Chapitre 2 A - K ( Symbolisme ) |
alma
mater – l’Éternel fÉminin |
Myriam philibert |
Edition ARQA |
2006 |
Alma Mater ! La mère nourricière…
Terre Mère et Déesse Mère. Elle nous porte et nous chérit depuis l’aube de
l’Humanité. Mais quelle en fut sa représentation première – ses différentes
figurations, sa symbolique, dans les cultures indo-européennes et au-delà ?
Pour le savoir il nous faut suivre ici Myriam Philibert, pas à pas, sur les
traces de la Déesse qui, depuis l’âge du feu et des silex jusqu’aux Vierges
de bois noir du Moyen-Âge, nous permet de cheminer avec elle, au gré des
mythes, des légendes, et des chemins de terre, à la découverte de ces
divinités tutélaires, gardiennes de toute éternité des mystères de l’Origine.
Qui sont-elles vraiment, ces Vénus
préhistoriques, lourdes de seins et de ventres ? Gaïa, la Grande Mère
céleste, Cybèle, Isis, ou encore Lilith ou Inanna… La quête de l’Eternel féminin,
quête de sens, d’absolu et de connaissance, n’est-elle pas en secret, la
seule authentique voie d’excellence qui, nous permettant de retrouver la part
universelle de la Déesse, nous accorde à nous aussi, hommes et femmes
confondus, de comprendre sincèrement la pensée intérieure du féminin sacré
qui nous habite, pour enfin unifier pacifiquement nos différences ? Beaucoup
plus qu’une part de rêve, une part de vérité, sans laquelle nous ne saurions
prétendre retrouver le chemin de l’Etoile… Celui de l’éternel retour. Au sommaire de cet ouvrage on y
trouve : Déméter et son mythe grec
- le Principe -
la Terre et la Mère - Céleste, la Vierge cosmique -
Exubérante, la puissance végétale
- l’Éternel Féminin -
Le retour de la Déesse -
|
2 B
B.A.
– ba des fÉes |
A.L. d’apremont |
Edition PARDES |
2001 |
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Si les fées demeurent dans le
monde subtil, elles agissent pourtant sur notre environnement immédiat. Hier,
nos ancêtres le savaient, et ils les honoraient. Aujourd’hui, elles font
partie intégrante du ré enchantement du multivers et de la redécouverte de la
sacralité.
|
B.A. ELFES, FÉES, et GNOMES |
Johfra - Carjan et Ellen Lorien |
Edition Amrita |
1989 |
Les
Elfes, les Fées, les Gnomes, autant de petits êtres que nous avons
soigneusement rangés dans nos mémoires d’enfant, parmi les rayonnages de nos bibliothèques
de contes de Fées… Pour certains d’entre nous, supra-sensible, les forces de
la Nature qu’ils incarnent ont pourtant une parfaite réalité. Écoutons-les :
« Aujourd’hui, nous les elfes, aimerions vous parler un
peu de nous et de notre monde, ce monde tout aussi réel que le vôtre mais
qui, pour tant d’humain, n’a pas d’autre réalité que celle des contes de
fées. Il y eut pourtant, autrefois, un temps où nos deux peuples, le vôtre et
le nôtre, étaient proches l’un de l’autre, un temps où les hommes ne nous
avaient rangés sur les rayonnages poussiéreux, un temps où ils connaissaient
nos activités, notre joie, notre gaité. Nous formions une grande famille,
très diversifiée. La terre, l’eau, l’air et le feu sont nos demeures. Oui
nous pouvons dire que nous sommes l’essence même de ces éléments. C’est pour
cette raison que nos corps prennent des aspects très divers dès que nous
voulons nous manifester. C’est pour cela aussi que les hommes nous ont donné
des noms différents. Savez- vous que votre corps contient l’énergie de ces quatre
éléments ? Pour nous, nous ne sommes qu’un seul élément à la fois, et
nous formons ainsi ce que vous appelez les Elémentals, et qui représente
l’ensemble de la Nature. Jadis, les hommes savaient ce que nous faisions pour
eux, à travers la Nature et prenaient garde à ne pas détruire notre travail.
Hélas, de nos jours, il semble que beaucoup d’entre vous aient complètement
perdu le contact conscient avec leur source de vie : la Nature, la
Terre. L’homme se détruit lui-même, parce qu’il se pense en termes de
séparation, il se croit seul, isolé. Comment peut-on ignorer que le souffle
du vent, c’est vous, vous encore chacun des rayons que le soleil vous envoie,
que vous êtes issus de l’eau et qu’elle relie tous vos tissus, que vous ne
pouvez vivre sans l’air que vous respirez ? Comment pouvez-vous être
assez obtus pour ignorer que lorsqu’un être souffre ou se réjouit, la
conscience tout entière de la Terre partage sa souffrance ou sa
joie ? La matière dans laquelle nous pouvons nous manifester
s’appelle L’éther, et si vous lisez ces lignes c’est parce que vous savez
bien que tout, dans l’Univers est vibration. Matière, chaleur, son, lumière,
rayons ultra-violets, rayon X, âmes, esprits, tout est vibration sur une
certaine longueur d’onde. L’éther qui nous donne vie est un monde dans lequel
les manifestations vibrent sur une fréquence qui n’est pas, en général
visible, audible, palpable pour le sens des hommes ». Tel est le message et le constat que nous donnent ces êtres
invisibles mais présents. Des aquarelles superbes de Johfra (auteur par ailleurs des 12 signes du Zodiaque), ainsi que de Ellen Lorien et de Carjan. |
BIBLE DES FÉES |
Teresa Moorey |
Edition Trédaniel |
2010 |
Bienvenue dans le monde magique des fées. Des descriptions détaillées et de belles illustrations vous présentent plus d’une centaine de fées. Il y est question de celles qui habitent les fleurs, les arbres, jusqu’aux sirènes, farfadets et feux follets, et bien d’autres. En nous permettant d’accéder au royaume des fées, l’auteur nous initie aux coutumes, traditions et langages de ce monde enchanteur. Et si par extraordinaire, au hasard des pages, vous découvrez les endroits propices à leur rencontre… Riche en conseils et explications minutieuses, cet ouvrage vous permettra de choisir les charmes et les méditations appropriés pour attirer près de vous ces créatures fugaces, qui vous apporteront chance, amour et réussite… Un livre plein de poésie, de réflexions et de bons conseils pour pouvoir se connecter à la fée de son choix et pouvoir l’attirer dans un dialogue dont sortira, apaisement, joie, bonheur et énergie positive. |
BLÉ, VIN,
PAIN, HUILE,
SEL, ENCENS, CONSÉCRATION |
DIVERS AUTEURS |
ARCADIA |
2005 |
Un dossier très
important sur diverses symboliques, dont celle d’une consécration de loge.
Des articles magnifiques sur ces sujets, par Michel Viot, Pierre
Benzaquen, J.M Couvert, Jean Lalande, ou S. Fischer-Rizzi. Cette consécration de
loge a été très bien décrite dans un
livre de Jean-Luc Leguay, avec des
enluminures superbes (voir Chapitre 1) Cinq ingrédients vont
servir pour cette consécration, quant au pain, il est omniprésent dans les
cérémonies de la cène ou de l’agape. Tous ces ingrédients sont ici étudiés à
travers plusieurs grilles de lecture : littérale, symbolique,
philosophique, religieuse, anagogique et métaphysique. Le
Blé : Il
sert à la fabrication du pain, aliment essentiel. Dans le rituel de consécration
le blé est synonyme de fécondité et d’abondance, c’est le 1e
voyage, que font les officiers consacrants et c’est le Grand Maître qui
le répand. Dans les mystères d’Eleusis, le grain de blé est symbole de vie et
de mort, il meurt en automne et renaît au printemps, c’est l’alternance des
saisons, la fécondité, un don de Dieu et les mystères de la vie. Le Pain : Aliment de
base depuis que l’homme à découvert l’agriculture. Les grecs furent les
pionniers et les grands spécialistes dans l’art d’inventer des diversités de
pains, mais ce sont les hébreux qui trouvèrent la recette du levain, bien que
l’Eternel ordonna à Moïse pendant la Pâque, de manger des azymes, pain sans
levain, mince et léger. Autrefois, dans le bassin méditerranéen, les pains avaient
la forme d’une boule, appelée boulens, par la suite au XVe siècle
cette boulens donna le nom de boulanger. Jésus développa la
symbolique du pain, que ce soit avec la multiplication des petits pains, ou
avec la Cène. Bethléem signifie « La maison du pain ».
Le pain est symbole de fraternité, d’amitié et de partage spirituel dans les
voies initiatiques. Sur le plan religieux, la communion avec l’hostie,
représente le grand mystère de la « transsubstantiation ». L’huile :
3e
voyage
des consacrants, le 2e GSC verse de l’huile en disant : Je donne à
cette loge l’onction d’huile, comme symbole de Paix et de Concorde. Cette
symbolique nous relie aux investitures et consécrations des Prêtres et des
Rois. Cette huile ou Saint- Chrême apportée par la colombe pour le baptême de
Clovis, et qui par la suite servira pour toutes les royautés et le clergé.
Souvent les huiles sont mélangées avec du miel, du poivre ou du lys. L’huile
d’olive étant presque divinisée dans tout le bassin méditerranéen, que ce
soit pour la cuisine, pour des onctions, ou des onguents. Les huiles
essentielles font un retour en force, dans diverses pratiques culinaires ou
de pharmacopée. L’oint du Seigneur,
vient du mot hébreu : Messie,
qui en grec se dit Christos, et si
Jésus n’a pas reçu une onction d’huile matérielle, la descente du
Saint-Esprit sur sa tête fait office d’onction spirituelle. Le
Vin : 2e
voyage
des consacrants. Le 1e GSC verse du vin et dit : Je verse
du vin dans cette loge, en signe de joie et d’allégresse, puisse le bonheur
envahir le cœur de tous les frères. Le vin nous ramène à Noé, qui
eut quelques petits problèmes avec la vigne, à Dionysos, dieu du vin et des
fêtes, à Jésus qui dit : je suis le cep, vous êtes les sarments, aux
noces de cana, et la transformation de l’eau en vin, il est représentatif de
l’amour, de l’immortalité, même le cantique des cantiques fait l’éloge
du vin, alors que l’islam interprète l’interdiction de boire du vin, les
soufis au contraire prônent sa boisson et disent être des échansons, à la
recherche de l’ivresse mystique. Le graal, et les mystères du moyen-âge
encensaient le vin. Le Sel :
4e
voyage
des consacrants. Le GMC verse du sel en disant : Je répands du sel
dans cette loge pour symboliser l’hospitalité et l’amitié. Puissent la
prospérité et le bonheur régner dans cette loge. Symbole avec le pain de
partage et d’hospitalité, il est dit : tu
mettras du sel sur toutes tes offrandes, signe d’alliance de ton Dieu.
Sel purificateur, il chasse les démons ou énergies vibratoires néfastes et
nuisibles, au Japon les Sumo lancent du sel à l’intérieur du cercle sacré, en
guise de protection divine. Il a tout au long de l’histoire, servi de
monnaie, il était d’ailleurs assez lourdement taxé (gabelle).Comme tous les
symboles, il a aussi son contraire et le sel peut éroder et détruire
les hommes, et les éléments matériels. L’Encens : 5e voyage : Le
Chapelain ou l’Hospitalier consacrant, va alors entreprendre, sous la forme de
3 voyages, des encensements rituels comme action de purification. L’encens symbolise le parfum céleste de la sainteté et rappelle la
fumée émanant des sacrifices accomplis sur l’autel du Temple. Les cultures
anciennes employaient l’encens comme moyen d’entrer en contact avec les
forces subtiles de la nature, d’en recevoir les messages et de mieux
comprendre les liens qui la régissent. Les asiatiques et les animistes
brulent de l’encens en permanence, c’est dans leur culture et leur tradition,
ce sont des marques de prières, d’émanation de l’esprit divin, de purifications,
et une façon d’enlever les charges négatives
de son environnement. L’encens favorise la concentration, la spiritualité, et notre évolution
intérieure. L’encens se pratique en
bâtonnets, en poudre ou en grains sur des charbons, de très nombreux encens
sont à notre disposition, les plus connus étant l’hindou, le japonais, le
tibétain et les gommes arabiques pour les poudres et grains. |
brÉve
Étude sur les trois piliers |
Marcel spaeth |
Edition Détrad |
1993 |
On ne parle pas souvent des trois
piliers, ainsi cette plaquette nous rappelle leur symbolisme, et nous propose
une méditation sur la valeur ésotérique de notre initiation. 3 vertus cardinales sont attachées
à ces piliers et ces vertus cardinales peuvent s’emboiter dans les vertus
théologales, ainsi la Force s’épanouira dans la l’espérance, la sagesse dans
la foi et la beauté dans la charité. Au sommaire de cette étude : Les trois piliers -
les piliers et les colonnes
- le Temple -
piliers et chandeliers - position des piliers -
le nom des piliers - similitudes avec les deux colonnes -
l’arbre de vie - les vertus - |
2 C
caducÉe
– ÉpÉe – lance – ÉpḖe flamboyante – bouclier – hache – double hache –
GLAIVE - |
Divers Auteurs |
ARCADIA |
2004 |
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En raison des
attributs du Dieu Hermès : Il est le dieu du commerce, des professions qui
s'occupent de la communication comme les imprimeurs, le gardien des routes et
des carrefours, des voyageurs, des bergers, et dieu de la ruse, du vol et des
voleurs, puis dieu accompagnateur des âmes des morts aux Enfers. Il est
évident que le caducée d'Hermès ne doit pas et ne peut pas être utilisé comme
emblème médical. Cependant vers le XVIe siècle, une confusion est apparue
avec le bâton d'Esculape (qui est aussi un caducée), et peu à peu, ce caducée
a quitté le domaine militaire auquel il avait été d’abord cantonné comme
symbole de la paix, et il est devenu l'emblème de la profession médicale dans
de nombreux pays. La légende rapporte qu'un jour, Asclépios, voyant un
serpent se diriger vers lui, il tendit son bâton dans sa direction. L'animal
s'y enroula. Asclépios frappa le sol et tua la bête. Un second serpent
apparut soudain, tenant dans sa bouche, une herbe mystérieuse avec laquelle
il rappela à la vie l'autre reptile. Asclépios eut alors la révélation de la
vertu médicinale des herbes. L'emblème d'Asclépios est un bâton court le long
duquel s'enroule un serpent. À l'origine, dans la mythologie grecque, il est
l'attribut du dieu Apollon qui l'offre à son fils Asclépios, dieu de la
médecine.
La hache
et la double-hache, symbolise l’arme
d’ouverture (ouverture du cerveau de Zeus, qui ainsi donne passage également
de la foudre et de la pluie, arme fécondante et de rétractation qui donne
ainsi passage à Athéna / Pallas, déesse de la sagesse, symbole également de
la foudre et de la pluie, arme fécondantes et de rétraction spirituelle. La double
hache fait partie des grands
symboles spirituels de l’humanité. Les plus anciennes représentations connues
ont été découvertes sur le site d’Arpachaiya, près de Mossoul en Irak dans
les niveaux de la culture mésopotamienne dite « halafienne » qui
remonte au 5ème, 4ème millénaire avant notre ère. Des doubles haches soit en
miniature soit représentées sur des vases ont été inventoriées. Nous savons
que l’époux de la grande déesse D’Arinna, la déesse du soleil, est le dieu de
l’orage appelé Tarhund chez les Hittites, Datta chez les Louvites ; il
est le même que le Tesub (Tchou) des Hourrites. Ces divinités souvent debout
sur un taureau brandissent à la main une double hache, elles s’en servent
pour fracasser les nuages, déclenchant les orages qui provoquent la pluie
indispensable aux cultures et aux pâturages. C’est une figure semblable de
dieu de l’orage qui est devenu le Zeus Stratios de Labranda dont la double
hache est le symbole. C’est aussi l’emblème d’Haddad dieu Sémite de la foudre
ouvrant avec sa double hache les réservoirs du firmament pour faire tomber la
pluie en fendant les arbres géants de la forêt. Dans ces régions la double
hache est toujours le symbole de l’éclair 1 du feu donc de la lumière mais
aussi de la fertilité. Restons sur les rives de la Méditerranée en Phénicie c’est-à-dire le Liban actuel et suivons Zeus transformé en taureau enlevant Europe fille d’Agénor roi de Phénicie. Nous arrivons vite sur la plage d’une baie naturelle en Crête, Matala où il est toujours agréable un soir d’été assis dans un des restaurants bâtis sur pilotis, d’admirer le soleil avalé par la mer de Lybie tout en sirotant un Ouzo avec quelques tranches de concombre-salé de la féta et quelques olives. La falaise côté nord ressemble à un gruyère, les romains creusèrent la falaise pour en faire un cimetière et sur le côté sud on peut toujours deviner un port. Nous sommes sur l’un des trois ports de Phaïtos situé à quelques kilomètres de là. Cet immense temple palais domine la riche plaine de la Messana, avec ses oliviers, citronniers, orangers, qu’arrose le Ieropatomus (le fleuve sacré) que l’on peut voir des terrasses du palais. Des dizaines de signes mystérieux dont la double hache sont gravés sur les murs de ce palais. Ces inscriptions n’étaient pas visibles lors de l’existence il y a 35 siècles de Phaïtos, car à l’époque ils étaient recouverts de stuc. Faut-il y voir les plus vieilles marques compagnonniques connues ? Héphaïstos c’est le vulcain romain, le patron des bons cousins forgerons et dieu de la métallurgie. Armé de la double hache celui-ci va à la demande de Zeus fendre le crâne de ce dernier pour que puisse s’en échapper, alors qu’elle y était enfermée, la déesse Athéna qui représente la sagesse. La double hache permet de découvrir la sagesse. L'Epée flamboyante,
qui représente le pouvoir spirituel, dirigée vers le ciel, elle capte les énergies
célestes et les restitue dans le monde terrestre, sa lame torsadée ou
serpentine est aussi l'expression de l'éclair divin illuminant le monde d'en
bas, plongé dans la matérialité. Elle peut représenter Ziza ou Zizon ou Zeus
tenant un éclair dans sa main. Kether- Malkuth (Épée Flamboyante) : Le premier mouvement est considéré dans la
tradition kabbalistique comme véhiculant les secrets de la Création. Ce
mouvement se rapporte au macrocosme – à l’univers qui nous entoure. Sur
l’Arbre de Vie lui-même, ce Sentier, ou cette Voie, démarre de Kether et
aboutit à Malkuth dans une course en zigzag que l’on appelle « Épée
Flamboyante ». Cette Voie est la course primordiale de l’énergie créatrice au
travers des Sephiroth au travers des trois Piliers (Miséricorde, Rigueur et
Milieu). Son voyage commence dans le Monde d’Atsilouth afin de se rendre dans
le monde d’Asia au travers du Monde de Yetsirah et du Monde de Briah. L’Épée Flamboyante a encore une autre signification dans la Kabbale : la Tradition veut que chaque Sephiroth prenne la forme d’un centre d’énergie déséquilibré et sans harmonie. Ce déséquilibre est personnifié en tant qu’entité démoniaque – ou « puissance négative » — que l’on met en parallèle avec les Klippoth ou « coques négatives ». L’harmonisation et l’équilibrage de chaque Séphira par la descente de l’énergie de la création prennent la forme d’une image de la guerre contre les puissances du chaos. Ainsi, l’Épée, dans sa descente dans l’Arbre de Vie, devient un talisman pour vaincre les forces destructrices ; ainsi, en magie, la formule de l’Épée est une arme nécessaire pour le magicien afin d’équilibrer son être – en utilisant ainsi la formule dans le domaine du microcosme. La hache couronnée symbolisant
la coupe de l’arbre qui servira à l’édification du 2ème temple, elle est le
vainqueur de l’apocalypse. La lance de Longin, prolongement de l’épée, arme
de chasse, mais aussi arme de combat.
Enfin le
glaive, si l’épée transperce, le glaive tranche. Agissante, avec
la balance, le glaive est symbole de justice. Dans l’apocalypse le
Christ tient dans sa bouche un glaive à 2 tranchants, symbole du feu
purificateur et de la vérité, il est le logos (verbe de Dieu). "Et une
épée acérée sortie de sa bouche... Apocalypse".... Le glaive,
symbole de puissance, rappelle quant à lui que la justice n’est rien sans la
force qui permet de la faire appliquer : juger ne consiste pas seulement
à examiner, peser, équilibrer, mais encore à trancher et sanctionner. Le glaive
constitue d’ailleurs l’un des attributs symboliques traditionnels de ce
monopole de la violence physique légitime qui caractérise l’État souverain.
