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Chapitre 23  L      (  Travaux divers  )

 

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la SPIRALE ET LE CENTRE.

 

LA SPIRALE ET LE CENTRE

 

La Franc Maçonnerie Ecossaise est perçue comme un chemin qui monte suivant une spirale conique. En avançant, on revient au même endroit, mais à un niveau plus élevé et sur un cercle de rayon plus rétréci... On meurt à chaque fois à une ancienne vie pour se régénérer meilleur à une nouvelle vie , comme on l'a été à son initiation (cabinet de réflexion, la grotte, la ventre de la mère), à son élévation au 3è degré et à autres après. C'est la même image de régénération après une mort véhiculée par le déluge, l'apocalypse, etc...


                          

Être Musulman c'est se trouver sur le Cercle, la grande voie (shariyah) accessible à tous avec ses règles et ses lois de vie en société. Pour aller du Cercle au Centre (haqîqah), l'Unique et l'Immuable Vérité - en fait Allah -. il est nécessaire de suivre un chemin qui mène au Centre, le  tariqah, c'est à dire un des innombrables rayons ("les voies de la connaissance sont aussi nombreux que les enfants d'Adam") accessibles à ceux qui ont la capacité de comprendre. Le Soufisme, la voie ésotérique de l'Islam  est un de ces chemins.

 

Cercle et Centre

"Je ne suis ni de l'Est, ni de l'Ouest, ni de la mer, ni de la terre, je ne suis ni matériel, ni éthéré, ni composé d'éléments,

Je n'existe pas, je ne suis une part, ni de ce monde, ni d'un autre, je ne descends ni d'Adam, ni d'Eve, ni d'aucune origine.

Ma place n'a pas de place, une trace de ce qui n'a pas de trace, ni corps, ni âme.

J'appartiens au Bien-Aimé.

J'ai vu les deux mondes réunis en un seul, le premier, le dernier, celui du dehors, celui du dedans, simples comme le souffle d'un homme qui respire."

Rumi, Mathnawi, livre premier

Les Cercle et Centre évoqués dans la défniition du  Soufisme  se retrouvent dans la Franc Maçonnerie ou le Cercle est la limite de la connaissance humaine, la Connaissance étant figurée par le cercle de rayon illimité, et le Centre, la Vérité, le Principe,  tout ( cercle de rayon infini) et rien ( cercle de rayon nul).

Le Bouddhiste , par la méditation et le travail sur soi même , poursuit le but de d'échapper à la roue de la vie et de revenir vers le non soi . Il nie qu'il y a un moi permanent et autonome càd qu'il y a une âme immortelle ou un principe vital, mais admet un "moi empirique" (le corps-esprit) qui est décomposé en cinq "agrégats d'attachement" :

1.      Le corps (rūpa

) ;

2.      les sensations (vedanā) ;

3.      les perceptions (samjñā) ;

4.      les "fabrications mentales" (samskāra) ;

5.      la conscience (vijñāna).

ll faut donc parvenir à séparer les cinq agrégats d'attachement, à briser l'attachement et la croyance qu'ils sont "soi" pour revenir à l'initial "non-soi".

Le but du bouddhisme( et aussi du taoisme) n'est pas le même que celui des trois religions monothéistes.



roue bouddhiste de l'existence

Le Taoiste, lui, cherche à aller au delà de la dualité qui est la caractéristique de la création, de l'existence, pour revenir vers l'Unité, le Principe .

Il ne s'agit pas de se mettre dans une des deux positions de la dualité pour combattre l'autre, de faire disparaître le Yin, le noir, pour ne garder que le Yang, le blanc. Car le noir Yin reviendrait comme le blanc Yang partirait, et le cycle perpétuel continuerait. Car cela correspondrait à rester dans les contradictions de ce qui a été Créé, sans vraiment chercher à s'en échapper pour entamer la route de retour vers l'Origine.

La Voie Taoiste consiste à chercher à arriver à ne plus différencier le mal du bien, à recevoir et accepter tranquillement amour et haine, blanc et noir, joie et peine, à ne pas sentir, ni voir, ni vivre des Yin et des Yang différenciés, de ce qui est Créé, pour accéder à la communion intime de soi même avec tout ce qui nous environne.C'est une Voie qui propose des pratiques, un style de vie, des exercices, qui permettent de relier, d'harmoniser le yin et le yang, la terre et le ciel, c'est-à-dire le visible et l'invisible.

Tai Ki

C’était au temps où Lie Tseu lui même cherchait encore à apprendre auprès du grand maître Lao Chan. 

