’à nous un imaginaire fortement marqué d’affectivité en même temps que le souvenir de technicités perdues. Voyage dans le temps et dans l’espace, à la recherche des vestiges d’une pensée mythique à l’origine de notre civilisation, voici un livre qui ne laissera aucun de nous indifférent, et dont l’intérêt soutenu vient sans doute des nombreuses perspectives qu’il ouvre à la réflexion. |
la symbolique maçonnique des outils | Robert AMBELAIN | Maçonnique de France | 2002 |
Ouvrage classique de la littérature maçonnique. La réflexion sur ces outils est nécessaire a qui veut avancer dans cette voie : c’est un stimulant à condition de bien les étudier. |
la tolérance | Claude SAHEL | AUTREMENT | 1996 |
Traité sur la
tolérance où on apprend à ne pas confondre tolérance et indifférence car
souvent la tolérance s’habille du voile de l’indifférence et du rejet
muet. Également il y est question de l’intolérance qui revêt souvent des
aspects curieux. Une belle et bonne étude. |
LA
TOLERANCE DE LIN XI. L’IDEE DE TOLERANCE DANS LA PENSEE CHINOISE OU LA |
LIN XI | QUIMETAO | 2001 |
La
tolérance est l’essence du confucianisme. LIN XI est un écrivain
chinois résidant à PARIS, il nous |
la vouivre – un symbole universel | K. APPAVOU & R.R. MOUGEOT | LA TABLE D’ÉMERAUDE | 1988 |
L’auteur nous fait découvrir un formidable symbole universel depuis que l’homme existe. Il y est question de la mère universelle, des serpents mythiques, des dragons, du chaos primordial, de la fontaine d’immortalité, de l’or, des pierres précieuses, du 3ème œil, de la WIVRE, de la tarasque, de la décollation, de gargantua, de Morgane et Mélusine, des courants telluriques, des vibrations et des rythmes, des dolmens, des pèlerinages, des labyrinthes, du hasard et des rencontres. |
l’eau & les rêves | Gaston bachelard | Corti | 1997 |
C’est un essai sur l’imagination de la matière. On y explique les eaux claires, printanières, courantes, amoureuses. NARCISSE, les eaux mortes et dormantes, l’eau lourde, l’eau composée, l’eau maternelle, féminine, violente. Le complexe d’Ophélie, la pureté et les purifications. |
l’eau, le feu, la lumière | D. MASSON | Desclée de Brouwer | 1986 |
C’est à travers les trois religions monothéistes que l’auteur met en relief les trois valeurs fondamentales de celles-ci. L’eau facteur de vie, alliée au feu divin et solaire, ne peuvent qu’engendrer la lumière. Un très bon livre sur ces trois symboles. |
LE BANQUET RITUEL – SIGNIFICATION INITIATIQUE DES TRAVAUX DE TABLE | ANDRÉ QUÉMET | ÉDITION LA MAISON DE VIE | 2010 |
Célébration de l’amour initiatique, le banquet est le couronnement rituel d’une tenue de loge. En le célébrant, les initiés partagent les nourritures spirituelles et matérielles, et vivent l’accomplissement du mythe. Cet ouvrage propose une étude en profondeur de la symbolique du banquet, bien connu dans la religion chrétienne, et au cœur de nombreuses traditions initiatiques. Il implique offrande, purification, communion et transmutation. Par les lumières du banquet, l’invisible se dévoile lors « des travaux de table » Sujets traités dans cet ouvrage : Banquet, agapes et travaux de table, leurs origines et leurs importances – Forme de la salle du banquet et l’importance du carré long – la nature de la table du banquet, banquet transmutatoire, nutrition, communion, comment se nourrir, verbe et nourriture – L’apport des offrandes et la purification, la table d’offrande, réversion des offrandes et banquet funéraire, présence de l’Orient éternel – Les lumières du banquet – L’invisible référence du banquet, la tenue rituelle et le voyage de la barque du temple – La communion par le pain et le vin – Consubstantialité divine - Franc-Maçon depuis plus de 25 ans André Quémet se consacre à l’étude des symboles maçonniques et ésotériques. |
LE BESTIAIRE DE LA BIBLE | JF. FROGER et JP. DURAND | DESIRIS | 1994 |
La
symbolique animale dans la bible vu d’un œil nouveau et qui répond
à la question pourquoi ? |
le bonheur | Jacqueline kelen | Oxus | 2003 |
Un petit livre de bonheur sur le thème du bonheur. C’est toujours avec beaucoup de sensibilité et d’émotions que J. KELEN évoque ce sujet qui est peut-être la finalité de notre passage sur cette terre. |
le bonheur : mythe ou réalité ? | hiram | LÉOPARD D’OR | 2002 |
Définition de la vie et du bonheur, l’argent, la pensée discursive et rationaliste, la morale, notion du bien et du mal, la quête du pouvoir, la tolérance, l’égalité, l’ego, les faux bonheurs, les sectes, les solutions, l’âme, le corps et l’esprit, le sacré, l’humilité, maîtriser son dragon, chevaucher son tigre et trouver l’harmonie. |
LE CABINET DE REFLEXION | DIDIER MICHAUD | LA MAISON DE VIE | 2009 |
Cet ouvrage présente des
aspects inédits du cabinet de réflexion, approché comme un symbole en
tant que tel.
C’est à ces questions que,
de manière argumentée et novatrice, l’auteur tente de répondre à la
lumière des symboles qui constituent son décor. |
le chant des pierres | Marius schneider | ARCHÉ | 1976 |
Études sur le rythme et la signification des chapiteaux dans trois cloîtres catalan de style roman : SAN CUGAT, GERONE, et le cloître de Rippo. Très nombreuses illustrations et plans. |
LE CHIEN | DAVID GATTEGNO | PARDES | 1995 |
Le symbolisme du chien est ici expliqué
dans une étude très complète, car le sujet est d’une extrême richesse.
Toutes les civilisations, tous les temps l’ont connu. Les traditions
répètent que Dieu a crée le chien pour qu’il soit le compagnon de l’homme.
L’ancienne Egypte lui accordait la première place. La perse des mages lui
a consacré la plus grande part d’un de ses livres sacrés. D’ailleurs
Hérodote relate que les mages de Perse s’abstenaient de tuer, rien qui ait
vie, excepté ce qu’ils offraient en sacrifice. Alors, les Mages tuaient
tout de leur propre main, tout, insiste l’historien, excepté l’homme et le
chien. La Grèce le place près de la grande Hécade. L’Inde avestique
le signale comma associé au premier humain. Il resta l’auxiliaire majeur
des divinités de l’autre monde. Les philosophes « cyniques »
prennent leur épithète de son nom. La divinité de l’Âge- d’Or, Cronos,
est appelé « chien », Hermès, Mythra, Héracles, Nergal, Hadès,
Sérapis, etc. avaient un chien pour compagnon. Tous les héros de la
Grèce antique, ont pratiqué l’élevage des chiens, parce que
« cela plaisait
aux dieux ».
Il est donné à chacun d’acquérir un chien
et, selon une bonne intelligence, des récompenses insignes seront
accordées au maître. Du plus humble au plus grand, « il est permis à
tout homme d’être aimé des dieux », par la grâce du chien… |
LE CHIEN , SON SYMBOLISME | DIVERS AUTEURS | ARCADIA | 1998 |
Sont
réunis ici les commentaires de divers auteurs au sujet du chien et de son
rôle dans les diverses traditions , autant dans la Bible que dans les
Grands Textes Sacrés , philosophiques et alchimiques . En commençant par ANUBIS Dieu des morts pour les Egyptiens , puis les Grecs qui donnèrent une tête de chien à plusieurs dieux de la Mythologie , dont Hermès , jumeau du Dieu égyptien Thot : grand scribe et Dieu du savoir . Après un détour chez Cerbère , chien gardien des enfers , on visite diverses civilisations , chez les IBO du Nigéria , les Aztèques , en Perse et chez les descendants de ZARATHOUSTRA : les Parsis qui sont en INDE , on visite les Celtes en général et le pays de Galle en particulier , chez les Murut de Bornéo , et chez les Tibétains qui partagent avec l’Islam le symbole du chien « mauvais œil » , chez les Chinois où le chien est le 11e signe du zodiaque . En Alchimie ou le chien de corascène ( soufre) est appelé aussi « tête de corbeau » , il se bat contre la chienne d’Armènie ( mercure ) pour former le Rébis . Dans les premiers cahiers ( rituels ) maçonniques , le chien est associé au coq , pour annoncer la Lumière . Pour les compagnons du Tour de France , les chiens noirs étaient les compagnons forgerons , les chiens loups étaient les compagnons charpentiers de la fédération compagnonnique du bâtiment , puis après sa fusion en 1945 devint les chiens Soubise et les indiens charpentiers loups , les chiens blancs qui sont les compagnons boulangers , et les chiens en général qui désigne tous les compagnons charpentiers , couvreurs , de tous les rites compagnonniques . Le livre des superstitions abonde dans son imagerie planétaire , sur les us , coutumes , symbole et dits , au sujet du chien . Mais en règle générale le chien est associé à la mort et aux enfers , au monde sombre d’en dessous et aux divinités chthoniennes et lunaires . Un premier ternaire Terre , Eau , Lune, peut être rapproché du ternaire symbolique : Féminité , sexualité et divination . Le chien est un Psychopompe , un guide et un conducteur des hommes et des âmes , c’est un ami fidèle , qui accompagne l’homme et l’aide souvent à passer d’une rive à l’autre , d’un état à un autre état . Il est de tous les voyages et n’oublions pas qu’il assiste – dans la religion Egyptienne - à la pesée des âmes. |
le coq | Paul de ST HILAIRE | LEBAUD | 1995 |
Au cœur des
traditions européennes, emblème de la France et de la Wallonie, signe
astrologique chinois, protecteur de nos clochers, signe annonciateur de la
lumière initiatique pour les Francs-maçons, associé aux dieux par les
Japonais, chéri par l’Islam, le coq est un symbole universel. Les vertus qu’on lui prête sont innombrables : porte-bonheur, prophète, guérisseur, il incarne le courage, l’intelligence, et on l’associe volontiers à la résurrection. Paul de St HILAIRE met en évidence ce symbolisme dans cette passionnante et très documentée histoire du coq. Y est expliqué : la lumière, les œufs de Pâques, le rituel compagnonnique le papegault, le coq médecin, le coq prophète, le renard, le coq porte-bonheur, la résurrection et l’aube, le combat, la pierre cachée, le vaudou, BONAPARTE, les messes noires, et le coq du jugement dernier. |
LE DELTA – La pensée ternaire | Olivier JUMEAU | La maison de vie | 2001 |
Le Delta lumineux en F. M., l’œil de Shiva et l’œil OUDJAT mais aussi dans d’autres religions et d’autres pays.– |
le dÉpouillement des mÉtaux | François aries | LA MAISON DE VIE | 2007 |
Pourquoi, selon une étrange expression maçonnique, l’initié doit-il se «
dépouiller des métaux » ? S’il ne s’agissait que d’un banal détachement des biens matériels, on resterait dans un domaine moralisateur fort éloigné de l’initiation. En réalité, cette expression est d’une extraordinaire richesse symbolique. Elle traduit la perception des forces transmutatrices à l’œuvre dans le cosmos et permet de percevoir la vie commune au minéral, au métallique, au végétal, à l’animal et à l’humain. Que sont véritablement ces métaux, où et comment sont-ils purifiés, qu’est-ce que l’alchimie communautaire, la naissance d’un nouveau soleil est-elle possible ? En tentant de répondre à ces questions, cet ouvrage met en lumière l’authentique trésor d’une Loge initiatique. |
LE DIABLE | ROGER PARISOT | PARDES | 1999 |
Le mal qui existe dans le monde, celui que commettent les hommes, celui dont souffre les innocents, a-t-il un responsable suprême, Satan ou Lucifer, c'est-à-dire le Diable, Prince des Ténèbres et Empereur des Enfers ? Toutes les religions ont eu à répondre à ces questions. De ce maître trompeur, quelles sont les plus adroites ruses ? Celles qui ont fait croire qu’il existait à tant de témoins de ses apparitions et de signatures de pactes , avec lui, de sorcières et de possédés, de participants au Sabbat et d’officiants aux messes noires ? Ou celles qui font croire aujourd’hui au plus grand nombre qu’il n’a jamais existé ?En tant que Diable ( dia-bolein ), il désunit, antithèse du symbole ( sun-bolein ) qui réunit . Ainsi fait-il office, d’abord, d’anti-symbole et enfin, d’antéchrist. Quand la divinité dit : « Je suis celui qui est » la malignité ricane : « Je ne suis pas celui qui n’est pas » Le diable existe bel et bien mais ici et maintenant, et voilà tout. Il s’acharne à nier son existence, la seule chose à laquelle il puisse prétendre, et, simultanément, à faire croire qu’il jouit d’une essence supérieure : celle, angélique de Lucifer.Le Prince des Ténèbres et Lucifer, le Porte – Lumière révolté, ne se confondent pas, sauf si, à terme ; le Diable l’emportait sur Dieu. Le grand mystère du salut de Lucifer ne cessera jamais de nous hanter en raison de la confusion que le Diable veut opérer avec lui. Ceux qui ont été séduits par le Malin croient discerner parmi les ténèbres du Prince, la Lumière de l’Ange. Le mal, le laid, le fallacieux ne furent, ne sont et ne seront jamais ailleurs que dans l’instant illusoire de la double dépendance à l’avenir et au passé. Le présent vrai étant l’affranchissement du progrès et du regret.
Le Diable existe par certains faits qui
sont les siens, le mal commis en fait partie ; sorcelleries, possessions
aussi ; Sabbats et messes noires pétrissent l’argile de sa chair lubrique
et donnent souffle à sa voix salace. |
le diable – Colloque de Cerisy | Dervy | 1998 | |
Le prince des enfers est toujours sujet à controverse et si la foi chrétienne a résolu le problème, il n’en reste pas vrai que les recherches sur le Diable sont troublantes, car les traces qu’il laisse sont incertaines et souvent inexistantes. Il reste toujours insaisissable. Le colloque ouvre des perspectives avec des orateurs comme Antoine FAIVRE, Marco PASI, Pierre LORY, Maurice de GANDILLAC et d’autres. Toutes les voies historiques, religieuses, philosophiques, artistiques et ésotériques sont ici développées. |
LE DIABLE - SATANISME B.A BA | JEAN- PAUL BOURRE | PARDES | 2000 |
Satan apparaît dans les religions chrétienne, juive et musulmane comme « shatan », l’adversaire de Dieu, l’esprit du Mal, le Prince des Ténèbres. Il est en même temps le grand corrupteur, l’ange foudroyé dont parle saint Luc, le Prince des Ténèbres qui commande aux enfers. Ses adeptes le considèrent comme la divinité centrale d’un culte maudit qui propose à l’homme d’être l’égal de Dieu.
Son culte se célèbre la nuit, à la lueur
des torches, dans les lieux hantés, désolés. Il apparaît avec l’attirail
du Moyen- Âge chrétien : bouc noir, profanations d’hosties, sabbats des
sorcières, messes diaboliques. |
le fil à plomb & la perpendiculaire | Joseph noyer | LA MAISON DE VIE | 2006 |
Pour élever le Temple en prolongeant l’œuvre du Grand Architecte de l’Univers, une loge maçonnique se doit de trouver l’axe qui structure et réunit. C’est à cette condition que la construction sera harmonieuse. De même, le mode de vie d’un Frère se construit autour du centre qu’est la vie rituelle sans renier sa dimension quotidienne. Discerner l’essentiel, éveiller le centre vital et vivre suivant l’axe qui concilie les deux termes, c’est ce à quoi invitent Fil à plomb et Perpendiculaire. |
le grand architecte de l’univers | Jean DELAPORTE | La Maison de Vie | 2001 |
Le G.A.D.L.U., son symbole, son esprit, sa tradition, sa géométrie. Le compas et le cercle, la parole perdue, la pierre primordiale. Sa place chez les Francs-maçons. Comment on le retrouve : potier, forgeron, géomètre et charpentier. |
LE LABYRINTHE, IMAGE DU MONDE | DANIEL BERESNIAK | EDITION DETRAD | 1996 |
Tracé d’un parcours fait de détours, le labyrinthe égare et conduit. Prison, refuge et passage, il trace les voies sinueuses qui relient la perception au sens, le désir à l’idée et à l’acte. L’exploration de l’image commence au palais des rois Minos, avec les guerres du Péloponnèse, au palais du roi Cnossos, avec ses légendes autour de Dédale, du Minotaure, de Thésée et d’Ariane. Elle se poursuit en d’autre lieux et en d’autres temps : la préhistoire et ses labyrinthes de pierre, l’Egypte pharaonique, les labyrinthes à une seule voie des cathédrales, les jardins où l’on s’égare, la ville et ses méandres. Ces constructions illustrent les pérégrinations du sens. L’étymologie grecque du labyrinthe renvoie à Labrys, qui veut dire double hache et à Lab qui veut dire : prendre, saisir, et c’est pourquoi les labyrinthes de Grèce et de Crète en particulier furent appelés : Les Palais de la hache ou de la double hache et, retranscrit en latin au Moyen Âge, le mot donne lieu à un jeu de mot présenté comme une explication, labor intus : peiner en dedans, autour de laquelle se développe l’idée de l’œuvre chez les alchimistes. Puis le mot entre dans la littérature des langues parlées en Europe pour illustrer les rites sociaux et les parades d’Amour : c’est un labyrinthe d’amour. C’est aussi la rencontre avec le terme anglais : maze (Dédale, labyrinthe, lacis)
Repris par les conteurs et les poètes,
génération après génération, la métaphore du labyrinthe porte le sens du
monde, de la réalité dans son ensemble, dans ses ramifications et ses
modalités.