Le glaive désigne ainsi ce que juger peut avoir de douloureux : la
détermination de ce qui est juste n’est pas seulement affaire d’appréciation
intellectuelle, elle implique surtout une décision finale, exécutoire,
tranchant définitivement un conflit entre des intérêts divergents. |
CAZENAVE - LA MERVEILLE DES SYMBOLES |
Michel Cazenave |
Edition Arma Artis |
2011 |
Ce livre n’est pas un dictionnaire des symboles, mais cherche à être un « coup de phare » sur certains des symboles qui hantent notre imagination et qui font l’objet dans le vocabulaire moderne, de nombreuses interprétations. S’interroger
sur le symbole est un acte religieux, dans le sens où la méditation de ce
symbole fait appel à notre intuition, à notre âme, c’est être renvoyé aux
mystères et de ce fait être relié à eux. C’est
Héraclite qui disait –fragment 60- « La
route vers le haut et le bas sont une et la même ». Formule
reprise par Hermès Trismégiste « Tout ce
qui est en haut est comme tout ce qui est en bas, et tout ce qui est en bas
est comme tout ce qui est en haut ». Autrement dit, tout est
une transformation incessante dans le monde auquel nous vivons, entre le
monde visible et le monde invisible. Si
l’on ne prend pas garde au symbole, si on ne veille pas à en faire un usage
rigoureux, il nous entraine facilement dans la confusion de pensée. Carl
Gustav Jung l’avait bien repéré dans ce qu’il appelait « la
contamination des archétypes » : toute image symbolique en
appelle naturellement une autre, et on se retrouve à la fin avec une chaîne
infinie où tout et n’importe quoi finissent par symboliser avec n’importe
quoi d’autre. D’où
la nécessite de revenir aux racines de la réalité symbolique en ce qu’elle
est chargée de nous rendre visible ce qui est, dans son essence, de l’ordre
de l’invisible, de nous introduire au mystère tout en préservant le secret de
ce mystère fondateur : précaution élémentaire, à moins de dériver dans
le simple fantasme ; et d’autant plus nécessaire quand on s’intéresse à
un symbole puissamment composite, comme par exemple celui de l’eau. Au sommaire de cet ouvrage, les symboles suivants : Les éléments : La Terre - le Feu - L’Eau - l’Air - l’Ether - Les sens : le Goût - l’Odorat - le Toucher - la Vue - l’Ouïe - au-delà des 5 sens - Les fleurs dans leur jardin : le Jardin - la Rose - le Lis - le Lotus - l’Aubépine - le Narcisse - la Vigne - Des arbres : l’Arbre et la mère - le Pommier - le Figuier - le Palmier - l’Arbre masculin et l’Arbre androgyne - Castor, Pollux et le taureau - la raison des images - Nature et silence - |
CERCLE - LE CERCLE, UN SYMBOLE |
M. Loeffler- Delachaux |
Edition Signatura |
1947- Réédition 2008 |
Chaque
année, les aspects de la nature se succèdent dans le même temps et le même
ordre : stérilité du sol, gelé, saison des pluies, gonflement des
bourgeons, éclosions des fleurs, fructification,, puis retrait des sèves,
chute des feuilles et saison hivernale. C’est le développement de cette
courbe de vie revenant sans cesse qui a inspiré aux peuples primitifs l’idée
de représenter le cycle des saisons par un cercle. Il
arrive souvent an Art que le cercle dessiné au trait se confonde avec le
disque, du point de vue symbolique, cela n’a pas d’importance. Le disque est
au cercle ce que la cause est à l’effet. Il représente le soleil considéré
par les adeptes des cultes de la lumière comme l’aspect visible de l’Être
Suprême. Le
soleil fut adoré par la totalité des peuples au moment où, cessant d’être
pasteurs, ils devinrent agriculteurs. Le plus célèbre de tous les temples
péruviens est celui de Cuzco, dédié au Dieu Soleil. Ce temple était d’une
richesse extraordinaire ; d’autres temples solaires furent construit par
les Babyloniens, les Egyptiens, les Japonais, les peuples iraniens, de chine,
de Chaldée, de Grèce, de la Syrie … et c’est de l’adoration du soleil que
naquirent les religions hindoues, de Zoroastre, musulmane, du soufisme, les
cultes de Baal, de Zeus, d’Apollon, d’Osiris et autres… Deux symboles principaux ont représenté les dieux solaires dans l’Antiquité : 1/ Le disque, le cercle et leurs dérivés : rosace solaire, étoile solaire, croix solaire, boule, auréole, tonsure des prêtres, bouclier 2/ L’œil qui voit tout En outre, les rayons du soleil ont été symbolisés par l’ensemble
des objets pointus comme flèches, épées, glaives, bâtons, l’obélisque et le
rayon pétrifié. Cette belle et longue étude sur ce symbole du cercle nous
propose : Chapitre 1 : Le cercle et ses dérivés dans les cultes
solaires – répartition des symboles solaires essentiels au dieu-solaire et à
chaque personnage de la divinité.- Le bâton symbole du dieu-père – Rapport de
la flèche et de l’obélisque avec le rayon – rapport mythologique des pères
des dieux avec le travail sur bois – L’œil, symbole du dieu veillant – Œil du
cercle – Mythes de l’œil – les cycles gaulois – Pierrot, Polichinelle, Gilles
et Arlequin – les dieux boiteux – Héphaïstos – le disque symbole du dieu-juge
– les boucliers d’or de Jérusalem – le règne de l’agneau et celui du bouc – les
Dioscures – les Vierges et les dianes – Chapitre 2 : Les aspects du cercle et les couronnes – le cercle d’or d’Osimandias
– les murailles de Babylone – le cercle dans la construction des maisons et
des tombes – le cercle symbole de la perfection divine – Rapports avec la
magie – Les couronnes dans la kabbale – couronne solaire – sanctification –
Auréoles et couronnes de plumes – couronne de laurier et d’olivier – couronne
de justice – couronne de Vie – Couronne d’épines – l’acacia – Chapitre 3 : Les Roues solaires – le 25 Décembre – solstice d’été et d’hiver – les
fêtes païennes – Fêtes du feu – les bûchers et la Buche de Noël – Noël et la
roue solaire – roues flamboyantes – la 5e roue du char solaire – les
sociétés secrètes – la roue de la fortune dans les cathédrales - la
roulée – la roue du supplice –Meurtres rituels des victimes expiatoires
sacrifiées pour la purification d’un peuple – Astarté et Tanit – le supplice
du char chez les Hébreux – la roue de pierre du vieux Mexique – Chapitre 4 : Les symboles du bouclier – symboles du temps, du palmier, de
l’horloge – Héraklès remonte des enfers – Les symboles de l’instant – Dragons
à trois têtes – griffons et calices – origine du mot Jehova – Hiram et
Salomon, divinités des Druzes – les Polichinelles et les Carabosses – Le
point Nord – les trois pas de Vishnou – les androgynes – Janus Pater – le
sapin de Noël – les symboles du bouclier – rapport avec le mythe d’Adonis –
Résurrection et ascension dans les cultes solaires – Les jeux solaires de
l’équinoxe vernal – danses avec disques de plumes – jeux de pelote – jeux de
balles chez les indiens et les chinois – les quartiers de l’écu – divisions
de l’année en deux, trois ou quatre saisons – les quatre points cardinaux –
rapport avec les vents, les fleuves du Paradis et les enfers – Villes aux
quatre portes – le chérubin dans les cultes solaires et chrétiens –
Apparition de la croix – Chapitre 5 : Cercles et spirales –Signification des ornements en forme de spirale – Souffle spiroïdal des Aquilons – le principe de la torsion dans la statuaire – le dithyrambe – les Danaïdes – Rondes profanes et sacrées – les cercles concentriques et leur symbolisme dans la kabbale et chez Platon – le cercle charme de fécondité – le cercle chaîne de défense – les triscèles – les swastikoïdes – les cordes, les tresses et les entrelacs – corde à nœuds des loges maçonniques - le bracelet et l’anneau – Pythagore et les bagues – l’anneau et le mythe des amazones – la chevauchée des Valkyries – Durer, un rébus – la tresse chez les Grecs – De la guirlande à l’arceau – les divers arceaux magiques au Sial au Japon, en Angleterre, au Tonkin, en Suède – les Arcs de Triomphe – Farandoles provençales – L’anneau et l’empire de Zeus – rapport des anneaux avec la magie – divers nœuds – anneaux de mariage – Les étoiles - L’étoile solaire à huit pointes – rapport des étoiles avec le nom de Dieu – l’étoile dans les mythes – l’étoile annonciatrice et l’équinoxe du printemps – Sirius et les divinités à tête de chien – l’étoile dans les mythes de la nativité de Bouddha et de Jésus – Les rosaces – les herbes de la saint Jean – l’églantine héraldique – la rose dans Apulée et l’âne d’or – les Boules et le soleil dans les rébus – de Dürer à Rabelais - |
CHAPEAU – COUVRE-CHEF
– CHEVEUX - MASQUES ET TONSURES....... |
Divers
Auteurs |
ARCADIA |
2004 |
Important dossier sur les divers
symboles liés à la tête, que l’on trouve en loge symbolique et en loge des
hauts grades. Chapeau: Les premiers documents
iconographiques maçonniques montrent qu'une partie de l'assistance, en tenue,
a la tête couverte. Plus tard, la symbolique du couvre-chef est l'objet de
nombreuses controverses. Wirth le perçoit comme un emblème de la souveraineté
donnant à celui qui porte le chapeau non pas un pouvoir de commandement
arbitraire, à la différence de la couronne, mais un devoir de régner. Selon
Jules Boucher, le chapeau a pour fonction de montrer que celui qui en est
coiffé n'a plus rien à recevoir et est parvenu au terme final de
l'initiation. Plus prosaïquement, chacun s'accorde à reconnaître le chapeau
comme l'un des éléments vestimentaires des « gens de qualité » qui
fréquentent les loges au XVIIIe siècle et un signe de leur appartenance
sociale. Néanmoins, le fait que l'usage du chapeau se soit proprement
ritualisé en loge a une signification et s'insère dans un ensemble symbolique
global, sujet aux diverses interprétations.
Cheveux : Les sages considèrent les cheveux comme un organe à part entière, les cheveux sont une prolongation de
leur être. Couper ses cheveux : un
symbole de soumission Raser les cheveux des peuples soumis Jadis quand
un peuple était réduit en esclavage, raser les cheveux était souvent une des premières actions de l’oppresseur
pour marquer sa domination. La croyance voulait qu’une fois leurs cheveux coupés, la force des hommes
diminuerait et qu’il leur serait ainsi plus difficile de s’enfuir. Les mesures
de soumission capillaire de Gengis Khan : Au
13e siècle, quand l’empereur mongol Gengis Khan fit la conquête de la Chine,
il considérait le peuple chinois comme doté d’une grande intelligence.
Persuadé que les Chinois ne se laisseraient pas soumettre, il prit des
mesures capillaires : il ordonna par exemple à toutes les femmes de l’Empire
chinois de couper leurs cheveux
en frange, pensant que cela les rendrait davantage dociles et manipulables. Les
cheveux : jadis synonymes de force et vigueur : L’exemple des pisteurs
Amérindiens durant la guerre du Vietnam : Pendant
la guerre du Vietnam (1954-1975), les forces spéciales américaines avaient
l’habitude de confier les missions de sentinelle à des hommes d’origine
amérindienne, réputés pour leurs capacités de pistage et de survie
exceptionnelles, presque surnaturelles. Ces hommes étaient les seuls
autorisés à porter les cheveux
longs, mais pourquoi ? Après des tests commandés par le gouvernement, il
s’avérait qu’une fois qu’ils avaient été recrutés par l’armée et qu’ils
avaient adopté la coupe de cheveux
militaire, ils perdaient subitement tous leurs talents. Cheveux
longs = 6e sens : Quand on les interrogeait sur leur
échec, les amérindiens déclaraient qu’en leur coupant les cheveux ras, on les avait en même
temps privés de leur « sixième sens » et qu’ils ne pouvaient plus se fier à
leurs intuitions extrasensorielles liées à leurs cheveux jadis longs. Nos cheveux sont de moins en moins longs, Avec
les nombreuses conquêtes, le mélange des tribus et de sociétés, se couper les
cheveux devint une pratique
plus répandue, et, plus les siècles passèrent, plus l’importance des cheveux se perdit. La mode des
coiffures prit de plus en plus d’ampleur. La
nature spirituelle des cheveux : Chez
les hindouistes, les cheveux
ont une connotation très spirituelle. En Inde, les sages « Sadhus »
ayant atteint un haut niveau de sagesse grâce à la méditation et au yoga,
laissent pousser leurs cheveux
sans jamais les couper. L’aura des
sages hindouistes : La journée, leurs cheveux, qui avec le temps ont formé des dreads locks, sont
enroulés et attachés en chignon en haut du crâne. Ce « nœud » leur permet,
selon eux, d’absorber toute l’énergie solaire et ainsi d’agrandir leur champ
magnétique, leur « aura ». Les cheveux
longs ainsi attachés au sommet du crâne permettraient aussi une meilleure
méditation. « Le Créateur a
une bonne raison pour nous avoir donné des cheveux » Quand
les humains laissent pousser leurs cheveux, ils saluent la maturité et la
responsabilité de leur évolution en pleine croissance et toute-puissante.
C’est pourquoi vous rencontrerez la grâce et la sérénité chez une personne
qui n’a jamais coupé ses cheveux depuis sa naissance, s’ils sont bien
entretenus. Le Créateur a une bonne raison pour nous avoir donné des cheveux Tonsure et couronne :
Autrefois, la réception de la tonsure marquait l’entrée en religion. Ce petit
cercle dégarni de cheveux était tellement synonyme de consécration religieuse
qu’il suffisait parfois d’être tonsuré pour se déclarer moine. Il y eut
d’ailleurs certains abus, d’où l’expression : l’habit ne fait pas le
moine. La tonsure a été créée vers le IVe siècle et vient d’Orient. On
en distinguait alors deux types : celle de St Paul, toujours en usage au
VIIe siècle, où le crâne était entièrement rasé ; et celle de St Pierre
qui consistait en une simple couronne. Les églises celtiques se sont
distinguées de l’église catholique par la conservation de rites
anciens, datant souvent des premiers temps du christianisme. La tonsure que les Celtes
conservaient dans sa forme primitive, dégarnissant d’une oreille à l’autre
tout le devant de la tête, en laissant les cheveux longs derrière. Elle
ressemblait à une « couronne fragmentaire » que l’on voyait à
l’avant du crâne tandis qu’à l’arrière, les cheveux restaient longs. Cette
tonsure, typiquement irlandaise, venait peut-être des druides dont on
sait qu’ils en portaient une. La tonsure est un rite sacré de l’église
catholique qui marque l’entrée en religion. Elle fait passer de l’état laïque
à l’état de religieux, clerc, moine .En recevant la tonsure, chaque laïc
se soumet à toutes les exigences de l’évangile, participe dès lors à la même
spiritualité. Elle consistait à couper une mèche de cheveux sur le sommet du
crâne. Les clercs portaient la tonsure sous l’aspect d’un petit cercle
entièrement tonsuré au sommet du crâne. Les moines avaient le dessus de la
tête rasé, cependant que leurs cheveux étaient coupés en forme de cercle,
imitant la "couronne" de St Pierre. Le dépouillement des anciens vêtements
et la prise d’habit représentent le passage de l’homme ancien vers
l’homme nouveau créé à l’image de Dieu. La tonsure symbolise une vie pure et
parfaitement dépouillée qui élève l’intelligence jusqu’à la plus grande
perfection, la plus haute conformité divine. Elle marque la mort de tous les
désirs charnels. C’est une consécration totale que met en relief le rite de
la tonsure. Lors de la cérémonie le prêtre demande : Bénis ton serviteur
qui est venu t’offrir en prémisse la tonsure des cheveux de sa tête, geste
symbolique signifiant l’offrande totale de sa vie et de son être. La tonsure
marque, tout comme l’habit monastique, le dépouillement que le moine a choisi
de vivre. Le monastère qui est un espace hors du temps, loin de l’agitation
du monde, souvent perdu dans une nature rude, vit en autarcie, clos sur
lui-même. Il isole les moines dans une vie de prière, de travail,
d’obéissance, de renoncement, de quête extrême du minimal, d’humilité et de
don total de soi. Don des cheveux, mais parfois aussi du sang :
certaines abbayes passaient marché avec un barbier, ou un chirurgien pour
faire le poil, la barbe, la couronne de tous les religieux, ensemble toutes
les saignées
Y est développé : Le
chapeau et ses divers noms (kipa, béret, calot, turban, borsalino…….) et
pourquoi on se couvre dans certains rituels la
couronne de laurier et d’olivier, le couvre –chef, la
chevelure, les cheveux la couronne, la tonsure, la barbe, le
voile dans le Coran et les écrits testamentaires, les cornes du taureau
Mithra et des divers animaux, le
7e chakra (coronal) et ses rapports avec Kether et les Sephirot |
CHEVALIERS ET
DRAGONS |
P.G. SANSONETTI |
Edition du Porte Glaive |
1995 |
Dès les premières civilisations,
la confrontation entre un héros et une créature monstrueuse, allait
constituer l’un des mythes fondamentaux de l’humanité. De ce fait, ce thème,
en de multiples variantes, ne cessera de reprendre forme à travers les époques
et chez des peuples divers, affirmant ainsi toute son importance dans
l’imaginaire occidental. De Persée se risquant à affronter
la Gorgone, en passant par Héraklès aux prises avec l’Hydre hérissée de tètes
sifflantes, ou Siegfried perçant le cœur du dragon, jusqu’à saint Michel ou
saint Georges, sans cesse le mythe et la légende transposent par un combat
symbolique une épreuve de vérité. Plus qu’une bête effroyable surgie
d’âges oubliés, le dragon incarne à la fois le pouvoir du Temps dévorant et
l’insatiable appétit de ce que l’être porte en lui de plus redoutable :
« L’ego », ce émoi- je » inhérent à l’humaine condition,
source de tout conflit et principalement « gardien du seuil » des
états supérieurs de conscience. Affronter le dragon consiste à
ouvrir une brèche dans les limites existentielles et, de la sorte, à entrer
dans un processus initiatique permettant d’accéder graduellement à la
transcendance. C’est donc à travers une sorte de « musée imaginaire »,
composé d’œuvres d’art empruntées à toute l’iconographie occidentale, que le
lecteur est invité à découvrir ce processus libérant en l’être la Force
vitale unissant Terre et Ciel. Le cinéma n’est pas oublié dans
cette quête conduisant d’image en image ; et ce d’autant plus que les
héros de jadis revivent dans des univers de science-fiction ou d’Héroïc
Fantasy. Au sommaire de cet ouvrage : L’écume des ténèbres et l’acier
qu’on aiguise Les écailles de la radiance Le glaive et la massue Serpents, foudres et forges du
Nord Les guerriers des Cathédrales Le ciel en arme – par Saint
Georges Dans le futur et quelque part en
Héroïc Fantasy |
comment
naît une loge
maçonnique ? (2 Tomes)
-
N° 15 - |
Olivier doignon |
Edition MAISON DE VIE |
2005 |
Ce livre aborde l’un des moments
les plus importants de la vie des Francs-maçons, celui où ils se retrouvent.
Ce moment est tellement riche,
telles les notes d’une partition interprétée par des instruments commençant à
jouer les uns avec les autres, qu’il a paru utile d’y consacrer un travail
important, ainsi deux tomes n’ont pas été de trop pour approfondir les
principaux aspects de l’ouverture des travaux.
|
CONNAIS-TOI
TOI-MÊME ET TU
CONNAÎTRAS L’UNIVERS ET LES DIEUX |
DIVERS AUTEURS |
ARCADIA |
2002 |
Publication importante
sur et autour de cette maxime ô combien importante pour toutes voies
initiatiques et la F\M\ en particulier. Francis Bardot nous parle de
l’Initiation au sein de la Maçonnerie Régulière, voie actuelle pour le
bonheur de l’humanité et pour la quête de le Vérité. Gérard Wininger développe le
changement que nous devons effectuer en nous même, pour devenir acteur- et
non spectateur- de la création et participer ainsi à cette amélioration de
l’humanité. Cette voie difficile passe par une « ascension descendante au plus profond de
soi ».