Quand je suis devenu disciple de mon maître, dit il, c'est seulement après trois ans passés à avoir peur de juger intérieurement et extérieurement et de qualifier quelconque par des paroles, qu'il m'honora pour la première fois d'un regard.

Au bout de cinq ans, quand j'arrive à juger au fond de moi même ce qui est juste et ce qui ne l'est pas, et à distinguer par la parole entre ce qui est bon et ce qui est mauvais, mon maître alors me sourit pour la première fois.

Au bout de sept ans, quand naturellement est effacée dans mon esprit la distinction entre le juste et le mauvais, et dans mes paroles celle entre l'avantage et l'inconvénient, mon maître, pour la première fois, me fit asseoir sur sa natte.

Au bout de neuf ans, quand j'eu perdu la notion du juste et de l'injuste, du bien et du mal, en moi aussi bien que vis à vis des autres, alors en moi s'établit la communion parfaite entre le monde extérieur et mon intimité foncière, je ne distinguai plus le Maître comme un Maître, ni un ami comme un ami.

Ne plus distinguer intérieur et extérieur, c'est sentir la vue comme l"ouïe, l'ouïe comme l'odorat, l'odorat comme le goût, tous intégrés en un seul tout. Mon coeur est comme ne battant plus, mon corps comme complètement délivré, ma chair et mes os comme dissolus, je ne sens plus que mon corps s'appuie sur quelque chose ou que mes pieds se reposent sur la terre. Je suis le vent passant de l'Est en Ouest, comme une feuille détachée de sa branche, comme un fruit sorti de son arbre, je ne sais plus si c'est le vent qui me porte ou c'est moi qui porte le vent. "

 

CONTE DU  MOYEN ÂGE:  LE MOINE  ET  L’OISEAU.

 

 

 

 

Le moine et l'oiseau (extrait du livre Contes du Moyen-âge Aux éditions du Seuil.)

Il était une fois un moine. Selon l'usage de ce temps-là, ses parents l'avaient consacré à Dieu dès sa naissance et envoyé au monastère quand il était encore enfant. A présent, il était au seuil de la vieillesse. Il ne regrettait pas d'avoir passé toute sa vie dans le même cloître, entre le chœur et le dortoir, entre la salle du chapitre et le réfectoire, entre l'accueil des pèlerins à l'hôtellerie et la copie des manuscrits dans le scriptorium. Il avait été un moine heureux, et donc un bon moine. Sa foi était confiante, sa conscience nette. Il attendait dans la paix que Dieu qu'il avait servi en ce monde, l'accueillit dans l'autre. Une seule inquiétude le tourmentait. Un moine mène une vie régulière : une vie soumise à la règle et une vie où chaque journée, mesurée par les heures des offices de l'aube à la nuit, de matines à complies, est identique à celle qui la précède et à celle qui la suivra. Identique ? non, certes. L'année liturgique s'écoule, alternant le temps de la pénitence et le temps de la joie : au temps de l'Avent succède le temps de Noël, au temps du Carême le temps pascal. Elle déroule l'image de la vie du Christ et modèle celle du chrétien. Mais elle s'achève, et une autre commence qui est la même. Cette régularité, cette monotonie, ce retour des jours et des années ne pesaient pas à notre moine. Il n'avait jamais tien connu d'autre. Surtout, il savait que cette vie prendrait fin. Il la vivait dans l'attente de l'autre, la vraie. Et là était son inquiétude. Les élus au paradis chantent les louanges de Dieu comme le font les moines en ce monde. Mais ils n'attendent rien d'autre. Ils le font pour l'éternité. Le moine craignait que l'éternité lui pesât. Si heureux que l'on soit dans le sein de Dieu, il avait peur de s'y ennuyer.