Est développé par
l’auteur : |
LE LABYRINTHE le livre des labyrinthes | Paolo santarcangeli | GALLIMARD | 1974 |
C’est l’histoire
d’un mythe et d’un symbole. « Il ne semble pas que la capacité de créer ou de vivre des mythes ait été remplacée par celle d’en rendre compte. À tout le moins faut-il avouer que les tentatives d’exégèse ont été à peu près constamment décevantes », déclare Roger CAILLOIS dans Le Mythe et l’Homme. L’analyse du mythe à partit d’un système d’explication, si fondé soit-il, laisse en effet généralement une impression d’insurmontable insuffisance, un résidu irréductible auquel on est tenté d’attribuer, par réaction, une importance décisive. Paolo SANTARCANGELI a évité ce travers. Il ne se lasse pas d’insister sur la multiplicité des interprétations possibles d’un mythe tel que celui du Labyrinthe, qui résume une situation limite de l’âme lorsqu’elle se penche sur ses propres abîmes. Il est à la fois la lutte du principe héroïque et solaire (Thésée) contre le principe animal et nocturne (le Minautore), cérémonie de chasse, métaphore sexuelle, iter mysticum, symbole de la forteresse à vaincre, jeu qui masque les profondeurs semi conscientes, pour ne parler que de quelques configurations sémantiques. Partant de la fable grecque et de ses diverses versions, remontant de là jusqu’à la préhistoire, l’auteur passe en revue les aspects et les significations multiples que le mythe a connus chez les primitifs, dans la civilisation crétoise et au XVIIIe siècle, et qu’il a conservés jusqu’à nos jours. Il dégage de la sorte les composantes religieuses, initiatiques, symboliques et psychologiques du Labyrinthe, dans lequel il voit, malgré la variété des formes qu’il a revêtues au cours des âges, une représentation des motivations et de l’angoisse de l’âme humaine. C’est en somme l’image que l’homme se fait de son destin – labyrinthe dont l’issue lui est donnée par la foi religieuse ou par la connaissance. |
LE LABYRINTHE LES LABYRINTHES - Mythes traditionnels et applications modernes | SIG LONEGREN | DANGLES | 1993 |
C’est à travers de multiples labyrinthes que l’auteur va nous servir de guide et nous offrir des raccourcis essentiels alchimiques et libérateurs, car maîtriser son propre labyrinthe est le but de l’initié. On commence par connaître les autres labyrinthes Chartres, le Minotaure etc… ses rites et ses subtilités. |
LE LABYRINTHE les labyrinthes à travers le R.E.A.A. | DIVERS | 1994 | |
Divers voyages initiatiques dans les labyrinthes de Chartres au Tibet. |
LE LABYRINTHE - Son Symbolisme ésotérique et spirituel | DIVERS AUTEURS | ARCADIA | 2006 |
Après que J.P. Bayard nous eu donné de belles définitions sur le Labyrinthe, Jean Servier nous emmène dans la Rome antique, avec Virgile et son Enéide, et nous explique la danse des grues dans l’île de Délos, danse qui reproduit le parcours et les méandres du labyrinthe. Dominique Aucher, parle du labyrinthe au cœur de l’Homme et explique comment on retrouve l’utilisation religieuse et initiatique du labyrinthe dans les mythes antiques, avec la grotte ou caverne qui donne un accès direct au domaine des profondeurs, de l’obscurité, du mystère et de l’ombre. Bruno Gouesclou nous parle de ce mythe universel, symbolisé par Thésée et le Minotaure, symbole récurent et voie initiatique. Jean Ferto nous emmène dans le labyrinthe de la cathédrale de Reims. Alain Chaize élargit le symbole aux tracés labyrinthiques, en partant de l’antiquité, passe par le Moyen Âge et termine de la Renaissance à nos jours. M. Cazeaux nous donne son fil d’Ariane pour comprendre le labyrinthe de Chartres. Appavou et Mougeot, expliquent les similitudes entre les labyrinthes et le serpent sous toutes ses formes, dont la Vouivre ou Wivre, cette énergie souterraine ondulante, puissante et invisible, son alter- égo visible étant entre autre la Kundalini pour les orientaux et les énergies vitales pour les occidentaux. La spirale fait penser à un serpent qui se love et symbolise toutes ces représentations énergétiques, on la retrouve dans le paléolithique, les dallages d’églises, chez les indiens Hopi, et bien sur dans les cathédrales. M. Bolle de Bal nous entraîne au cœur de la solitude avec l’initiation maçonnique. La loge Persévérance a donné la parole à 6 frères, qui nous déclinent leur vision sur ce labyrinthe, un et multiple, la quête de sens, un chemin initiatique et de vie. J. F. Blondel nous parle des labyrinthes d’Eglises, avec forces dessins et schémas, Reims, Chartres, Orléansville, la villa de Diomède à Pompéi, Bayeux, Jérusalem, Amiens, Saint Quentin, Saint Omer, Cormerod en Suisse. Gérard de Sorval, qui a écrit un excellent livre sur la Marelle, nous explique ici pourquoi la 13e case du jeu de l’oie est un labyrinthe, il part du principe que cette case récapitule l’ensemble du jeu de l’oie, qui est un dédale, et cette épreuve appelle à nous faire retrouver la Jérusalem intérieure. Jean Tourniac nous propose une très belle étude sur la figure du labyrinthe de Villard de Honnecourt, son histoire, ses enseignements et la descente dans la caverne. 4 livres sont à retenir sur l’étude des labyrinthes : -Le Labyrinthe, chemin initiatique par Marie Hover. Edition Maison de Vie. 2005 -Les labyrinthes de Sig Lonegren. Edition Dangles. 1985 - Le livre des labyrinthes par Paolo Santarcangeli. Edition Gallimard. 1987 -Le labyrinthe image du Monde par Daniel Béresniak. Edition Détrad. 1998 |
le labyrinthe – un chemin initiatique | M. hover | MAISON DE VIE | 2006 |
Le
labyrinthe ne serait-il pas l’expression très ancienne du Pavé Mosaïque,
dont il faudrait prendre en considération les valeurs initiatiques ? De nombreux temples et édifices sacrés comprenaient un labyrinthe relié à plusieurs systèmes mythiques et ésotériques. Image du cosmos, figure du Grand Œuvre alchimique, incarnation du pèlerinage vers l’Orient, le labyrinthe paraît indissociable de la démarche initiatique des bâtisseurs et, à ce titre, méritait d’être examiné comme un symbole maçonnique. |
LE LANGAGE DES COULEURS | DIVERS AUTEURS | ARCADIA | 2001 |
Le premier caractère du symbolisme des couleurs est son caractère d’universalité , non seulement géographique , mais à tous les niveaux de l’être et de la connaissance , cosmologique ,psychologique , mystique etc……Ce recueil évoquera donc les couleurs suivantes : blanc , gris , bleu , brun ,indigo , jaune , noir , orange , rouge , vert , violet . Un long article parlera du blanc, qui est une réunion de toutes les couleurs. Le noir qui est absence de couleurs et qui évoque l’ombre , la nuit , l’obscurité .Symboliquement le blanc est l’unité de la lumière , le noir est la négation de la lumière .Les concordances et correspondances dans toutes les couleurs , en astrologie , en astronomie avec les planètes , en musique . Oswald WIRTH grand connaisseur et fervent pratiquant du symbolisme , nous donne sa vision des couleurs en F.M et en ésotérisme . Un article important relate les différentes couleurs dans le Grand Œuvre alchimique et décrit le passage des couleurs dans les diverses opérations alchimiques qui conduisent à réaliser la transformation de la matière en Esprit pur. Noir, vert, blanc, rouge et jaunes sont les couleurs alchimiques qui balisent le parcours du REAA . Le Graal nous parle des différentes couleurs liées à cette épopée, pourquoi les rites ont-ils adoptés le symbolisme des couleurs et quels en est l’explication ? La lumière , domaine de préoccupation majeure dans le monde pictural .Les couleurs bibliques , animales , minérales , végétales , la genèse , l’exode , Esaü , Jacob , les couleurs de l’arbre de Vie , les couleurs des Chakras , les couleurs énergétiques et leur positionnement dans le Feng Shui . |
LE
LANGAGE DES COULEURS. ÉNERGIE, SYMBOLISME, VIBRATION et |
René Lucien ROUSSEAU | DANGLES | 1994 |
De la feuille VERTE au sang ROUGE, du BLEU de l’horizon au JAUNE de l’astre flamboyant, des couleurs froides aux couleurs chaudes, la vie organique entière se traduisit par un intense cycle énergétique des structures colorées. Ce livre va du symbolisme le plus approfondit aux réalités scientifiques les plus récentes. Il exprime le langage ésotérique de la nature et invite le lecteur à un véritable dépassement spirituel. C’est l’éveil à la BLANCHEUR dans la complémentarité du NOIR absolu. |
LE LANGAGE INITIATIQUE DES SYMBOLES | HIRAM | ÉDITION LE LÉOPARD D’OR | 2002 |
Le symbole n’est il pas la porte vers la connaissance ? L’outil privilégié pour communiquer avec l’invisible ? La clef qui permet d’ouvrir la conscience sur la réalité ? La voie royale qui mène à la sagesse et au confondement avec le Principe Créateur ? Sous ses formes infinies, il est la figuration concrète d’une idée abstraite, d’un concept. Il est d’ordre métaphysique, il est vivant et conduit vers des domaines inaccessibles autrement. En effet, il ne peut s’étudier rationnellement, par la pensée binaire et fait appel prioritairement au cœur. Il va beaucoup plus loin dans sa signification que son expression apparente. Le symbole permet donc d’entrer en communication avec le sacré, ce qui a été son rôle depuis l’apparition de l’homme. Il est intemporel et fait prendre conscience de l’immortel et de l’eternel, de plus il se suffit à lui-même et est compréhensible en dehors de toute parole, car il est aussi universel. Les symboles se sont réfugiés en Occident, dans les courants maçonniques et compagnonniques qui les véhiculent. Beaucoup de monuments religieux en sont remplis. La pensée de l’homme évolue avec le temps et sa conscience se modifie, il convient de trouver une formulation vivante et actuelle des symboles touchant au concept. Cet ouvrage résultat d’une longue étude développe les sujets suivants : Acacia- Acclamation- Accolade – Air, Terre, Eau, Feu – L’alchimie – L’Amour – l’âme –Anagogie- Apprenti- L’Art- L’astrologie- L’athanor- L’autel des serments- Le bandeau- Le banquet- la beauté- le blanc- le cabinet de réflexion- la canne- le carré de la Genèse- le carré long-le centre- la chaîne d’union- la chambre du milieu- le chaos- le chef-d’œuvre- le cinq- le ciseau- les colonnes- la communauté- le compagnon- le compas- le concept- le cœur- la conscience- la corde- la coupe d’amertume- la création- le cube- le delta-le destin- le détachement- le deux- le devoir- le dix- le dodécaèdre- le don- le doute- le douze- la dualité- l’égalité- l’égrégore- les éléments- l’énergie- l’épée- épeler- l’équerre- l’espérance- l’ésotérisme- l’esprit- l’éternité- l’étoile flamboyante- l’éveil- l’expert- les fenêtres- le fil à plomb- la foi- les fonctions créatrices- la force- la forme- fraternité- gamma- la Genèse- la géométrie- le goût- le grade- le Grand Architecte- les grands mystères- les grenades- l’harmonie- les herbes de la Saint Jean- midi-minuit- la hiérarchie- l’Homme universel- l’hospitalier- le huit- l’humilité- l’icosaèdre- idée- immanence et transcendance- incréé- individu- l’initiation- initié passé à l’Orient Eternel- l’intuition- l’inversion- l’invisible- joie- justesse- lac d’amour- larmes- liberté- la loge- lois causales- la lumière- la lune et le soleil- la magie et la maillet- la maître- la marche- la matéria prima- les métaux- le miroir- le moi et l’ego- la mort- mot de passe et mot sacré- le mouvement- mystère- mythe- neuf- le niveau- le nœud- le noir- les nombres- nom, nommer- nombre d’or- l’ennéade- le septentrion-obédience- Occident et Orient- l’octaèdre- odorat- les offices- le onze- l’orateur- l’ordre- ouïe-les outils- le pain- la parole et la parole perdue- le parrain-les pas- le pavé mosaïque- la perpendiculaire- la persévérance- les petits et grands mystères- la pierre brute, à pointe , cubique, philosophale et d’angle- le pilier- la planche- le point- les cinq points parfaits de la maîtrise- les polyèdres- la porte- les surveillants- le Principe Créateur- le quatre- la quintessence- la règle- la régularité- rite et rituel- le rouge- la royauté- le sacré et la sagesse-le secret et le sens- la sensibilité- le sept-le serment et le silence- le six- le souffle- les sphères- la spirale- le syncrétisme- la synthèse- le tablier- le temple-les ténèbres- la tenue- tétraèdre- le toucher- la tradition- le trait- transmutation- trois- tronc de la veuve- tuilage- le verbe- la vertu- la veuve-viatique- vieil homme- vigilance- V.I.T.R.I.O.L- voie sèche ou humide- la vue- voyage- |
LE LIVRE DE LA LICORNE | Y. CAROUTCH | PARDES | 1989 |
Origine orientale, liée à la production de la pluie, et à la fertilité. Sens plus subtil : l’esprit d’éveil. Les premiers Pères de l’Eglise font du symbole androgyne celui de la Vierge ou du Christ. La licorne de l’Eden. L’Egypte ancienne, la Grèce, les Celtes, Sumer, les plus anciens textes sacrés, l’Inde, le Déluge, les différents noms de l’Unicorne. La racine KRN, indique la puissance de la corne, et l’hiéroglyphe de la Lumière. Parzifal, dragons, escarboucles, et licornes. Leibniz et le squelette de licorne : l’elasmotherium sibericum, doté d’une corne unique, que l’on retrouve dans de vieux chants toungouzes. Gengis Khan, licornes artificielles, licornes précolombienne, les sept cités de Cibola, licornes du paradis terrestre et du Talmud. C’est l’animal qui transcende les dualités.
Au commencement était la licorne. Rares
sont les cosmogonies dans lesquelles elle n’occupa pas une place de choix,
son origine orientale est indiscutable et dans le chapitre consacré à
l’Unicorne d’Asie, on verra comment la bête sacrée fut d’abord un ermite
cornu d’une pureté légendaire et dotée du pouvoir de régir la fertilité
sur terre. Cette histoire est relatée dans maints textes sanskrits, puis
palis, chinois, tibétains, japonais, etc. L’existence de cet
extraordinaire personnage, ascète sauvage qui finira par s’éprendre d’une
femme, envoyée à lui pour que la saison des pluies revienne, n’est autre
que l’une des vies antérieures du Bouddha, telle qu’elle est relatée dans
les Jâtakas bouddhiques. |
LE LOUP | Bernard MARILLIER | PARDES | 1997 |
Toutes les civilisations de l’hémisphère nord de la terre ont connu le
riche symbolisme du loup. Le loup pariétal de la préhistoire, l’Oupouaout égyptien, le Fenrir germanique, le « loup bleu » des Mongols, la louve romaine, le « frère loup » cher à St François d’Assise et le galoup médiéval, la bête du Gévaudan et le loup des contes pour enfants témoignent de la permanence symbolique du lupin à travers le temps et l’espace … Animal à la fois négatif et positif, médiateur psychopompe en rapport direct avec l’au-delà, le loup fut aussi l’incarnation de la Lumière en Chine, en Europe du Nord et en Grèce, où il fut le compagnon privilégié d’Apollon lycien et hyperboréen. Symbole de la fonction guerrière chez les Indiens et les Indo Européens, mais aussi promoteur céleste de chefs, de dynasties et de peuples en Asie Centrale, le loup eut pour tâche de veiller sur la Création, à son « bon entretien » et, finalement, à son inévitable destruction lorsqu’elle devient caduque, contribuant ainsi à sa régénération périodique. Monstre issu du « paganisme », entretenant des liens étroits avec la lycanthropie, le loup fut perçu comme une créature démoniaque par le christianisme, lequel a fait de cet animal-lumière le symbole de la débauche, de la méchanceté et de la force hostile à la foi du croyant. Il devint l’animal fétiche des magiciens et des sorciers qui pouvaient prendre sa forme et comprenaient son langage. Depuis, il est « le grand méchant loup » des contes, fables et légendes du monde entier, en passant par l’alchimie, l’héraldique et la symbolique moderne, l’auteur guide le lecteur sur les traces de l’animal-lumière qui connaît « les chemins du ciel et de la terre ». |
LE MIROIR ET L’INITIATION MAÇONNIQUE ou le retour aux origines | JACQUES ROLLAND | Edition MAISON DE VIE | 2011 |
Lors de l’initiation maçonnique, le postulant est confronté à un miroir. S’agit-il d’une simple introspection, existe-t-il un bon et mauvais miroir, à qui voulons nous ressembler ? En réalité, le miroir triche : à la fois extérieur et intérieur, un voile obscurcit notre regard. Grâce à l’initiation, il faut tenter de retourner aux origines, comme si l’on pouvait tout recommencer ; alors le miroir apparaît comme la source et le fondement de toute création. Le trésor est caché, l’immortalité existe. Grâce au miroir, nous pouvons extraire la lumière des ténèbres, conquérir la liberté et faire naître un regard spirituel, à condition de ne pas oublier que nous sommes responsables de la lumière du miroir. L’auteur développe les points suivants : Le miroir dans les rituels d’initiation - Le testament, premier miroir – L’ennuagement de la conscience ou l’épreuve du voile – Le bon miroir – La folle du logis et le miroir – L’objectif du miroir et sa mémoire – Les contes d’Hoffmann – L’introspection et le miroir – Les mythes grecs – Le découragement et le miroir qui ne reflète rien – Les autres miroirs – Une étrange configuration – L’étranger – La métamorphose – La vision smaragdine – Création et miroir - comment sortir victorieux ? – La nostalgie des origines – L’Univers et l’homme – Contemplation – Le regard spirituel – Le recto verso du miroir – La double mort – L’alchimie du miroir – L’immortel existe – Le trésor caché – La Parole perdue – La puissance spirituelle du miroir – Tout est-il écrit ? – Du passé antérieur au devenir – |
LE MIROIR - SON SYMBOLISME SPIRITUEL ET METAPHYSIQUE | DIVERS AUTEURS | ARCADIA | 2007 |
Speculum, qui est la racine du mot miroir, a donné le nom de spéculation,
car à l’origine spéculer voulait dire regarder et observer le ciel et les
étoiles. Que reflète le miroir ? La vérité, la sincérité, le contenu du
cœur et de la conscience : Comme le Soleil, comme la Lune, comme l’eau,
comme l’or, lit-on sur un miroir chinois du musée de Hanoï, sois clair et
brillant et reflète ce qu’il y a dans ton cœur. Ce rôle est utilisé dans
les contes de fées, les contes initiatiques d’Occident, dans les rituels
des sociétés initiatiques et dans le rituel des sociétés secrètes
chinoises. Presque tous les poètes ont traduits leur pensée à travers le
miroir et ont exprimés leurs doutes, et leurs angoisses, comme Jean