Didier Cruz explique les
différences entre la connaissance verticale et horizontale. René Eloy nous parle de l’Initiation,
de l’universalité. Thomas Efthymiou développe Platon, la
République et le Banquet. M.H Cassagne nous entraîne dans
la caverne, son allégorie platonicienne et son symbolisme dans le cheminement
initiatique du Franc-maçon. J.C Tribout nous relate les
péripéties de Janus et de son miroir,
qu’il décline sous plusieurs éclairages, ce qui en fait des grilles de
lecture fort intéressantes. |
COULEURS – ABC DE LA CHROMATHÉRAPIE |
J. J. Quenet |
Edition Grancher |
2005 |
||
Les pratiquants en thérapie des couleurs affirment que celles-ci agissent sur les trois principaux axes humains : à titre physique, elles guérissent un organe de façon directe quand on les appose sur le point de souffrance. Elles agissent également sur un état d'âme ou une émotion quand on les valorise dans l'environnement immédiat d'une personne qui lutte avec ses démons. Enfin, le symbolisme qu'elles représentent a un effet direct sur l'aspect mental d'un individu. Utiliser les couleurs en concordance avec sa personnalité est comme profiter du soleil chaque jour de sa vie. C'est une source énergisante qui peut agir en tant que mesure préventive pour éviter la chute dans des maux de toutes sortes. La
chromothérapie utilise un peu des notions d'acupuncture pour acheminer ses
effets bénéfiques. Dans certaines cliniques spécialisées, elle se dispense
sous forme de rayons lumineux, représentant des couleurs différentes et
orientés sur la partie souffrante d'un sujet. Les thérapeutes de la couleur
croient que le corps est en mesure de lire la couleur. Ils perçoivent sur la
peau du sujet un léger frissonnement sous le rayon lumineux, comme si la zone
souffrante du corps était ou bien stimulée ou bien apaisée par le phénomène
de la couleur. Au sommaire de cet important
ouvrage de 390 pages : L’histoire de soins par la
couleur, une tradition millénaire
- les couleurs matières et les
couleurs lumière - L’énergie des couleurs et leur influence
sur le corps et l’esprit - L’ergonomie -
la nutrithérapie - la phytothérapie -
l’aromathérapie - les élixirs floraux -
la lithothérapie - Les sept couleurs de l’arc-en-ciel -
la non-couleur et la synthèse de toutes les couleurs : le noir et
le blanc - Les applications locales sur les parties du corps à traiter -
L’ombre et la lumière - ingestion et application d’eau
« irradiée » - Diverses maladies qui se traites par les
couleurs - les correspondances du corps dans la main
et la plante des pieds - |
COULEURS - abc des couleurs |
Daniel BERESNIAK |
Edition Grancher |
2001 |
La découverte de la magie, du
langage et de l’application des couleurs vous permettra d’utiliser les
couleurs plus consciemment pour vous exprimer et embellir votre vie.
Manifestation de la lumière, la couleur illustre les relations qui unissent
toutes choses sur un plan physique, physiologique ou psychologique ;
manipuler les couleurs c’est agir à la manière d’un organiste qui répand des
harmonies : leurs pouvoirs résident dans le fait qu’elles suscitent ce
qu’elles symbolisent. Cet ouvrage peut se lire sans
obligation chronologique, la première partie nous livre la symbolique des
couleurs dans les différentes circonstances de la vie, alors que la seconde
partie, essentiellement composée de tests, nous demande plus de réflexion
personnelle. Nous vivons parmi les couleurs, et
elles exercent une influence sur notre comportement et sur nos
émotions : le rouge excite, le bleu calme et détend, cela est bien
connu. Le langage courant emprunte aux
couleurs de nombreuses images : voir la vie en rose ou en noir ;
rire jaune, voir rouge, n’y voir que du bleu ou encore broyer du noir etc.
Cela exprime la joie, le plaisir, la tristesse, la déception ou la colère. Ainsi donc, nous réagissons aux couleurs,
mais alors pourquoi se contenter de les subir ? Il est préférable de les
étudier pour comprendre et ainsi apprendre à s’en servir. Le choix judicieux
des couleurs permet de mieux travailler, de mieux se concentrer, et d’une
manière générale de stimuler les facultés dont nous avons besoin et parmi
cela son influence sur la santé. Au sommaire de cet ouvrage : 1e partie : Nature et symbolisme des couleurs - la
nature et le pouvoir des couleurs
- complémentarité et dualité - les
couleurs primaires et secondaires
- le triangle de Goethe - 2e partie :
Les couleurs et les sciences secrètes
- les couleurs et le
blason - les propriétés étranges des pierres
précieuses - les couleurs et le Grand
Œuvre - symbolisme des couleurs dans les groupes
ethniques - 3e partie :
Les couleurs dans la vie quotidienne
- décoration et coloriage - la
publicité et la santé - les couleurs de l’Aura et les chakras -
des gouts et des couleurs - 4e partie : Mesurez votre énergie par les couleurs - Divers tests psychologiques d’approche - |
COULEURS
- B.A-BA
DE LA COLORTHÉRAPIE |
MAURICE CHAVELLI |
Edition PARDES |
2003 |
La colorthérapie est l’art de soigner avec des couleurs. Cette thérapie, peu connue, est à la fois
simple, belle, efficace et à la portée de chacun.
La
colorthérapie est une méthode d’harmonisation et d’aide à la guérison
naturelle des maladies par les couleurs. Les couleurs correspondent à des
vibrations ayant des vitesses, des longueurs d’ondes, des rythmes différents.
Les couleurs exercent une influence physique, psychique et émotionnelle dont
nous ne sommes généralement pas conscients et permettent à notre énergie
vitale d’atteindre un état facilitant grandement l’auto-guérison. |
COULEURS
- bleu – histoire d’une couleur |
Michel pastoureau |
Edition du SEUIL |
2006 |
L’histoire de la couleur bleue dans les sociétés
européennes est celle d’un complet renversement : pour les Grecs et les
Romains, cette couleur compte peu ; elle est même désagréable à l’œil. Or
aujourd’hui, partout en Europe, le bleu est de très loin la couleur préférée
(devant le vert et le rouge). L’ouvrage de Michel Pastoureau raconte l’histoire de ce renversement, en
insistant sur les pratiques sociales de la couleur (étoffes et vêtements, vie
quotidienne, symboles) et sur sa place dans la création littéraire et
artistique, depuis les sociétés antiques et médiévales jusqu’à l’époque
moderne. Il analyse également le triomphe du bleu à l’époque contemporaine,
dresse un bilan de ses emplois et significations, et s’interroge sur son
avenir. En
feuilletant le livre, on appréciera d’emblée la beauté des illustrations,
toujours précisément référencées. Puis, au fil de quatre chapitres
diachroniques, on suivra sur la longue durée, de l’Antiquité à nos jours, les
mutations de la couleur. Ou, plus exactement, des systèmes socio-symboliques
qu’elle accompagne, concrétise et organise. La couleur, ça sert d’abord à
classer, c’est-à-dire à distinguer et opposer des objets, des fonctions, des
personnes. Ce principe structuraliste de base est valable pour tout champ
d’étude ; encore faut-il arriver à dégager, de la prolifération du réel
documentaire, un système simple, quelques axes et valeurs, un
« ordre ». Quel est donc celui des couleurs en Occident ? De l’Antiquité au 12e siècle,
le système de base est tripolaire : le blanc s’oppose au noir et au
rouge, qui est « la » couleur par excellence. Ce très ancien
système chromatique sert, par exemple, au regroupement trifonctionnel des
classes dans la Rome antique, et on le retrouve au Moyen Âge dans la
littérature, les fables, les contes (la plus ancienne version du Chaperon
rouge remonterait à l’an mil, p. 82). Le lexique des bleus est, en
latin, imprécis et instable. Cela ne veut pas dire que les Romains ne
voyaient pas le bleu : la rétine humaine n’a pas changé de structure !
Mais la couleur bleue est « silencieuse », c’est-à-dire non
intégrée à un système de valeurs (et plutôt associée aux barbares, Celtes et
Germains, Le
bleu change de statut au 11e siècle. Il se fixe, dans
l’iconographie, comme couleur du manteau de la Vierge. D’abord religieux et
marial, il éclate dans les vitraux gothiques (p. 52). Puis il entre en
politique : les armoiries familiales des Capet (fleurs de lys sur fond
d’azur) deviennent l’emblème du roi de France vers 1130 Le rouge reste
impérial et papal, mais le bleu devient royal : c’est la couleur du
légendaire roi Arthur. Sa vogue peut même se mesurer : vers 1200, l’azur
n’est présent que dans 5 % des armoiries ; vers 1400, la proportion est
de 30%. Le rouge a gagné un nouveau contraire (p. 83). Les teinturiers
en bleu détrônent, dans la corporation, ceux du rouge (pour une belle
« mise en roman » de cette lutte dans l’Albigeois vers 1440, Entre les 15e et 17e siècles,
le bleu devient une couleur « morale ». Les lois somptuaires
prolifèrent, qui régissent entre autres le vêtement, « premier support
de signes dans une société alors en pleine transformation »
(p. 88). Il y a des couleurs interdites, et des couleurs prescrites,
notamment pour marquer ou stigmatiser. Mais on ne stigmatise pas en
bleu : ni prescrit ni interdit, le bleu est libre (p. 93). La
Réforme protestante, qui est iconoclaste mais aussi
« chromoclaste » assure la promotion du noir vestimentaire. Le bleu
en profite et devient une couleur « honnête ». Une nouvelle
sensibilité chromatique s’installe : le noir et le blanc quittent
l’univers des couleurs. Quand Newton prouve scientifiquement le fait
(expérience du prisme, 1666), la mutation culturelle avait anticipé ce
changement. Et on peut encore voir dans la non-couleur de beaucoup d’objets
industriels autour de 1950 (noir des voitures, blanc des appareils ménagers)
la marque de cette éthique protestante du capitalisme. Enfin, du 18e au 20e siècle,
le bleu triomphe. L’invention, vers 1720, de la gravure en couleurs prépare
la réorganisation du système autour de la triade rouge/ bleu/ jaune, futures
couleurs primaires (p. 121). Les bleus se diversifient. Côté matériel,
la guerre des deux bleus tinctoriaux (pastel européen contre indigo exotique)
se lit dans les règlementations étatiques et les luttes coloniales. Vers
1710, une fraude commerciale donne naissance à un nouveau pigment, le bleu de
Prusse (p. 133). Goethe (Traité
des couleurs, 1810), réaffirme contre Newton la forte dimension anthropologique
de la couleur : « Une couleur que personne ne regarde n’existe
pas ». Et c’est lui aussi qui, avec l’habit bleu de Werther (1774),
lance le bleu romantique, celui de la « petite fleur bleue » de
Novalis, couleur de la mélancolie et du rêve qui aboutira vers 1870 au
« blues » anglo-américain. Le
bleu politique s’affirme d’abord en France : entre 1789 et 1794, il
passe des armoiries à la cocarde, de la cocarde au drapeau et aux uniformes.
M. Pastoureau détaille l’épisode (p. 141-158), et montre que le
tricolore est d’abord celui du drapeau américain, qui procède lui-même du
tricolore anglais fixé en 1603. Puis le bleu politique se mondialise en
couleur de la paix et de l’entente Côté vestimentaire, le noir se transforme
en bleu marine, autour de 1930, sur presque tous les uniformes (marins, mais
aussi policiers, pompiers, facteurs,
et le bleu civil s’impose via le jean (vêtement sage plutôt que
rebelle, L’ouvrage se termine sur un assez triste constat : le bleu
serait-il, aujourd’hui, « une couleur neutre » ? C’est la couleur
préférée de la majorité des adultes, disent les sondages (mais pour bien les
interpréter, Autres mutations, la mer est devenue bleue et le bleu devenu
froid : « comme nos sociétés occidentales contemporaines ». La
bibliographie « très sélective » qui clôt l’ouvrage… compte tout de
même plus de 150 références ! |
COULEURS - DICTIONNAIRE DE LA SYMBOLIQUE DES COULEURS |
Georges Lanoë-Villène |
Edition Maison de Vie |
2010 |
Les couleurs sont omniprésentes
autour de nous, elles nous insufflent des états d'esprit, des sentiments,
elles nous donnent la force d'avancer ou nous enfoncent dans un mutisme
profond. De plus, selon les pays, les cultures et les époques, les couleurs
revêtent des significations différentes parfois aux antipodes de celles des
cultures voisines ; comme le blanc associé en Occident à la pureté, alors
qu'il est lié au deuil dans la plupart des pays asiatiques. Porteuse d'un
sens et d'une symbolique, la couleur ne peut donc être choisie à la légère,
d'autant plus sur une page web qui va être vu par des milliers de personnes
venues de tous horizons. Vous devrez tenir compte de l'ambiance que vous
désirez créer, de l'information qui accompagne la couleur, du profil des
visiteurs, etc. Les couleurs ont un langage profond et puissant auquel nous sommes sensibles. Le rouge : c’est la couleur de l’énergie, de la passion, de la force, de la motivation et du dynamisme. Il nous nous stimule et nous incite à agir. Il symbolise l’esprit des pionniers, des révolutionnaires, des extravertis. Il fait monter la tension, accélère les pulsations cardiaques, élève la température du corps et met l’attention en alerte. L’orange et le jaune : ce sont des couleurs qui élèvent l’esprit, stimulent l’énergie et apportent de la gaieté. L’orange est associé à la joie, à la créativité, à l’exaltation et au mouvement. Le jaune est associé à la volonté, l’intellect et les sentiments d’indifférence. Ce sont des couleurs chaudes et optimistes qui ont la faculté de nous réjouir le cœur et de nous remonter le moral. Le vert : il est associé à l’équilibre et à l’harmonie. Il représente l’équilibre, il est neutre - ni chaud, ni froid. C’est la couleur de la nature, de la bonté, de la compassion de l’affection et du partage. Vert signifie honnêteté, stabilité et digne de confiance. Le vert réconforte et allège le stress. Le bleu : c’est la couleur du calme. Rafraîchissant, apaisant, réconfortant, le bleu aide à adopter un rythme plus détendu et à se décontracter. Il ralentit le rythme cardiaque et fait baisser la tension. En agissant sur nos muscles et notre esprit, il nous permet de respirer plus profondément. C’est la couleur de la communication, de l’imagination et de la force intérieure. Il apporte le calme, la paix et la sérénité. Le violet : il est associé à la méditation, il porte à la contemplation et à l’introspection. Il est lié à l’intuition, à la clairvoyance et à l’ouverture d’esprit. Il favorise la perspicacité et la perception. C’est la couleur de la dignité et du respect de soi. La vibration à la fois forte et raffinée du violet en fait une couleur douce, apaisante et élève l’esprit. Le rose : c’est la plus féminine des couleurs. Elle incite à la douceur et la tendresse et exprime l’amour et le bonheur. Ses nuances chaudes et caressantes sont pleines de bienveillance et d’affection. Il entretient l’amour et l’amour de soi, il représente la tendresse, la protection et la compassion. Le marron :
La vibration de cette couleur nous aide à redescendre sur terre et nous y
sentir bien enracinés. La terre alimente constamment notre énergie. Il nous
permet de nous sentir plus forts et plus équilibrés. Auteur d’un
monumental Livre des symboles, Georges Lanoë-Villène s’est
particulièrement attaché à l’étude de la symbolique des couleurs. Utilisant
de multiples données traditionnelles et mythologiques, il a rassemblé un
maximum d’informations. Incarnations des forces vitales, les couleurs forment un langage qu’il faut interpréter. En elle- même chaque couleur possède une valeur spirituelle et symbolique qui détermine son utilisation tant artistique que matérielle. Nous vivons dans un monde coloré où rien n’est dû au hasard ; cet ouvrage nous convie à découvrir la signification profonde des couleurs et leur influence. Il est une référence majeure. Lanoë-Villène était un spécialiste de l’antiquité gréco-romaine dont il a tiré quantité d’informations ; mais il s’est également intéressé à l’Egypte, à l’Inde, à la Chine et aux traditions amérindiennes. Outre la présentation des faits symboliques, l’auteur s’est autorisé d’amples développements à propos des figures mythologiques (par ex. Bacchus lié à la couleur rouge). On trouvera aussi l’étude des couleurs dans les traditions médiévales, la religion chrétienne ou les cultures celtiques et scandinaves. Vaste panorama par
conséquent, qui offre un véritable traité de référence, une mine incomparable
d’informations et la base indispensable d’études futures[G1] . Couleurs étudiées dans cet ouvrage : Amaranthe -
Ambre - Améthyste
- Arc-en- ciel
- Blanc - Bleu -
Blond - Brun
- Caméléon - Cendre - Corail
- Electrum Emeraude - Jacinthe
- Jade - Jaspe - Jaune - Mauve
- Mûre -
Noir - Or - Orange - Pourpre
- Rouge - Roux - Sable
- Safran - Topaze -
Vert - Violet |
COULEURS, IMAGES, SYMBOLES- Etude d’histoire et d’anthropologie |
Michel PASTOUREAU |
Edition LE LEOPARD D’OR |
1992 |
||
Un des meilleurs livres sur les
couleurs. L’auteur a rassemblé 10 études parues dans diverses revues et les a
classées en 3 terrains de recherche : l’histoire, les codes et fonctions et
l’univers du bestiaire.