Un matin, à l'heure de la récréation qui suit la réunion du chapitre, il alla, selon son habitude, faire quelques pas dans la forêt qui bordait le monastère. C'était le temps de Pâques. L'air était vif et léger, odorant sans être chargé d'aucun véritable parfum. Les jeunes feuilles des arbres, l'herbe, la mousse, tout était frais, clair et gai. Le moine s'assit au pied d'un frêne dont les petites feuilles allongées dessinaient sur le sol les entrecroisements d'une ombre légère. De minuscules violettes se cachent sous les brins d'herbe. Un peu plus loin, où l'herbe plus longue et plus sombre signalait un creux humide, peut-être une source, il y avait des anémones, et plus loin encore des jonquilles. Le moine s'adossa au tronc de l'arbre et pensa une fois de plus à la question qui le préoccupait. Il savait bien qu'il avait tort de se la poser. Il s'en faisait scrupule et reproche. Mais il aurait cependant aimé que Dieu le rassurât en lui donnant ne fût-ce qu'un indice de ce qui l'attendait au paradis. Comme il restait là parfaitement immobile, un oiseau, qui s'était tu à son approche, se remit à chanter. Son chant était si pur, si modulé, si mélodieux qu'il oublia ses pensées pour l'écouter. Il lui semblait n'avoir jamais rien entendu d'aussi beau. Toutes les mélodies de l'office et des heures monastiques, les hymnes et les psaumes, qu'il chantait dans le chœur avec ses frères depuis son enfance ; toutes ces mélodies qui, chacune selon son mode, chantaient de la note de base à la tierce ou à la quinte, enroulaient leurs mélismes autours de la teneur, redescendaient doucement jusqu'à la note initiale comme si elles suivaient les arcatures de la voûte de l’église ou celles du cloître ; toutes ces mélodies qui incarnaient pour lui la beauté et la paix ; toutes ces mélodies lui paraissaient soudain insipides en comparaison des quelques notes qui formaient le chant de cet oiseau. Au bout d'un instant, il se dit qu'il était temps de regagner le monastère s'il ne voulait pas être en retard pour l'office de tierce. Il se leva, et l'oiseau se tut. Quand il se trouva à l'entrée du monastère, quelle ne fut pas sa surprise de voir que le frère portier, qu'il avait salué au passage quelques instants plus tôt, avait laissé sa place à un autre moine, et à un moine qu'il ne connaissait pas. Ce nouveau portier ne connaissait pas non plus, car il le regarda avec étonnement et lui demanda ce qu'il voulait. Décontenancé, vaguement irrité, notre moine lui répondit qu'il voulait seulement entrer, et entrer bien vite afin de ne pas être en retard pour tierce. L'autre le regardait sans avoir l'air de comprendre.
Mais, finit-il par dire, vous n'êtes pas un moine de cette abbaye.


Comment cela, je ne suis pas un moine de cette abbaye ! je suis... Et il se nomma. L'étonnement du portier se changea en suspicion. l n'y a personne ici de ce nom. Le moine commençait à trouver la plaisanterie un peu longue. Il tempêta et exigea qu'on fît venir l'abbé. L'autre fini par céder. Mais quand l'abbé arriva, le moine ne le reconnu pas non plus. Ce n'était pas son abbé. La peur le prenait. En bredouillant un peu, il répéta qu'il était sorti pour une courte promenade, que certes il s'était attardé un instant à écouter un oiseau, mais qu'il s'était hâté de rentrer pour n'être pas en retard à l'office - comme si de telles explications pouvaient éclairer cette situation incompréhensible. L'abbé inconnu le regardait et l'écoutait en silence.


Il y a cent ans, dit-il enfin, un moine de cette abbaye portait votre nom. Un jour, à peu près à cette heure-ci et en cette saison, il est sorti du monastère. Il n'est jamais revenu et personne ne l'a jamais revu. Alors le moine comprit que Dieu l'avait exaucé. Si cent ans lui avaient paru un instant dans le ravissement où l'avait plongé le chant de l'oiseau, l'éternité n'était qu'un instant dans le ravissement en Dieu. Il confessa à l'abbé l'inquiétude qui l'avait si longtemps habité et, rattrapé par les années, il mourut en paix entre ses bras. 

 

la blessure au côté droit du christ – longin – lance – le graal – le calvaire – la croix – le golgotha

Etude réalisée par Frederick TRISTAN  EN 2004

 

l’acacia m’est connu

j. trescases.

 

 

Réflexions sur l’acacia, l’immortalité et la résurrection.

 

 

 

la chaîne d’union en loge

 

 

 

Symbolisme – fraternité – union.

 

LA CLE DANS LA BIBLE

 

 

 

 

 

la corde a nœuds

 

 

 

Poème sur la symbolique de la corde à nœud. Superbe.

 

LA DIVINE COMÉDIE

 

 

 

Travail important de Jean CHIARRI sur la divine comédie de DANTE, sur le plan métaphysique, ésotérique et alchimique.

 

La Flûte enchantée de Mozart.

 

 

 

Excellent travail sur cet opéra maçonnique avec des explications symboliques et ésotériques.