Cocteau avec sa traversée du miroir. Le miroir est également symbole de sagesse et de connaissance, le miroir couvert de poussière étant symbole de l’obscurantisme et d’ignorance. Ces reflets de l’intelligence ou de la Parole céleste font apparaître le miroir comme le symbole de la manifestation reflétant l’intelligence créatrice. Pour le mythe japonais d’Amaterasu, le miroir fait sortir la Lumière divine de la caverne et la réfléchit sur le monde. Selon la table d’Emeraude de Trismégiste, le miroir inversé donne la manifestation comme reflet inversé du Principe. Au R.E.A.A, le miroir du cabinet de réflexion, doit faire réfléchir sur l’intériorisation que nous devons faire par le V.I.T.R.I.O.L, au 1e degré le postulant en se retournant, et en regardant un miroir, est invité à voir dans ce symbole l’image de son pire ennemi, puis au second degré on lui expliquera que l’image de lui qu’il voit dans ce miroir n’est autre que son propre juge. En Islam le thème du miroir permet de lire le passé, le présent et l’avenir. Certaines coupes sont en forme de miroir, et pour les soufis, l’Univers entier constitue un ensemble de miroirs dans lesquels l’Essence infinie se contemple sous de multiples formes, ou qui reflètent à divers degrés l’irradiation de l’Être Unique dans son sens cosmologique et infinie. Nguyen Khac Man nous fait part de réflexions sur le miroir, à travers son étymologie, la lumière, la vision dans le miroir de la Tradition au sens guénonien, la considération symbolique profane, les contes de fées, il nous décortique la vision de Moïse sur le mont Sinaï, et cet espèce de miroir /vision de l’invisible qui s’est rendu visible. Jude Berton nous parle du reflet, avec comme thème central le Jumeau et son reflet, cette recherche de la complémentarité qui de deux êtres ne font plus qu’un, ce qui est la base de toutes recherches initiatiques et alchimiques avec l’androgynat. Le miroir a deux faces : une qui est vu par ceux qui savent voir et l’autre par ceux qui ne veulent pas voir, Jean Cocteau l’a bien explique dans sa traversée du miroir, c'est-à-dire vouloir aller plus loin dans sa recherche métaphysique. En 1960 fut trouver à Bergen en Norvège dans la cité « des êtres reflets » fondée en +800 ans, un rouleau révélant le secret de la gémellité, le but était de retrouver l’unité de chacun, ceux qui l’avait trouvée étaient appelé « Le reflet des anges ». Roland Bermann dans un superbe article développe « Voir ou se voir par l’Alchimie du miroir » à travers le rite Ecossais Rectifié où le mot connaissance est lié au miroir. Jean Claude Tribout nous conte la symbolique du miroir sur le chemin de la sagesse, en contrepoint de ce miroir attribut de Psyché dont il ne renvoie guère que le reflet de l’éphémère vanité. Jean Canteins (l’ange et le retournement) nous parle de la caverne et du miroir. De la caverne de Platon qui est la chambre noire d’un appareil d’optique et au fond les images des prisonniers qui sont captées comme sur un miroir. Il nous emmène au Japon avec le mythe d’Izanagi et d’Izanami, et nous explique pourquoi le miroir, l’épée et le collier de 500 perles sont les trois joyaux/symboles du statut mi-humain mi-divin de l’empereur du Japon. Peu importe d’ailleurs si ces mythes se rapportent à l’homme ou aux dieux, l’important est que ces archétypes nous fassent prendre conscience que nous devons abandonner toutes les impuretés, les passions, les idoles que nous avons emmagasinées durant toute notre vie, afin de retrouver cette sérénité et cette unité principielle. On n’oubliera pas Marguerite Porete avec son miroir des âmes simples et anéanties, tous les miroirs qui reflètent le bon et le mauvais, Narcisse et son miroir aux alouettes etc….. Livre référence : Le Miroir. De R. Mougeot. édition Dervy |
le miroir symbole des symboles | R. mougeot | DERVY | 1995 |
Le miroir s’est
prêté à toutes les spéculations. L’homme a projeté sur lui tous ses fantasmes d’horreur, tous ses rêves de sainteté. Le mental humain s’est exercé à la réflexion sur la réflexion… L’au-delà du miroir a fasciné les imaginations. Est-ce l’enfer, le royaume de la mort ou le royaume de féerie, un autre monde étrange où les lois de la pesanteur n’ont plus cours, le royaume de Dieu ? Est-ce cette surface froide qui sépare Manifesté et Non-Manifesté ? Toute la création, miroir de Dieu, est-elle un fascinant jeu de miroirs aux alouettes qui séduit les âmes pour les enfermer dans un cycle incessant de réincarnations ? L’homme serait le miroir de Dieu, mais que recouvre ce mot Dieu ? Un concept, une réalité, la vie ? Le miroir n’est-il en fin de « conte » qu’un objet manifesté comme un autre ou nous ouvre-t-il plus que tout autre sur l’illusion des apparences ? L’œil, Vénus, Narcisse, le dragon, l’ego, le mental, la raison, les valeurs d’âme, la mort, le vieillissement, l’autre côté du miroir, le labyrinthe, la connaissance solaire, l’holographie, les fantasmes. |
le monde secret des croix | Christiama nimosUs | TREDANIEL | 1990 |
Ce nouveau livre
de Christiama NIMOSUS comble une lacune : l’absence d’ouvrages traitant
des croix en général, sans esprit de chapelle. Sont ainsi présentés dans un ensemble ordonné, clair et captivant une centaine de graphiques cruci-formes, complétés par un index de 240 noms de croix. Le monde secret des croix est un ouvrage de référence qui met en évidence trois faits essentiels : – une dizaine de croix fondamentales ont suivi un processus d’apparition que l’archéologie permet de retrouver, bien qu’il soit difficile d’en préciser l’époque d’émergence ; – une même croix porte souvent plusieurs dénomination exprimant quelques événements, ou symbolisant quelques idéaux ; – la prolifération de croix en héraldisme résulte d’ornements de détail issus du christianisme moyenâgeux non dénué d’intérêt historique. L’origine de la croix chrétienne, les croix d’ordres de chevalerie, l’homme en croix, les croix : grecque, celtique, swastika, le chrisme, latine, de lorraine, papale orthodoxe, le TAU, ansée, rose-croix, hermétique, de St ANDRÉ, de malte, des cathares, templière, ancrée, du Languedoc astrologique, spatiale, la vajra, et la croix dans le blason. |
LE NOUVEAU LANGAGE SECRET DES SYMBOLES | DAVID FONTANA | EDITION SOLAR | 2010 |
Reflet de la fertilité de l’esprit humain et de sa capacité à créer du sens, les symboles ont été utilisés par toutes les civilisations comme vecteur puissant de communication. Simples correspondances ou association d’idées complexes, ils ont ainsi laissé de nombreuses traces dans tous les domaines de l’art. Cet ouvrage richement illustré invite à partir à la découverte de toutes ces significations qui se sont accumulées au cours des siècles autour des formes, signes ou objets de notre environnement quotidien. 500 symboles sont présentés et expliqués thème par thème pour enfin comprendre les origines et l’évolution de notre imaginaire collectif. Ce livre développe les sujets, archétypes et grands symboles suivants : C.G.Jung et sa théorie sur les archétypes, l’individuation et son inconscient collectif. Le cosmos avec ses corps célestes, le soleil et la lune et le mouvement astrologique. La Nature avec la Terre, la mer, les arbres, la kabbale, les fruits, les fleurs et plantes, le rosicrucisme, les jardins, les métaux et pierres, les mammifères, le judaïsme, les créatures aquatiques et célestes, la royauté héraldique, les serpents et autres reptiles, les insectes et arachnides, les bêtes fabuleuses comme les centaures, les licornes et autres dragons, le Taoïsme, les chakras et la Kundalini, le sexe et la fertilité, le monde divin avec les dieux et les déesses, le bouddhisme, les couleurs, les nombres, les labyrinthes, la géométrie sacrée, l’islam, les croix, les armes, l’hindouisme, les instruments de musique, la Franc-Maçonnerie, les mythes, le déluge, le sacrifice, le christianisme, la mort , l’Egypte ancienne, les travaux d’Hercule, la quête……….. |
le pardon | Olivier abel | AUTREMENT | 1993 |
Entre rancune et oubli il y a souvent les « oubliettes ». Il y a aussi la notion de péché, de rémission, d’absolution, de rédemption. Chacun de nous ressent et décrit le pardon avec sa propre expérience sans se mettre à la place de l’autre. C’est pourquoi le pardon peut se décliner en : amnistie, grâce, oubli, indifférence, rancune, vengeance, etc… |
LE PARDON. LA CLE DU LACHER PRISE | D. RICHER et F. DOUCET | ADA. Canada | 2000 |
La
magie du pardon crée le bonheur. Plaquette de 90 pages sur cette notion
qui passant par la spiritualité |
le passeur de lumière | Nivard de classepierre | Denoël | 1993 |
Ce maître verrier du Moyen-Âge (1100) nous a laissé des vitraux superbes, il passa sa vie à rechercher la couleur et le passage de la lumière à travers le verre. Il parcourt l’Orient et l’Occident, apprend l’Alchimie, il œuvre sur les vitraux de Chartres, de St Denis, du Mans, en Allemagne, mais il ne sera jamais satisfait et la quête déchirée de ce « passeur de lumière » sera alors celle d’un artisan sublime, funambule oscillant entre le ciel et l’ombre. |
le pavé mosaïque | Didier michaud | Maison de Vie | 2001 |
Étrange symbole
que ce « Pavé mosaïque » présent sur le sol des temples de la
Franc-maçonnerie initiatique ! On s’est souvent contenté de dire que cette
mosaïque, composée de carreaux noirs et blancs, évoquait le perpétuel
combat du bien et du mal, de la lumière et des ténèbres. Le Franc-maçon
initié doit-il se contenter d’accepter cette réalité ou peut-il envisager
un troisième terme, une conciliation des contraires ? Opposer l’esprit à la matière, l’univers à l’individu, la pensée à la main conduit à des séparations stériles. Le pavé mosaïque, riche d’enseignements géométriques issus de la tradition des bâtisseurs, offre un chemin de connaissance qui permet de percevoir le jeu des polarités et l’unité dont elles procèdent. On y parle de MOÏSE, de l’humilité, de la fraternité, des couleurs, de la dualité, de l’Ordre, du chaos, et du tableau de Loge. |
l’épée flamboyante | Olivier doignon | MAISON DE VIE | 2005 |
Présente en Loge depuis une époque récente, l’épée flamboyante a-t-elle
une légitimité ? L’auteur procède avec méthode à cette vérification. Partant des textes anciens de plusieurs traditions où une épée ou un sceptre participe au combat de la Lumière contre les ténèbres, cet ouvrage présente une recherche de la source mythique la plus vraisemblable, ainsi que du champ symbolique qui se trouve concerné par cet axe de Lumière et par le combat auquel son emploi est associé. Attribut de la fonction en charge de la conduite de l’œuvre, l’épée flamboyante est liée à la transmission. Aussi une large partie de cet ouvrage est-elle consacrée à l’étude de ce devoir majeur qu’est la transmission de la Lumière, la transmission de l’initiation. L’auteur s’est interrogé sur la nature et les exigences de cette transmission. |
L’EPEE - LA LANCE - LE CADUCEE - LA HACHE - LE BOUCLIER | DIVERS AUTEUR | ARCADIA | 2002 |
Important dossier sur le symbolisme de ces armes qui de matérielles sont devenus spirituelles dans la perspective d’une démarche ésotérique . Y est traité : l’épée traditionnelle dans toutes les traditions , avec ses dérivés que sont le glaive , le poignard , l’épée a deux tranchants qui sort de la bouche de l’ange de l’apocalypse , et qui symbolise la parole du Christ . L’épée flamboyante , qui dans les sociétés ésotériques symbolisent le pouvoir spirituel , véritable paratonnerre qui capte les influences célestes et divines , l’épée qui représente : le feu ( épée des philosophes ),l’éclair , la mort , arme défensive et offensive , les rayons du soleil , la lumière , les diverses épées qui sont sur l’autel des hauts grades du R.E.A.A . Le bouclier, arme protectrice ,représentant souvent l’univers , sur les boucliers étaient peint les symboles identitaires des chevaliers , le bouclier a souvent représenté la foi chrétienne . La hache simple et celle à double tranchant , celle qui permit à Héphaïstos d’ouvrir le crâne de Zeus et permit ainsi de libérer Athéna , comme toutes les armes la hache est ambivalente , représentant tour à tour , la colère , la mort , mais aussi la fécondité et la richesse , la hache couronnée , symbole du vainqueur de l’apocalypse , et dans la tradition chrétienne elle symbolise le Verbe de Dieu . La lance , symbole axial , phallique , igné ou solaire ,celle de Longin qui transperça les flancs de Jésus ,St Georges et St Michel s’en serve pour combattre le dragon , la lance de Lug . Le caducée , qu’il soit de Mercure ou d’Esculape , est outil de transformation personnelle et baguette magique pour les autres ,symbole de la médecine il a, entouré autour du bâton 1 ou 2 serpents . |
le pélican | Lucienne portier | CERF | 1984 |
Depuis
l’Antiquité, le pélican suscite la curiosité des voyageurs et des
naturalistes, l’imagination des spirituels et des poètes. Il est à
l’origine de multiples légendes, au gré de l’ingéniosité des auteurs,
jusqu’à la folie interprétative. Étrange oiseau ! Du pélican biblique – un solitaire – au pélican image du Christ, se perçant du bec la poitrine pour nourrir de son sang ses pélicaneaux affamés, cette partie de chasse pacifique et enjouée montre comment le récit et la figure s’enrichissent mutuellement. Elle révèle surtout la puissance et la mobilité du symbole. Un symbole qui inspira tour à tour les auteurs de bestiaires sacrés ou profanes, les commentateurs de l’écriture, l’art religieux, et les poètes, de Dante à Apollinaire. |
le phallus | Alain danielou | PARDES | 1998 |
C’est
seulement lorsque le pénis (upastha) se redresse, qu’il émet la semence,
source de vie. Il est alors appelé « phallus » (Linga) et, depuis la
lointaine préhistoire, il a été considéré comme l’image du principe
créateur, du processus par lequel l’Être Suprême procrée l’univers. Il ne s’agit pas d’un symbole pris au hasard, mais de la reconnaissance de la continuité du processus qui, selon la théorie cosmologique, relie les différents niveaux de la manifestation. Le phallus est réellement l’image du Créateur dans l’homme, et nous retrouvons sa vénération à l’origine de toutes les religions. Source du plaisir, le phallus évoque la béatitude divine, l’Être de Joie. Il représente dans le microcosme, dans l’être vivant, le progéniteur toujours présent dans son œuvre. Le mépris, la dégradation, l’avilissement de cet emblème sacré éloignent l’homme de la réalité divine. Ils provoquent la colère des dieux et aboutissent au déclin de l’espèce. L’homme qui méprise le symbole même du principe de vie abandonne son espèce aux forces de la mort. |
LE PHENIX | DIVERS AUTEURS | ARCADIA | 2000 |
Le phénix est un des symboles de l’immortalité et de la résurrection. Il ressemble à un héron ou un ibis égyptien, son nom vient du grec et désigne une couleur rouge, en référence à la légende de sa mort et de sa résurrection dans le feu purificateur. Son origine viendrait du Bénu ou Héron cendré égyptien, car en Egypte il symbolisait les révolutions solaires, et à ce titre il était associé à la ville d’Héliopolis. Pour Hérodote et Plutarque il viendrait de l’Ethiopie. Pour la tradition arabe il est l’Anquâ d’Arabie, et ressemble à un oiseau, mélange de phénix et de griffon qui vit dans les déserts d’Arabie. Pour les Perses il s’appelle Sîmorgh, cet oiseau des mystiques, qui s’envole vers la divinité. Le grand poète persan Ferid-ed dîn Attar a raconté ce merveilleux voyage du Simorgh : « au cours du voyage des 30 oiseaux si-morgh, ils arrivèrent au sommet de la montagne et virent le Sîmorgh spirituel, ils le contemplèrent et surent qu’eux aussi étaient Sîmorgh (divin). C’est ainsi que le mystique parvient à l’union lorsque son propre être s’est anéanti ». Jean Servier explique comment en Egypte antique, le mort-ressuscité se transforme en phénix et devient l’âme d’Osiris, ce qui fait dire à l’adepte : « je suis entré en faucon(Horus) et je ressors en phénix(Osiris)» (livre des mort chap.122). Pour les égyptiens le phénix est un mode de déplacement de l’initié dans l’au-delà et le relie à la naissance de l’énergie. Dans la Rome antique le phénix représente l’aboutissement du culte de l’androgyne, il est aussi le symbole du grand retour messianique de la Grande Année et du mythe de l’Âge d’Or, également il représente la mort et la résurrection individuelle. Serge Riffard nous propose une étude sur le Cinabre, sulfure naturel de mercure, qui est de couleur rouge vermillon. M.Miguet fait un panorama large de toutes les grandes traditions qui utilisent le phénix, et nous voyageons en Chine, dans la Rome antique, au Moyen Âge, avec des textes allégoriques alchimiques et hermétiques. M.M Davy dans sa symbolique des oiseaux commente les versions diverses dont celle de Bachelard pour qui le phénix est une image conceptuelle de la vie et de la mort, il l’appelle : oiseau de feu, flamme qui vole, aile de l’éclair et rajoute Triomphe par la mort. Alexandre Danemans développe le phénix et le feu régénérateur, il va de la fable du corbeau et du renard (Vous êtes le phénix des hôtes de ces bois…) au Chevalier Rose+Croix, en passant par les traditions chinoises, le feu créateur et régénérateur et la Renaissance. Le bestiaire du Christ nous raconte le symbolisme du phénix chez les grecs et les romains, mais surtout la symbolique chrétienne, dogme de la résurrection au début du christianisme, et dans l’art des bâtisseurs avec les figurations emblématiques du phénix/Christ. Saint Clément successeur de saint Pierre éleva le symbole du phénix en dogme, et les constitutions apostoliques du IIIe siècle ne firent qu’entériner la chose. Le phénix est emblème d’éternité et de diverses vertus, comme l’espérance, la justice, la pureté de conscience et la chasteté. L’Alchimie appelle le phénix : le soufre rouge des Philosophes, il est la phase finale du Grand Œuvre, la renaissance du principe de vie, l’immortalité. Enfin Jean Tourniac nous donne une remarquable étude sur le Phénix = Symbole Initiatique, avec des références à ce phénix emblème central du rite écossais rectifié et des prieurés de C.B.C.S, il nous raconte Henri Corbin spécialiste de l’Iran ancien, de ses mystiques et du Simorgh. Il relate les rapprochements de l’ancien testament avec toutes les formes symboliques du phénix. |
le portier du temple visages secrets de janus, dieu cruel | F. LECLERCQ - BOLLE DE BAL | Detrad | 1999 |
Préfacé par Daniel BERESNIACK, ce livre apporte un éclairage intéressant sur le symbolisme des 2 St Jean, intimement lié à Janus, Dieu romain. |
l’épreuve de l’air – voyage & purification | j. nogrene | LA MAISON DE VIE | 2008 |
L’Air fait partie des épreuves des quatre éléments vécues
par tout être ayant demandé à entrer dans le Temple maçonnique. Ces
épreuves ne doivent pas être confondues avec les obstacles, de nature
individuelle, que l’on rencontre sur le chemin initiatique et qui
constituent des entraves à la perception de la lumière. Ainsi, les