|
COULEURS - LE LANGAGE DES COULEURS |
DIVERS AUTEURS |
ARCADIA |
2001 |
Le premier caractère du symbolisme des couleurs est son caractère d’universalité , non seulement géographique , mais à tous les niveaux de l’être et de la connaissance , cosmologique ,psychologique , mystique etc……Ce recueil évoquera donc les couleurs suivantes : blanc , gris , bleu , brun ,indigo , jaune , noir , orange , rouge , vert , violet . Un long article parlera du blanc, qui est une réunion de toutes les couleurs. Le noir qui est absence de couleurs et qui évoque l’ombre, la nuit, l’obscurité .Symboliquement le blanc est l’unité de la lumière, le noir est la négation de la lumière .Les concordances et correspondances dans toutes les couleurs, en astrologie, en astronomie avec les planètes, en musique. Oswald Wirth grand connaisseur et
fervent pratiquant du symbolisme, nous donne sa vision des couleurs en F.M et
en ésotérisme. Bleu foncé: Le bleu foncé est la couleur de la profondeur des émotions et des secrets enfouis de son Etre intérieur. Rêver de cette couleur, sous quelque forme que ce soit, est un appel à s’écouter. L’appel est plus grand encore si le bleu est celui de l’eau qui nous entoure dans le rêve. Bleu indigo: Couleur de la force spirituelle, le bleu indigo est vu pour signaler la nécessité d’effectuer un travail de guérison sur soi ou sur les autres. Ce travail doit conduire à un rapprochement de l’âme et de l’esprit. Bleu clair: Le bleu clair est la couleur de la douceur et de la sagesse qui se fait jour chez un individu. Le bleu clair renvoie à l’âme et à sa pureté originelle en tant que part de l’Amour. Rêver de cette couleur est le signe que vous êtes ou entrez dans une période de calme et parfois de tendresse. Vert foncé: Le vert foncé renvoie à la Nature mais également et surtout à la nature profonde de l’individu. Couleur de la maturité émotionnelle, elle se rencontre surtout dans les rêves ou la Nature a une place prépondérante. Rêver de porter un vêtement de cette couleur est le signe que la maturité se fait jour ou est bien établie. Sauf si le vêtement est abîmé ou délavé. Vert clair: Le vert clair est la couleur de la guérison spirituelle, surtout s’il est lumineux. Couleur de l’énergie qui émane du chakra du coeur le vert clair indique la compassion et la générosité. Si vous en rêvez, vous êtes une personne qui vous ouvrez volontiers à votre coeur. Le reste du rêve précisera le domaine où il faut tenir compte de cette information. Jaune: Le jaune est la couleur du soleil t de la joie, pas celle de la Lumière. Le jaune est une couleur pimpante qui redynamise et revitalise. Si vous en rêvez c’est que vous en avez moralement besoin pour une raison ou une autre. Votre subconscient, et donc votre Etre, vous soutient. Orange: Couleur de l’amour terrestre passionné sans excès toutefois, l’orange est une couleur idéale pour quiconque est amoureux. En revanche si celui qui en rêve ou la voit en vision ne l’est pas, il doit comprendre qu’il reçoit de l’aide sur le plan affectif. Son âme lui fait savoir qu’il est aimé et qu’il ne doit pas s’inquiéter. L’orange est une couleur éminemment positive. Marron: Le marron ou brun est la couleur de la terre, du monde matériel et par conséquent des choses crédibles et réalistes. Lorsqu’on en rêve ou qu’on en voit il faut comprendre que l’objet concerné nous renvoie directement à notre réalité. Bordeau: caractérise les personnes capables d’agir avec force, sérénité et maturité. Le bordeau est la couleur de la maturité effective, acquise avec le temps. Dans les rêves cette couleur signifie que vous savez ou avez su allier savoir et expérience dans le règlement d’une affaire donnée tout en conservant votre intégrité. Rouge: Le rouge est la couleur de la force extérieure et de la combativité. Elle peut devenir celle de l’agressivité également. Mais d’un point de vue spirituel, le rouge est une couleur plutôt positive qui indique à l’individu qui en voit dans ses rêves ou dans une vision qu’il a ce dont il a besoin pour atteindre ses objectifs Rose: Couleur de l’enfance, de l’amour romantique et de la tendresse, le rose est une couleur très douce mais très puissante qui n’indique que des choses positives. A moins qu’il soit sale ou figure sur un objet abîmé. Car le rose est également la couleur de la nostalgie et du passé regretté. Violet foncé: Couleur de la spiritualité par excellence puisqu’elle allie le bleu de l’intérieur et le rouge de l’extérieur, le violet foncé est une couleur qui sort rarement pour indiquer des choses négatives. Le plus souvent vous devez comprendre que dans un domaine au moins vous agissez avec sagesse. Mauve: Cette couleur douce et méconnue sur le plan spirituel indique que la puissance de l’âme s’est alliée à la sagesse d’une personne pour le règlement d’un problème ou la gestion d’une situation. Gris: Le gris est la couleur de la fin, du renoncement et du passé détaché. Si on en rêve c’est que quelque chose en nous ou dans notre vie s’achève. A moins d’avoir une relation particulière avec cette couleur. Auquel cas il faut lui appliquer sa signification personnelle. Noir: Loin d’être une couleur annonçant des choses dramatiques, le noir est une teinte neutre. Si dans votre rêve ou dans votre vision elle vous inspire des choses négatives, observez l’objet en cause. C’est de lui que vient le problème. Blanc: La couleur de la Lumière, de la pureté et de la sensibilité. Le blanc est la couleur de l’âme de ceux qui ont choisi de suivre la voie lumineuse. Argent: L’argent est la couleur de la perfection en devenir chez l’homme. L’argent de la Lune représente la Déesse Mère dans certaines traditions, mais pour nous cette couleur symbolise surtout que nous sommes sur la voie de la réalisation intérieure. La route est encore longue, l’argent n’est pas l’or. Mais l’encouragement est certain. C’est un signe très positif que de se voir portant ce métal ou quelque chose le rappelant. Or: Couleur de la perfection, du Soleil et du Père, l’or caractérise la réalisation à un degré des plus élevés mais seulement dans un domaine bien particulier et ce pour une durée limitée. Il faut bien comprendre que tout est toujours en mouvement et que par conséquent la fin d’un cycle annonce forcément le début d’un autre. Au sommaire de cet ouvrage : La lumière , domaine de préoccupation majeure dans le monde pictural, les couleurs bibliques , animales , minérales , végétales , la genèse l’exode , Esaü , Jacob , les couleurs de l’arbre de Vie , les couleurs des Chakras , les couleurs énergétiques et leur positionnement dans le Feng Shui . |
COULEURS - LE LANGAGE DES COULEURS. ÉNERGIE, SYMBOLISME, VIBRATION et CYCLES DES STRUCTURE COLORÉES. |
René Lucien ROUSSEAU |
Edition DANGLES |
1994 |
De la feuille VERTE au sang ROUGE, du BLEU de l’horizon au JAUNE de l’astre flamboyant, des couleurs froides aux couleurs chaudes, la vie organique entière se traduisit par un intense cycle énergétique des structures colorées. Ce livre va du symbolisme le plus approfondit aux réalités scientifiques les plus récentes. Il exprime le langage ésotérique de la nature et invite le lecteur à un véritable dépassement spirituel. La couleur reste une énergie, une vibration qui agit au même titre que le son ou la musique. Selon les couleurs que vous avez dans votre salon ou votre chambre, vous vous sentirez différemment. On sait par exemple que le rouge provoque l’excitation et que c’est une couleur qui est évitée dans les lieux de travail, ceci afin d’éviter les risques de déconcentration et d’agressivité chez les employés. Les couleurs jouent sur votre moral. L’expression « Avoir les idées noires » est très éloquente. Ainsi, le noir et les nuances de gris ont tendance à déprimer. Le bleu a tendance à apaiser. Il est vrai que regarder la mer ou le ciel n’a rien d’agressif. Le vert est associé au calme, à la nature. C’est pour cela qu’avoir des plantes chez soi est bénéfique pour le psychisme. Le jaune, qui est une couleur chaude, favorisera la concentration. L’orange agira plutôt sur l’humeur, en chassant les idées noires et en redonnant le sourire. Le rouge est vraisemblablement une couleur à utiliser avec modération… Elle renvoie à la séduction, au sexe, à la violence et au sang… Cela ne veut pas dire que le rouge est à proscrire pour autant, car selon les cas, il peut aussi ramener à la terre, surtout si vous avez tendance à vous déconnecter facilement… C’est la couleur d’ancrage qui correspond au chakra racine. Si vous êtes vraiment trop dans les nuages ou trop « endormi », le rouge peut vous aider à vous dynamiser et à vous « réveiller ». En réalité, chaque couleur émet une vibration et celle-ci est reçue différemment selon les personnes, selon leur vécu, leur sensibilité et leurs problèmes. Si une couleur vous dérange par exemple, c’est peut-être qu’il y a encore en vous des blocages ou des blessures que vous n’avez pas vraiment regardés… Toutes les couleurs ont leurs propriétés thérapeutiques. On parle de thérapie par la couleur ou de chromathérapie. Observez quels sont les couleurs dominantes chez vous, dans votre appartement ou dans votre maison. Regardez comment vous avez tendance à vous habiller. Ensuite essayez de déterminer quelles influences ces couleurs dominantes peuvent avoir sur vous. Vous pouvez vous livrer à un petit exercice avec des feuilles de couleur. Prenez une feuille, mettez-là juste devant vous à 30 ou 40 centimètres de vos yeux et regardez-la pendant 5 ou 10 minutes. Ensuite, notez ce que vous ressentez. Faites la même chose avec les autres à tour de rôle, et pour chacune des couleurs, notez ce qu’elles éveillent comme émotions, ce qu’elles déclenchent en vous. Vous comprendrez peut-être ensuite le pourquoi de ces couleurs dominantes dans votre environnement et vous pourrez réajuster en faisant les changements qui s’imposent. C’est l’éveil à la BLANCHEUR dans la complémentarité du NOIR absolu. |
COULEURS - LES COULEURS SYMBOLIQUES DANS L’ANTIQUITÉ, LE MOYEN-ÂGE ET LES TEMPS MODERNES |
Frédéric PORTAL |
Edition TREDANIEL |
1991 |
Dans l’ouvrage intitulé Des couleurs symboliques dans l’Antiquité, le Moyen Âge et les Temps modernes, édité à Paris en 1857, le baron Frédéric Portal a essayé d’expliquer systématiquement les principes de la symbolique des couleurs. Il y élabore un schéma où il distingue une «langue divine», adressée directement à tous les hommes pour leur révéler l’existence des dieux; une «langue sacrée», née à l’ombre des sanctuaires, qui règle la symbolique de l’architecture, de la sculpture et de la peinture, de même que les cérémonies du culte et les ornements des prêtres; enfin, au dernier degré, une «langue profane», expression matérielle des symboles et ultime écho de leur vérité éternelle. Portal attache la plus grande importance à la connaissance des «règles grammaticales» de ce «système de langues». La place exceptionnelle qu’occupent les couleurs dans la symbolique traditionnelle n’est plus à démontrer ; hors même du domaine ésotérique ou religieux, on peut démontrer et constater là où subsistent des vestiges du monde traditionnel, l’importance extrême de celle-ci, jusque dans l’usage des couleurs dans les vêtements. La couleur en tant que symbole, est un signe, c'est-à-dire la manifestation d’un principe au moyen d’un « support » qui le rend accessible à ceux qui ne sauraient accéder directement au principe lui-même, ni à sa pure manifestation intelligible. La couleur née de la Lumière, n’est pas en soi-même la lumière, mais la manifestation sensible, le reflet visible de celle-ci ; aussi divers sont les supports, les miroirs par exemple. Des études récentes indiquent qu'en effet, les Mésopotamiens, les Égyptiens, les Perses, les Grecs de l'Antiquité aimaient parer leurs statues de couleurs vives : rouge, noir, jaune, or, bleu et vert, blanc… Ulrike et Vinzenz Brinkmann, de l'Université de Munich, nous le démontrent dans le cas des statues des sanctuaires de la Grèce classique, et y identifient une influence orientale. L'archéologue Alexander Nagel montre que, dans les palais de la Perse, grande puissance qui impressionnait tant les Grecs, statues et bas-reliefs rutilaient de couleurs vives Cette Perse a été elle-même influencée par la Mésopotamie, civilisation qui, expliquent Astrid Nunn et Rupert Gebhard, employa très tôt le rouge et le noir. Quant aux pigments utilisés, le bleu égyptien, premier pigment artificiel de l'humanité, est un cas emblématique, que nous décrit l'archéochimiste François Delamare. Sa fabrication et son commerce ont fait l'objet d'un monopole durant 2 500 ans, jusqu'à ce que les Romains se mettent à en produire. Orné de vifs coloris, l'art antique ainsi revisité surprend notre œil. Était-il de mauvais goût ? On ne discute pas des goûts et des couleurs, encore moins avec les Anciens ! Au sommaire de cet ouvrage l’auteur développe les couleurs suivantes qu’il divise et explique dans les langues divine, profane et sacrée: Le blanc - le jaune - le rouge - le bleu - le noir - le vert - le rose - le pourpre, la hyacinthe et l’écarlate - le violet - l’orangé - le tanné - le gris - Excellent livre de référence sur les couleurs. |
COULEURS - mÉdecine ÉnergÉtique de l’aura & des chakras |
Françoise avril |
Edition ÉQUILIBRE |
2006 |
Le
monde de la santé bouge en ce début de XXIème siècle… Des professionnels de
la santé découvrent de nouvelles approches, la dimension énergétique,
psychosomatique et spirituelle des maladies.
Chaque être physique
vivant ; les plantes, les arbres, les animaux et les hommes possèdent
une aura. Ainsi que tout objet qui irradie ou utilise de l’électricité. Elle
est constituée d’énergies circulantes et participent aux échanges avec
l’univers. Une personne en bonne santé bénéficie d’une aura tonique, mouvante
et consistante tant les échanges sont nombreux, actifs, harmonieux ; les
énergies sont donc renouvelées et tous ses corps sont « vivants ». · le corps physique qui est solide, perceptible et visible par tous, qui permet l’inter action avec le monde matériel. · le corps éthérique qui recouvre le corps physique en en suivant les contours : c’est la dernière protection du corps physique. · le corps émotionnel qui est plus souple et donc plus variable, il est nourri par les relations et fluctue en fonction de leur qualité. · le corps astral qui est la capsule qui donne accès à la dé corporation et est nourri par le rêve. · le corps mental qui donne la capacité de saisir le « sens », c’est l’expression de notre conscient, l’organisation de notre pensée abstraite. · le corps causal qui, si l’on s’en sert, fait comprendre les causalités et par conséquent le destin, le sens du karma que nous avons choisi. Il est d’ailleurs relié aux annales akashiques et permet les illuminations. · le corps divin qui est le moyen de tout ramener au sentiment d’amour et de compassion qui nous stimule en terme d’évolution. · L’aspect général de l’aura est ovoïde et de couleur variable ou fluctuante, les couches extérieures sont moins épaisses et denses car elles sont constituées d’énergies dites « subtiles ». Des auras en forme de champignon ont déjà été décrites mais il me semble qu’il pourrait s’agir de sur développement des corps supérieurs, état de fait momentané de par l’activité ou chez des individus qui ont omis de nourrir leurs corps éthériques et émotionnels. Chaque corps est donc entretenu par un phénomène ou système particulier et inter agit sur les autres corps en réaction. Si un corps est mal ou peu nourri, il se rétracte et fait donc place à une déformation des autres corps dans le but de compenser ; Non seulement ils changent de forme mais leur couleur ou leur brillance en est atteinte, ce qui engendre une sensation de mal être. Les réactions décrites sont en fait des processus de protection
du corps physique, il doit rester intact pour préserver les chances
d’évolution futures. Les processus progressifs sont en général, en l’absence de toute réaction physique en réponse (agression, contre agression) réactions épidermiques (il me tape sur le système… j’en ai la chair de poule…je ne peux pas le sentir…) l’émotion négative (ça me fait mal au cœur… je suis chagrinée…je ne m’en remettrai pas.) le rêve qui interroge ou le cauchemar la préoccupation, l’absence, le ruminement puis l’obsession la folie, le « pétage de câble » Les individus peuvent avoir un canal d’alerte de prédilection selon le niveau de développement des corps : énergie privilégiée selon leur type (mental, émotionnel, instinctif…) mais si l’alerte n’est pas prise en compte, elle gagne les corps sous-jacents. On peut aisément admettre que le code de comportement socialisant est par essence un facteur d’agression perpétuel si l’on s’y conforme en tout point et dans toutes les situations. La question est : d’où tire-t-on l’énergie qui nous maintient en vie ? Elle provient de l’univers lui-même dont nous constituons une unité infinitésimale, et ce « bio carburant » circule en nous par l’intermédiaire des chakras, ou roues qui sont les portes de circulation des forces échangées. Les Chakras sont les capteurs d’énergie dont l’homme a besoin pour vivre (énergie subtile irradiée par le Cosmos). Cette énergie est transmise par l’intermédiaire des nadis et des méridiens d’acupuncture aux différentes parties du corps physiques. Chacun de ses chakras gouverne une glande principale et une partie du corps, ce qui explique que l’action sur le corps passe par la modification du fonctionnement du chakra. Ce livre nous apporte des preuves visibles sur l’équilibre et l’harmonie de nos corps énergétiques, certainement une manière de mieux se connaître à travers le « je » des couleurs et de se guérir par la transformation de soi. |
CRISTAUX B.A-BA de la LITHOTHÉRAPIE |
JACQUES
SENO |
Edition PARDES |
2006 |
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Pour
comprendre le fonctionnement de la lithothérapie il faut dans un premier
temps reconnaître l’existence d’énergie non visible qui nous compose et qui
compose tout ce qui est manifesté, une aura d’énergie qui est aussi réel que
ce que vos yeux vous permettent de voir du plan physique. Ces énergies
subtiles qui nous composent sont la manifestation de notre état d’être au
niveau émotionnel, mental et spirituel. Si nous changeons d’émotion nous changeons
la fréquence vibratoire de notre émotionnel. Les minéraux ont une énergie
forte qui ont des caractéristiques très marqué en fonction de leur
composition, une énergie subtile stable qui est utilisé en lithothérapie pour
influence notre subtil et obtenir des améliorations de notre état d’être. La
portée de ses améliorations est à prendre comme des aides puissantes agissant
tantôt sur un aspect ou un autre en fonction de la pierre utilisée.
Les joyaux découverts
dans les sépultures royales et les objets façonnés par la main humaine
provenant d’exhumations effectuées dans les demeures antiques, traduisent le degré
variable de l’attrait exercé par les gemmes depuis les temps anciens. Selon
le milieu dans lequel on évolue, on trouvera et donnera divers rôles
aux cristaux. Pour un praticien de thérapie alternative, un cristal est un instrument qui permet d’orienter,
concentrer et amplifier les énergies curatives. L’idée selon
laquelle un cristal, considéré par beaucoup comme seulement une pierre, peut
avoir une action salutaire directe sur notre santé, risque a priori de
paraître assez insolite ou influencé par le « New Âge ». Ceci est compréhensible, étant donné la
métaphysique évanescente développée par certains marchands de cristaux ?
Pour sa part la science officielle considère la lithothérapie, dénuée de
toute valeur, tout en refusant une explication à ce refus. L’autre facette de la
lithothérapie, et dont nous faisons tous l’expérience, est le fait que, dans
l’univers tout vibre, quoique à des fréquences différentes. Ainsi nous
captons « les vibrations » de certaines personnes, et disons
de celles avec lesquelles nous ne nous entendons pas, qu’elles ne sont pas
« sur la même longueur d’onde » que nous. En
permanence nous influençons positivement ou négativement l’état de notre
corps physique par la nature du contenu de notre psychisme. C’est notre
énergie mentale qui active les cristaux et c’est notre force de volonté qui
nous aide à orienter, concentrer et amplifier la puissance curative de la Force Vitale Universelle afin d’équilibrer
nos flux énergétiques. C’est pour cela que notre état naturel consiste à évoluer
vers l’harmonie de cette énergie équilibrante. Le cristal est un
objet considéré comme inanimé, et pourtant, il possède une fréquence qui est
en synchronicité avec la terre, et avec nous autres, êtres humains. Le
cristal est un support vibratoire, et par ses propriétés, il est appelé à
agir sur le champ magnétique de l’être humain, l’aura, la conscience et la mémoire
cellulaire. On peut également utiliser un cristal pour faire une
méditation, pour neutraliser les ondes nocives (télévision) de l’écran de
l’ordinateur etc. Avoir en permanence un cristal dans sa poche protège des
agressions extérieures, mais aussi évite des pertes d’énergies. Le
cristal de roche
a été considéré par les civilisations anciennes, et de nos jours, il
est tenu comme une des pierre les plus sacrées qui soient, il est
l’essence même des roches, il capte la lumière et réfléchit l’arc-en-ciel, le
cristal de roche est le symbole de l’énergie radiante de la Grande Lumière Blanche. Il agit comme un
catalyseur, un conducteur d’énergie, il est à la fois récepteur et émetteur
et a la faculté d’équilibrer l’aura. Les cristaux s’accordent avec les
vibrations humaines grâce à l’affinité qu’ils ont avec l’esprit de l’homme.
En les portant ou en les touchant, on peut entretenir avec eux des liens
spirituels importants. |
cristaux - cristal d’Éveil |
Dominique coquelle |
Edition Trajectoire |
2003 |
C’est un livre pratique sur l’utilisation des cristaux et les différentes familles. Le quartz et le cristal de roche. Ces cristaux sont mis en parallèle avec la composition du corps humain, ses thérapies, l’œuf aurique, l’alchimie spirituelle, l’utilisation du cristal dans la vie quotidienne. L'auteur vous entraîne dans le monde magique du cristal de roche et de l'énergie. Il vous présente les différents types de cristaux (fleur, aiguille, générateur, tabulaire, cathédrale, fenêtre…). Ensuite vient le temps du choix de votre cristal selon votre goût : forme, taille, structure interne…, puis de sa purification avant usage. Vous voilà enfin prêt à vous en servir. Vous pouvez ainsi dynamiser de l'eau, des aliments, des plantes et même des animaux. Dominique Coquelle a donné de nombreuses conférences et séminaires sur l'Éveil spirituel. Depuis de nombreuses années, il se concentre sur l'étude des cristaux et sur leur rôle en thérapie, en radiesthésie, en géobiologie et leur utilisation comme support pour la méditation. Les bols en cristal de quartz produisent un Son multidirectionnel qui fonctionne par résonnance vibratoire et permet de recouvrer un état d’équilibre et d’harmonie. Le chant des bols est un véritable massage sonore qui peut dissiper les blocages énergétiques, détendre en profondeur, libérer des tensions ou douleurs dans le corps et apaiser le mental et les pressions psychiques. Véritables vibrations thérapeutiques, ce chant spiralé coule en soi comme autant d’informations subtiles vers chaque cellule du corps. Tout est alors littéralement ré-accordé pour accéder facilement à la joie de vivre et à la paix intérieure. Les vaisseaux de quartz au service de la dimension cristalline Après les Âges de pierre, du feu, du bronze, du fer et des énergies fossiles, nous voilà rentrés depuis quelques décennies dans l’âge du cristal. L’électronique et sa carte à puce utilise les propriétés mémorielle et semi-conductrice du quartz pour engendrer notre civilisation virtuelle. Les bols de cristal sont, évidemment, les instruments adaptés à ce nouvel âge pour un usage thérapeutique et spirituel du quartz et du Son. Leur pureté, leur puissance et leur beauté résonnent avec notre nature intrinsèque en tant qu’âme-Esprit : notre identité cristalline. En d’autres mots, cette Présence est présente au cœur du vivant. La fréquence cristalline au quotidien : Les capitaines de vaisseaux de quartz peuvent manier cette énergie de hautes vibrations pour leur usage personnel et professionnel. Pour clarifier les lieux de vie, créer des élixirs, dynamiser l’eau, il y a bon nombre d’usage avec ces merveilleux compagnons d’éveil. L’utilisation de la voix accordée à son bol, grâce à la syntonie, va offrir un champ d’expérimentation jubilatoire et profondément transformateur Aussi petite qu’un pois, et de la
forme d’une pomme de pin, d’où elle tire son nom, la glande pinéale est
considérée comme étant un troisième œil, pour avoir la même structure de base
de nos organes visuels. Jusqu’à il y a peu, on croyait qu’il s’agissait d’un
organe atrophié, aux fonctions indéfinies, d’un œil non développé. Mais cela
a néanmoins éveillé l’intérêt des scientifiques qui ont mis en lumière des
fonctions en relation avec la physique et les phénomènes paranormaux… |
CRISTAUX - CRISTAL ÉNERGIE |
Monnica HACKL |
Edition PARDES |
1994 |
Dans ce livre clair et pratique, la naturopathe Monnica HACKL décrit, pour la première fois en Europe, cette méthode étonnamment simple et efficace devant permettre à chacun de se débarrasser lui-même de petits problèmes de santé. La N.A.S.A a découvert les effets des cristaux de quartz en les testant sur le bien être des astronautes, au cours de missions difficiles. Les chercheurs se sont ainsi rendu compte de la difficulté qu’ils ont de réduire certains dysfonctionnements psycho-physiques. Ces recherches ont ensuite été développées jusqu’à la création de combinaisons de cristaux et de couleurs pouvant être appliquées comme moyens thérapeutiques contre différents maux. Monnica Hackl explique ici les fondements scientifiques de l’impact de ces cartes de cristaux (« crystal-cards ») que chacun peut utiliser pour se débarrasser définitivement d’éléments perturbateurs tels que l’angoisse, le stress ou l’inquiétude, entre autres. Ajoutées aux fleurs de Bach et posées sur les différents chakras, ces cartes peuvent apparaître comme de véritables remèdes contre bon nombre de maladies de l’homme comme de l’animal. Il existe différents types d’énergies que la science a mis en évidence tels que les énergies de gravitation, thermique, électromagnétique ou nucléaire. Les organes des sens ne sont pas capables de reconnaître l’énergie magnétique par exemple. De même ils ne reconnaissent pas l’énergie subtile. Aussi pour se connecter à l’énergie subtile on peut par exemple utiliser un cristal de roche, qui a la possibilité de communiquer avec l’énergie subtile mais aussi avec l’homme par cette même énergie subtile. Pour cela la personne initiée pourra programmer le cristal, lui donner des informations et en recevoir. Il sera alors possible d’intervenir sur l’énergie subtile d’une tierce personne pour réharmoniser un déséquilibre se traduisant par un excès de rajas ou de tamas pour rétablir satwa. On peut donner plus d’une définition pour l’énergie subtile, en ce qui nous concerne on conservera l’idée de purusha et prakriti et le lien qui existe entre les deux pour que prakriti soit informée des intentions de purusha, et également que purusha puisse suivre l’évolution de prakriti. On a vu que l’une est l’autre ne pouvaient être dissociées et le liant entre les deux est cette énergie subtile, qui existe en plus ou moins grande quantité ou intensité. Cette énergie ne peut pas se manipuler de façon grossière, mais doit être manipulée à travers d’autres objets qui ont le même type d’énergie, tout comme le barreau aimanté peut travailler sur l’énergie électromagnétique, par exemple. Le niveau d’énergie subtile varie d’un objet à l’autre, chez l’homme elle est concentrée dans les chakras et elle est distribuée à partir de ceux-ci. Chaque chakra est connecté à trois choses : un organe des sens, un organe d’action, une région du corps .