 

L’ÉPÉE  FLAMBOYANTE ET LE SENTIER DU SERPENT DANS L’ARBRE SEPHIROTIQUE

 

 

 

 

L’Épée Flamboyante et le Sentier du Serpent dans l’Arbre de Vie 

On décompose ce rituel en deux parties distinctes : la descente de l’Épée Flamboyante (Kether-Malkhuth

) et la Remontée (ou Voie) du Serpent (Malkhuth-Kether).

KETHER-MALKHUTH (Épée Flamboyante)

Ce premier mouvement est considéré dans la tradition kabbalistique comme véhiculant les secrets de la Création. Ce mouvement se rapporte au macrocosme – à l’univers qui nous entoure. Sur l’Arbre de Vie lui-même, ce Sentier, ou cette Voie, démarre de Kether et aboutit à Malkhuth dans une course en zigzag que l’on appelle « Épée Flamboyante ». Cette Voie est la course primordiale de l’énergie créatrice au travers des Sephiroth au travers des trois Piliers (Miséricorde, Rigueur et Milieu). Son voyage commence dans le Monde d’Atziluth afin de se rendre dans le monde de Assiah au travers du Monde de Yetsirah et du Monde de Briah.

L’Épée Flamboyante a encore une autre signification dans la Kabbale : la Tradition veut que chaque Sephiroth prenne la forme d’un centre d’énergie déséquilibré et sans harmonie. Ce déséquilibre est personnifié en tant qu’entité démoniaque – ou « puissance négative » — que l’on met en parallèle avec les Klippoth ou « coques négatives ». L’harmonisation et l’équilibrage de chaque Sephirah par la descente de l’énergie de la création prennent la forme d’une image de la guerre contre les puissances du chaos. Ainsi, l’Épée, dans sa descente dans l’Arbre de Vie, devient un talisman pour vaincre les forces destructrices ; ainsi, en magie, la formule de l’Épée est une arme nécessaire pour le magicien afin d’équilibrer son être – en utilisant ainsi la formule dans le domaine du microcosme.

L’Épée et le Psaume 18

La tradition kabbalistique relie la descente de l’Épée dans ses phases successives avec les mots du Psaume 18, versets 8 à 16.

« 8 Il s’élevait de la fumée dans ses narines, Et un feu dévorant sortait de sa bouche : Il en jaillissait des charbons embrasés.

9 Il abaissa les cieux, et il descendit : Il y avait une épaisse nuée sous ses pieds.

10 Il était monté sur un chérubin, et il volait, Il planait sur les ailes du vent.

11 Il faisait des ténèbres sa retraite, sa tente autour de lui, Il était enveloppé des eaux obscures et de sombres nuages.

12 De la splendeur qui le précédait s’échappaient les nuées, Lançant de la grêle et des charbons de feu.

13 L’Éternel tonna dans les cieux, Le Très-Haut fit retentir sa voix, Avec la grêle et les charbons de feu.

14 Il lança ses flèches et dispersa mes ennemis, Il multiplia les coups de la foudre et les mit en déroute.

15 Le lit des eaux apparut, Les fondements du monde furent découverts, Par ta menace, ô Éternel ! Par le bruit du souffle de tes narines.

16 Il étendit sa main d’en haut, il me saisit, Il me retira des grandes eaux ; »

Les lettres hébraïques du diagramme 2 sont des aides mémoires pour ce texte, chaque paire comprenant la première et la dernière lettre du verset attribué à une phase spécifique de la course de l’Épée.

Celui qui médite suit le chemin de l’Épée à partir du sommet de l’Arbre (Kether), au travers des puissantes influences des sphères (les 8 Sephiroth), vers la région de la Terre (Malkhuth) – où il doit entreprendre le chemin de retour.

À la fin de la séquence de versets, ayant tracé le Sentier de l’Épée de Kether à Malkhuth, le méditant déclare : « Il me retira des grandes eaux ». Car il y a de nombreuses eaux, de nombreux aspects de l’eau. L’eau en tant que symbole de l’affliction et de la peine se retrouve dans de nombreux psaumes, mais dans d’autres, l’eau est un symbole de pureté et de santé, de vie préservée et renouvelée. Elle est aussi un symbole de naissance ; dans la Sphère de Malkhuth, elle rappelle le verset 1, 9 de la Genèse « Et Élohim dit : Que les eaux qui sont au-dessous du ciel se rassemblent en un seul lieu, et que le sec paraisse. Et cela fut ainsi ».