bâtisseurs de la cathédrale de Metz ont-ils pris soin de représenter les
obstacles sur le bas d’un pilier alors que les épreuves initiatiques sont
sculptées en hauteur, bien séparées de ceux-ci. Ces épreuves, de nature rituelle et alchimique, sont attestées depuis la plus haute antiquité. Dans les initiations égyptiennes, orphiques ou éleusiennes, le néophyte devait traverser les quatre éléments correspondant à des « lieux de purifications ». En passant par eux, l’âme était purifiée afin de rejoindre son origine céleste. Selon Serge Mayassis : « L’âme est l’enfant de ces quatre éléments qui revêtent la parcelle d’Atoum-Rê (la lumière). » Ainsi les quatre éléments, dans leur nature principielle, apparaissent-ils comme des aspects de la lumière primordiale et plus précisément, comme des modalités d’action de celle-ci. Par eux, il y a création en esprit du Frère. Autrement dit, construction d’un être en capacité de voyager vers la lumière. Afin de percevoir le rôle décisif qu’ils jouent, lors de la cérémonie d’initiation, il convient de considérer non leur matérialité mais leur puissance purificatrice et transformatrice. Que disent les mythes à propos de l’Air ? Selon les Textes des Pyramides, lorsque Atoum – « Celui qui est et qui n’est pas encore » – se manifeste, il devient deux en formulant le couple créateur primordial : « Le Principe crache l’Air lumineux, Shou, il expectore le feu créateur, Tefnout, et il place ses bras derrière eux comme l’action de l’énergie vitale (Ka). » Cet extrait révèle que l’Air est contemporain du premier instant de la création et transmetteur de l’énergie vitale. Shou et Tefnout ont pour fonction d’assurer en permanence la circulation de la lumière dont leur Père, Atoum, se nourrit chaque jour. Ainsi, l’Air est-il le milieu originel où la vie se révèle dans son principe et sa cause. Selon le mythe égyptien, lors de la création, l’Air remplit l’espace entre ciel et terre. Shou à la fois sépare le ciel et la terre et les réunit. Il correspond donc à la création d’un espace vital qui permet la circulation de la lumière et sa transmission. Sans lui, la lumière ne pourrait régner sur terre. Cet Air lumineux, agent de liaison entre les mondes, manifeste la vie en l’une de ses formes premières, celle de vibration et de mouvement. Y est développe le concept des épreuves de l’Air en Franc-maçonnerie. |
l’épreuve de la terre – voyage de purification | C. duval | MAISON DE VIE | 2008 |
La
Terre, avec les trois autres éléments que sont l’Air, l’Eau et le Feu,
fait partie des épreuves rituelles qui attendent tout être ayant demandé à
entrer en Franc-Maçonnerie. Pourquoi l’épreuve de la Terre est-elle la première ? Se limite-t-elle au passage par le Cabinet de réflexion durant lequel est vécue « la mort au vieil homme » ou se poursuit-elle dans le Temple ? Quelles sont les transformations décisives générées par cette mort symbolique ? Partant du passage dans le Cabinet de réflexion mais dépassant le cadre de celui-ci, ce livre met en lumière l’importance symbolique de cet élément dans la construction du futur, ou de la future, initié(e). En s’appuyant sur les mythes et la tradition initiatique, l’auteur révèle la nature alchimique de cette Terre qui façonne l’initié(e) et l’équipe pour permettre sa marche vers la lumière. Y sont développés : Le voyage De quel voyage s’agit-il ? – Voyage au centre de la Terre – V.I.T.R.I.O.L. – La terre, matrice des minéraux – Marcher sur la terre sacrée du Temple – Le thème de la marche dans diverses traditions – Arpenter la Terre ou mesurer le cosmos – Libération de la marche et pas rituel – Le sol du Temple, support du voyage initiatique – Un sol de mutations – L’initié, pèlerin des étoiles – Le pèlerinage vers l’Orient – Devenir un être aux larges enjambées. La purification La nécessité de repasser par la Terre – Le dépouillement des métaux – La construction de l’initié par le carré de la Terre – Embrassement de la Terre – La terre célestielle – La butte primordiale – Le dieu Geb – De la terre au ciel – Bâtir le ciel sur la terre – Matrice de résurrection et terre d’éternité. L’épreuve De quelle terre s’agit-il ? – Le cabinet de réflexion ou le passage par la caverne primordiale – La présence des symboles au cœur des ténèbres – Vigilances et persévérance – La confrontation avec les ténèbres et le silence – Immobilité et capacité de mutations – Solitude et isolement – Mourir à ce qui limite pour naître à ce qui dépasse – La fonction transmutatrice de la mort – La mort au vieil homme – Séparer l’utile du périssable – Incarner l’Esprit – Formuler l’invisible – Le travail sur la matière – Les trois signes astrologiques liés à l’élément Terre – Le sens du don et la capacité de nourrissement – Le symbole du grain de blé – Le Verbe comme nourriture. |
l’épreuve de l’eau – voyage & purification | C. vernon | LA MAISON DE VIE | 2008 |
Le
Temple maçonnique est un cosmos à l’intérieur duquel les puissances
créatrices à l’œuvre dans l’Univers sont présentes. Pour entrer dans le
Temple, être reconnu en tant que Frère ou Sœur, il est nécessaire de
passer « les épreuves par les quatre éléments » au cours desquelles le
postulant est mis en contact avec chacun d’eux. Ces épreuves forment le noyau essentiel de son initiation. L’eau est une puissance archétypale, une force opérative et constitutive de la création. Elle est l’une des quatre formes de différenciation de l’énergie primordiale. Dans les temps anciens elle était perçue en ce sens, mais dès l’instant où l’humanité a entrepris de soumettre la nature, la connaissance de « l’être véritable » de l’Eau s’est peut à peu perdue pour finalement sombrer dans l’oubli. Il y a bien longtemps que la facilité avec laquelle on en dispose la fait concevoir comme un bien de consommation courante. Et pourtant, les épreuves par les quatre éléments ayant pour fonction une mise en contact avec leur force de création, c’est bien « l’être véritable » de l’Eau que le postulant rencontre lors de son initiation dans une Loge. |
l’épreuve du feu – voyage de purification | l. perault | LA MAISON DE VIE | 2009 |
Du
baptême du feu à la régénération par le feu en passant par l’Epreuve du
Feu, cet élément est l’une des clés de l’initiation maçonnique. En recueillant les éléments des diverses traditions, en éclairant à la fois le chemin de l’initié et le travail de la Loge qui doit « réguler ses feux », l’auteur met en lumière les multiples dimensions de l’élément Feu, épreuve, voyage, purification, création et Verbe. Lors du rituel d’initiation, l’impétrant vit une confrontation, une rencontre, un passage par les éléments. Que sont donc ces quatre éléments pour qu’ils soient ainsi associés à l’admission d’un être dans le Temple ? «Le concept des quatre éléments, précise Jean Servier, loin d’être une approche naïve du monde est un symbole ésotérique des forces créatrices qui naissent en permanence et entretiennent la vie. » De fait, les textes sacrés du Temple d’Edfou, en Égypte, associent clairement les quatre éléments à la création du monde. Les évoquant, Champollion rappelle qu’Amon était l’âme du monde matériel sorti de son sein, organisé et animé par ses émanations. Aussi Amon fut-il souvent représenté par un bélier à quatre têtes, symbole des quatre essences divines dont est formé le monde. Cette conception est reprise par Platon qui, dans le Timée, expose l’interaction harmonieuse des quatre puissances élémentaires dans le processus de création. Et lorsque les physiciens décrivent, aujourd’hui, la naissance de l’univers, ils expliquent que celui-ci existe par le jeu et le parfait ajustement de quatre forces. La genèse du monde est donc le fruit de l’interaction des quatre éléments. Or si chaque initiation correspond bien à l’admission d’un nouvel être dans le Temple, n’est-elle pas aussi comparable à une cosmogénèse ? Ne constitue-t-elle pas, en effet, la renaissance potentielle, la régénération de l’Initié primordial ? Quoi de plus juste alors que la présence dans ce rite d’admission des quatre éléments créateurs ? Les épreuves initiatiques, dit René Guénon, sont essentiellement d’ordre rituel. Le devoir d’une Loge est en effet de faire face à l’incompatibilité de nature qui existe entre le monde du Temple, comparable au ciel, et l’individu qui frappe à sa porte. N’entre dans le Temple que ce qui est compatible avec sa nature. Par le Rite, l’être admis dans le Temple est créé en tant que Frère. En même temps, par le canal de l’être initié, les quatre puissances de création sont « activées » comme autant de dons réitérés à la Loge. En quoi consistent alors la « part du feu », le rôle et les dons de cet élément ? Pour approfondir cette question, il nous a semblé important de partir des textes rituels qui évoquent la rencontre avec le feu comme une épreuve, mais aussi comme un voyage et une purification. Quel est le contenu et le sens de cette épreuve ? En quoi consiste ce voyage ? Qui y participe et quel est son but ? De quelle purification s’agit-il ? En quoi le Feu est-il l’agent des transmissions vécues par une Loge initiatique ? Telles sont quelques-unes des questions auxquelles cet ouvrage se propose de répondre en s’appuyant sur la Tradition. |
l’équerre | Didier michaud | MAISON DE VIE | 2002 |
Portée par le
Vénérable Maître, l’Équerre, l’une des trois Grandes Lumières, qui est
présente dans toutes les Loges, est sans doute l’un des symboles les plus
mal connus. Contrairement aux idées reçues, elle est bien plus qu’un outil puisqu’elle prolonge la Règle pour re-lier le haut et le bas afin que rien ne sépare le ciel de la terre. Elle sert de référence pour l’instruction de l’Apprenti et c’est elle qui permettra au Compagnon d’accéder à la maîtrise. L’Équerre évoque le chemin de rectitude, méthode d’action pour construire le temple et donner à la Loge sa raison d’être. |
le roi, le prêtre et le fou | Daniel beresniak | Véga | 2004 |
Ce sont les 3 personnages clé de la comédie humaine. Ils sont dans la cité comme aussi en chacun de nous. Il y est question de l’Ancien Testament de Melchisédech, l’onction, de la monarchie absolue, du bâton serpent, du sceptre de la couronne, de l’ordalie, du duel du sorcier, du chaman, des fonctions sacerdotales, de la sainteté, du centre et du temple, du prêtre fou, de Hermès psychopompe, du patriarcat, de Dionysos des bacchantes, du logos et des mythes etc. |
le sacrÉ | Rudolf otto | PAYOT | 1995 |
Qu’est-ce que le sacré ? Pour Rudolf OTTO, ce n’est pas uniquement le «
religieux » ni le « non-rationnel », mais un sentiment spécifique qui
permet la manifestation de forces psychiques inconscientes où se mêlent,
dans une alchimie particulière, le rationnel et le non-rationnel. C’est
l’impression produite par l’objet religieux, le sentiment du mystère, du «
tout autre », analysé ici dans ses multiples développements. Où l’on comprend comment la religion, fondée sur le « sacré », qui est une production de la raison, permet de maintenir le lien avec le mystère. Rudolf OTTO (1860 – 1937), professeur à l’université de Marburg, est unanimement considéré comme l’un des maîtres de la pensée religieuse du XXème siècle. C’est OTTO qui inventa le mot de « numineux » désignant un état ou comportement spécifique à l’intérieur d’un espace sacré. |
le sacré | Jean-Jacques WUNENBERGER | PUF | 2001 |
La notion de sacré semble inséparable de l’expérience religieuse et si dans notre société actuelle, le religieux décline, la notion du sacré a tendance à se développer et donc a un avenir. |
le sacré & le profane | Mircea Eliade | GALLIMARD | 1965 |
L’auteur examine dans ce volume la situation de l’homme dans un monde
saturé de valeurs religieuses. Son livre est une introduction à l’histoire
des religions, une mise au point de nos connaissances dans ce domaine. On parle de l’espace sacré et la sacralisation du monde. Le temps sacré et les mythes, la sacralité de la nature et la religion cosmique. L’existence humaine et la vie sanctifiée. |
LE SACRIFICE DANS TOUS SES ÉTATS | DIVERS AUTEURS | ÉDITION ARCADIA | 2007 |
Etymologiquement, sacrifice vient de « Rendre sacré, ou faire sacré » Pour avoir une communion intime avec Dieu, il faut l’absorber, comme le suggère l’ange de l’Apocalypse en absorbant le Livre. Le démembrement ou le meurtre rituel du « Roi » dont le sang régénère toute la nature a été pratiqué dans toutes les civilisations et répond au même symbolisme que l’absorption des aliments qui peuvent représenter le corps de la divinité : le blé donnant le pain et le vin, sang de la vigne sont la base de la consécration de l’hostie. Il apparaît à l’origine que le sacrifice humain soit destiné à prévenir l’échec des récoltes, et qu’il remédie à la stérilité de la terre. Il y a toujours alliance entre l’homme et Dieu. C’est ainsi que les Aztèques pratiquaient les sacrifices humains, rendu consentant par les victimes, qui ainsi honoraient le Dieu-Soleil, il y avait alors consécration et sanctification. Plusieurs interprétations ou niveaux de lecture peuvent être dégagés de cette notion du sacrifice, suivant les périodes, les lieux, les civilisations et les rites profanes ou spirituels. Les premiers sacrifices mentionnés par le Bible, sont ceux d’Abel et Caïn, puis par Noé et par tous les Patriarches. Le plus connu est celui d’Abraham qui obéissant à Dieu va sacrifier son fils Isaac (pour les juifs) ou Ismaël (pour les musulmans). Pour le judaïsme, le sacrifice est très important car il renouvelle à chaque fois l’Alliance avec Dieu, à travers des offrandes expiatoires ou sacrificielles. On peut ainsi classer les sacrifices en trois grandes catégories : 1/ Les sacrifices offerts en signe de soumission à Dieu. 2/ Ceux qui le sont en signe d’action de grâces. 3/ Ceux qui le sont en signe de repenti pour une faute commise volontairement, soit par négligence, soit par inadvertance. Tout un chapitre est consacré aux divers sacrifices anciens, tel que les sacrifices des animaux, les sacrifices humains, la typologie des sacrifices, la profanation, l’espace sacré, le martyre. G. Fleury, nous raconte en détail le sacrifice d’Isaac, et ses répercutions sur le futur, puisque c’est à partir de ce sacrifice, arrêté par la main de l’ange, que les sacrifices humains seront interdits ou du moins n’auront plus lieu d’être et seront remplacés par des offrandes. Alain Chaize nous explique la liturgie juive qui a remplacé ces sacrifices d’expiation par des prières et offrandes. Jacques Chaumelle nous emmène chez les Scandinaves, et nous raconte comment et pourquoi certains demi-dieux, se sont sacrifiés, comme par exemple Tyr (dieu solaire) qui va sacrifier son bras dans la gueule du loup Fenrir, pour sauver les hommes, c’est la lutte entre les forces maléfiques du désordre (le loup Fenrir) et les forces bénéfiques de l’Ordre (Tyr). Puis on passe à l’épopée d’Oddin, ce fils d’Yggdrasill qui voulant donner la connaissance aux hommes, est d’abord refusé par les grands dieux (les Ases) mais accepté par les gardiennes des Portes (les Normes), mais en compensation de cette connaissance, Oddin, devra accepter de se sacrifier, d’abord il devra subir une épreuve qui touchera son intégrité physique ( il se plongera le visage dans de la glace et perdra ainsi un œil), puis il devra être pendu par les pieds (devenant ainsi un des grands boiteux du panthéon de ceux qui ont reçu cette mutilation initiatique)à un arbre durant 9 jours. Oddin accepte et ainsi les hommes bénéficieront de la connaissance des Ases, à travers l’alphabet runique. Jean Beauchard, auteur de livres et de tarots maçonniques et alchimiques, nous explique pourquoi la 12e lame du tarot (le pendu) est une lame très importante dans toute démarche initiatique, avec cette notion de retournement, et de non-attachement. Ce chiffre 12 qui est celui des épreuves (12 travaux d’Hercule) représente aussi une fin de cycle par la dématérialisation et le renouveau annoncé. Ce retournement qui est la perte de son mauvais égo, de son mental, de ses passions et illusions, c'est-à-dire la démarche type de toute progression spirituelle métaphysique. Christian Polin explique la notion du sacrifice dans la démarche maçonnique depuis le 1e degré jusqu’au grade de Rose+Croix. Enfin Francis Bouquillon développe les images et concept du sacrifice dans les sciences sacrées, c'est-à-dire dans la Tradition. |
Le sceau de salomon - Aujourd’hui – Clef du grand oeuvre | servranx & Collaborateurs | servranx | 1997 |
Réunion de plusieurs articles parus entre 1946 et 1967. le symbolisme du sceau de Salomon est expliqué sur les plans hermétiques, métaphysique, ésotérique et occulte. |
LE SCEAU DE SALOMON . SECRET PERDU DE LA BIBLE | JANIK PILET | TRAFFORD | 2005 |
Partant de l’idée très simple que le premier texte de la bible – le récit de la création en six jours – décrit géométriquement et mot à mot une représentation symbolique de l’univers, J.Pillet nous invite à travers cet essai de le suivre dans toutes les étapes de cette reconstruction du monde. Le résultat est une figure étonnamment équilibrée, qui semble bien être le mythique Sceau de Salomon tel qu’il a pu être réservé aux initiés .L’empreinte du Sceau de Salomon se retrouve dans d’autres textes de l’ancien et du nouveau testament, comme la vision d’Ezéchiel et l’Apocalypse en particulier. L’auteur va nous entrainer à la recherche des origines de cette technique d’inspiration spirituelle plusieurs fois oubliée et plusieurs fois retrouvée au cours des âges . Les peuples de l’Indus, les astrologues chaldéens, Salomon, Ezéchiel, Esdras, Saint Jean, Saint Luc, les alchimistes du moyen-âge, et ceux des 17e, 18e, et 19e siècles jalonnent ce parcours. L’auteur avec les signes du Zodiaque, les quatre éléments, les planètes et les 12 tribus d’Israel, explique le symbolisme de l’évangile de Jean et de l’Apocalypse à travers le Sceau de Salomon. |
LES CINQ POINTS PARFAITS DE LA MAÎTRISE | DIVERS AUTEURS | ARCADIA | 2004 |
Important dossier sur cette symbolique fondamentale de la
Franc- Maçonnerie. Divers auteurs donnent leur perception de cette clé de
base : L. Delecour, Claude Gagne, Laurent Bastard, A.M Lefebvre, Roger
Brochiéro et d’autres. |
LES CINQ POINTS PARFAITS DE LA MAÎTRISE, OU LA RÉSURRECTION SYMBOLIQUE | PEREY JOHN HARVEY | ÉDITION MAISON DE VIE | 2011 |