Les chakras sont des centres d’énergie subtile (et non physique au sens ordinaire) et cette énergie subtile a une origine spirituelle. De nombreux processus enseignés dans les méthodes de yoga sont donc appropriés pour soigner les chakras, comme par exemple la méditation. La méditation aide à rééquilibrer ajna chakra (restaurer sattwa) et permet d’apprendre à contrôler le mental, l’esprit. Dans la méditation on peut distinguer deux étapes principales. La première, indispensable, est la concentration (dharana). Habituellement, le mental part dans toutes les directions et il est constamment agité, très actif. L’étape de concentration consiste à garder le mental dans une seule direction. C’est un apprentissage qui peut être long. Une fois qu’on est capable de se concentrer dans une direction unique on va alors chercher à arrêter le mental sur un point, dans cette direction. C’est la seconde étape, correspondant à la méditation proprement dite (dhyâna). Il n’y a alors plus d’activité du mental. L’esprit est déconnecté de rajas et tamas, l’équilibre est atteint, ce qui se transmet à tout le corps physique favorisant ainsi sa guérison. |
CRISTAUX - LA MAGIE DES PIERRES |
Aline Carra |
Edition Ramuel |
2001 |
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La
pierre fascine. Le cristal de roche, véritable perfection minérale, antenne
énergétique, catalyseur d’équilibre, peut aider l’homme (encore faut-il qu’il
le veuille) à retrouver son harmonie en méditant sur son avenir. Beaucoup
de pierres sont symbolisées et nous donnent leurs affinités avec le pendule,
le zodiaque, la géomancie, les pierres de voyance, les signes du zodiaque.
Chaque minéral possède sa propre empreinte digitale, il faut donc suivre son
intuition en le prenant dans sa main et en se laissant guider par sa propre
résonnance et son ressenti. Si rien ne se produit c’est que les vibrations de
la pierre choisie ne sont pas en harmonie avec l’être, car le cristal dégage
des pulsions électriques, infimes certes mais à chacun de choisir le bon
jour, sans stress, ni énervement, et en essayant les divers cristaux vous en
trouverez un qui vibrera en vous, ce sera alors le choix à faire. Il est
conseillé également de laver de temps en temps la pierre, tout simplement
avec de l’eau claire et de l’essuyer avec un chiffon propre, puis la mettre
quelques heures au soleil, afin de la recharger, si c’est une pierre lunaire,
on l’exposera toute une nuit à la lumière de la lune et à la voûte céleste. Fixer une
bougie à travers un cristal de quartz qui est suspendu ou debout, au niveau
des yeux, pendant quelques minutes avant la méditation ou la prière était une
pratique courante dans le monde entier, dans les endroits aussi divers que
l’Orient, le Proche Orient, l’Europe préchrétienne et chrétienne, et les
Amériques. Cette pratique était réputée pour imprégner de clarté et de calme
toute expérience qui s’ensuivait, pourvu qu’elle fût utilisée dans une bonne
intention et tempérée par le jugement moral et le bon sens. « le
cristal était un objet au pouvoir sacré pour les Amérindiens, les moines
tibétains, les druides ainsi que les prêtres et les rois de l’Europe
chrétienne. C’était la pierre de la Lumière Blanche et du Premier Rayon, la
pierre philosophale du royaume minéral, exactement comme les Elus et les
Saints parmi les hommes passaient pour être la pierre philosophale du royaume
humain. » « Le cristal naturel, ou cristal de roche, est quant à
lui un produit de mère nature. Il se forme dans le sol, au long de milliards
d’années parfois. Les cristaux se développent au plus profond de la croûte
terrestre, souvent dans les régions d’activité volcanique et sismique. Le
processus requiert une chaleur et une pression énormes. Il lui faut toujours
pour démarrer une « semence » de cristal. Cette semence se crée
quand un unique atome de silicium fusionne, sous l’effet de l’intense chaleur
et de la pression, avec deux atomes d’oxygène provenant d’eau ou de vapeur
surchauffée piégée dans le même espace. Les atomes
fusionnent pour former une cellule cristalline simple de dioxyde de silicium,
ou silice, la substance dont sont faits tous les cristaux de quartz. (Le
produit dérivé de cette transformation est l (hydrogène). Au fil des
millénaires, si les conditions sont propices, cette semence se met à croître.
Mais il faut pour cela que le fluide environnant contienne juste les bonnes proportions
de silicium et d’eau, ou de vapeur pressurisée, maintenues à un niveau de
chaleur et de pression phénoménal pendant une période de temps suffisamment
longue. A mesure que le fluide primordial se répand sur la première cellule
de silice, celle-ci commence à se reproduire, et à constituer atome après
atome sa complexe structure cristalline. Les gros
blocs de quartz naturel pur sont en fait très rares. Il n’est possible de
produire du quartz qu’en le cultivant à partir d’un matériau naturel. Ce que
font les scientifiques c’est accélérer un phénomène qui prendrait normalement
une éternité, à tel point que ce n’est plus maintenant qu’une affaire de
semaines. « Le pouvoir d’intelligence et donc de guérison du cristal
vient de la Conscience émise par la Terre elle-même et par tout le règne
minéral et végétal. » « Les cristaux sont capables de déjouer tout
élément perturbateur en modifiant leur formation, en intégrant ces
perturbations et en se modelant avec elles. » « Les cristaux étaient
bien connus et couramment utilisés dans la civilisation Atlante. On pense
qu’ils ont fait « sauter la terre » par une mauvaise utilisation du
cristal. C’est faux. C’est pire que cela. Ils ont détourné le pouvoir du
cristal et ce pouvoir s’est retourné contre eux. » Nombre
d’hommes sans cesse croissant se tourne vers la recherche de nouvelles
énergies dans l’étude approfondie des variétés de cristaux, que ce soit en
physique, en médecine ou dans d’autres domaines. Il ne faut pas jouer avec le
cristal car c’est sa non-maîtrise qui pourra nous amener à notre perte. Il
faut aimer le cristal pour ce qu’il est et non pas pour ce qu’il peut. Edgar Cayce
disait aussi que les Atlantes maîtrisaient le secret de la captation de
l’énergie solaire qu’ils concentraient dans une pierre « à propriétés
magnétiques » de sorte qu’elle émettait plus d’énergie qu’elle n’en
recevait. La pierre était un grand cristal cylindrique, à facettes. Le
cristal était très utilisé chez les Atlantes. Il produisait le rayon laser. « Le cristal, le quartz a une immense
puissance… Le cristal a une mémoire indestructible mais le cristal, autant il
peut être votre ami, autant il peut être aussi votre ennemi. Le cristal n’a
aucun état d’âme comme vous. Il n’a aucune conscience de ce qui est bon de ce
qui n’est pas bon. Il mémorise, il restitue. » « D’autres
civilisations, avant la vôtre, ont utilisé le cristal. Ils se sont détruits.
Le cristal a aussi pour particularité de vous aider à soulever certains
voiles c’est à dire de vous mener vers votre supra conscience, de vous mener
au plus profond de vous-mêmes pour vous reconnaître. Mais là encore nous
disons qu’il faut y aller à pas de velours car vous risqueriez de vous
brûler, vous risqueriez de vous détruire. »
« Une
étude scientifique sur les effets curatifs éventuels des cristaux avait été
menée aux Etats Unis par C. Norman Shealy, qui en avait exposé les résultats
dans son livre Miracles Do Happen. Shealy s’était intéressé aux effets du
cristal sur la dépression. Un échantillon de 141 patients souffrant de
dépression chronique s’étaient vu remettre un morceau de verre ou de quartz
qu’ils devaient accrocher à leur cou. Les sujets n’avaient pas été informés
de ce qu’ils portaient. Au bout de deux semaines, quatre-vingt pour cent des
participants constataient une amélioration, un « effet placebo »
selon toute probabilité. Mais six mois plus tard, vingt-huit pour cent de
ceux qui portaient des morceaux de verre signalaient une amélioration
continue, tandis que quatre-vingt pour cent de ceux qui utilisaient du
cristal assuraient qu’ils en ressentaient toujours les bienfaits. Donc, pour
la dépression au moins, le cristal semblait avoir quelque chose en plus qu’un
simple effet placebo. » Taillé ou pas suivant sensation : non taillé est
peut-être plus agréable au niveau vibration. Sa longueur doit faire qu’il
doit bien tenir dans la main. Les diverses traditions – l’exégèse mystique- la
correspondance des pierres avec les entités célestes – les pierres et le rêve
– le cristal et l’Atlantide – la classification des minéraux et sa
description – classification chymique et cristallographique – comment choisir
sa pierre – purification, énergétisation et programmation – les quatre
éléments – les pierres et les chakras – éveil spirituel – magie et protection
– thérapie par les cristaux – les propriétés curatives – le pendule et la
boule de cristal – la gemmomancie – les cristaux et ses correspondances avec
les planètes et le zodiaque - |
CRISTAUX, MYTHES ET RÉALITÉS |
BARBARA WALKER |
Edition DANGLES |
1993 |
La profonde admiration pour
l’incomparable beauté et l’insondable mystère des cristaux, a donné l’envie à
Barbara Walker de rechercher puis de
transmettre ce qu’ils sont vraiment, ce qui la conduit par conséquent à dire
ce qu’ils ne sont pas, n’ont jamais été et ne pourront jamais être, car ce
livre est à la fois rigoureux et très
documenté. En historienne, l’auteur nous rappelle la valeur symbolique et le
rôle sacré que les gemmes ont occupé au fil des millénaires, dans toutes les
civilisations, ce sens vrai et profond que peu d’auteurs ont su respecter
dans sa justesse. En tant que membre de l’une des plus grandes sociétés
minéralogiques américaines, elle donne minutieusement la composition chimique
des pierres et en détaille les conséquences comme les possibles utilisations.
Son approche strictement scientifique s’accompagne néanmoins de références
aux textes anciens qui relatent l’utilisation des pierres dans la mythologie,
mais aussi dans l’organisation sociale, mettant en valeur leur immense
pouvoir sur l’imaginaire humain. L'engouement
du "Nouvel Age"
pour les cristaux les a remis à l'honneur. Ainsi a-t-on vu fleurir en
quelques années une multitude d'ouvrages de qualité très inégale sur le
sujet. Dans ce contexte, l'intérêt du livre de Barbara Walker – auteur
américain à succès – tient à ce qu'il ne participe justement pas de cette
mode. Enfin, de A à Z, cent-quarante cristaux (de agate à zirconia, en
passant par améthyste, azurite, chrysobéryl, diamant, émeraude, hématite,
jaspe, magnétite, obsidienne, onyx, opale, perle, quartz, rubis, saphir,
topaze, tourmaline...) sont étudiés un à un dans un esprit encyclopédique,
avec minutie et complétude, autant, sur le plan culturel que chimique,
minéralogique et géobiologique. Ce livre, richement
illustré de photos couleurs et noir et blanc, représente ainsi une
inestimable mine de renseignements inédits et intelligemment présentés,
autant qu'un véritable livre de référence pour quiconque s'intéresse aux
pierres et veut en percer les vrais secrets éternels. Enfin 142 cristaux (de A à Z) sont étudiés un à un dans un
esprit encyclopédique, avec minutie et complétude, autant sur le plan
culturel que chimique, minéralogique et géologique. Cet ouvrage, richement
illustré de photos couleurs et noir et blanc, représente ainsi une
inestimable mine de renseignements inédits et intelligemment présentés,
autant qu’un véritable livre de référence pour quiconque s’intéresse aux
cristaux et aux minéraux et veut en percer les vrais éternels secrets. Au sommaire : 1e partie : Pour l’amour des pierres -
qu’est-ce qu’un cristal ?
- le Nouvel Âge - la
véritable histoire de l’Atlantide
- le mythe de guérison - la
méditation par le cristal - les gemmes de la Bible - 2e partie :
L’échelle de dureté de Mohs - 142 cristaux sont étudiés ici – Adamite – Agate – Agate de feu –
Aigue-marine – Alexandrite – Amazonite – Ambre – Améthyste – Amiante –
Apatite – Apophyllite – Aragonite – Argent – Atacamite – Aventurine – Azurite
– Barytine – Benitoïte – Béryl – Bois pétrifié – Brésilianite – Calcédoine –
Calcite – Célestite – Cérusite – Chabasite – Chalcanthite – Charbon –
Charoïte – Chiastolite – Chrysobéryl – Chrysocolle – Chrysoprase – Cinabre –
Citrine – Coprolite – Corail – Cornaline – Crocoïte – Cuivre – Danburite –
Datolite – Diamant – Diopside – Dioptase – Dolomite – Emeraude – Enhydre –
Enstatite – Epidote – Etain – Fer – Fluorite – Galène – Géode – Glace –
Grenat – Halite – Héliotrope ou Jaspe sanguin – Hématite – Hénimorphite –
Heulandite – Hexagonite – Hiddénite – Hyacinthe – Ivoire – Jade – Jais –
Jaspe – Kammeréite – Kunzite – Kutnahorite – Labradorite – Lapis-lazuli –
Lépidolite – Magnétite – Malachite – Marbre – Mercure – Météorite – Mica –
Moldavite – Obsidienne – Oeil-de tigre – Onyx – Opale – Opale de feu – Or –
Orpiment – Péridot – Perle – Pierre de lune – Pierre ponce – Plomb – Prehnite
– Pyrite – Quartz – Quartz fumé – Quartz d'Herkimer – Quartz rose –
Rhodochrosite – Rhodonite – Rose des sables – Rubis – Rutile – Saphir –
Sardoine – Sardonyx – Scapolite – Sélénite – Shattuckite – Sidérite –
Smithsonite – Sodalite – Soufre – Spath d'Islande – Sphalérite – Spinelle –
Staurotide – Stibnite – Stichtite – Stilbite – Strass – Sugilite – Tanzanite
– Tectite – Thulite – Topaze – Tourmaline – Turquoise – Ulexite – Vanadinite
– Variscite – Verre aventuriné – Wavellite – Withérite – Wulfénite – Zincite
– Zircon – Zirconia cubique ou CZ – |
CRISTAUX - propriÉtÉs
ÉnergÉtiques des pierres & des cristaux - 2 Tomes - |
J.M. garnier |
Edition
A.C.V |
2005 |
L’homme est vibratoire, l’univers
qui l’entoure aussi, les cristaux qui l’entourent sont les relais de ces
vibrations provenant à la fois de la terre et du cosmos. Ce livre nous donne
le mode d’emploi pour utiliser au mieux ces réservoirs d’énergie que sont les
pierres qui permettent de revitaliser, de soigner et de retrouver l’harmonie.
Extrait du livre sur le quartz ou
cristal : Le Quartz est à la fois un
récepteur, émetteur et un amplificateur. Le Cristal a la propriété
d'amplifier, d'emmagasiner, de focaliser, de transformer et de transmettre
toute énergie qui est introduite à l'intérieur Idéal pour la voyance,
imagination. En méditation, Le cristal de roche permet d’atteindre certains
états beaucoup plus rapidement. Efficace pour supprimer les blocages
énergétiques du corps, afin de redonner son ton vibratoire au corps, afin de
réaligner le corps éthérique. Principalement utilisés par les thérapeutes, il
a le pouvoir de renforcer, de recharger, et d’activer les minéraux. Il a le
pouvoir de les nettoyer (amas de cristal). C’est un amplificateur. Poser près
d’une autre pierre il accroît ses propriétés des pierres qu’il entoure. Il
peut être utilisé avec toutes autres pierres de couleurs. Il dissipe
l’électricité statique. Il agit sur le plan vibratoire de la personne afin de
l’accompagner dans son travail. Il purifie l’aura. Pierre de pureté et de
lumière elle relie aux différents plans subtils, elle amplifie aussi les
pouvoirs et les énergies d’un individu, sa propre lumière. Le
cristal de roche permet également d’augmenter les réserves énergétiques du
corps et développer les facultés psychiques: clairvoyance, intuition, clair
audience, télépathie, concentration, visualisation…Le quartz rutile :
Facilite l'inspiration, augmente le don de la clairvoyance. Transforme la
négativité. Accroît la communication avec le moi supérieur et les guides
spirituels. Un gros cristal une géode, ou un tapis de quartz placé dans une
pièce dispensera ses vertus dans la pièce et leurs sphères énergétiques.
Servez du cristal de roche pour amplifier les propriétés des autres pierres
de votre environnement. Il peut être placé soit dans une chambre, dans un
salon, ou au travail, partout, sous toutes les formes, bruts ou polis Selon le cristal, la forme, La
boule émet l’énergie à égale mesure dans toutes les directions. Energie douce
et puissante. Une pyramide permettra de communiquer avec nos différents corps
subtils. Vous pouvez utiliser le cristal de roche pour amplifier les
propriétés d’une autre pierre qui serait posée dans votre espace de vie ; Par
exemple une calcite orange ou une labradorite. Poser un cristal de roche en
pointe près de votre pierre ou sur un tapis de quartz. Un premier tome qui répertorie plus de 500 pierres. Cela commence avec
l’Adamite et se termine avec le rubis (Zoïsite) Un deuxième tome avec la lithothérapie, le travail sur les chakras, les
maladies (une centaine y sont expliquées avec leur soins par les cristaux),
les correspondances organe – pierre, les différents corps subtils et
énergétiques et les systèmes sanguins, lymphatiques, musculaires et nerveux.
|
CRISTAUX – MANUEL PRATIQUE DU CRISTAL |
Clémence Lefèvre |
Edition Exclusif |
2007 |
Ce
livre nous invite à voyager dans le monde magique du cristal. Il en présente
toutes les possibilités d’utilisation. L’étude des civilisations anciennes
(celte, chinoise, égyptienne, indienne, amérindienne…), nous prouve que le
monde minéral a toujours été une source d’inspiration, de guérison et une
voie de sagesse pour les anciens. Les cristaux présentent en effet des qualités
merveilleuses, c’est ce que nous explique l’auteur dans cet ouvrage
résolument pratique et largement illustré en couleur. Vous allez découvrir le
Cristal générateur et régénérateur
qui vous dynamisera en quelques minutes. Comment mieux dormir, devenir plus
calme en toutes circonstances avec le cristal
bi-terminé ; voyager dans les autres dimensions avec le cristal laser, ou encore retrouver tonus,
force et énergie grâce à l’élixir de cristal… L’auteur nous explique aussi pourquoi
avoir un cristal dans sa poche peut être aussi utile que son trousseau de
clés. Mille autres choses sont possibles avec le cristal : purifier
l’eau, dynamiser les boissons, les aliments, les légumes, donner force et
vigueur aux enfants, à vos animaux de compagnie, rendre plus aimables les
gens à votre égard. A titre personnel, vous l’utiliserez pour réactiver tous
vos centres nerveux de façon à obtenir une bien meilleure forme physique.
Avec le chapitre consacré à la cristallothérapie, vous mettrez en œuvre les
techniques destinées à masser et stimuler les points du corps, apaiser,
nettoyer et redynamiser toutes les fonctions vitales. Ce manuel pratique du
cristal est un guide simple et complet, précis et bien argumenté, destiné à
celles et à ceux qui s’intéressent aux innombrables vertus du cristal de
roche et qui veulent en exploiter tous les bienfaits. Au sommaire de cet ouvrage : Une énergie naturelle et radiante - Volition, Visualisation, Méditation et Relaxation - La purification et la programmation du Cristal - Le Cristal : Médecine de l’habitat - Cristal et ondes de formes, - traitement par radiation - Traitement par l’élixir de cristal - Différents usages de la boule de cristal et lire dans la boule de cristal. L’auteur Clémence Lefèvre est une spécialiste des pierres et des
minéraux, elle travaille sur l’utilisation thérapeutique de ces minéraux. |
croix
- b.a.
– ba des croix |
David gattegno |
Edition PARDES |
2005 |
Le symbole de la croix, a écrit René Guénon, « est
précisément de ceux qui sont communs à presque toutes les traditions ; ce qui
est, pour nous, l’indication qu’il se rattache à la grande Tradition
primordiale ». La croix est donc fort loin, ajoute l’auteur du Symbolisme de
la Croix, "d’appartenir proprement et exclusivement au christianisme
comme certains pourraient être tentés de le croire".