Cette série de versets issue du Psaume 18 est pleine de significations kabbalistiques, et à divers niveaux. L’étudiant en magie devrait entreprendre l’étude de cette symbolique, c’est là un acte magique en lui-même.

Signification mystique de chaque verset :

1.Cette première phrase de l’Épée est émise en Kether et se propage vers Hokhmah.

2.Cette seconde phrase émise en Hokhmah se répand en Binah.

3.Cette troisième phrase émise en Binah se répand en Hessed.

4.Cette quatrième phrase émise en Hessed se répand en Guebourah.

5.Cette cinquième phrase émise en Guebourah se répand en Tiphereth.

6.Cette sixième phrase émise en Tiphereth se répand en Netzach.

7.Cette septième phrase émise en Netzach se répand en Hod.

8.Cette huitième phrase émise en Hod se répand en Yesod.

9.Cette neuvième phrase émise en Yesod se termine en Malkhuth.

MALKUTH – KETHER (Le Sentier du Serpent)

Ce second mouvement est associé avec le travail de la rédemption ; de la transformation et du soin de l’esprit humain. Ce mouvement est celui du microcosme – de l’univers en nous. La descente des énergies décrite dans l’Épée Flamboyante est équilibrée par un courant d’énergie remontant de Malkhuth à Kether. Ce courant suit un sentier sinueux complexe et dans l’imagerie traditionnelle de la Kabbale il est symbolisé par l’image du Sentier du Serpent.

Cette course qui peut paraître étrange de prime abord, n’est pas du tout due au hasard. Le Sentier du Serpent représente l’ouverture des sentiers entre les Sephiroth dans la conscience. Plus précisément, il représente l’ouverture de ces Sentiers dans un ordre équilibré, s’élevant de la base de l’Arbre vers la Couronne et ouvrant les niveaux les plus élevés de la conscience.

Le Sentier du Serpent est lié aux principes de la polarité. Tout d’abord, le mouvement d’un côté à l’autre de l’Arbre, d’un pilier à l’autre et ensuite en sens inverse fait écho à la route en zigzag de l’Épée Flamboyante. Ensuite, et plus important encore, chacun des sentiers entre les Sephiroth est lui-même un lien dans la polarité ; une force d’équilibre créé par le conflit entre deux Sephiroth en interaction. Chaque courbe du Serpent représente donc une polarité équilibrée. En terme de microcosme humain, le Sentier représente la jonction de deux aspects de la conscience dans une totalité plus élevée.

La très puissante conjuration du Serpent et de l’Épée

Le Rituel Kabbalistique de l’Étoile Flamboyante

Ce rituel est l’un des plus communs parmi les Kabbalistes et sa pratique peut être recommandée à la fois pour mieux appréhender les concepts de l’Arbre de Vie, pour la méditation ainsi que pour opérer une forme de la montée de la Kundalini. Les exercices qui suivent proviennent de plusieurs traditions différentes, mais leur efficacité est certaine, c’est pourquoi il nous paraît utile de les transmettre aujourd’hui.

L’Épée Flamboyante représente la descente de l’énergie divine lors de la Création et sa remontée vers la source sous la forme du Serpent Dressé. L’Épée Flamboyante et le Serpent forment ensemble le symbole du processus de la Création.

Lors de ce rituel, l’étudiant doit s’imaginer prendre la place du Créateur et de la Création. L’Épée Flamboyante traverse alors l’étudiant et lorsque l’énergie remonte, l’effet est une élévation de notre conscience et un éveil des centres psychiques correspondants aux différentes Sephiroth de l’Arbre de Vie qui sont harmonisées les unes avec les autres. L’étudiant devient alors l’Adam Kadmon ou Humain Originel précédant la Chute.

Les exercices doivent se pratiquer dans une pièce calme et lumineuse, il faut également veiller à ne pas être dérangé durant leur pratique. Il est bon d’allumer deux bougies blanches ou, préférablement, une Menora, ou chandelier à sept bougies. L’étudiant doit veiller à se laver préalablement et à se vêtir de vêtements amples, une robe de lin blanche est tout indiquée. Nous déconseillons l’utilisation d’encens ou de musique. En ce sens, ces exercices se distinguent des rituels magiques ou théurgiques habituels.

Préalablement à la pratique, il est conseillé également de pratiquer une méditation de quelques minutes, et de réguler sa respiration par une « respiration de quatre » (inspirez quatre secondes, retenez le souffle quatre secondes, expirez pendant quatre secondes et attendez quatre secondes avant de recommencer, et ainsi de suite).