Lors de l’élévation au grade de Maître Maçon, moment essentiel de l’initiation, un rite surprenant est pratiqué : la mise en œuvre des « cinq points parfaits de la maîtrise », liée à une résurrection symbolique qui s’inscrit dans une longue tradition que décrypte l’auteur. En s’éveillant à la réalité spirituelle, le récipiendaire revit la légende d’Hiram et en découvre la véritable signification. Du mythe osirien à la présence alchimique de « l’homme debout », cet ouvrage approfondit la vaste symbolique des « points parfaits » à l’aide d’une très abondante iconographie, qui anime le livre. Est développé dans cet ouvrage : L’imaginaire de la mort et de la résurrection, la putréfaction, la seconde naissance initiatique et la première mort allégorique, de la porte basse à la porte étroite, la légende d’Hiram avec des extraits et des rappels, l’explication de la légende d’Hiram d’après le Régulateur du maçon ( 1801)et le Guide des maçons Ecossais (1890) , le relèvement et la résurrection, les énergies, la patte de lion ou la griffe de maître, les cinq points parfaits du compagnonnage appelé guilbrette, les cahiers de 1829, les points suivants : la joue, la griffe, la main sur l’épaule, la poitrine, le genou, le pied, et le mot. L’étoile flamboyante. La verticalité de l’Homme debout. |
LES COULEURS SYMBOLIQUES DANS L’ANTIQUITE, LE MOYEN AGE ET LES TEMPS MODERNES |
Frédéric PORTAL | TREDANIEL | 1991 |
Excellent livre de référence sur les couleurs. |
Les deux grandes colonnes de la franc-maçonnerie | René DÉSAGULIERS | DERVY | 1997 |
Ornant l’entrée de toutes les Loges, les deux grandes colonnes du Temple
du Salomon, et avant elles les deux Colonnes du Déluge, sont les plus
anciens symboles de la tradition et de la mythologie maçonnique. Au fil du temps, elles ont donné lieu à des exégèses parfois étranges, et souvent fort éloignées de leurs sources premières. Appliquant sa méthode de redécouverte rigoureuse des textes fondateurs, René DÉSAGULIERS permet au lecteur de décrypter à son tour le message des Colonnes. Publiée en 1961, la première édition de cet ouvrage, qui souleva un vif intérêt, était depuis longtemps épuisée et devenue introuvable. Cette troisième édition, enrichie de nouvelles références et de nouvelles découvertes historiques, poursuit une recherche commencée il y a plus de trente ans. |
les deux colonnes & la porte du temple | F. figeac | MAISON DE VIE | 2004 |
Dans
la tradition des bâtisseurs, un temple est comme une porte s’ouvrant sur
le mystère, la porte extérieure résumant l’enseignement du domaine sacré
auquel elle donne accès. Il en va de même dans la tradition maçonnique qui
a adopté une formulation, très épurée, essentiellement géométrique, de la
porte du Temple. Les deux colonnes font partie intégrante de cette formulation. Leur champ symbolique s’étend bien au-delà de celui auquel on se cantonne trop souvent : celui du temple de Salomon. Des bétyles orientaux aux obélisques égyptiens, des colonnes hermétiques à celles d’Hercule, des stèles de l’Antiquité au mot de Maçon de la tradition opérative écossaise, plusieurs sources s’entremêlent sans se confondre pour mieux percevoir la raison d’être de leur présence dans le Temple maçonnique et la dynamique du passage qu’elles recèlent. Y sont développés : les portes, les grenades, les colonnes, l’éveil, le gardien du seuil, les portes solsticiales, les obélisques. |
les deux St jean et la chevalerie templière | J. chopitel & c. gobry | le mercure dauphinois | 2000 |
Partant des textes saints que sont les Évangiles, ce livre met en avant les 2 St Jean, descendants de David et vainqueur de Goliath, donc chevaliers. L’auteur nous parle du Logos, de Jean le Baptiste, de l’Essenisme , de Jean l’évangéliste, de Janus, du fils de la veuve, des solstices et de l’apocalypse. |
les dieux, les anges et les démons | Le Jardin des Dragons | 1992 | |
De superbes articles tel : l’ange et l’initiation de Jean TOURNIAC. LE GADLU est-il l’ange de la Franc-maçonnerie. Les anges selon SWEDENBORG. La Cathédrale, YUNG et tout ce qui touche aux intermédiaires y est expliqué. |
le secret | Jacqueline KELEN | La Table Ronde | 1997 |
Petite plaquette de 100 pages où l’auteur – spécialisé dans les mythes et la démarche spirituelle – nous donne des clefs sur le secret, qui n’appartient ni au savoir ni au sens. Il ne se trouve pas enfermé entre les pages d’un livre, ni à l’intérieur d’un sanctuaire, il est ce qui déborde, irradie le savoir, les mots et les lieux. Superbe ! |
le secret et le partage | Daniel beresniak | Vega | 2003 |
Où l’on parle de cacher et de montrer, de la culture du secret du dominé et du dominant. Le secret est une arme à double tranchant mais dans toute société initiatique le secret est indicible et le sphinx attend le voyageur sur son chemin et il lui apprendra le dévoilement, la transparence, le pouvoir et le silence. |
LE SECRET MAÇONNIQUE. MYTHE OU RÉALITÉ ? | MICHEL LAPIDUS | ÉDITION LA MAISON DE VIE | 2010 |
Le fameux « secret maçonnique » continu à faire débat. De quoi s’agit-il ? L’auteur établit une distinction fondamentale entre les secrets de convention, tous trahissables et trahis, et le secret par nature, qui est le vécu de l’initiation et la perception des rituels, mise en acte du mystère de la création. A travers les langages symboliques, les chemins de lumière, la transmission sans trahison, les relations du mythe et du mystère, cet ouvrage nous convie à pénétrer au cœur du secret maçonnique. Ce qui dérange le plus les détracteurs du secret maçonnique, c’est de ne pas en comprendre le véritable sens et, par suite, l’utilité. Par leur initiation les frères pénètrent dans le secret et en travaillant rituellement ils expérimentent le secret par nature, celui que nul ne saurait trahir puisqu’il n’est pas de nature humaine mais de nature principielle. Sa fonction est de protéger le cœur du Principe, la vie dans son essence. Cet ouvrage traite les sujets suivants : La réalité du secret maçonnique - le vécu - la conscience du secret - la fraternité impliquée - Faire vivre le secret - Et si le secret était le travail - Mystère et initiation - Mystère et métier de l’initié - Le métier et les grades - Le secret par nature - Paradoxe de la transmission du secret - Secret et création - Purification et ouverture du cœur au secret - De la juste attitude en loge : la tenue - Le port de la serviette rituelle - L’apport des nourritures - Ritualisation de la parole - Secret, trahison et silence - Quel sont les langages du secret - Le rituel - L’Architecture sacrée - L’Art du trait et la géométrie sacrée - Le son et la musique - La Poésie - La représentation des mythes, danses sacrées et mystères - Les arts plastiques - L’écriture - Mozart et le secret, transmettre le secret sans trahir - La langue sacrée : Les bâtons divins - Une écriture monumentale et une grammaire du sacré et du secret - L’Unité reconstitué par le secret - Les divinités porteuses du secret - Les deux voies d’accès au secret - La fonction du secret - La première ternarité de fonctions - La mise en œuvre et l’achèvement de l’œuvre - |
LE SECRET , SON SYMBOLISME , SES VERTUS ET SES DEVOIRS | DIVERS AUTEURS | ARCADIA | 2003 |
Cette
obligation du secret que prend chaque profane , de ne pas révéler les
secrets de la Franc Maçonnerie est capitale pour la poursuite de sa
démarche ,par la suite à chaque degré supplémentaire il fera la même
obligation . Divers auteurs donnent ici leur point de vue sur cette notion
du secret , dans le monde profane et surtout en Franc Maçonnerie , même si
certains secrets sont des secrets de polichinelle , puisque la majorité
des livres sont à disposition du public . On y parle de la gestuelle , des mots , des enseignements , de la fraternité , des valeurs que nous devons comprendre , assimilées , et mettre en pratique . Un survol des différentes cultures , nous explique le ou les secrets attachés a ces cultures , que ce soit chez les aborigènes d’Australie , le judaïsme , l’Egypte , l’Occident moderne , la Rome antique . Michel WARNERY se demande quel est le secret en F.M ? secret d’appartenance ? secret spirituel ? Explication du secret qui est contenu dans la règle en 12 points et dans le rituel . Quelle est la conséquence du secret initiatique ? La notion d’ordre , les landmarks , le sens du secret par René GUENON . André BUSCAIL traite des secrets et de leur trahison . Denis ROMAN explique ce secret sur le plan moral et philosophique . J. Olivier D’ALGANGE nous parle du secret de nature , du secret de convention ,de la sauvegarde et de l’apocalypse du secret , des nuances et nuées du langage initiatique , enfin des innombrables langages secrets et sacrés qui conduisent à une expérience personnelle , comme autant de labyrinthes , vers le cœur dont ils sont issus |
LES EGREGORES ET l’egregore | Jean-Luc maxence | Dervy | 2003 |
Après avoir expliqué le mot Egregore, l’auteur développe les différents courants qui peuvent générer des Egregores autour d’un centre commun. Mais ces accumulations d’énergie que YUNG a appelé « Archétypes » sont la propriété de chacun, le trésor de tout homme. On peut les explorer et surtout bien s’en servir. |
LE SERPENT | V. GIMARAY | PARDES | 2003 |
Le serpent rampant, en osmose avec la
Terre mère, génie des eaux, connaît les secrets de l’ombre et le cycle
immuable de la Nature. Il est l’énergie primordiale qui ordonne le chaos,
le cercle maintenant l’intégrité physique du Monde. Il assure la
fertilité des terres et la fécondité des femmes.
Né des profondeurs de la terre et de
l’humidité aquatique, détiens-t-il le secret des origines ? Malgré sa
responsabilité dans la chute du Paradis, le serpent a résisté au triomphe
de la raison, lui opposant cette partie pulsionnelle de l’homme que nous
appelons le cerveau reptilien. |
LE SERPENT , SA SYMBOLIQUE ESOTERIQUE | DIVERS AUTEURS | ARCADIA | 2005 |
Rare
sont les animaux qui ont une ambivalence aussi forte que le serpent , il
est tantôt le mal absolu , comme le tentateur du jardin d’Eden , tantôt le
symbole de l’Amour pur et de l’abnégation totale comme le Christ qu’il
représente au Moyen Âge . Divers auteurs nous donnent leur point de vue :Bernard GUILLEMAIN nous explique le serpent dans la maçonnerie , Don PERNETTY et le serpent dans les différentes opérations alchimiques , l’Ouroboros , le serpent d’airain dans la traversée du désert par les Hébreux , le serpent dans les tarots , le où les serpents qui forment le caducée, le rôle du serpent dans les opérations magiques en général , Moïse et son bâton qui devient serpent , le serpent Atoum en Egypte , ainsi que l’Uraeus symbole de souveraineté , de connaissance et d’éternité , emblème de la réunification des deux Egypte . A partir du Moyen Âge va se développer la figure du Christ , sous la symbolique du serpent cloué sur la croix ,( C’est cette croix de 12 mètres de haut , enroulée par un serpent , que l’on trouve sur le Mont Nebo en Jordanie , là où Moïse a vu la Terre Promise , sans pouvoir y aller ) , rappelant ainsi le serpent d’airain , et personnifiant ce que Jésus est venu apporter aux hommes – la connaissance et l’Amour -sans être compris , puisqu’il fut mis à mort sur la croix . Le serpent dragon est à l’honneur dans l’ Extrème - Orient et en Irlande ,le Mexique a son serpent à plumes le Quetzalcoatl . Adam et Eve ont eu aussi leur serpent tentateur , pierre angulaire et fondatrice de la Bible ,la mythologie grecque regorge de serpents , avec entre autres les gorgones et l’Hydre à 7 têtes , on y trouve GOETHE et son serpent vert , le 19e degré du R.E.A.A parle du serpent tricéphale , symbole du mal (dragon) . Il est aussi gardien de l’arbre de la connaissance . Chez les Hindous le serpent est porteur de l’énergie vitale et divine à travers la kundalini (lové /serpent ) lorsque cette énergie part du 1e chakra ( muladhara) elle traverse le corps en passant par 6 chakras et 320 millions de canaux , pour arriver au 7e et dernier chakras (le coronal ) ainsi cette énergie complexe irrigue tout le corps en y déposant bien être physique et spiritualité . |
les égrégores – forces psychiques des groupes humains | Alain brêthes | Oriane | 1999 |
Pour la première
fois, un ouvrage est consacré aux Égrégores. Jusqu’à ce jour, cette
réalité a été ignorée du public et connue des seuls vrais initiés à
travers l’histoire. Nous vivons dans un monde régi par des forces énergétiques. L’une d’elles nous concerne particulièrement tout au long de notre existence, celle des égrégores. Dès qu’un groupe se constitue, un égrégore se crée. Il est la somme des énergies psychiques émises par chacune des personnes du groupe. L’ensemble de ces mouvements vibratoires exerce en retour une puissante influence sur ses membres. Un égrégore est une « forme – pensée » ou « idée – force » de qualité neutre qui se colore, pour le meilleur ou pour le pire, des intentions du groupe. Selon la qualité vibratoire des membres, l’égrégore enchaînera ces derniers à leurs croyances limitatives, ou dynamisera leur potentiel créateur et les déliera de toutes influences extérieures. Alain BRÊTHES nous incite à prendre conscience des nombreux égrégores qui nous influencent à chaque instant, tels que les égrégores familiaux, politiques, religieux, nationaux, raciaux, afin de nous dégager de leur influence et d’accéder à une plus grande liberté d’être. |
le sens du sacré | Divers Auteurs | ALBIN MICHEL | 1998 | ||||||||||||||||||||||||||||||
Nous sommes souvent perdus en nous-mêmes. Et
le poids de nos charges, professionnelles, financières, sociales,
émotionnelles, affectives…, ne peut être seul à expliquer cet état profond
où l’accumulation se mêle au désordre psychique, où la bousculade
intérieure se confond avec un plus ou moins vague sentiment de dépression
qui fait que notre existence semble tout d’un coup amère, à la limite du
manque de sens.
Retrouver le sens du sacré n’a rien à voir
avec le fait de rentrer dans une église ou un dojo ou quelque autre
lieu que l’on considère comme un temple : bien sûr cela peut aider. Mais
avant toute chose il faut construire son temple, sa cathédrale intérieure.
Vaste tâche, une vie y suffit-elle ?
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LE SERPENT ET LE MIROIR | Marcel SENDRAIL | PLON | 1954 |
Une variante du « Connais toi toi-même ». |
le serpent & ses symboles | a.m.r. | DESIRIS | 1994 |
L’A.M.R.
(Alliance Mondiale des Religions) a été fondée en France par Mme Maryse
CHOISY, le 9 juillet 1965, à la suite du congrès du World Fellowship of
Religions qui avait eu lieu à Delhi en février 1965. L’A.M.R. se propose de favoriser l’étude et la compréhension des diverses religions et de toutes les spiritualités en vue d’intensifier par une action commune la Vie, la Lumière et l’Amour, source de toute Paix. Les moyens d’action de l’association sont principalement la tenue de colloques et la publication de leurs actes. C’est ainsi que l’A.M.R. depuis sa création en 1965 a organisé vingt-neuf congrès ou colloques. Elle a tenu un colloque sur le thème Le Serpent et ses symboles à Paris les 14 et 15 décembre 1974, dont le compte rendu exact est donné dans ce volume. Y sont développés le symbole du serpent dans la tradition chrétienne, dans l’hindouisme, dans la Franc-maçonnerie, chez les Grecs, chez les Celtes, chez les Juifs, en Égypte, dans le bouddhisme. |
le serpent vert – conte symbolique | goethe | DERVY | 1999 |
« Le Serpent Vert
» est un conte merveilleux à tous les points de vue, qui n’a pu être conçu
que sous l’influence de ce somnambulisme spécial auquel GOETHE attribuait
lui-même la production de ses plus purs chefs-d’œuvre. Je n’ai pas la
prétention de révéler tout ce que GOETHE a voulu taire. Le fait est que la clef de tout un côté de la symbolique de GOETHE nous est très probablement fournie par ce fantastique récit qui réserve le rôle principal à un certain « Serpent Vert ». Ce conte préfacé par A. LANTOINE a été traduit et commenté par Oswald WIRTH. Il y est question du fleuve et de ses deux rives, du passeur, sa barque, sa rame et sa cabane, de l’or, des feux follets, du vieux à la lampe, de l’ermite, du géant et de son ombre, du serin et de l’épervier. |
les femmes de la bible | Jacqueline kelen | La Renaissance du Livre | 2002 |
D’Ève à la Reine de Saba en passant par Dalila, Rébecca, Esther et Jézabel, c’est une quarantaine de femmes que l’auteur nous invite à découvrir. Des femmes qui ont façonné la culture et la sensibilité de l’Occident. |
les fêtes à travers les âges leur unité – l’origine du calendrier | Pierre gordon | SIGNATURA | 2004 |
Pendant des millénaires, le Sacré et l’expérience liturgique ont été le
support de l’élaboration du calendrier. La vision de la science contemporaine n’a pas toujours été. Non ! Les anciens ne pensaient pas nécessairement comme nous ! Notre vision moderne dénature la compréhension de l’histoire et de l’évolution de l’humanité. Les divisions anciennes du temps s’appuyaient d’abord sur le Sacré. En ces temps de matérialité triomphante, quand abdique la science, c’est encore vers le ciel que l’on se tourne. Nos doutes enfantent l’humilité et font des Saints nos porte-parole auprès du ciel. Qui se souvient que souhaiter leur fête à ceux qu’on aime n’est que réminiscence d’un temps où le divorce entre l’homme et le ciel n’était pas encore consommé ? Pierre GORDON, dans ce livre dense et fécond, éclaire de la lueur du Sacré la genèse du calendrier à travers les âges. Après la lecture de ce livre, ce « Sacré » temps n’égrainera plus ses jours de la même manière… Y sont développés tous les calendriers, grecs, romain maçonnique, chaldéen, égyptien, copte, hébraïque, musulman, indou, chrétien, chinois etc… les fêtes et les chiffres sacrés, l’influence de la lune et du soleil sur la vie traditionnelle et les conséquences initiatiques et religieuses. Un livre de référence sur le sujet. |
les fêtes célèbres de l’antiquité du moyen-âge & des temps modernes | F. bernard | HACHETTE | 1878 |
Des dizaines de fêtes et leur explication : Isis, Diane, Mercure. Les fêtes grecques et romaines, fête de fous, de l’âne, les tournois, en Égypte, au Japon, en Inde, en Chine, la fête des fleurs au Thibet, fête du soleil au Pérou, fête en Russie, en Laponie, en Allemagne, en Angleterre, en France, les courses de taureaux en Espagne, et les fêtes saintes en Italie. |
les fleurs mythes & symboles | Y. laurent | SOLEIL NATAL | 1994 |
Des centaines de fleurs sont étudiées avec leur symbolique et les diverses correspondances avec les planètes, chacune a sa légende. |
LES GRANDS BOITEUX DE L’HISTOIRE BIBLIQUE ET MYTHIQUE | DIVERS AUTEURS | ARCADIA | 2001 |
L’histoire ancienne, biblique et mythique comporte de très
nombreuses références à ces grands boiteux, qui eurent, à un moment donné
de leur vie, une blessure, occasionnant une boiterie.