Plus qu'un symbole, et quel que
soit la tradition, la croix est souvent signe de ralliement, façon de vivre,
objectif spirituel et un réconfort moral. Au sommaire de cet ouvrage : Chapitre 1 : Le Pal ou Stipe - le sacrifice
« palingénésique » - Le centre du monde -
la montagne aérolithique - les pierres de foudre -
les armes célestes - la guerre contre les démons -
la maçon chicaneur et l’abbé enthousiaste -
les bénédictions cruciales
- la croix de combat et de
victoire - le dieu « bon » -
les armes précieuses - la croix de la demeure -
le carrefour cosmique - l’homme-montagne et la croix taoïste -
le demeure du sacrifice - la chambre de feu - le palais et sa triple enceinte -
la danse de la tortue - la matrice d’immortalité - Chapitre 2 : La fasce ou Patibulum - la vacuité fascinée -
la tombe - la toile de l’araignée -
tramer la destinée - le non-écrire poétique -
le faisceau des licteurs
- le serpent des horizons -
le yoni - l’esse du tai ki, qui
est la représentation symbolique du cercle de la destinée individuelle - |
CROIX DE VIE ÉGYPTIENNE, SES FABULEUX POUVOIRS |
Marie Delclos |
Edition Trajectoire |
1998 |
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Elle traque sa trace à travers les représentations divines et pharaoniques, nous révélant son unité et sa multiplicité. Multiplicité, car ses significations vont bien plus loin encore que les explications communément actives. Unité, parce qu’à travers la diversité des sens apparait un axe unique : celui de la protection divine, du rayonnement de l’énergie et de l’immortalité. Replaçant l’Ankh dans l’extraordinaire contexte de la mythologie égyptienne toute entière, cet ouvrage est également un tremplin pour ceux qui désirent aller plus loin et utiliser cette connaissance de manière résolument pratique. De la magie talismanique aux puissants rituels liés à l’Ankh, nous restituant toute la force des pratiques occultes de l’Egypte ancienne, afin de dynamiser tous les domaines de notre vie, aucun aspect n’est passé sous silence des merveilleux pouvoirs de l’Ankh. L’Ankh comme clé et croix : Le livre des ports égyptiens donne une explication sur l’Ankh comme symbole ésotérique « Quiconque possédait la clé géométrique des mystères ésotériques, dont le symbole était précisément cette croix ansée, savait ouvrir les portes du monde des morts et pouvait pénétrer le sens caché de la vie éternelle » Lorsqu’il est tenu par l’anse, l’Ankh évoque une clé, c’est l’une des raisons pour lesquelles on nomme ce symbole « clé de vie ». L’Ankh est donc ce qui ouvre, c’est la clé des mystères, celle qui fait pénétrer l’initié dans le monde des symboles, c’est la clé qui permet de décrypter l’iconographie égyptienne, qui se présente comme un immense livre ésotérique, une immense bande dessinée codée dans laquelle rien n’est laissé au hasard, rien n’est laissé à l’imagination ou à la sensibilité des artistes qui la peignirent, la gravèrent ou la sculptèrent. L’Ankh est une clé qui ouvre de nombreuses serrures, et comme tout symbole, il possède plusieurs niveaux de lecture mais il semble en plus être au centre de tous les autres. L’Ankh est donc la puissance de la vie, aussi bien celle qui fait germer l’épi d’orge, que celle qui fait lever le soleil. L’Ankh est l’esprit qui est partout, aussi l’Ankh n’est-il pas là seulement pour donner aux humains une vie terrestre longue et prospère, mais pour lui assurer la vraie vie, la Vie éternelle, la Vie dans l’Au-delà. C’est à cette Vie éternelle que les Egyptiens aspiraient avant tout, ainsi que le montre le texte de l’historien grec Diodore de Sicile à leurs propos : »…la croyance des habitants qui regardent la vie actuelle comme fort peu de chose, mais qui estiment infiniment les vertus dont le souvenir se perpétue après la mort. Ils appellent leur habitation « hôtellerie », vu le peu de temps qu’on y séjourne, tandis qu’ils nomment les tombeaux « demeures éternelles » car les morts vivent dans les enfers pour l’éternité, c’est pourquoi ils apportent à la réalisation de leur tombe plus de soins et de travail qu’à celle de leur maison » Naturellement, il s’agit là d’un premier niveau de lecture : pour les initiés : les enfers étaient le ciel, et la vie éternelle se trouvait parmi les astres ; là encore, il ne s’agissait que d’une forme symbolique recouvrant un dernier niveau de lecture, le dernier mystère auquel peu avaient accès. Essayons donc d’aller plus loin et faisons appel à Petosiris, qui fut grand prêtre de Thoth à Hermopolis Magna ; il était considéré comme l’un des hommes les plus savants de l’Egypte, tes instruit des sciences hermétiques, alchimiques, symboliques, astrologiques et en magie, c’est lui qui avait enseigné au pharaon Nechepso, roi de Saïs, et c’est donc lui qui expliquera aux égyptiens comment se comporter durant leur vie terrestre afin d’accéder à la vraie Vie, à l’Ankh, je cite : « Ô vivants actuellement sur terre, je viendrais vers vous et je ferais que vous soyez instruit des volontés de Dieu….. Venez, je vous guiderais vers le chemin de la Vie….. Si je suis arrivé ici, à la ville de l’Eternité, c’est que j’ai fait le bien sur terre et que mon cœur s’est complu sur le chemin de Dieu depuis mon enfance jusqu’à ce jour… J’ai pratiqué la justice, suivie et respecté l’Ankh, je n’ai fait de mal à personne, je n’ai rien pris à autrui, je n’ai fait de mal à personne et j’ai toujours suivi les préceptes de Dieu, j’ai fait tout cela en pensant que j’arriverais à Dieu après ma mort et que je savais que viendrait le jour des Seigneurs de la justice quand ils feront le partage lors du jugement. Heureux celui qui aime Dieu, il arrivera à sa tombe sans accident… » Texte des sarcophages chapitre 83 - « C’est la connaissance qui donne la vie éternelle « Tout être qui est connaissant ne mourra pas de la seconde mort. Ses ennemis n’exerceront aucune influence sur lui et nulle magie ne le retiendra sur terre » -Texte des sarcophages Chapitre 85 – Ces textes sont très clairs et lorsqu’on parle de « Nem Ankh », il s’agit bien de la Vie éternelle divine, de la survie dans l’autre monde, de la renaissance et des cycles de la vie : « la mort est donnée à l’inique », malgré tout suivre des préceptes moraux était bien, mais l’insistance était donné vers la Connaissance. |
CROIX ET SWASTIKA EN CHINE |
Louis Gaillard |
Edition Archè Milan |
1987 |
Un livre très riche en explications sur les croix en général en Chine et particulièrement sur le swastika et ses divers dérivés dont la croix gammée. Une étude très fouillée qui même fait le tour du monde en allant par exemple dans les traditions scandinaves, en Perse, au Moyen-Orient et en Europe Au sommaire de cet ouvrage : Chapitre 1 : Le swastika et ses analogues - Etymologie et origine - ce qu’est la croix gammée - sa diffusion géographique et chronologique - Le swastika symbole d’ornement - le symbole aryen - quand et comment le christianisme adopte le swastika - le cœur du Bouddha - le marteau de Thor - Comme talisman hindou, saxon, gaulois et scandinave - le swastika en Corée et au Japon - les roues de la loi - Croix en Egypte et en Assyrie - L’arbre des bouddha - l’arbre de vie en Chaldée, aux Indes et en Chine - le mobilier chinois - emblème de félicité - Chapitre 2 : La pierre de Si-Ngan-fou - Ancienne et rare plaquette imprimée à ce sujet - En quel sens la pierre est nestorienne sans être protestante - les croix dans les textes - mention sur la croix et sa signification chrétienne - la croix du sommet - Copie en fac-similé de la croix telle qu’elle existe encore aujourd’hui - Chapitre 3 : Traditions anciennes sur la croix - Tonsure nestorienne en croix - Les juifs en Chine et en Inde - La croyance juive à la vertu du Tau cruciforme a pu préparer la voie à la croix - Les anciens missionnaires à la synagogue - Les Tau sur les miroirs taoïstes - la croix de Méliapore - Ruine des Eglises nestoriennes en Asie - le prêtre Jean ou Jehan - le Dalaï Lama - Les chrétiens dans l’armée et à la cour de Gengis khan - apparition des Ming - Découvertes de sépultures et des médailles catholiques - Bibles venues de Chine - le signe de la croix tracé sur le front en Chine et ailleurs - Croix tatouées - La pagode de la croix prés de Chang-hai - Chapitre 4 : La légende de la Chine éternelle et immuable - les divinités franco-chinoise - Le religion de la « pilule d’or » - Nestorius et la mariolâtrie - Images de la sainte Vierge - La croix-talismans que les fidèles tracent sur leurs maisons - Tableaux catholiques à la cour de Pékin - Les convertis arborent partout la croix - Autorisation de la polygamie - Apparitions de croix célestes dans tout le pays - Croix mystérieuses au Japon - Croix avec laquelle les chrétiens se font enterrer - La dévotion au Sacré Cœur popularisée - diverses céramiques avec des croix - la croix et le fong-choei - Ustensiles, vases et cloches décorés de croix - Chapitre 5 : Les croix ou X de fer - L’X de fer de Nankin intramuros - la ville de la fonderie - la pagode Ling-hoa-tai - le pont volant de Pékin - Aérolithes - Cloches tombées du ciel - La croix honorée dans une pagode chinoise - la croix-poussah - le dieu-lézard - les trois X superposés - quel est le rôle, l’utilité, la fonction de cet X de fer et pourquoi l’honorer ? - Serait-ce une amulette géante ? - le Vadjra ou foudre d’Indra, le dieu du tonnerre - Indra au Népal et au Tibet - le Tchakra « roue bouddhique » et le swastika, symbole du Dharma - 280 pages et 120 illustrations agrémentent ce texte - |
CROIX - FULCANELLI ET LE MYSTÈRE DE LA CROIX D’HENDAYE |
Axel Brucker |
Edition Séguier |
2005 |
Depuis la révélation par Fulcanelli, le plus célèbre alchimiste du XXe siècle, de la « croix cyclique d’Hendaye » dans le mystère des cathédrales, philosophes, savants astronomes, chercheurs, francs-maçons et alchimistes du monde entier cherchent à déchiffrer les symboles ésotériques de ce mystérieux ouvrage, que des chercheurs américains ont reconnu comme « Un monument sur le fin du monde ». Axel Brucker, descendant d’une vieille famille hendayaise, a enquêté avec passion sur tous les secrets entourant cette croix qui fait aussi partie de l’étrange histoire d’Hendaye, ou plutôt Andaye ? D’où vient cette croix, que veut-elle dire, quel est son sens et sa finalité et pourquoi fut-elle remplacée, déplacée et retournée par l’église et les prêtres d’Hendaye ? L’auteur s’est plongé dans les milieux ésotériques, maçonniques et alchimiques en essayant de comprendre et de répondre aux questions essentielles : pourquoi Hendaye, pourquoi cette croix avec ces inscriptions, que veut elle nous délivrer comme message ? A qui s’adressent ces messages ? Et que veulent-ils dire ? Que signifie ces étranges figures sur le socle et la curieuse inscription sur la croix. Et pourquoi cette faute en latin ? Peut-on y déchiffrer la date de l’Apocalypse, du Jugement dernier et la place du refuge, comme le pensait le mystérieux Fulcanelli ? Cette croix planté sur le parvis de l’église saint Vincent d’Hendaye est une énigme, elle est devenu quelques temps le centre du monde, au carrefour des religions, des philosophies et des alchimies et tout cela a traversés notre civilisation comme une comète. C’est à une enquête très poussée que nous convie l’auteur, il nous emmène de symbole en symbole, d’énigme en énigme et de découverte en découverte, car cette croix plantée en cet endroit ne doit rien au hasard. Cette croix cache sous un épais manteau des mystères et des secrets bien gardés. A Hendaye personne ne vous parlera de cette croix, alors qu’à Paris, Londres ou New York elle est célèbre et connue, on en parle dans des colloques aux quatre coins du monde, et ceci grâce au grand alchimiste Fulcanelli, qui le premier dévoila au monde entier cette énigme et ce mystère. Au sommaire de cet ouvrage : La croix d’Hendaye - Fulcanelli - Description de la croix et interprétation ésotérique - Millénarisme et fin du monde - Histoire de la croix d’Hendaye - Les quatre âges de l’humanité - Qui était Fulcanelli ? - Ainsi parlait Zoroastre - Le photographe de la croix d’Hendaye - Nul n’est prophète en son pays - Hendaye et le feu - la croix des Andes - Atahualpa - la croix du roi-soleil - le compagnon de la croix - les « faisans » de l’ile aux faisans - les étoiles - les aventures de la croix d’Hendaye en Amérique - L’Apocalypse de Jean - Une église place de la République - la croix du cimetière - la sœur de Sare - la vraie place de la croix - Le cimetière sacré d’Hendaye - Mil esker - |
CROIX - LA CROIX UNIVERSELLE |
Raymond Christinger – Jean Eracle- Patrick Solier |
Edition Dervy |
1980 |
Plus un signe est simple, plus son usage est universel, plus son impact est grand et plus ses valeurs sont nombreuses et parfois contradictoires, c’est le principe du symbole qui est ambivalent, ambigu, porteurs de beaucoup de pistes qui souvent sont incompréhensibles, mais malgré tout le symbole nous est nécessaire comme support de réflexion et départ de théories autant que de méditation. A l’origine est le point d’où procède tout graphisme, il contient en puissance toute création. Dès qu’un mouvement se manifeste, il devient ligne droite, courbe ou tout simplement sinusoïdale. Imaginons dans l’infinité du non-créé une unique droite issue d’un point, elle se prolonge indéfiniment et n’a pas de sens ; il est donc nécessaire d’avoir un point de référence, un observateur, pour lui donner une valeur, une direction, elle devient ainsi, verticale, horizontale ou oblique. Horizontale comme la surface d’une eau tranquille, elle éveille en nous le concept d’étendue, d’inertie, d’indifférencié. Verticale, elle suggère immédiatement, par opposition, la notion de mouvement, de création, de valeurs qui s’échelonnent entre le point d’intersection et les extrémités de la verticale. Horizontale et verticale se croisent, et voilà l’inerte qui prend une valeur, qui s’anime. La première opposition est créée d’où pourront naitre toutes les manifestations. Du même point initial part une ligne courbe qui revient à son origine. Le cercle est né, de même que la notion d’éternité. Le point initial n’est plus discernable ; le mouvement de la courbe se poursuit sans fin, sans cesse renouvelé mais, en revanche, limité à lui-même alors que la droite s’est à jamais perdue dans l’infini. Maintenant l’horizontale et la verticale se croisent au centre du cercle, elles agissent l’une sur l’autre, et voici qu’apparait l’image de la création éternelle. Les idées les plus élevées, les plus vertigineuses, peuvent donc jaillir naturellement des signes les plus simples sans qu’un système philosophique, une religion, un dogme, soient nécessaire. Dès que le signe se complique, dès qu’il est associé à un système ou une religion, un nouveau contexte fait surgir de nouvelles images, graphiques ou mentales, comme d’une source intarissable. C’est dire qu’une étude exhaustive du motif de la croix est inconcevable. Des héraldistes ont voulu cataloguer toutes les variantes de croix figurant dans des armoiries, ils en ont dénombré près de 500 et pourtant l’art du blason n’a pas épuisé toutes les variantes et à une bénédiction. Le signe est rigoureusement le même ; ici il est négatif, là il est positif. Le symbole ne prend vie qu’en raison de son contexte, qu’en fonction des réactions propres à l’individu qui y recourt. Le signe élémentaire est un remarquable générateur d’idées mais ces idées sont tellement conditionnées par des conventions, par des a priori, que nous ne sommes plus en mesure de nous laisser emporter par un flot de pures pensées. Seuls quelques mystiques, quelques êtres libérés, peuvent peut-être accéder à des pures pensées, mais alors ils peuvent se dispenser de signes. Il convient donc de confronter la croix à des a priori et de dégager un certain nombre de symbole, de croyances, d’images, mais comment les choisir alors qu’ils sont légion ? Il faudrait une existence humaine pour prendre connaissance de tout ce que la croix a inspiré, textes, œuvres d’art, graphismes, et l’on peut dès lors imaginer que tout a été dit à ce sujet. Le remarquable ouvrage de René Guénon, « le symbolisme de la croix », ne date que de quelques décennies et pourtant il est toujours une référence. Ce n’est que récemment que l’on s’est avisé du rôle de la croix dans l’islam, le bouddhisme et l’hindouisme, les spécialistes de l’histoire des religions ont donc encore bien des comparaisons à établir, bien des leçons et des opinions à tirer et à rectifier, car beaucoup de maladresses ont été dites. combinaisons possibles. Notre culture nous contraint à regarder la croix au travers de verres déformants ou du moins colorés. Elle éveille immédiatement des idées reçues, contradictoires parfois. « Être une croix, porter sa croix » sont des expressions qui provoquent des réactions pénibles, négatives, mais on est récompensé, honoré, par une croix s’il s’agit de l’insigne d’un ordre. Tracer une croix sur un texte l’annule, tracer cette même croix sur un être vivant équivaut Au sommaire de cet ouvrage : La croix en Asie - La croix du bouddhisme tantrique ou le diamant universel - la croix américaine - la croix tournante - un peu de sémantique - la croix, signe de la Rédemption - le Tau - du cinq à la Rose+Croix - Note sur le carré magique - la croix serait-elle la clé du Tarot ? - la croix ansée - la croix africaine - la croix en arithmétique - |
croix - le monde secret
des croix |
Christiama nimosUs |
Edition TREDANIEL |
1990 |
Ce nouveau livre de Christiama
Nimosus comble une lacune : l’absence d’ouvrages traitant des croix en
général, sans esprit de chapelle. Au sommaire de cet ouvrage sont
expliquées : Des croix à profusion : Universalité de la croix -
Origine et extension de la croix chrétienne - la
croix signe magique - les croix hiéroglyphiques et
idéogrammiques - les croix astronomiques -
les croix d’ordre de chevalerie
- les crois pantagrammiques - L’homme en croix - Graphiques de croix : la croix grecque – celtique - la
svastika - le chrisme
- la croix latine - de
lorraine - papale
- orthodoxe -
en tau - ansée
- la croix de la
scientologie - les Rose+Croix - la
croix hermétique - la croix de saint André - de
Malte - cathare
- templière - la
croix habitée - ancrée
- du Languedoc -
astrologique et spatiale - la vajra en croix - Des croix héraldiques : Histoire de l’Art héraldique -
les neuf émaux - la croix dans le blason - |
CROIX – LE SYMBOLISME DE LA CROIX |
René Guénon |
Edition TRÉDANIEL |
1996 |
La croix est un symbole universellement répandu, commun à presque toutes les Traditions. Dans cet ouvrage, Guénon s’attache d’abord à préciser la portée métaphysique de la croix, en tant que représentation de la réalisation du degré de l’Homme Universel (al-insân al-kâmil en arabe) qui désigne le développement intégral des possibilités de tous les états de la manifestation universelle, et par là même le but ultime de l’initiation. L’auteur aborde ensuite les significations qui découlent de cette doctrine, en développant particulièrement l’étude du symbolisme du swastika et de l’arbre. La représentation de la croix, transposable aussi au domaine cosmologique, permet d’exposer, d’une manière quelquefois très mathématique, les fondements de la métaphysique et la nature de l’initiation. Au sujet de la croix à six branches : La croix latine est formée de deux branches : l’une verticale et l’autre horizontale de moindre longueur. On appellera, en raison des forces qui y agissent, la branche verticale : axe d’exaltation et la branche horizontale : axe d’ampliation. A chaque plan renfermant l’ampliation d’un état donné succède un autre plan parallèle renfermant l’ampliation de l’état suivant. Ces plans se déplacent donc selon l’axe d’exaltation. Chaque plan renfermant l’ampliation d’un état donné est défini par deux droites, l’une étant l’axe d’ampliation et l’autre une perpendiculaire à cet axe passant par l’axe d’exaltation à leur point de croisement qui devient ainsi le centre ou « immuable milieu ». Apparaît ainsi la croix à six branches définissant les six directions de l’espace et le centre ce qui forme au total : sept (le septénaire). Vue dans le plan vertical cette troisième branche reste invisible et la croix à six branches se présente toujours comme une croix latine. Le monde de la forme et, dans une large mesure, le monde métaphysique étant héliocentriques, ces axes seront orientés selon le soleil : Le haut est le zénith, le bas le nadir, la gauche l’ouest, la droite l’est, devant le nord et derrière le sud. Ainsi au plan cosmologique l’axe vertical est l’axe méridien, l’axe nord-sud l’axe solsticial et l’axe est-ouest l’axe équinoxial. Alors les six directions de l’espacent apparaissent comme l’image du macrocosme et chaque plan d’existence comme celle du microcosme … La profondeur de l’exposé, qui synthétise en 200 pages des points fondamentaux rend ce livre capital, souvent considéré comme la pierre d’angle (avec quelques autres ouvrages) de l’œuvre guénonienne. Au sommaire de cet ouvrage : La multiplicité des états de l’être - L’homme universel - le symbolisme métaphysique de la croix - les directions de l’espace - Théories hindoue des trois gunas - L’union des complémentaires - le résolution des oppositions - La guerre et la paix - l’arbre du milieu - Le swastika - représentation géométrique des états de l’être - rapports des deux représentations précédentes - le symbole du tissage - représentation de la continuité des différentes modalités d’un même état d’être - Rapports du point et de l’étendue - L’ontologie du Buisson ardent - Passage des coordonnées rectilignes aux coordonnées polaires ; continuité par rotation - Représentation de la continuité des différents états d’être - le vortex sphérique universel - Détermination des éléments de la représentation de l’être - le symbole extrême-oriental du yin et du yang, équivalence métaphysique de la naissance et de la mort - Signification de l’Axe vertical ; l’influence de la Volonté du Ciel - Le rayon céleste et son plan de réflexion - L’arbre et le serpent - Incommensurabilité de l’être total et de l’individualité - Place de l’état individuel humain dans l’ensemble de l’être - La Grande Triade - Le Centre et la circonférence - Dernières remarques sur le symbolisme spatial - |