 

l’agneau & le livre des 7 sceaux de l’apocalypse

Étude sur le bélier, RAM, le feu sacré, Igni, la swastika, le sacrifice, les Rose-Croix.

 

la hache et la double hache la pierre cubique surmontée d’un hache.

 

l’aigle

 

 

 

Documentation importante sur l’aigle et l’aigle bicéphale. De la symbolique johannique au blason du Suprême Conseil.

 

la kabbale maçonnique

 

 

 

Travail très intéressant sur la Kabbale Maçonnique qui se situe entre la Kabbale hébraïque et la Kabbale chrétienne. Cette Kabbale a ses propres symboles, sa propre herméneutique et son propre langage issu de la tradition judéo-chrétienne. Une tentative d’explication séduisante.

 

la légende d’hiram – élévation & initiation tautrique.

 

la liberté – maçon libre – loge libre.

 

la psychologie  junguieNNe et ses symboles

  Groupe de recherche alpina

 Suisse

 2009

 Des symboles maçonniques  au cœur de la psychologie jungienne  

« Nous restreignons beaucoup trop les limites de notre personnalité. Nous lui attribuons seulement ce que nous discernons d’individuel, ce que nous trouvons différent. Mais chacun de nous contient l’univers tout entier et, de même que notre corps porte en lui tous les degrés de l’évolution, à partir du poisson et beaucoup plus loin encore, ainsi, dans notre âme revit tout ce qui a vécu dans toutes les âmes humaines. Tous les dieux, tous les démons qui ont été adorés une fois, que ce soit par les Grecs, les Chinois ou les Cafres, tous sont en nous, tous sont là, sous forme de possibilités, de désirs, de moyens ». p. 147

 « Il est toujours dur de naître. Vous savez que l’oiseau a de la peine à sortir de l'oeuf.  Questionnez votre mémoire et demandez-vous si le chemin était vraiment si dur. Etait-il seulement difficile, ou beau aussi ? En connaîtriez-vous de plus beau, de plus facile ? » (p. 190)     Hermann Hesse, Demian,1925

       Chers invités, chères Sœurs, chers Frères, ces propos n’ont nullement l'ambition de présenter une théorie psychanalytique, cette compétence revient à des personnes formées à cette approche et à des professionnels de cette science. Nous désirons simplement examiner si quelques références alchimiques de la psychologie jungienne ont un lien directe ou indirecte avec l'approche symbolique pratiquée en Franc-maçonnerie.

       Bien entendu, ce que nous dirons est incomplet, maladroit et insuffisant ; cela va de soi pour les personnes qui cherchent que nous sommes tous, mais cela va encore mieux en le disant, au début de cet exposé, nous citerons la source principale de cet exposé ; il s’agit l'ouvrage de J.-L. Maxence, intitulé Jung est l’avenir de la Franc-Maçonnerie, paru aux Editions Dervy, 2004.

       NE LE 26 JUILLET 1875, dans le village thurgovien de Kesswil situé au bord du lac de Constance, C.G. Jung accomplit ses premiers pas dans un milieu passionné par les phénomènes religieux. Une de ses biographes (1) en ce qui concerne cette période, parle plus du rôle de son grand-père que de celui de ses parents. Le grand-père C.G. Jung senior (1794-1864) serait le fils naturel de Johann Wolfgang von Goethe (1749-1832) et il fut Grand-Maître de la Grande Loge suisse Alpina de 1850 à 1856.

Plus tard, un oncle de C.G. Jung, Ernest Jung, devint à son tour Grand Maître de la GLSA de 1884-1890.

Il importerait d’examiner attentivement le rôle qu’ont pu jouer ces hommes. Richard Noll (2) explique que dans la fameuse tour de Bollingen. Jung fait représenter un certain nombre « d'outils et de symboles maçonniques et alchimiques ».

       Du côté du grand-père maternel, on sait que le Révérend Samuel Preiswerk, chef du clergé protestant de Bâle possède la faculté de s’entretenir avec les esprits des morts.(3) Quant au père de Jung, Johann Paul Achille, théologien médiocre, il connaît bien les milieux des alchimistes et la mythologie mais sans vraiment trouver les mots pour en expliquer l’histoire et la symbolique.

On sait que Jung observa ce père plutôt désabusé ayant peut-être perdu son enthousiasme de pasteur. Il dit :

J’aurais voulu venir à son secours, mais je ne savais pas comment m’y prendre.