Annick de
Souzenelles,
évoque la signification profonde des pieds, des jambes et des genoux, en
le rapportant à l’arbre des Séphiroth et aux diverses scènes de la Bible
ancien et nouveau testament, où les pieds, les jambes, les genoux et les
diverses boiteries sont décrits. |
LES GRANDS SYMBOLES DE L’HUMANITÉ | : JULIEN BEHAEGHEL | ÉDITION ALPHÉE | 2011 |
Les symboles sont les balises du voyage humain dans le labyrinthe du temps. Ils racontent à leur façon les principaux moments de l’éveil de la conscience. L’auteur nous présente les principaux symboles, du point initial des commencements, à l’axe du monde en passant par la Roue de la Vie, la dualité, la Trinité, la Croix….et nous conduit au cœur de nous-mêmes, au cœur de l’Etoile. Le symbole est infini et éternel, il contient en lui la totalité des devenirs, dans ce monde comme dans d’autres mondes possibles. Il contient toutes les réponses à toutes les questions que l’Homme se pose depuis toujours sur son avenir terrestre, mais voilà, pour avoir accès à ces réponses, il faut d’abord pouvoir poser les bonnes questions et ensuite être suffisamment éveillé pour être à même de déchiffrer les réponses. Or tout est là, tout est donné, depuis le commencement, dans l’universalité du mythe, dans l’intemporalité du symbole, encore faut-il pouvoir lire, voir et écouter. Cet ouvrage est une tentative de lecture du symbole en insistant sur notre myopie et notre ignorance du plan. Nous savons que le plan existe mais son tracé ne nous est pas connu avec précision. C’est d’ailleurs pour quoi nous l’appelons labyrinthe, car nous ne pourrons connaître son tracé que lorsque le voyage sera terminé. Le symbole est donc un voyage, et il se présente à la fois, comme un nœud à démêler et une toile à tisser. Ce que nous devons chercher c’est le fil d’Ariane, car sans ce fil nous ne pouvons pas nous relier à notre ombilic, à notre centre de vie. L’auteur développe les symboles suivants : L’œuf cosmique, l’œil-miroir, le Père-Ciel et la Mère-Terre, L’arbre, le serpent, le soleil-double, la lune, la quaternité, le cercle, la croix, la spirale, le labyrinthe, la montagne sacrée, la Trinité et le triangle, l’Arc-en-ciel, le cercle-carré zodiacal, le dieu cornu, l’Axe du monde et le Pôle, l’ange et l’androgyne, l’équerre et le compas, Janus et la dualité, le nœud, l’étoile, le cœur, la coquille et la conque, la phallus linga, la roue, le symbolisme géométrique des nombres, des couleurs, des animaux, des métaux et des fleurs. |
les habits des francs-maçons, gants, tabliers & autres vÊtements | Lucien brÉlivet | MAISON DE VIE | 2008 |
Chacun sait que les Franc-maçons portent un tablier. Mais ce vêtement
rituel, hérité de la tradition des bâtisseurs, est-il le seul en usage, et
quelle est son importante symbolique ? Pour la première fois, un livre aborde l’ensemble de la vêture des Frères et des Sœurs, qu’il s’agisse des gants, des robes, des sandales, des cordons ou d’autres emblèmes. S’agit-il d’un folklore désuet, ou bien cette prise d’habits revêt-elle un sens initiatique qu’il convient d’approfondir ? À partir d’une étude détaillée de la documentation, d’informations inédites et de la pratique des rituels, l’auteur offre la vision parfois surprenante d’un monde de signes trop négligés. |
LE SILENCE | Daniel BERESNIAK | DETRAD | 2000 |
Le premier livre de la collection « Repères ». L’auteur explique le silence chez les Francs-maçons, comment le vit-on ? Quel est son sens ? Son but ? Ses moyens ? |
le sîmorgh | Christian charriere | Les deux Océans | 1991 |
Récit d’une initiation spirituelle, et lorsque la cime est atteinte, le Simorgh prend son envol. L’oiseaux fabuleux des 1 000 et 1 nuits nous vient du mazdéisme et fut développe par la suite par SOHRAVARDI, célèbre philosophe persan. |
LES LUTINS - B.A - BA | Jean Paul RONECKER | PADES | 2000 |
Jadis, il était d’usage, dans les campagnes, de laisser dans la grange ou devant la maison, un bol de bouillie destiné au lutin protecteur du foyer. Il fut un temps, en effet, où ces petits génies, tantôt aimables et serviables, tantôt terribles et vengeurs, faisaient partie intégrante de la vie de tous les jours. Qu’ils soient lutins, korrigans, lepréchauns, follets, sotrés, servants, poulpiquets, pucks, lamignacs, korandons, phookas, criards, elfes ou brownies, ils étaient partout. On les voyait à travers les branches et dans les buissons. On entendait leur rire cristallin se mêler aux remous des cascades, et leurs cris rageurs courir avec le vent. Hélas ! que reste-t-il, aujourd’hui, de ces joyeux compagnons de notre enfance enfuie ? Rien qu’un souvenir qui vacille et s’étiole, comme la pauvre flamme fatiguée d’une chandelle, sans jamais, pourtant, s’éteindre tout à fait. Les lutins sont immortels, mais il est une arme terrible qui peut les faire disparaître à jamais : l’oubli. Il faut donc raviver la mémoire ensommeillée, afin de faire reculer le sombre spectre de l’absence, et ranimer le feu éternel de notre âme d’enfant. Ce B.A. – BA des lutins se veut donc un guide pour découvrir l’univers du Petit Peuple, une passerelle vers l’Autre Monde merveilleux de Féerie. Les lutins que vous rencontrerez au détour des pages ne seront peut être pas ceux attendus, car ces petits génies ont souffert d’une uniformisation qui les a réduits à n’être plus que la caricature d’eux-mêmes. Avec nous, laissez-vous emporter par le vent qui mène à Magonia, et découvrez le vrai visage des lutins, sans fards ni tromperie. C’est ce lutin, génie ou esprit, ramené à sa dimension première, que nous souhaitons vous faire connaître, dans ses métamorphoses ; ses sourires, ses grimaces… non pas un lointain souvenir, mais un être bien vivant, toujours présent. |
les mystères de l’œil | Claude durix | TREDANIEL | 1990 |
Claude DURIX a
exercé l’Ophtalmologie à Casablanca de 1950 à 1987. Élève de Louis
PAUFIQUE, il fut le premier à pratiquer la microchirurgie au Maroc. Il consacre son temps libre aux Arts Martiaux depuis 1944 et participe comme combattant à trois championnats du Monde de Kendo. Il est actuellement l’un des plus hauts gradés européens, titulaire de douze grades de ceinture noire : 4ème dan de Kendo, 3ème dan de Iaïdo, 3ème dan de Judo, 2ème dan d’Aïkido. Il fut initié au Zen au Japon, en 1956, par Sengoku Rôshi, le Maître du Monastère d’Obaku-san, près de Kyoto. Il fut ainsi amené, sur la demande de ce Maître, à introduire le Zen, pour la première fois sur le continent africain, en fondant des dôjos à Casablanca, Rabat, Marrakech, où il dispensa son enseignement. Ces trois activités : pratique et enseignement du Zen, des arts martiaux et de la microchirurgie de l’œil se sont révélées parfaitement compatibles et même profondément complémentaires. Ce livre est une illustration de cette complémentarité et une réflexion sur le mystère de l’œil, inséparable du mystère de la vie. L’humour, l’anecdote chargée de sens y tiennent sans cesse le lecteur en haleine. Ce livre se lit comme un roman : le roman de la Vie. Claude DURIX vit maintenant retiré dans son ermitage, au nord du Maroc, sur les bords du détroit de Gibraltar. |
les nuages et leur symbolique | direction J. kelen | Albin Michel | 1995 |
Symbolique des nuages par J. KELEN. En Égypte par Christian JACQ, en Chine par C. DESPEUX, dans l’indouisme et dans le soufisme par J. BONNET, dans la Bible et la Cabbale par Charles MOPSIK, dans le Judéo-christianisme par M.M. DAVY, au Moyen-Âge, dans les contes, la couleur des nuages, et l’éloge de la nébulosité par Françoise BONARDEL. |
le silence | Divers Auteurs | ARCADIA | 2007 |
Dossier très important sur cette notion du silence dans la voie spirituelle. On y parle du silence intérieur. M.M. Davy du désert intérieur et de sa solitude. Des pensées sur le schéma de nombreux philosophes anciens et récent de toutes traditions. J. Kelen nous explique cette notion du silence à travers l’Exode, Samson et Dalida Melusine et Psyché. Le silence en loge, le silence chez Louis Claude de Saint-Martin, le désert et la grotte, hauts lieux de la quête spirituelle. La parole et le son de la parole, indissociable du silence dans la descente intérieure. Le pèlerinage intérieur associé à celui de St Jacques de Compostelle. Enfin divers travaux sur le silence. (Dossier 500). |
le soleil et la lune | Claire vernon | Maison de Vie | 2002 |
Riche en symboles ces deux figures de la Franc-maçonnerie nous expliquent la tradition, les mutations du soleil et sa course diurne, le cycle annuel, le soleil un et trois, le soleil au Nord, l’or solaire, le point et le cercle, l’alchimie solaire, la lune maîtresse du temps et astre de la révélation, le combat de la lune, la lune symbole du discernement et de la lucidité. |
L’Espace – Temps – Sacré en Loge | Divers Auteurs | ARCADIA | 2008 |
Des travaux et articles sur cette notion d’Espace- Temps- Sacré qui caractérise l’ouverture des travaux dans une loge. Des notions de physique moderne avec explication de cette 4e dimension. Le rapport entre cette physique moderne qui donne le vertige et l’ouverture des travaux en loge symbolique. Ce temps qui n’existe que par la volonté de l’homme qui a crée le temps linéaire, alors que toutes les traditions parlent de temps cyclique ou circulaire. Ce temps qui n’existe pas, c’est l’homme qui se déplace. Le sacré, si difficile à définir, surtout depuis que la Révolution française à couper la tête du Roi, désacralisant ainsi les traditions et la vie de l’homme en France et dans une moindre mesure, dans tous les pays occidentaux. Subsiste les pays asiatiques, africains à majorité animiste, et les pays qui n’ont pas détruit la substance religieuse et spirituelle. Le siècle des lumières, le positivisme d’Auguste Comte, Descartes, Condorcet etc. La notion du « Numineux » de Rudolf Otto, repris et développé par C.G. Yung. La géographie sacrée qui commence lors de la sacralisation de la loge. Les mystères du temps avec le rapport C.O.M.E.T.A sur les O.V.N.I, l’expérience de Philadelphie, les crop circles. L’attitude et le travail en loge, l’égrégore. Est également traité le problème de la création du monde à travers la Kabbale et l’arbre séphirotique, les chakras et la Kundalîni cette énergie divine et sacrée, Yggdrasil et son arbre sacré représentant la création du monde dans la mythologie Scandinave, les arbres du Bien et du Mal et de la Connaissance dans la Bible etc. |
LES QUATRE ÉLÉMENTS | Anne et Fabian DA COSTA | ÉDITION DE VECCHI | 2005 |
Depuis la nuit des temps, les hommes se sont trouvés en contact avec quatre éléments aussi indispensables à leur vie matérielle qu’à leur vie psychique. Les progrès de la science et de la conscience, peuvent supprimer l’essentiel, mais reste l’impérieux besoin de l’eau pour se désaltérer, de l’air pour respirer, du feu pour se nourrir et se réchauffer, de la terre pour en tirer sa subsistance et pour s’y reposer. L’homme infiniment adaptable et intelligent, s’est au fil du temps rendu maître de techniques toujours plus avancées et plus performantes. Les éléments qui terrorisaient ses ancêtres les plus lointains par leurs mystères et leurs violences ne lui font plus peur, il pense même les avoir domestiquées et placés à son service. La terre, l’eau, l’air et le feu sont devenus des moyens de production, des outils que l’on utilise. Dans l’intense désir qui nait aujourd’hui d’un retour vers la vie à la campagne, se cache le besoin plus ou moins conscient de retrouver l’harmonie avec la terre, l’eau, l’air et le feu, dans une relation égalitaire et enrichissante. Ce que les Anciens pressentaient, l’homme moderne le sait : Nous sommes faits, et notre planète également, de poussières d’étoiles, et chacun récapitule en lui-même la Création tout entière. L’esprit universel de Léonard de Vinci l’avait ainsi génialement formulé « Les Anciens ont appelé l’Homme microcosme, et la formule est bien venue puisque l’Homme est composé de terre, d’air, d’eau et de feu, et le corps de la terre est analogue ». Cette fraternité entre l’homme et sa planète est le fruit de milliards d’années d’échanges mystérieux, de correspondances secrètes, et ce que les intellects humains ont oubliés, nos corps s’en souviennent jusqu’au plus profond de leurs cellules. Les peuples primitifs ont toujours associé à leur vie quotidienne les puissances protectrices et destructrices du feu, la légèreté et les senteurs de l’air, les effets dissolvants et purifiants de l’eau, les fermentations et les putréfactions de la terre, c’est ainsi que ces éléments se sont mélangés aux cosmogonies magico-religieuses de tous les continents. La plupart des grands philosophes du monde et surtout les Grecs, ont sublimé les quatre éléments, ainsi Platon déclare dans son ouvrage : Le Timée « A la terre nous attribuons la figure cubique, car la terre est la plus difficile à mouvoir les quatre espaces et c’est de tous les corps le plus tenace… le tétraèdre régulier représentera le feu, l’octaèdre régulier l’air, et l’icosaèdre régulier l’eau ». L’Arche Royale reprendra ces éléments et les intégrera sans sa méthodologie et dans sa représentation symbolique sur le tapis de loge, de même presque toutes les sociétés initiatiques et ésotériques s’en serviront lors d’une réception ou initiation. La Bible dans son premier chapitre de la Genèse nous explique pourquoi et comment la Terre fut crée par les quatre éléments, socle fondateur des religions monothéistes. Un excellent livre sur la symbolique des quatre éléments |
les rois mages – histoire légende et enseignements | J. CHOPITEL & C. GOBRY | LE MERCURE DAUPHINOIS | 2002 |
La tradition spirituelle rappelle que notre royaume n’est pas de ce monde. Les Rois mages doivent être considérés comme des messagers de cette tradition et ils traversent le temps et l’espace avec leurs offrandes. On y trouve MELKISEDEQ, le prêtre JEAN, les évangélistes, les évangiles canoniques et apocryphes, les écrits mythiques, la légende dorée, le serpent vert, les centres sacrés, le Roi du monde, St Yves d’ALVEYDRE, l’or, l’encens, la myrrhe, l’étoile polaire, les mages venus d’Orient, l’astrologie et l’astronomie, l’épiphanie et les symboles modernes tel le gâteau des rois. |
LES SIRENES | A. BULTEAU | PARDES | 1995 |
Viens ici !
Viens à nous ! Ulysse tant vanté !arrête ton vaisseau ! Viens écouter nos
voix ! Jamais un noir navire n’a doublé notre cap sans ouïr les doux airs
qui sortent de nos lèvres.