CROIX - LE SYMBOLE DE LA CROIX – Essai de métaphysique chrétienne |
Jean Biès |
Edition Arma Artis |
2010 |
Le symbole de la croix est le mémorial de toute la méta-histoire de Dieu et de toute l’histoire des hommes. La Création est l’épanchement de l’Absolu dans le devenir : la descente du « rayon céleste » dans la materia prima à travers les plans du Divin, selon l’axe polaire reliant le Ciel et la Terre ; elle est l’expansion de l’Absolu à travers la materia prima vivifiée à partir de l’Un dans le multiple. Mais au mouvement macrocosmique d’expansion de l’Esprit, répond le mouvement microcosmique de rassemblement de tous les êtres –et plus spécialement de l’être humain - vers le Centre de toutes choses et de soi-même, de même qu’au mouvement de descente de l’Esprit répond le mouvement inverse de remontée vers le haut et de l’extérieur vers l’intérieur. Résumer d’un signe la totalité du christianisme reviendrait à tracer une croix, tel est le symbole chrétien par excellence, que la fête de l’Universelle Exaltation de la vénérable et vivifiante croix célèbre comme « puissance des rois, fermeté des justes, magnificence des prêtres », et proclame à la fois « arme de paix, trophée invisible, rempart inexpugnable, épouvante des démons, porte du Paradis, sécurité de l’univers, signe lumineux parmi les astres ». La croix – faut-il le rappeler ? – se constitue d’un axe vertical et d’un axe horizontal, l’on y ajoute en Orient une traverse supérieure : l’écriteau trilingue, et une traverse inférieure : le support des pieds. Ce symbole exprime l’idée de quaternité, en laquelle saint Jérôme voyait un sens de révélation et de stabilité. Il récapitule toute la métaphysique chrétienne. Ce petit ouvrage (60 pages), s’en tient d’une part aux structures de l’Ordre divin –le macrocosme – et les degrés de sa manifestation ; d’autre part, les niveaux de l’être humain – le microcosme -, et les étapes de sa réalisation, on y découvre les étonnantes richesses de significations et d’interprétations qui recèle un symbole d’une magnifique simplicité. D’une manière générale, on peut dire que le tracé et l’intersection des différentes droites indiquent les rapports existant entre l’Absolu et le relatif, le réel et l’illusoire, l’Essence et la substance, l’Incréé et le créé, l’infini et le fini, l’Eternel et le transitoire. Ils désignent la polarité du Ciel et de la Terre, du masculin et du féminin, du Transcendant et de l’Immanent, de la Divinité et de l’humanité. Les deux axes principaux et les deux traverses secondaires délimitent et opposent ces structures et ces degrés ; mais selon d’autres points de vue, ils les relient et les unissent, les tissant ensemble en un jeu perpétuel d’échanges « sans confusion ni séparation ». Le fait d’essayer de donner des noms ou des attributs à la Déité est une gageure, l’apophatisme même ou l’aphairétisme ne convient pas à la Déité, car la négation ou l’abstraction/séparation ne résous rien déclare Maxime le Confesseur dans sa mystagogie. Dieu a une hyparxis simple, inconnaissable et inaccessible à tous, totalement ininterprétable, malgré tout, le langage humain soutient la gageure d’exprimer l’inexprimable et les procédés rhétoriques qu’il emploi sont autant de ruses pour le faire comprendre. Sur le roc vertigineux qui marque l’extrême limite du dicible et de l’indicible, le langage mène une lutte inégale et sans merci avec le logos et son au-delà, comme Jacob, au gué de Jabboq, se battit toute une nuit avec le messager divin. L’auteur nous parle longuement des sephirot et de l’arbre de vie et s’en sert pour le mettre en surimpression de la croix avec ses différents sentiers et ses divers attributs. |
2 D
DÉCAPITATION - LA DÉCAPITATION DE SAINT JEAN EN MARGE DES
ÉVANGILES -
Essai d’anthropologie historique et sociale |
C. Gauthier |
Publication de la Sorbonne |
2012 |
||
Le
thème de Salomé dansant avec la tête de Jean est propre aux traditions du
monde chrétien d’Orient. Ainsi, on raconte en Bulgarie qu’au cours du banquet
d’Hérode, Salomé aurait dansé en tenant un plat sur lequel était posée
la tête de Jean, motif similaire à celui que l’on trouve sur les mosaïques de
Venise. Après la danse la fille d’Hérodiade jette la tête de jean aux orties
qui devient écarlate et immédiatement une nouvelle tête repousse au
Précurseur, car dit-on, la première était pécheresse. Saint
Jean, envisagé sous son aspect de martyr décapité, reste souvent méconnu. La
critique biblique moderne à chercher à démontrer que la décapitation de saint
Jean-Baptiste, dont le récit ne semble pas s’insérer directement dans le
message évangélique, ne correspondait qu’à une historiette sans importance… A
l’évidence il n’en est jamais allé de même du point de vue de la tradition
populaire. Très vite dès les premiers siècles du christianisme, une multitude
de croyances et de cultes placent ce thème en leur centre. Ce n’est pas
seulement la chrétienté, d’Orient ou d’Occident, mais aussi l’islam qui ont
associé les éléments présents dans ce récit à de nombreuses traditions. A
Damas, dans la grande mosquée des Omeyades, est érigé un immense tombeau de
marbre blanc, supposé détenir la tête de Jean le Baptiste. Voir aussi le livre d’Ananda Coomaraswamy : « La doctrine du sacrifice », qui parle de la décapitation. (Voir dans le chapitre 10 de la Biblio) |
DÉCAPITATION - SYMBOLISME DE LA DÉCAPITATION DU ROI |
Christophe Levalois |
Edition Trédaniel |
1992 |
Le
21 Janvier 1793, le roi de France, Louis XVI, est décapité. Cet événement ne
marque pas seulement la fin de la royauté traditionnelle en France, il met un
point final au crépuscule d’un type de société dont l’origine remonte aux
temps primordiaux. Déjà, une autre vision du monde s’imposait :
matérialisation ; rationaliste, uniformisante. La décapitation du Roi,
moment crucial de la Révolution et de l’histoire, symbolise et explicite
parfaitement cette nouvelle orientation, elle dit aussi pourquoi, maintenant
nous en sommes arrivés là ! La
commémoration pour le grand public du bicentenaire de la Révolution française
a commencé en Décembre 1988 par un spectacle télévisé, les spectateurs étant
appelés a voté pour ou contre la mort du roi, ont voté en majorité contre,
car inconscient ils ont senti que cet homme non seulement ne méritait pas la
mort, mais que cette décapitation sonnait la fin d’une ère. Par-delà
encore, et là se trouve l’essentiel, il y a un sinistre meurtre rituel, comme
l’explique J. P. Roux « Ils ne savaient
pas qu’ils jouaient un drame sacré, ils obéissaient à un obscur instinct qui,
du fond des âges, montait vers eux. De ce sang qui avait coulé, de ce sang
qui les aspergeait ils attendaient une vie nouvelle ». Il
faut comprendre qu’au-delà de l’expression politique de la royauté, il y a
tout ce que représente celle-ci, depuis les français ont le sentiment d’un
vide qui s’est vite transformé en trou noir où glisse et se désagrège
l’ensemble de la société. Pour
bien comprendre ce drame et ses conséquences qui se sont déroulées et se
déroulent dans l’invisible, il faut interroger les principes, les mythes, les
symboles, les croyances, les idéaux et la longue durée, cela permet de
percevoir les enjeux et les forces en présence, ainsi nous aurons une
perception des mœurs, de la politique, de la société et des événements qui en
découle. La
décapitation du 21 Janvier manifeste aussi une victoire, celle des
forces infernales qui s’emparent de la tête de la société et qui dès lors
la dominent. On a dit avec raison, que le roi n’est mort qu’une fois, le 21
Janvier 1793, il ne s’agit pas de la mort d’un individu ou d’un roi, mais de
celle de la royauté et de la vision qui la sous-tend. Certes cette royauté en
elle-même n’est pas morte, un principe ne meurt jamais, mais elle réside
depuis lors, hors de notre monde qui lui tourne le dos, tout comme il tourne
le dos au ciel par le même mouvement. La
royauté est née d’une rencontre entre le monde des hommes et le ciel. Tant qu’il
y avait un roi légitime, c'est-à-dire qui maintenait des principes
fondamentaux et des correspondances avec le supramonde, une régénération
était possible, mais actuellement ce n’est plus le cas, le lien avec la
source de vie a été rompu, les hommes n’ont pas la capacité de le renouer à
eux seuls. Aussi tout doit aller à sa fin, car seul « l’esprit vivifie » (2e
épître aux Corinthiens III). Privée
de cette lumière, la société actuelle ne peut que régresser vers
l’infra-monde et y disparaître. L’auteur développe les thèmes suivants : La décapitation du Roi et la Révolution française – les aspects de la fonction royale : La fille aînée de l’Eglise, le lien entre le monde des hommes et le monde céleste, l’image de la société en sa totalité, le roi tête du royaume, la royauté comme principe – La symbolique de la tête : la tête et le ciel, Tête de connaissance, le siège de l’autorité, Tête et sacerdoce – Les significations traditionnelles de la décapitation – L’asservissement par la tête, le changement d’état, l’œuvre au noir – De la Révolution à l’Apocalypse – La fin de la primauté du spirituel -La rupture avec le monde céleste – L’acéphalie provoque la désagrégation – L’empire funeste du temps – Le commencement du crépuscule – Le retour aux origines – La grande confrontation – « Puis je vis un nouveau ciel et une nouvelle terre » |
des
contes de fÉes à l’opÉra – une voie royale |
Amélie Andrée gedalge |
Edition DERVY |
2003 |
Ce livre est un recueil d’études
dont l’axe est le symbolisme initiatique. Son auteur, Amélie Gedalge (1865 – 1931),
nous conduit dans un domaine dont elle a essayé de saisir le sens : « Ce que
j’ai pu apprendre a été pour moi un monde », a-t-elle écrit. |
CONTES ET OPÉRAS, UN CHEMIN D’ÉVEIL |
par Amélie André-Gedalge - présenté par Irène Mainguy |
Edition Dervy |
2014 |
Cet ouvrage est pour ainsi un complément au livre d’Amélie André-Gedalge, c’est son petit-fils André qui aidé par Irène Mainguy explique et dépoussière si besoin était, l’ouvrage de sa grand-mère avec de nouveaux textes retrouvés, une introduction biographique et bibliographique d’Irène Mainguy, le tout orné de 22 figures qui agrémentent cet ouvrage de 260 pages. Cet ouvrage est donc un recueil d’études qui a pour thème le symbolisme initiatique. Son auteur, Amélie Gedalge (1865-1931), nous conduit dans un domaine qu’elle a approfondi avec talent et enrichi par sa sensibilité d’artiste. Elle écrivait : « Ce que j’ai pu apprendre a été pour moi un monde ». Il est remarquable qu’Amélie Gedalge a su synthétiser ses recherches aussi bien sur les contes de fées que sur les opéras. Des symboles universels sont présents dans toutes les religions, philosophies, légendes, tous les contes, tous les mythes et ce dans toutes les traditions. Ils sont une source inépuisables de merveilleux dans lesquels le rêve se mêle à la réalité, ils nous permettent de nous élever dans les hautes régions de la spiritualité, en laissant apparentes les vérités sacrées pour ceux qui savent les lire. Ce livre donne de précieuses clefs pour rassembler ce qui est épars et suivre le fil d’Ariane du message des contes et des opéras. Mais qui était Amélie ? Elle née en 1865, son père est musicien et homme de théâtre, il meurt alors qu’Amélie n’a que 15 ans, elle sera élevé par sa mère Mélanie et aura une enfance solitaire et studieuse. A 19 ans elle remporte le premier prix d’harmonie et démontre très vite ses dons musicaux et baigne littéralement dans la musique, elle a d’ailleurs plusieurs prix, en même temps elle écrit des livrets et des cours complet de solfège. Elle chante également en public et fait du théâtre et de l’opéra où elle interprète Bach, Schubert, Mozart et d’autres. Le revers de la médaille est un dédoublement de personnalité qui lui occasionne des troubles, elle trouve alors l’enseignement théosophique de Madame Blavatsky en 1904 et restera dans ce mouvement jusqu’à sa mort en 1931, elle pratique également l’astrologie. Elle devient professeur de musique de grande notoriété et enseigne à l’université de saint Denis. En 1884 elle rencontre le compositeur André Gedalge et se marie en 1887, ils auront 5 enfants. Emilie est très féministe, en 1912 elle se fait initier dans une loge d’adoption sous la houlette de la Grande Loge de France puis intègre le Droit Humain qui est mixte, elle se veut libre-penseur ce qui lui donne une liberté totale pour pouvoir s’exprimer dans sa lutte contre les dogmes de l’époque, mais aussi contre l’ignorance, l’égoïsme, le sectarisme et l’intolérance. Le Droit Humain sera impacté par les idées de la théosophie car beaucoup de théosophes étaient également maçons, et c’est Annie Besant, le colonel Olcott et surtout Leadbeater qui en seront les maitres d’œuvre à partir de 1907. La théosophie prenant ses sources dans l’indouisme, le point central en sera la réincarnation et son évolution fortement influencée par le bouddhisme. Amélie rencontrera dans ces réunions des personnages comme Papus, Durville et autre Teder, les séances étaient en partie dédiées au spiritisme, aux facultés médiumniques, au magnétisme et à la théosophie. Cet amalgame loin de décourager Amélie lui donnera l’envi d’aller plus loin et d’approfondir le symbolisme de la musique et des contes de fées. Au sommaire de cet ouvrage : Eléments biographiques sur Amélie-André Gedalge (1865-1931) -
Il était une fois - Le symbolique initiatique - Introduction à l’ésotérisme
initiatique des contes de fées - Essai sur l’ésotérisme initiatique des
contes de fées - L’ésotérisme des contes des Mille et Une nuits - Essai sur
le pouvoir éducateur de la musique - La traduction du fantastique et du
merveilleux dans l’histoire de la musique - La flûte enchantée de Mozart -
L’ésotérisme d’Oberon de Weber - La Table d’Emeraude - Dictionnaire Rhéa - |
DICTIONNAIRE AMOUREUX DES
TRAINS |
Jean des Cars |
Edition Plon |
2006 |
||
De
Labiche à Zola, d’Hitchcock à Truffaut, les trains du mystère, du drame et de
l'amour sont l'univers favori de l'auteur. De la vapeur au TGV, il enchantera
votre lecture. Un livre raconté par un écrivain qui, comme son
arrière-grand-père, ne peut voir partir un train sans être du voyage. Dès
la Révolution Industrielle, le train s'est imposé dans le quotidien des
sociétés, pour des raisons pratiques évidentes. Il s'est tout aussi
facilement imposé dans l'imaginaire de tout individu, donc dans l'imaginaire
collectif, comme représentation symbolique. Initialement, machine à vapeur et
de feu, tractant une cohorte de wagons, la locomotive et son train
matérialisent un tournant majeur dans l'histoire des sociétés et de
l'individu. Les hommes ont de suite été fascinés et effrayés de ces engins
crachant le feu. C'est ainsi que le train a supplanté le dragon dans les
songes. Il appartient de fait aux symboles dits de substitution. Symboliquement, le
train, dans son ensemble, figure autant le déroulement de sa propre vie que
sa trame, signifiée par le réseau du chemin de fer fait de rails, de
croisements et d'entrecroisements. En effet, l'individu, bien que spécifique
et particulier par rapport à un autre, n'évolue qu'en fonction des autres,
d'où le concept de trame pour figurer l'existence, de plan préétabli,
puisqu'il est issu d'une contrée, d'une famille, d'une culture,… et ne
serait-ce que parce qu'il est né garçon et non fille, noir et non blanc ou
jaune, à tel endroit plutôt qu'à tel autre, à telle époque plutôt qu'à une
autre… On est tous
contraints d'accepter et de reconnaître que son individualité est de fait
limitée, puisqu'il y a une nécessaire interaction avec autrui, avec le
contexte extérieur. On n'est jamais seul dans un train, c'est un moyen de
locomotion destiné à servir le collectif. Des individus, certes très
différents des uns et des autres, et qui ne se connaissent pas, y sont
rassemblés, mais ils ont tous un point commun: ils ont décidé sans se
concerter de se rendre à un même lieu (gare d'arrivée), d'atteindre une même
destination. Pour préciser, retenons que la voie ferrée, les rails, sont associés au
parcours, à la destinée, le
train, lui, avec sa locomotive, ses wagons, évoque les conditions
de l'existence, le contexte dans lequel un être évolue. Mais il figure aussi
l'être lui-même avec ses objectifs, ses projets |
dragons
– Histoire, mythes et reprÉsentations |
Dr Karl shuker |
Edition Solar |
1997 |
Comptant plus de 100 illustrations,
peintures, gravures, dessins, représentations d’objets d’art, cet ouvrage
présente plus de 30 dragons du monde entier, révélant pour chacun son
origine, son apparence, son habitat, son comportement et l’histoire, souvent
dramatique, de ses rapports avec les humains. C’est une magnifique étude,
appuyée sur les plus récentes recherches en dragonologie, qui étonnera et
captivera, offrant des aperçus passionnants sur le monde de ces créatures
terribles, parfois comiques mais toujours majestueuses. Le Dr K. Shuker dragonologue et
zoologue est un passionné des animaux étranges, il a construit et consacré sa
vie professionnelle à étudier les bêtes fabuleuses qui peuplent les
mythologies et à rechercher les traces d’animaux non encore découverts par la
science, supposés disparus ou connus seulement de certaines populations. Le Dr Desmond Morris, zoologue,
est l’auteur de nombreux ouvrages mondialement connus. Après avoir obtenu un
doctorat en éthologie, il a dirigé une unité de production cinématographique
pour la société zoologique de Londres. Au sommaire de cet ouvrage : Carte du monde des dragons - Chapitre 1 : Les dragons serpents : la malédiction
du ver de Lambton - Vouivre et gargouilles - Jormungandr,
le serpent qui encerclait le mode
- Kitchi-at’husis et la sangsue
géante - Regulus et le serpent géant de
Carthage - Persée et le dragon de Poséidon -
Léviathan - Dragons-serpents et baleines- reptiles - Chapitre 2 : Semi-dragons :
la fiancée de lindorm - le combat de Siegfried et de Fafnir -
Maud et la wyverne - Marduk et les monstres de Tiamat - le
mystérieux tatzeworm - Chapitre 3 : Dragons classiques :
Saint Georges et le dragon - la fin honteuse du dragon de Wantley -
Gare au bunyip - le dragon-oiseau de l’Illinois -
Sirsh, le dragon de Babylone
- le dragonnet du mont
Pilate - les dragons vivants de Komodo et de
Nouvelle-Guinée - Chapitre 4 : Dragons célestes :
Amphiptères et serpents ailés - Quetzalcoatl, le serpent à plumes du
Mexique - les dragons –dieux de la Chine -
oiseaux de tristesse, dragons de détresse -
les serpents ailés du pays de Galles
- Chapitre 5 : Néo-dragons :
du basilic au cocatris - Sainte Marthe et la Tarasque - la
Velue - Héraclès et l’Hydre de Lerne -
Salamandre et pyrallis - longs-cous et lézards de mer -
les dragons du futur - |
du
sommeil et autres joies dÉraisonnables |
Jacqueline kelen |
Edition La
Renaissance du Livre |
2003 |
Célébrer le sommeil peut paraître inattendu
mais l’auteur nous entraîne sur ce sentier peu exploré et nous fait partager
les témoignages de bonheur des grands dormeurs : La Belle aux Bois
Dormant – Endymion – Ulysse – Le Roi Arthur – Boaz – Jesse – Les Gisants
médiévaux – Bouddha et bien d’autres philosophes comme Bergson et
Kierkegaard. Nous ne savons rien du sommeil,
bien que nous prétendions en faire l'expérience. Ce que nous savons, c'est
que nous devenons somnolents — autrement dit, que le corps s'épuise
progressivement — mais, en fait, le sommeil ne vient jamais à nous. Nous
sommes éveillés pendant la journée, nous sommes conscients, nous pensons.