On dispose probablement ici d’une confidence précise et précieuse. Aujourd’hui on pourrait soutenir l’idée que Jung s’inspirant de l’histoire, de la symbolique et de l'origine des outils utilisés en Franc-Maçonnerie tente sa vie durant d’ouvrir une voie analytique pour venir apporter un peu de lumière en proposant une régénération inventant du même coup une psychologie analytique.

       Si vous le voulez bien retrouvons Jung à 25 ans ; il défend sa thèse en médecine intitulée : De la psychologie et de la pathologie des phénomènes dit occultes. Il commence ainsi une série impressionnante d’ouvrages. Au cours de ses études Jung semble pour ses camarades absorbé par ses découvertes intérieures ; en effet, l’archéologie, l’alchimie, les philosophies occultes deviennent ses domaines d’étude. Hermann Hesse (1877-1962) parlera de Jung en disant qu’il voyait en lui une montagne immense, un extraordinaire génie.

Il ajoute : Après Freud, aucun psychiatre de notre époque, n’a autant fait pour nous aider à pénétrer l’essence de la vie psychique. Jung ne se contente pas d’en étudier les mécanismes, il ne s’y intéresse pas comme le ferait un naturaliste mais en philosophe

Etienne Perrot écrit que Jung rapproche la psychologie et la Franc-Maçonnerie puisqu’il y a convergence entre l’aventure initiatique en loge et le processus d’individuation dans l’approche analytique. Et d’ajouter : Il est le témoin d’une réalisation intérieuredont sa méthode psychologique et son œuvre sont les fruits. Cette aventure fait rentrer dans le domaine scientifique l’antique quête du Graal et l'audacieuse descente aux enfers de Faust.  

Jung proposerait non pas une doctrine mais une voie associant la reconnaissance d’un inconscient collectif en quête d’un Moi sacré à travers une psychologie qu’il fonde et la symbolique de la Franc-Maçonnerie.         La voie de C.G. Jung s’apparenterait à le refondation d’un Temple ouvert. Dans ce Temple les rituels deviennent intégrateurs et nous familiarisent avec l’inconnu qu’il soit religieux, coutumier, racial, mythique.

Jung, cet explorateur du dedans, reprend à son compte la recommandation de Jean de la Croix (1542-1591) : «  Si tu veux arriver où tu ne sais pas, il te faut passer par où tu ne sais pas ».

Sa vision est purement dynamique. Deux concepts la résument : le devenir (Werden) et la transformation (Wandlung). L’homme est l’aboutissement de l'évolution des espèces.

Posons la question autrement, Jung aurait-il été entraîné au-delà de ses propres découvertes ? Ne dit-il pas « lorsque l’esprit entreprend l’exploration d’un symbole, il est amené à des idées qui se situent au-delà de ce que notre raison peut saisir ». Pour établir les bases de sa psychologie, donc pour mieux la comprendre, il importe de savoir que Jung « scrute les symboles collectifs et les représentations collectives religieuses » puisées dans l’univers des rêves.

Citation

Si un théologien croît vraiment en Dieu, à quel titre peut-il affirmer que Dieu est incapable de s’exprimer par le truchement des rêves ? (p. 179) (…) Les rêves sont le champ d’exploration le plus aisément et le plus fréquemment accessible pour qui veut étudier

la faculté de symbolisation de l’homme (p. 38)

Essai d’exploration de l’inconscient, C.G. Jung, Denoël, 1964

J’aime cette image donnée par Jung lui-même, auprès la petite psychothérapie qui tend à la guérison d’un symptôme (obsession, inhibition, etc.) existe une grande psychothérapie, une entreprise de longue haleine qui ne vise pas moins que la transformation de la personnalité.

L’Echelle de Jacob, beau symbole pour parler de l’ascension et de l’initiation offre aux initiés une vision du monde, une idée des voyages et une notion de l’approche analytique jungienne proposée aux analysants et aux analysés.