Tout le monde connaît le
célèbre épisode de l’Odyssée d’Homère où les Sirènes
tentèrent de charmer Ulysse enchaîné à son mat. A l’aide des récits anciens, des témoignages des historiens marins, des contes et légendes de la littérature mondiale, en passant par les sciences alchimiques et zoologiques, sans oublier les représentations picturales, musicales, et archéologiques, A. Bulteau conduit le lecteur vers des lieux où le vol féerique de ces enchanteresses reste à jamais mystérieux. |
LES SYMBOLES - B.A –BA | DAVID GATTEGNO | PARDES | 2004 |
Le symbolisme est une espèce d’univers de subtilité . On n’y accède pas sans s’ être affranchi , au préalable, de ses préjugés personnels et des sentiments inhérents au langage commun du monde sensible . Ce livre des symboles propose une véritable initiation à l’univers symbolique par l’observation des principes et des formes qui régissent les 120 symboles fondamentaux qui ont été étudiés . Le bagage indispensable à la compréhension des traditions , est ramené au seul volume nécessaire . Ainsi , cet ouvrage offre la possibilité de saisir d’emblée le système de la perception analogique et le principe intuitif de compréhension , sans présenter au lecteur le surcroît des applications subsidiaires, le plus souvent strictement contingentes , qui ne feraient qu’encombrer son étude . Les images mentales , supports de réflexion , sont simplement indexées , mais également traitées selon une exposition, suggèrent tous les rapports , les parallèles , les relations et les affinités ( clefs du monde des symboles ) .Un choix de 550 illustrations précises vient enrichir le texte , y est donc développé : Abeille , aigle, aile , âme, androgyne, âne , ange , animal , araignée, arbre, arche, balance, barque, bélier, breuvage, caducée, carré, caste, cercle, cerf, chasse, chat, cheval, cheveux, chèvre, chien, chouette, clef, cœur, colombe, compas, coq, corbeau, cornes, couleur, croix, cygnes, dauphins, diable, dragon, échelle, élément, éléphant, épée, équerre, étoile, faucon, flèche, fleur, fontaine, foudre, grenouille, griffon, hache, île, jardin, jumeaux, labyrinthe, langue, lapin, licorne, lion, lis, loup, lune, main, masque, métaux, miroir, montagne, mort, monstres, nœud, nombres, océan, œil, œuf, oiseau, oreille, ours, paon, papillon, parole, phallus, phénix, pied, pierre, planètes, poisson, pont, porte, renard, roi, rose, roue, runes, saison, sanglier, scarabée , sceau, sceptre, scorpion, serpent, singe, sirène, soleil, sphinx, spirale, svastika, taureau, tortue, triangle, triscèle, vase, vautour, végétaux, vigne, vulve, yin-yang, zodiaque . |
les symboles dans l’art, dans les religions & dans la vie de tous les jours | Philippe seringe | SUM LE HAMEAU | 2003 |
Un
travail érudit, à la portée du grand public ; voici le défi relevé par le
Professeur SERINGE. En effet, cet ouvrage présente les interprétations les
plus récentes des symboles tout en donnant une vision claire de leur
évolution au cours des siècles dans les nombreux pays où l’auteur s’est
rendu pour ses recherches. Un livre PRATIQUE : grâce à ses index très détaillés et à son organisation thématique, cet ouvrage peut être aisément consulté. Une centaine d’illustrations ainsi qu’une biographie de plus de 400 ouvrages font de cette œuvre une somme de référence. La préface de René LOUIS constitue à elle seule une œuvre des plus originales qui nous entraîne à de véritables découvertes. Y sont développés : plusieurs animaux dont : le bœuf, le taureau, l’agneau, le bélier, le lapin, l’éléphant, le cheval, le tigre, le lion, le cerf, le loup, le renard, le singe, le serpent, le dragon, la grenouille, l’œuf, les oiseaux, le faucon, l’aigle, la chouette, le coq, l’autruche, le paon, les poissons, la licorne, le sphinx, le corps humain, le crâne, les danses macabres, le sang, l’œil, la main, l’arbre de vie, les arbres, la rose, les fleurs, le vin, la vigne, la grenade, les fruits, la mandragore, les 4 éléments, les pierres, les points cardinaux, les étoiles, les planètes, la ziggourat, la pyramide, les couleurs, les nombres etc… |
les symboles chrétiens primitifs | Jean daniélou | DU SEUILil | 1996. |
La
charrue, la couronne, le char, l’étoile, le poisson, la palme : autant de
symboles chrétiens un peu oubliés ou incompris. Sait-on que la Croix
elle-même est apparue à l’origine non comme une allusion à la Passion du
Christ, mais comme une désignation de sa Gloire divine ? Ou encore que les
douze Apôtres ont été assimilés au symbolisme du zodiaque ? Ces symboles
ont eu une considérable importance théologique et spirituelle dans les
premières communautés chrétiennes, encore très liées à des milieux juifs
où on parlait araméen. Spécialiste de ce « judéo-christianisme primitif »,
le Père Jean DANIÉLOU explicite ici l’origine, le contexte culturel, le
sens spirituel de ces images et de ces signes légués par le christianisme
antique, qui sont aussi des images et des signes religieux universels. Y sont développés : le symbolisme chrétien de la charrue, de la palme, de la couronne, de la vigne, de l’arbre de vie, de l’eau, du poisson, du navire, le char d’Elie, la hache, l’étoile de Jacob, les 12 apôtres, le zodiaque et le Tav. |
les symboles de la franc-maçonnerie – signes – mots – couleurs & nombres | J.J. gabut | DERVY | 2008 |
Les
anciens rituels du XVIIIème siècle, déjà, nous questionnaient : « Â quoi
reconnaîtrais-je que vous êtes Franc-Maçon ? » La réponse déjà était : « À
mes signes, paroles et attouchements, etc. » Dès l’origine donc, et déjà au temps de la Maçonnerie opérative, les signes et les mots – on pourrait tout aussi bien dire les paroles ou les noms – revêtent une importance capitale dans le symbolisme de la Franc-Maçonnerie. Ils sont à la fois moyens de connaissance et de reconnaissance, invitation à approfondir l’idée qui se cache sous le mot et traduction par le geste ou la parole de tout un enseignement symbolique de règles, de principes et de vérités principielles. Si ces signes et ces mots dictent la conduite des Francs-Maçons et constituent pour une part le secret inviolable de l’ascèse initiatique – le seul secret véritable de notre Ordre ! – les nombres et les couleurs traduisent, eux, une autre dimension de cette ascèse, analogue d’ailleurs souvent à celles que l’on rencontre dans d’autres traditions dont la Kabbale nous donne un exemple particulièrement éloquent. La réflexion de Jean-Jacques GABUT tend à éclairer ainsi un panorama longtemps inexploré ou abordé de manière moins approfondie par les exégètes du symbolisme maçonnique. Il nous invite ainsi à explorer un monde d’une étonnante richesse, par de constants renvois à d’autres domaines ou enseignements. Y sont expliqués : Première partie : les signes Les trois formes majeures du signe – Le signe en tant que geste : des chakras à l’Arbre des Sephiroth – Le signe en tant que marque – L’importance capitale du signe symbole – Les signes dans les trois degrés de la Maçonnerie « bleue » - L’apprenti : attention, transmutation, intuition – Le compagnon : l’appel aux forces supérieures – Le maître : l’éveil des énergies cachées – Les cinq points parfaits de la maîtrise : un acte de pure magie – L’accolade : un condensé des cinq points – Les signes dans les hauts grades écossais – Les signes d’admiration – Les signes du Chevalier Rose-Croix – La culmination des signes dans la chaîne d’union. Deuxième partie : les mots, les noms, les lettres La puissance du mot – Au commencement était le Verbe – Les mots, partie intégrante du Rite – Mots de passe et mots sacrés dans la Maçonnerie « bleue » – Boaz : la « force » de l’apprenti – La beauté du compagnonnage – La Sagesse des maîtres – La multiplication des mots clefs dans les Hauts Grades – Omniprésence des noms de Dieu – Trois mots clefs : Ziza, Stibium et Salix – Les mots du Chevalier Rose-Croix. Troisième partie : les couleurs Le divin blason de la Création – Dans l’arc-en-ciel symbolique – Bleu et vert, les froides couleurs de l’Esprit et de la Nature – Rouge et or : les couleurs chaudes de l’amour et du soleil – Le noir et le blanc : l’ombre et la Lumière – Les couleurs des grades symboliques – L’apprenti : blanc, bleu, rouge – Le compagnon : sous un dais d’or et d’azur – Le maître… Ou le rouge et le noir – Les couleurs des Hauts Grades – Le noir est la « racine » – Et le rouge en est le cœur. Quatrième partie : les nombres La divine Tetraktys et le Nombre d’Or – Les dix premiers nombres : De l’Unité au retour à l’Unité – Les autres nombres clefs dans la tradition maçonnique – L’apprenti : sous le signe du 3 – Le 5, nombre du compagnon – Le 7 et le 9 dirigent le maître – Le 3 et ses multiples : pas moins de 17 Hauts Grades écossais – Le 9, nombre de la Divine Ennéade – Le 5, le 7 et le 12, nombres de l’union, de la lumière et du changement. Cinquième partie : les métaux, la faune et la flore de la symbolique maçonnique Les métaux sacrés : l’or, l’argent, l’airain – Des symboles « oubliés » : l’ancre, le sablier, la faux et la ruche – La faune – Le bestiaire symbolique (I) : l’aigle, la colombe, le corbeau et le coq – Le bestiaire symbolique (II) : le phénix et le pélican – Le bestiaire symbolique (III) : l’agneau et le serpent – La flore sacrée maçonnique – de l’acacia à la rose… en passant par le laurier et l’olivier – L’Arbre de Vie, l’encens et la « plante qui guérit ». |
les symboles maçonniques d’après leurs sources | Patrick négrier | TELETES | 1998 |
Cet
ouvrage réunit deux études. La première se présente comme un dictionnaire
: classés par ordre alphabétique, les symboles des trois degrés (apprenti,
compagnon, maître) de la maçonnerie universelle y sont interprétés à la
lumière de ses textes fondateurs (Anciens Devoirs et catéchismes
symboliques du XIVème et XVIIIème siècles), ainsi qu’à celle de leurs
sources essentielles que sont la Bible, la philosophie grecque, le
compagnonnage, la chevalerie et l’alchimie. La seconde étude est une présentation et une analyse des divers diagrammes cosmologiques traditionnels, c’est-à-dire des diverses représentations symboliques du cosmos, schémas initiatiques à la famille desquels appartiennent les tableaux de loge. Patrick NEGRIER, né en 1956 à Aubusson et maçon depuis 1980, est spécialisé dans l’exégèse symbolique de la Bible ainsi que l’herméneutique des symboles cosmiques des diverses traditions spirituelles. |
les trois fenêtres de tableau de loge | Didier michaud | MAISON DE VIE | 2004 |
Symbole très négligé s’il en est, les trois fenêtres représentées sur les tableaux de Loge de certains rites maçonniques ont rarement retenu l’attention qu’elles mériteraient pourtant. Peu abordées dans les travaux, peu étudiées dans les livres, elles ne suscitent généralement que des idées très simples, pour ne pas dire simplistes : les fenêtres sont là pour permettre à la lumière de pénétrer dans le Temple. Certes, mais il conviendrait encore de remarquer d’une part que les fenêtres laissent également passer l’air et le son, et d’autre part que celles dont il s’agit ici ne sont pas ouvertes dans les murs de la Loge, mais dessinées sur un tableau sur lequel figurent de façon symbolique tous les éléments nécessaires à la création de la Vie en esprit. Quelle est donc la vraie nature de cette Lumière, de cet Air et de ces Voix qui traversent nos fenêtres ? |
LES TROIS GRANDES LUMIÈRES ou le Chemin de la Création | JEAN ONOFRIO | ÉDITION MAISON DE VIE | 2011 |
Les trois Grandes Lumières sont des outils créateurs d’ordre céleste, ceux avec lesquels la création principielle agit et façonne la vie. Lorsqu’elles se trouvent assemblées, les initiés sont en présence de l’âge d’or où les puissances causales « s’aiment » et se recréent entre elles. Ils assistent alors à l’origine des temps, au moment où les trois Grandes Lumières, puissances organisatrices du début des choses, sont en pleine création permanente, en pleine effervescence, en pleine puissance. « L’énergie universelle dans laquelle l’action est versée vers le divin, tout ce qui est offert n’est autre qu’une forme du divin », a écrit A. K. Coomaraswany. Cet univers auquel l’humain est absolument étranger et qu’il ne comprendra jamais, peut cependant être non seulement perçu et contemplé, mais célébré rituellement. En bâtissant le temple au moyen de la Règle, de l’équerre et du Compas, l’initié s’intègre à l’œuvre du Grand Architecte de l’Univers. C’est précisément à l’approche symbolique de l’action créatrice de cette architecture de réciprocité suscitée par les trois Grandes Lumières que cet ouvrage est consacré. Sont expliqué les outils et symboles suivants : Coexistence du catholicisme et de l’initiation au Moyen Âge, Bible ou Règle, le double aspect des trois Grandes Lumières, la Règle, l’équerre et le Compas, pourquoi ces objets sont ils des Lumières ?, le passage de la puissance à l’acte, pourquoi ces Lumières sont grandes ?, disposition des ces Lumières selon les grades et degrés, pluralité des naissances, naissance par les outils, le banquet et l’accomplissement du mythe osirien, l’éveil de la conscience et regard créateur, voie brève et voie longue, les divers types naissant des trois Grandes Lumières, les mutations que déclenchent les trois Grandes Lumières séparées ou unies, l’œuvre du Grand Architecte de l’Univers en fonction des trois Grandes Lumières, le Livre de la Vie, Permanence de l’initiation et impermanence des initiés, comment les trois Grandes Lumières permettent elles à l’initié d’agir ?, le devoir de formuler, modalité spécifiquement initiatique de l’agir…. |
les trois grands piliers | Alain lejeune | Maison de Vie | 2003 |
Étymologie et fonction des piliers, les trois piliers qui soutiennent la loge et leur disposition, les ordres architecturaux en Grèce, à Rome, au Moyen-Âge et à la Renaissance. Où est le 4ème pilier ? La légende des quatre couronnés, sagesse, force et beauté, le pharaon, Osiris, pilier de feu, la Kabbale éclairée par les trois piliers, la lumière naît en Orient. |
les vierges noires – l’origine & le sens des contes de fées | Pierre gordon | SIGNATURA | 2003 |
L’auteur fait ressortir dans ces trois textes l’importance des rites
(initiatiques, matrimoniaux, etc.) qui sont pratiqués depuis des
millénaires dans toutes les sociétés humaines, ainsi que du totémisme et
des tabous également reliés au domaine rituel. Son étude sur les Vierges Noires nous emmène dans le monde souterrain (auprès de l’« Initiatrice », c’est-à-dire une personnalité sacrée (en réalité un personnage féminin déguisé ou travesti) « qui échappait au monde profane pour se réintégrer dans le monde surnaturel ». Car « le conte de fées n’est en fait, nous précise l’auteur, que la description scrupuleuse d’un rite ». L’œuvre de Pierre GORDON, redécouverte il y a une vingtaine d’années, ne cesse d’être reconnue comme fondamentale pour saisir l’origine, le sens et les fonctions des rites qui s’inscrivent dans ce que l’auteur nomme ailleurs la « Tradition primordiale », fondement de tous les phénomènes religieux de l’humanité. |
LES TROIS LUMIÈRES DE LA LOGE | PHILIPPE LANGLET | ÉDITIONS DE LA HUTTE | 2011 |
La configuration symbolique des lumières de la loge, à tous les rits, est d’inspiration chrétienne, cela va sans dire. Création, Lumière, Trinité. Il y a bien trois éléments fondamentaux pour soutenir la loge, ou la rende matérielle à nos yeux, et qui sont associés directement à la Demeure Divine, au Temple, ou au Trône de Dieu. Ainsi, la Loge semble être le point au centre d’un triangle lumineux. Quels que soient les multiples du nombre trois, qui reste le fondement symbolique, les Maçons se situent, lorsque les travaux sont ouverts, à l’intérieur d’un triangle de lumière. La question est alors : comment ces lumières leur sont extérieures. Ils ne les voient que comme décors symbolique. Pourquoi ne perçoivent-ils pas qu’ils sont en réalité DANS LA LUMIERE TRINE ? Comment faire coïncider des colonnes, des chandeliers, des vertus et des officiers ? Cela parait difficile, mais les Rites le font presque toujours. Le but de cette étude sera de souligner les configurations communes à 5 Rits. Le Rite Emulation, le R.E.A.A, le R.E.R, le Rite Français, et le Rite d’York. On y dégagera des invariants du Rite maçonnique qui vont nous apporter quelques enseignements spirituels, sinon moral qui fasse bouger notre être intérieur et ainsi favoriser une modification ontologique. Sont donc développé dans cette étude : Les rituels – Les hauts chandeliers – Une colonne invisible – Les neuf lumières – Les différences rituelles – Maçons modernes et Maçons anciens – Le Rit moderne de France – Les divulgations – Sagesse, Force et Beauté – L’étoile et le colonne – Le soleil, la lune et le maître maçon – Les divers rites Ecossais – L’illumination de la loge au R.E.A.A - Les invariants - |
LE SWASTIKA | BERNARD MARILLIER | PARDES | 2002 |
Directement lié à la Tradition
Primordiale et issu de l’Hyperborée – cette terre de l’Âge d’Or
située au delà du vent du nord -, le Swastika est l’un des plus anciens
symboles. Omniprésent, il a été utilisé par de nombreux peuples de l’extrême-Asie
et de l’Amérique, en passant par la Chine, la Mongolie, l’Inde et
l’Europe. Symbole du feu qui meut la création, de la manifestation cyclique et de la régénération universelle, le swastika fut toujours associé aux grandes figures salvatrices temporelles et surtout spirituelles, telle Thor, Jupiter, le Bouddha et le Christ, ce dernier étant comme le swastika, « la voie, la vérité et la vie » |
le symbole | Luc nefontaine | derVy | 2002 |
Collection Paroles retrouvées. Un petit livre (90 pages) sur le symbole maçonnique, ses dangers et l’interprétation des symboles et du symbolisme maçonnique. A lire. |
le symbole du caducée | j.p. bayard | TRÉDANIEL | 1997 |
À la suite d’un long article écrit sur le caducée pour la revue Médecine de France en 1972 (n° 225) et à la suite des très vives félicitations du Docteur Jean-Robert DEBRAY, membre de l’Institut, Jean-Pierre BAYARD a voulu élargir son investigation sur cet emblème que l’on voit très souvent, tant auprès des médecins que des pharmaciens, et que l’on connaît cependant si mal. Grâce à ses re-cherches sur le symbolisme, à ses nombreux documents puisés dans la pensée ésotérique mondiale, Jean-Pierre BAYARD aborde les multiples interprétations que ce talisman peut suggérer. Docteur des lettres de l’Université de Rennes sa rigueur basée sur une recherche formelle laisse aussi pénétrer la poésie ; cet ouvrage, au ton facile et agréable, fort bien illustré, cerne ainsi un symbole qui peut par sa compréhension nous apporter la Rectitude et la Connaissance. |
le symbolique du monde souterrain & de la caverne | J.P. bayard | TREDANIEL | 1994 |
Le monde
souterrain, par sa richesse infinie et inviolée, hante l’imagination de
l’homme. Ce domaine mystérieux ne se révèle que rarement ; la caverne
obscure et profonde, aux bruits étranges, inspire la terreur et la
superstition. Il faut interroger ces bouches de l’enfer, examiner ces grottes où l’homme a parfois dessiné son rêve et son émoi, il faut prier devant la Vierge noire, accessible après un long parcours, un labyrinthe où l’eau souterraine serpente et luit dans les ténèbres. Il faut visiter les entrailles de la Terre-Mère et en revenir transfiguré : tout au long de cet ouvrage l’auteur aborde le thème de la descente de l’Esprit dans la matière et sa lente cristallisation. Ce livre est un excellent outil de référence mais surtout le résumé d’une quête spirituelle conduisant le lecteur aux mystères de l’Absolu. Y sont décrits : la terre, les courants telluriques, les racines, la roche, les gemmes, la descente aux enfers, le temple souterrain, le labyrinthe, la vierge de la crypte, la spirale, le serpent, les sanctuaires rupestres, la caverne, les troglodytes, les vierges noires, l’œuf du monde, les initiations. |
le symbolisme animal | J.P. ronecker | DANGLES | 1994 |
Entre l’homme et
l’animal, c’est une vieille histoire d’amour et de haine, tantôt