Mais notre pouvoir de voir et de connaître pendant la veille s'applique
presque uniquement aux choses extérieures, de nature matérielle, si bien que
ce que nous appelons connaissance — connaissance de veille — consiste en
pratique, à appliquer toutes nos facultés à l'existence physique, à
l'exclusion de toute autre. (C.T. 183) Quand nous sommes éveillés, dans
la journée, nous agissons extérieurement par le biais des organes du corps
qui servent à transmettre et recevoir des impressions. La nuit, cette
activité cesse : il est dit alors que nous dormons. Mais comment
pouvons-nous savoir que nous sommes conscients pendant ces heures de
la nuit ? Parce que, à l'état éveillé, nous pouvons dire : «J'ai
rêvé», sans mettre aucunement en doute notre identité pendant le rêve. Nous y
étions également conscients de disposer de tous nos sens ; avec,
apparemment, le pouvoir de nous mouvoir. Malgré l'état endormi du corps dans
la condition que nous appelons le sommeil profond, nous étions encore des
êtres vivants, agissants et conscients. Il n’est probablement pas difficile
de concevoir que nous sommes également conscients pendant la plus grande
partie du repos nocturne passée dans ce que l’on appelle le "sommeil
sans rêve" du corps ; que notre activité y est d’une nature plus
élevée et plus subtile que pendant l’état de veille ; qu’il est possible
de conserver un contrôle conscient sur cette activité — d’en ramener dans
notre cerveau, utilisé pendant la journée, la mémoire de toute action sur
chaque plan intérieur de l’être. L’âme — l’Homme Réel — avec toutes ses expériences
passées, est parfaitement éveillée quand le corps est endormi. Pour l'âme, le
temps de la nuit c'est le temps du jour du corps. Toutefois, c'est seulement
dans des cas exceptionnels qu'un être humain sait qu’il est conscient en
permanence ; que cette Conscience ne peut jamais s’arrêter. Nous pouvons
constater la continuité de la conscience dans le fait que nous sommes
capables de reprendre, chaque jour de notre vie, l’activité de la veille et
des jours précédents
|
2 E
Éloge
du silence |
Marc de smedt |
Edition ALBIN MICHEL |
1994 |
« Si
le mot que tu vas prononcer n’est pas plus beau que le silence, ne le dis
pas » Précepte soufi. Si l’on peut dire qu’il n’existe
pas de silence total, on peut affirmer que le silence ne cesse jamais
d’impliquer son contraire et que seul le fond sonore de notre environnement
nous permet de le reconnaitre. Le silence c’est du temps perforé
par des bruits, c’est la couleur des événements, ainsi il peut être léger,
épais, gris, joyeux, vieux, lourd, aérien, triste, désespéré ou encore
heureux… Il se teinte de toutes les
infinies nuances de nos vies. Sans cesse, si on l’écoute, il nous parle et
nous renseigne sur l’état des lieux et des êtres, sur la texture et la
qualité des situations rencontrées. Lieu de la conscience profonde, il fonde
notre regard et notre écoute. Le silence intérieur :
comment, dans le tumulte des pensées, fantasmes, images qui nous habitent,
peut-on arriver à retrouver le silence en soi ? Artistes, poètes,
philosophes, mystiques savent depuis toujours que dans l’attention au silence
de la pensée s’enracine toute créativité, que de lui, ainsi que l’exprime un
Koan zen, s »élève l’esprit immortel. Dans un monde de plus en plus
bruyant, la valeur du silence est à redécouvrir, nous l’avons peut-être
oublié, mais nous sommes des êtres porteurs de toute la sagesse immémoriale
su silence. Au sommaire de ce silence : Les états du silence -
les seuils du bruit - les signes de la communication -
le langage des yeux - le miroir de la Psyché -
le huitième note - le langage des oiseaux -
la bibliothèque de Babel
- le sens du dessin -
images du sacré et mémoire des ruines
- derrière les murs,
l’espace - Sotie sur la mer -
mort et solitude - le dit d’Elohim -
le calme méditant - Eveils
- échos du silence - |
ÉSOTÉRISME ET SPIRITUALITÉ
MAÇONNIQUE |
J.
LHOMME – MAISONDIEU et |
Edition DERVY |
2002 |
Un
grand voyage au pays des origines de la F.M et des écoles de spiritualité Salomon
n’est pas mentionné dans les annales mésopotamiennes. La tradition
phénicienne est légendaire, Salomon aurait vendu à l’Etat Tyrien la ville de
Khorbat Khozli et la Plaine d’Acre pour 120 talents d’or, et aurait eu
recours au professionnalisme d’un bronzier tyrien, Hiram (cf Bible, 1R7,
15-47). Les relations avec l’Egypte, qui de toute façon, à l’époque, était la
puissance dominante, et Salomon dut accepter de se placer dans l’orbite
politique de ce pays qui imposait la pax egyptica, sont relevées dans la
Bible uniquement, même le mariage de Salomon avec la fille du Pharaon Siamoun
(976-954) de la XXe dynastie. Une trace littéraire cependant, les Cantiques
des Cantiques, ou chant de Salomon à la Soulamite parait influencée par les
poèmes d’amour égyptiens de la XVIIIe dynastie (autour de 1500 avant J.C.).
Quant au Yémen et à la Reine de Saba, les Sabéens commenceront à être connus
hors de leurs frontières au VIIIe siècle avant J.C. seulement. On
y trouve, la symbolique du temple de |
2 H
hergÉ
chez les initiÉs |
Jacques fontaine |
Edition
derVy |
2001 |
||
Enfin "une lettre d'un Franc-maçon à
l'un de ses frères" donne le point d'orgue de chaque chapitre. C'est
ainsi que les pages défilent, profondes et vibrantes. Les lecteurs d'Hergé,
les initiés, les amateurs de grandes histoires, trouvent ici des motifs pour
lire et relire avec jubilation les aventures de Tintin, du capitaine Haddock
et de Tournesol. Hergé sait, certes, raconter des histoires et dispose de qualités
graphiques géniales. Il sait donner de l’épaisseur à ses récits et inventer
des personnages, autour du héros principal. Hergé est l’inventeur de la
« ligne claire », qui consiste à contenir d’un trait de largeur
constante des aplats de couleurs franches. Mais l’explication ne suffit
pas : l’ésotérisme règne donc dans les aventures de Tintin. Les mythes,
les symboles, les rites s’y déploient. Hergé était fasciné par l’œuvre de
Jung, pour lequel l’inconscient n’est que le reflet de vérités intérieures.
On peut presque imaginer qu’Hergé a volontairement disséminé des signes, leur
donnant du sens. Les héros
Haddock-Tintin-Tournesol, ces trois personnages cohabitent chez Hergé. Haddock tout d’abord : agité,
aveugle, avec des défauts (braillard et sans écoute de l’autre), il suit
Tintin, contre son gré dans chaque aventure qui est pour lui une initiation,
une découverte. Tintin
cherche à améliorer l’humanité, agit avec les autres, est toujours en action,
en voyage, et en questionnement permanent. Il se met en danger pour les
autres. Tournesol, dont le
nom est lié au soleil donc au divin, est dévolu à la réflexion. Il n’a plus
d’illusions, vit dans son monde à lui, rayonne d’intelligence et de sagesse.
Hergé
injecte désormais, dans ses histoires, une cohérence symbolique : un
héros, un faire-valoir, des personnages bien campés ; la quête d’un
trésor, d’un Graal. Concentrons-nous sur Le Secret de la Licorne, le Trésor
de Rackham le Rouge, et les 7 Boules de Cristal suivi du Temple du Soleil. La
structure des quatre albums est faite d’une énigme, d’un voyage, d’un trésor.
Cela évoque les initiations : l’impétrant est d’abord confronté à l’obscurité,
loin des siens : bois sacré chez les africains, chapelle pour le
chevalier. Puis à des voyages, lors de ses initiations, puis à la découverte
d’un trésor, souvent caché au fond de lui-même : c’est le retour sur
soi, comme le trésor de la Licorne était finalement caché dans le château,
alors que Tintin a fait le tour du monde pour le trouver : le secret de
soi se trouve en soi !0, A la fin du « Trésor de Rackham le Rouge », Tournesol entre dans la
crypte du château de Moulinsart, acquis grâce à ses inventions. Il marche
vers le trésor avec son pendule, en franchissant solennellement un portail
comme on franchit les portes lors d’initiations. On retrouvera une autre
évocation du temple, à la fin du « Temple du Soleil ». La voûte et
la croix sont également deux symboles qui reviennent beaucoup dans ces deux
albums. Les « 7 boules de Cristal » et le
« Temple du Soleil »
procèdent du même registre. Sept boules de cristal, dont la couverture est un
carré, associé à la terre et au chiffre 4, surmonté d’un cercle de feu, le
ciel, associé au chiffre 3 (4+3=7). La composition évoque aussi une élévation
vers le ciel. Tournesol en est le Maître. Dans cet album, Tintin monte
également les 7 marches qui montent à l’autel du Temple du Soleil après avoir
franchi 7 vallées. L’alliance de l’ombre et de la Lumière est partout
présente dans le « Temple du Soleil », jusqu’à l’éclipse finale.
« Le soleil ni la mort ne peuvent se regarder en face », disait
Pascal : Tintin ose pourtant le faire, à la fin du « Temple du Soleil »,
comme s’il était mûr pour l’ultime initiation, la rencontre de la mort et du
soleil. L’œuvre
d’Hergé est universelle parce qu’elle contient des symboles, des mythes (le
mythe universel du héros), du sens. Mettre du sens dans un récit, dans un
groupe humain, dans sa vie, dans sa tête, c’est déjà accéder à l’universel.
Hergé a interdit à quiconque de poursuivre son œuvre... Pourquoi ?
Alors, qu’il aurait aimé continuer à raconter de belles histoires, comme tant
d’autres scénaristes et dessinateurs ? Et pourquoi également ne
ressent-on pas cette unité et cette universalité dans les imitations
posthumes d’Hergé, même quand celles-ci sont très bien dessinées ? La
preuve qu’Hergé est le seul à détenir le secret symbolique... des aventures
de Tintin ? |
2 I
images
& symboles – essai
sur le symbolisme magico-religieux |
Mircea eliade |
Edition GALLIMARD |
2004 |
La pensée symbolique est
consubstantielle à l’être humain : elle précède le langage et la raison
discursive. Les images, les symboles, les mythes ne sont pas des créations
irresponsables de la psyché ; ils répondent à une nécessité et remplissent
une fonction : mettre à nu les plus secrètes modalités de l’être. Par suite, leur étude nous permet
de mieux connaître l’homme, l’« homme tout court », celui qui n’a pas encore
composé avec les conditions de l’histoire. Au sommaire de cet ouvrage : Avant-propos de Georges Dumézil Redécouverte et symbolisme -
symbolisme et psychanalyse
- Pérennité des images -
le plan du livre - Symbolisme du « centre » -
Psychologie et histoire des religions
- Histoires et archétypes -
l’histoire du monde - Symbolisme de l’ascension -
Construction d’un centre
- Symbolisme indiens du Temps et de l’éternité -
Fonction des mythes - Mythes indiens du Temps -
la terreur du Temps - Symbolisme indien de l’abolition du Temps -
L’œuf brisé - la philosophie du Temps dans le
bouddhisme - Images et paradoxes -
Techniques de la « sortie du Temps » - Le « Dieu lieur » et le symbolisme
des nœuds
- le Souverain Terrible -
le symbolisme de Varuna - « Dieux lieurs » dans l’Inde
ancienne - Thraces, Germains, Caucasiens -
L’Iran - Parallèle ethnographique -
Magie des nœuds - Magie et religion -
Symbolisme des situations »limites » -
Symbolisme et histoire - Remarques sur le symbolisme des coquillages -
la lune et les eaux - Symbolisme de la fécondité -
Fonctions rituelles des coquilles
- Le rôle des coquillages dans
les croyances funéraires - La perle dans la magie et dans la
médecine - le mythe de la perle - Symbolisme et histoire -
Baptême, déluge et symbolisme aquatique -
Images archétypales et symbolisme chrétien -
Symboles et cultures - Remarques sur la méthode - |
INITIATION ET CONTES DE FÉES - Une évocation des cheminements initiatiques dans les contes populaires d’Europe |
Bernard Roger |
Edition Dervy |
2013 |
Si l’humour de la « langue des oiseaux » permet de remarquer, non sans justesse, que les contes de fées sont aussi des « contes de faits », il convient de préciser que le domaine du réel où ces faits trouvent leur place n’est pas celui dans lequel évolue notre commune logique de l’état de veille. Leur univers est celui du désir, dans le sens le plus élevé du mot qui, de par son étymologie, évoque la quête intense d’une étoile perdue ; et ces faits savent prendre des couleurs diverses, selon celle de l’étoile que chaque auditeur de conte, souvent sans en avoir conscience, cherche en lui-même. La présente étude s’attache au sens des faits qui, dans certaines de ces « histoires du temps passé », parlent, à leur façon et sans dévoiler davantage à ceux qui les disent qu’à ceux qui les écoutent, de l’initiation traditionnelle dont les principes et l’objectif se retrouvent autant dans la pratique de l’alchimie que dans celle de la Franc-maçonnerie. Sous les images des personnages qu’elle met en scène et sous les récits de leurs aventures, la Mère l’Oie transmet ainsi, dans le silence, des secrets concernant les étapes du Grand Œuvre comme celles de l’initiation maçonnique. Le lecteur partira ainsi à la découverte de ces étapes dans la succession des péripéties de 81 contes merveilleux et pleins d’enseignements, avec plusieurs niveaux de lecture qui permettent à chacun de pouvoir voyager, sur son propre véhicule. Ces contes font partie du vivier des Frères Grimm ainsi que d’Emmanuel Cosquin, puis de divers enquêteurs qui, au milieu du XXe siècle prospectèrent et recueillirent dans les campagnes ces contes, ultimes mémoires de la tradition. Au sommaire de cet ouvrage : Chapitre 1 : Les
contes : Chapitre 2 :
L’Initiation : Chapitre 3 : Les
étapes : Chapitre 4 :
V.I.T.R.I.O.L., ou la Porte du Temple : Chapitre 5 : Les
chemins du V.I.T.R.I.O.L. Chapitre 6 :
Lumière : |
initiation
et sagesse des contes de fÉes |
Dennis boyes |
Edition Albin Michel |
1996 |
Symboles, images, archétypes
engendrent chez l’enfant des forces qui l’initieront à la vie et à la
découverte de lui-même. Cette action double, merveilleuse, inhérente aux
contes de fées, combat la tendance à séparer le spirituel du matériel et
guérit de ce clivage conflictuel en l’homme. Cependant les effets des contes
dépendent, dans une large mesure, de la façon dont les parents et éducateurs
les relatent. Leur rôle est capital dans la transmission de ce savoir
immémorial. Etudiant les symboles et nœuds majeurs de nos contes
traditionnels, cet ouvrage devrait passionner tous les amateurs de
merveilleux et de quête intérieure. Au sommaire de cet ouvrage : Symboles et thèmes dans les contes de fées : l’arbre - l’arc en ciel - la
bague et les bottes - carrosse
- cerf-volant -
chasseur - cheminée
- clairière -
couronne - épée
- escalier -
famine - flèche
- fleurs -
fontaine - maison
- manteau -
miroir - montagne
- œuf -
papillon - pécheur
- Le rôle des élémentaux :
Fées ; gnomes, salamandres et ondins
- Contes de Fées et type d’enfants :
L’enfant maladroit et destructeur
_ l’enfant paresseux et
rêveur - introverti
- intellectuel -
méchant - anxieux
- triste -
rusé - coléreux
- Les contes de Fées, médicaments de l’âme : La lutte entre l’ego et le soi -
l’action multiple des contes de fées
- l’initiation à la quête
intérieure - le quête de l’inconscient -
comment les contes de fées préviennent des dangers et des difficultés - le
rôle du mal dans les contes de
fées - la femme grande
initiatrice - Contes choisis et commentés :
Romieu de Villeneuve - Jean et l’ours -
celui qui partit en quête de la peur
- le vaillant petit tailleur - |
INITIÉS, SYMBOLISME
et LIEUX MAGIQUES |
Guy TARADE |
Edition RAMUEL |
2000 |
Lorsque vous aurez
ouvert ce livre vous ne le refermerez plus. Un enchantement dans les méandres
d’un Dans
le centre médiéval de Gérone, juste en dessous de la Cathédrale, on découvre
un entrelacs de petites rues pavées aux ombres sombres, des balcons étroits
et des arches invitantes. Promenez-vous dans le Call Jueu, l'ancien
quartier juif. S'il reste aujourd'hui bien peu de ce centre névralgique que
constituaient cet entrecroisement de ruelles et sa multitude de synagogues au
Moyen-Âge (les lieux de cultes ont été détruits et les maisons ont disparu),
ce clair-obscur composé d'impasses et de petits escaliers stimule facilement
l'imagination. On est sur les pas de
R .Lulle, des Templiers de Lluch, Avignon, la Camargue, l’île d’Elbe. Un livre inestimable. |
ITINÉRAIRES DES DANSES MACABRES |
H et B. UTZINGER |
Edition GARNIER |
1996 |
||
La
deuxième est que ce petit nombre de fresques a un aspect positif, car la
Danse ne se laisse pas déflorer en un instant, c’est progressivement qu’on en
observe la forme, la couleur, l’ironie et l’harmonie, la mélancolie, la
satire sociale ou le miserere, qu’on en comprend la naissance et la portée
socio-religieuse. Conséquence des
épouvantables malheurs du XIVe siècle, conséquence du développement monacal,
d’un mépris du monde au regard de la vie éternelle, sa diffusion va être
considérable. Vers la deuxième moitié du XVe siècle, elle deviendra un thème
universel en même temps qu’une véritable mode, mode que Paris a lancée dans
deux directions : celle de la peinture avec le charnier des
Saints Innocents au moment du carême en 1424 et celle de la gravure sur
bois à partir de 1485 avec Guyot Marchand. Cette mode dans toute
l’Europe durera cinq siècles, avec à partir du XVIIe siècle une
disparition de son caractère médiéval. Le style va changer, la forme va se
modifier et la danse macabre moyenâgeuse qui fustigeait le matérialisme va
laisser la place à un symbolisme de la mort pure et de son au-delà. Est expliqué avec de
très nombreuses gravures : Philosophie de la
mort, les cavaliers de l’Apocalypse, les épidémies, les famines, les
maladies, les guerres, les prémices de la danse macabre avec Boèce, Thibault
de Marly, Innocent III, Gerson, la bibliothèque Mazarine, la peste, l
lanterne des morts, le livre d’heures, les cartes à jouer et la lame XIII du
tarot, les Saints Innocents, le triomphe de la mort, Ars moriendi,
Savonarole, le mors de la pomme, la danse des aveugles, le Bar-sur-loup, les
loups ravissans, le laboureur de bohême, Georges Chastelain, l’Ankou, Jean de
Castel, François Villon, les vanités, Rosslyn chapel en Ecosse, le Grand Bâle
en Suisse, Simon Marmion, La Chaise-Dieu, Albi, Strasbourg, Beram en Croatie,
Clusone en Italie, Côme, Berlin, Pisogne, Kermaria, Berne, Inkoo en Finlande,
Denis Catin, Carisolo, l’alphabet de la mort, Rouen, Dresde, Newark, Brianny,
Angers, Coire, Constance, Cherbourg, Fribourg, Lucerne, Avrieux, Erfurt,
salzbourg, le travail de la mort, Bergame, Elmen, Louis Jou, Amiens, Avignon,
Bayonne, Binche, Coupiac, Dijon, Ferrare, Lisbonne, Ulm, la satire sociale,
l’égalité des hommes et des femmes, l’ironie, le récitant, aspects moraux, la
danse macabre et la musique, le péché originel, l’enfer, le purgatoire, la
pourriture, la résurrection, le contemptus mundi, la danse macabre de
Berne………… |
2 J
jeux
initiatiques à l’aube du verseau |
Atlantis Automne 1990 |
Revue Atlantis N° 363 |
1990 |
Superbes explications symboliques
et ésotériques sur 4 jeux de société : Les
Échecs – Le Jeu de l’Oie – Le jeu de Go – La Marelle. Au sommaire : Jacques d’Arès et son éditorial Pierre Meinsohn : Jeu d’échec, jeu de
la vie Augustin Berger : L’échiquier comme
représentation d’un diagramme cosmique Francis Meinsohn : le jeu d’échec, voie
initiatique méconnue Marcel Spaeth : Variations insolites
sur les échecs Claudius Barrat : Notre jeu
d’échecs : Une stratégie géospirituelle du Verseau Augustin Berger : Le noble jeu de
l’oie François Garagnon : Le jeu de Go :
l’initiation à l’art de la guerre Lucien Carny : Le jeu de la marelle Chronique des revues
- Miroir des chercheurs et des curieux |
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