affective, tantôt combative, allant de l’animal divinisé à la bête
pourchassée, de la relation affectueuse à l’élevage alimentaire… Bien
qu’issus du même règne, ce sont deux frères ennemis. Mais l’homme
contemporain, aveuglé par l’intellectualisation et la technicité, a perdu
le sens du sacré et du divin, et est à la recherche de ses racines, de ce
lien qui l’unit à notre Grande Mère la Nature. Si l’homme est un animal
évolué, il est surtout un animal dénaturé ; or, c’est justement dans sa
propre animalité (et non bestialité) que réside la vraie nature humaine :
l’animalité du cœur qui vibre à l’unisson de la Création sous toutes ses
formes. Le but de cet ouvrage n’est pas de recopier les bestiaires du Moyen Âge, mais de présenter le symbolisme animal venu de cultures, de régions, d’époques et de traditions différentes, pour montrer une image pan culturelle de la représentation que se fait l’être humain du monde animal. L’animal est présent partout : dans les légendes, le folklore, les récits anciens, l’art, les religions, la pensée traditionnelle, les coutumes, les rêves, les croyances populaires… Il fait partie de l’histoire de l’homme. Il nous parle et nous accompagne. Si nous voulons voir le fond des choses, ne nous limitons pas aux seules apparences. Le symbolisme n’échappe pas à cette règle. Disséquer un animal ne nous apprendra rien sur sa nature réelle. Pour cela, au contraire, nous devons le comprendre, l’aimer, faire un avec lui. Seule la voie du cœur et de l’intuition peut nous ouvrir les portes de l’infini. Pour percevoir l’essence réelle, intime, de la nature et du monde, il nous faut regarder avec les yeux du cœur et non du haut de notre orgueil. Nous avons à retrouver cette animalité en nous, cette « raison du cœur » qui, loin d’être maudite, est en réalité divine. Elle est gage de salut par l’acceptation et le respect des lois naturelles de la Mère souveraine. En retrouvant la Nature en nous, nous pouvons nous ouvrir les portes du devenir… un devenir enfin humain. Des centaines d’animaux y sont étudiés avec leurs symboles. |
le symbolisme dans la bible | Paul diel | PAYOT | 1976 |
L’animisme, le polythéisme, le monothéisme, le Dieu unique, les textes bibliques, Adam, le salut, l’âme immortelle, Jésus, la Genèse, la chute, l’Évangile de St Jean, l’incarnation, la résurrection, St Paul et une étude générale sur le symbolique des mythes de la Bible. |
LE SYMBOLISME DANS LE QUART LIVRE DE FRANÇOIS RABELAIS |
Marie Cécile MOURET |
DESIRIS | 1994 |
Ce
quart livre mêle symboles et fantaisies nous contant les aventures de
PANURGE et de PANTAGRUEL partis en mer pour consulter l’oracle de la
DIVE Bouteille. Voyage initiatique qui |
LE SYMBOLISME DE LA CHAÎNE D’UNION | Marcel SPAETH | DETRAD | 1998 |
Symbole du cercle que forme la chaîne d’ union obligatoirement fermée. La polarité de la chaîne et la main qui joue un rôle actif. |
le symbolisme de l’espérance | Claude delbos | DÉTRAD | 2001 |
Dans « Le
Symbolisme de l’Espérance », Claude DELBOS pose avec lucidité les
questions que soulève l’engagement dans la « voie initiatique maçonnique
». Il porte sur l’initiation, le rite et le symbole aux trois degrés de la
Maçonnerie Bleue, le regard de l’homme de la fin du vingtième siècle,
respectueux de la tradition certes mais décidé à la mettre à l’épreuve des
connaissances de notre temps. Il nous présente le symbolisme maçonnique en
proposant une réflexion sur ce qui le rattache aux traditions initiatiques
antérieures et aux grands courants philosophiques, tout en caractérisant
les spécificités qui le distinguent des philosophies et des religions ou
des ésotérismes des sectes. La voie initiatique maçonnique apparaît ici
comme une quête de spiritualité, ce qu’elle est, mais à la recherche d’une
spiritualité laïque, acceptable par tout esprit ouvert et tolérant,
quelles que soient ses origines culturelles, religieuses ou ethniques. « Il m’a semblé que [l’espérance] était un terme emblématique autour duquel tournent toutes les questions que l’on peut se poser à propos du cheminement initiatique en général et donc du cheminement initiatique maçonnique en particulier. Quelle est l’Espérance capable de donner à l’Homme des raisons de vivre ? Quelles espérances font courir le Franc-maçon se rendant le soir après son travail à ses réunions rituelles ? La voie initiatique maçonnique est-elle de nature, en comblant les espérances de Maçon, à proposer une réponse à la soif d’Espérance de l’Homme ? » |
le symbolisme des jeux | J. M. lhote | Berg | 1976 |
Le jeu a toujours
exprimé un besoin profond de l’homme : celui de transcender la réalité, de
recréer un monde où tout est possible, où le hasard règne en maître, mais
aussi où l’adresse et l’imagination trouvent à se manifester. Après l’exposé d’une classification adaptée à l’étude du symbolisme, Jean-Marie LHÔTE passe en revue toutes les familles de jeux : jeux rituels liés au sacré, fêtes de Carnaval remises de nos jours à la mode, jeux de société tels que les dames, l’oie, le loto, les échecs, la balle, les différents jeux de cartes et, bien sûr, les jeux de l’enfance : poupées, constructions, modèles réduits, marelles, etc. Fondé sur une recherche rigoureuse, ce livre laisse néanmoins place à la poésie, en même temps qu’il nous fait découvrir les origines des jeux et la fonction qu’ils ont eue à travers les civilisations, celle qu’ils ont de nos jours encore. L’auteur fait de nombreuses incursions dans le monde contemporain, à travers entre autres les anti-jeux que sont pour lui les « jeux éducatifs ». Un livre de référence. |
LE SYMBOLISME DES 4 VIVANTS ÉZÉCHIEL ST JEAN ET LA TRADITION | Michel FROMAGET | Du FELIN | 1992 |
Cet ouvrage est l’étude autour des symboles de l’aigle, du Taureau, du Lion et de l’ homme dans le Judaïsme et le Christianisme. Une symbolique très forte que quelquefois on oublie. |
le symbolisme du corps humain | Annick de souzenelle | Dangles | 1984 |
Si on a dit des
cathédrales qu’elles sont des « livres de pierres », on peut dire que le
corps humain – dont la structure s’ordonne sur le même schéma – est un «
livre de chair ». Apprendre à le lire, c’est être attentif à son dessin, à
la toponymie de sa géographie anatomique ; c’est entendre ce que nous
disent les grands mythes de l’humanité de chacun des organes du corps et
de leur fonction subtile ; c’est aussi découvrir l’Arbre des Qabbalistes,
Arbre du « corps divin » à l’image duquel est créé le corps humain. Nous découvrons alors ceci : Notre corps EST un langage et nous propose un programme à réaliser ; il est, entre les mains de l’ouvrier que nous sommes, tout à la fois matière première à partir de laquelle nous œuvrons, ainsi qu’outil et creuset dans lequel nous opérons. S’il est en soi un langage, le corps aussi s’exprime : il a un langage, celui de la jouissance et, le plus souvent, de la souffrance ! Décrypter celui-là, c’est entrer en communication avec nous-mêmes, et proposer à nos sciences humaines et médicales une profonde remise en question ; nous n’avons plus à leur donner tout pouvoir ; elles n’ont plus à le prendre, mais nous avons à cheminer ensemble, et dans nos rôles respectifs, pour écouter le message du corps. Écouter, comprendre et obéir à ce message, c’est entrer dans la grande geste de l’Homme et du Dieu que chacun de nous est en devenir. On y trouve : l’Épée – l’Arbre de vie – le Bien et le Mal – les Séphiroth – Malkuth – les Genoux – les Jambes – la Circoncision – le Déluge – le Labyrinthe – la Porte des hommes – Jacob – le Christ – la Porte des Dieux – les Reins – les Os – le Sang – le Feu – le Cœur – les Poumons – l’Estomac – l’Œuvre au noir – les Enfers – la Souffrance – l’Aigle – DANTE – Prométhée – l’Œuvre au blanc – l’Oreille – la Langue – le Rouge – la Salive – Tobie – l’Émeraude – les Cheveux – la Mandorle – les Larmes – les Yeux. |
le symbolisme ésotérique | M. centini | DE VECCHI | 2000 |
Pour découvrir et
comprendre le mystérieux langage ésotérique, les codes, et les secrets. L’ésotérisme est souvent objet de méprises, liées à l’ignorance des uns ou victime de cette « volonté de mystère » qui, aujourd’hui, caractérise l’homme moderne, apparemment fils de la raison et de la rationalité. Cet ouvrage, écrit par un spécialiste des sciences traditionnelles, nous propose une étude passionnante sur l’ésotérisme, exempte de tout romantisme et de toute interprétation faussée par notre regard moderne. Symbolisme ésotérique chrétien, symbolisme des autres religions, symbolisme architectural, l’auteur nous offre un panorama historique et culturel complet des symboles et nous fait découvrir les arcanes d’une tradition ancestrale qui cimente plus qu’on ne le croit notre culture européenne. Quels secrets se cachent derrière le Saint Graal ? Qu’est-ce qui a motivé le grand œuvre des alchimistes ? Quelle est la quête des Francs-maçons ? Quel est le mystère des Templiers ? Le symbolisme des nombres et de la poésie ? C’est ce que nous découvrirons dans cet ouvrage passionnant, riche et instructif. Les pyramides, les labyrinthes, les druides, ZARA THOUSTRA, ENOCH, le GOLEM, la croix, le Graal, la pierre noire, les soufis, Chartres, St Jacques de COMPOSTELLE, le un, le deux, le trois, le quatre, le cinq, le six, le sept, le huit, le neuf, le dix, le zéro, le 666, Hermès TRISMEGISTRE, les esséniens, les chamans, la Franc-maçonnerie, l’Absolu, JONAS. |
le symbolisme maçonnique & hermétique de peter pan | Richard khaitzine | RAMUEL | 1996 |
Ce premier livre,
inaugurant la collection « Il était une fois », s’adresse aussi bien aux
adolescents qu’aux adultes. L’étudiant, le frère Maçon, le professeur y
trouveront matière à réflexion. « Peter Pan », le chef-d’œuvre de James BARRIE, ne dépareille en rien les contes traditionnels. Il s’agit d’un livre d’une haute portée spirituelle et symbolique. Comme tous les contes, cette histoire à dormir debout constitue un excellent moyen de demeurer éveillé. Le présent ouvrage se situe dans la droite ligne du précédent livre écrit par l’auteur : « La Langue des Oiseaux ». Il est une invitation à lire autrement, plus intelligemment. Si vous souhaitez comprendre le sens de votre existence, accompagnez-nous dans ce voyage vers l’île de Nulle Part ! On y parle de la Langue des Oiseaux et des mondes naturels et surnaturels. |
le symbolisme maçonnique et hermétique du petit chaperon rouge | Richard khaitzine | Ramuel | 1997 |
Si l’interprétation des contes de PERRAULT peut se lire à plusieurs degrés, l’auteur nous le fait lire avec des symboles maçonniques partant du cabinet de réflexion il nous fait voyager à travers la science hermétique des étoiles jusqu’à la galette des Rois et le moulin de la galette. |
le symbolisme occulte de la franc-maçonnerie | Oswald WIRTH | Dervy | 1997 |
Tous les frères devraient lire ce livre qui assomme des vérités, fait mal à ceux qui ne visent que « la cuisine des souffleurs » selon O. WIRTH mais conforte ceux qui pensent être sur la bonne voie et qui ont compris la démarche. |
le taureau | Tristan lafranchis | PARDES | 1993 |
L’aurochs de
Lascaux, l’Apis des pharaons, la victime de Mithra et le bœuf ailé de St
LUC témoignent de la permanence symbolique du taureau à travers les âges. Gibier de nos ancêtres, domestiqué pour sa viande, sa force de travail et son sang qui arrosait les autels, le bovin reste très présent dans l’imaginaire de nombreux peuples. Animal sacré en Inde, signe de richesse en Afrique noire, le taureau continue de représenter la force et la virilité : rodéos et corridas se font l’écho des exploits d’Hercule et de Thésée. Symbole ancien entre tous, le taureau évoque à la fois la terre et l’eau fécondante, le chaud soleil et la lune cornue, le pouvoir des chefs et des dieux. Garant de l’ordre cosmique, le taureau apporte la prospérité à l’éleveur et l’harmonie universelle à l’humanité. Symbole de force et de fécondité, le taureau est un témoin privilégie de l’aventure humaine. |
LE TEMPLE MACONNIQUE ET SES MYSTERES | ANDRE QUEMET | LA MAISON DE VIE | 2009 |
Si
chaque courant spirituel a un temple qui lui est spécifique, cet ouvrage
s’interroge sur la nature et la fonction du temple maçonnique. Quels sont
son origine, son modèle , son fondement , son but ? A quels critères
doit-il répondre ? Peut-il être profané ? Quel parcours implique t-il ?
L’auteur établit que, si l’on se demande comment construire le Temple, plusieurs questions doivent être posées : celle de l’identification du mythe de création auquel il se rattache, celle des symboles qui décorent ses différentes parties, celle du rituel qui l’anime, mais également celle du devoir de formulation qui doit être respecté avec une rigueur absolue. Bien qu’il n’occupe plus le centre de la cité et qu’il se réduise souvent à un espace exigu et multifonctionnel, le Temple n’est pas un simple lieu de réunion. Sans lui, la société des hommes ne peut vivre en harmonie, car ils négligent fatalement ce qui est essentiel à leur vie intérieure. |
l’étoile flamboyante | J. trescases | TREDANIEL | 1993 |
L’étoile à cinq
branches figure sur quarante-huit étendards, de pays aussi différents que
les U.S.A., la Chine, l’Europe ou le Maroc. Elle doit donc avoir un sens,
même si le secret de sa traduction en a été quelque peu oublié. Sa signification apparaît lorsqu’on se rappelle qu’héritée des Égyptiens, elle était l’emblème d’Hygie, déesse de la santé préventive, et de Pythagore, géomètre, philosophe et initié. Mieux encore, guide des Mages vers Bethléem, elle constitue l’architecture secrète des églises romanes et cathédrales gothiques qu’elle décore discrètement, mais de manière significative. Symbole de l’harmonie, elle représente la vie dans son dynamisme évolutif ou récessif, telle qu’elle s’incarne dans l’homme et, plus précisément, décrit le fonctionnement psychique de celui-ci. Symbole clef de la Franc-maçonnerie et du compagnonnage, son actualité et son universalité sont confirmées par les plus récentes découvertes de la psychologie de la motivation et de la chirurgie du cerveau. Sa fécondité ne se limite d’ailleurs pas à ces applications précises : symbole commun à toutes les symboliques, elle contient en elle-même son propre principe explicatif et la justification de l’ésotérisme, tandis qu’elle constitue un guide sûr pour comprendre le sens de la vie, dans l’infinie variété de ses manifestations, situations ou types d’organisation. |
l’étoile flamboyante | Olivier doignon | MAISON DE VIE | 2002 |
Symbole dont la
présence est avérée dans de nombreuses traditions depuis la plus haute
antiquité, l’Étoile flamboyante fait partie du deuxième degré de la
Franc-maçonnerie. Il est demandé, en effet, au Compagnon de voir «
l’Étoile flamboyante ». En voyant l’Étoile flamboyante, le Compagnon voit un chemin tracé par elle. Traçant le chemin, l’Étoile trace le plan du Temple. Afin de restituer à ce symbole, norme de la multiplicité de la création dans laquelle l’Unité originelle reste perceptible, toute la place qui lui revient, ce livre s’interroge sur le sens de cette « vision », et s’efforce de déjouer les pièges auxquels une approche analogique de l’homme et de l’étoile conduit. |
LE Vénérable Maître Fonction, Devoir et symbolique | JEAN DELAPORTE | LA MAISON DE VIE | 2009 |
Siégeant à l’orient de la loge,
le Vénérable Maître est chargé de la diriger et de l’orienter
vers la lumière. Héritage de la tradition initiatique des bâtisseurs, la
fonction Vénérable rassemble en son sein toutes les fonctions créatrices
utilisées lors de la construction du Temple. |
le voyage | J.P. laurant | LEBAUD | 1995 |
Le voyage est une
rupture qui permet à l’homme d’échapper au destin de son quotidien. Le
lointain d’autrefois est aujourd’hui accessible en quelques heures d’avion
et l’image du danger d’une traversée en mer est effacée par le confort des
paquebots. Et pourtant, l’invitation au voyage n’a jamais été aussi vive.
Le voyageur moderne recherche, comme le premier des croisés, le mystère
des terres inconnues, le souffle des grands espaces, et le merveilleux
d’une cité enfin idéale. Adaptés aux techniques modernes, les symboles associés au voyage n’ont rien perdu de leur vitalité. New York porte l’écho de Babylone, la croisière en Méditerranée veut figurer l’Odyssée, et le Télémaque du XXème siècle a l’attitude et les gestes éternels du voyageur : l’appel, le départ, le passage, la rencontre, le guide, le retour et le souvenir du si beau voyage… On y trouve : le rêve, les gardiens du seuil, l’épreuve du temps, les combats, la carte, le guide divin, la perle, et les souvenirs du voyage. |
L’HOMME ET LE SACRE | Roger CAILLOIS | Collection GALLIMARD | 1950 |
L' auteur nous donne ici sa version sociologique et philosophique sur le sacré, cette source ou s’adresse les cherchant. |
l’humilité | C. LAMARCHE – VADEL | AUTREMENT | 1992 |
Cette vertu
propose une autre échelle de valeurs. St Augustin parle de « sommets de
l’humilité », cette élévation-là est un long travail d’approfondissement
et comme disait M.M. DAVY un travail de « déblaiement ». Mais attention à la fausse humilité. |
L’ŒIL , SON SYMBOLISME ESOTERIQUE, SPIRITUEL ET UNIVERSEL | DIVERS AUTEURS | ARCADIA | 2004 |
Important dossier sur le symbolisme de l’œil , qu’il soit maçonnique ,
égyptien , ou philosophique , l’œil a toujours fasciné , depuis la nuit
des temps l’homme l’a assimilé à la divinité ou à sa propre conscience .
Il ne laisse indifférent, ni les sociétés spirituelles, ni religieuses, ni
animistes. On trouve dans cette étude : Le Graal , Lucifer et son émeraude
,Adam , l’œil d’Horus coupé en 64 morceaux par Seth , le 3e œil des
Hindous, représenté par le 6e chakra , l’œil du cœur , Victor Hugo et son
œil dans la tombe , l’œil pinéal , le mauvais œil . Tout ce qui se
rattache à l’œil comme la cécité, les aveugles, les borgnes,
l’intériorité, les ténèbres. Le mot ayin veut dire œil en hébreu et il désigne la source . Pratiquement toutes les religions et les philosophies parlent d’œil Divin , l’œil qui voit tout , l’œil Divin au centre du tétragramme et du triangle Maçonnique . L’œil ou la conscience qui s’éveille , était accompagnée en Egypte du Scarabée d’or . On y trouve l’histoire de Tobie aveugle qui fut guéri par l’ange Raphael . Les grands cyclopes , le célèbre borgne Odin dans la mythologie scandinave , St Paul devenu aveugle sur le chemin de Damas , le poisson aux 4 yeux . Les yeux du Bouddha Gautama dans son célèbre sermon de Bénares . Enfin les célèbres phrases de St EXUPERY : On ne voit bien qu’avec le cœur L’essentiel est invisible pour les yeux L’important n’est pas de se regarder l’un vers l’autre , mais de regarder vers la même direction |
loge maçonnique, loge symbolique ? | C. vernon | MAISON DE VIE | 2005 |
Qu’est-ce qu’une Loge maçonnique qui pratique l’initiation, sur quelle
Tradition se fonde-t-elle, de quel mythe s’inspire-t-elle, quels rituels
vit-elle ? Sur le chemin des symboles, une Loge initiatique s’attache à des valeurs fondamentales, comme l’intelligence du cœur, la Fraternité et la Sécurité, le sens de la liberté ou la lucidité, sans oublier l’humour et la joie de vivre une expérience incomparable. Ce témoignage permet de mieux connaître et de mieux comprendre le fonctionnement d’une Loge initiatique, le choix de ses travaux et son désir d’accomplir « l’Art royal », voie de Connaissance. Quelques valeurs sont développées : le respect, la solidarité, la hiérarchie, la liberté, la responsabilité spirituelle, la parole, la volonté, la lucidité, l’humour, l’humilité, la fidélité et la joie. |
L’origine des rites et symboles maçonniques | Guy TREVOUX | DU ROCHER | 2002 |
C’est une passionnante exploration des origines de la tradition maçonnique. On y trouve la loge de St jean, les déambulations de Paques, les rites de purification, le pavé mosaïque, le nombre 3, la lune, la nature, la svastika, le nombre 5, l’alphabet phénicien, les colonnes du Temple et Hiram et sa légende. |
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