Françoise Giroud (dans Leçons particulières) parle de la psychanalyse : Par l’association des mots, l’analyse induit le patient à une remise en cause généralisée de ses choix, de ses idéaux, de ses valeurs. (…) Il est impossible d’expliquer ce qui se produit en cours d'’analyse par le seul effet de la parole, de l’association des mots et de leur interprétation. Mais à quoi bon le savoir. Non seulement c’est inutile, mais un tel savoir est nuisible à ceux qui demandent assistance à l’analyse. Informés, ils croient qu’il ont tout compris alors qu’il ne s’agit pas de comprendre, mais de verbaliser. La théorie n’a jamais délivré personne de ses angoisses ni de ses névroses. (…) C’est quand on ne peut plus négocier avec soi-même, quand on souffre, qu’il ne reste plus qu’à s’étendre sur le divan en sachant que l’on y perd pour toujours son innocence vis-à-vis des pourquoi de ses propres conduites, y compris celles qui ont belle apparence. (5)

Jung ose parler de l’âme, de son approche, de sa reconnaissance qui sans doute oriente la démarche du cherchant dans le labyrinthe du monde conscient et inconscient ; tout comme en Franc-Maçonnerie, grâce à ses Sœurs et ou à grâce à ses Frères, l’initié(e) découvre le cheminement d’une existence liée aux autres, aux outils en un mot aux résurrections symboliques.

II   Le voyage intérieur

On doit ouvrir les yeux de l’esprit et de l’âme, et contempler et observer au moyen de cette lumière intérieure que Dieu a allumée depuis le commencement   dans la nature et dans notre cœur. C. G. Jung Psychologie et alchimie, Buchet, 1979, p. 349

  Puisant dans le savoir alchimique, (on parle de 10 ans de recherche) et son langage ancestral, Jung suppose que la psychologie analytique tout comme le processus franc-maçonnique constituent une avancée vers la connaissance. Mieux, Jung éclaire le monde de l’inconscient un peu comme l’œil situé derrière la Vénérable ; cet œil symbolise à la fois le Soleil d’où émane la vie et la lumière, le principe créateur et enfin, le divin ou le Grand Architecte de l’Univers.

       Pour Jung, les contenus de l’inconscient collectif, ses modes de manifestations sont les archétypes. Ils sont des virtualités formatrices qui modèlent la matière indifférenciée fournie par le flux de l’énergie psychique. Ce sont des purs dynamismes qui se présentent sous des formes extrêmement variées appelés images archétypiques.

Citation :

Ce n’était pas dans l’Eglise que j’étais prêt à être accueilli mais dans quelque chose de tout à fait différent ; dans un ordre de la pensée et de la personnalité, qui devait exister quelque part sur terre, et dont le représentant ou le messager était mon ami. P. 95. Demian H. Hesse

Démarche symbolique pour l’initié, dynamisation du Soi, ainsi commence le voyage intérieur guidant vers une conscience nouvelle. En un mot, individuation comme initiation maçonnique suivent une sorte de programme graduel avec des étapes, des outils, des rituels, des exercices, une méthode globale suivants des concepts précis à élucider, pas à pas, en chacun de nous.

       Dans l’aventure maçonnique, l’union entre la Terre et le Ciel remonte peut-être aux quêtes ésotériques, dans l’invention jungienne on parlera de prise de conscience de comportements pulsionnels, de sentiment de construction de soi, de déblocages relationnels, d’ouverture de « cadenas intérieurs » sous culpabilisant. Chacun connaît ces termes liés à des états d’âme conflictuels ou non. Jung parle de la construction de son Soi ou de la réalisation de soi-même. Il s’agit du concept d’individuation. L’individu en quête de Soi ne rejoint-il pas le travail maçonnique ?

L’individuation, la motivation analytique personnelle rejoint le travail de l’être humain, cet apprenti taillant sa pierre. En 1950, à 70 ans, Jung sculpta une pierre cubique et y grava le texte suivant :

Voici la pierre d’humble apparence. En ce qui concerne sa valeur, elle est bon marché. Les imbéciles la méprisent. Mais ceux qui savent ne l’en aiment que mieux. (p. 51)

En Franc-maçonnerie, nous avons appris que la pierre est cachée en chacun de nous. Et pourtant ce n’est point la matière qui signifie l’être suprême, c’est l’esprit qu’elle induit. Se prosterner devant une pierre comme signe de la Divinité participe à la démarche mystique. Dans cette démarche que l’on pourrait appelée accouchement de soi-même Jung devient guide spirituel, d’autres affirmeraient maçon sans tablier, à chacun de répondre. 

       En 1928, en lisant Le Mystère de la fleur d’or, Jung se décide de parler d’individuation et aborde la question de l’immortalité, démarche alchimique par excellence. En psychologie analytique, le décryptage de figures archétypiques, le repérage des attitudes projectives, le renforcement de l’indépendance constituent les éléments d’une autonomie personnelle. Cette individuation salvatrice par l’intermédiaire d’outils symboliques maçonniques ou selon le cheminement d’une vision jungienne suscite la rencontre ou l’éveil de soi-même ou l’accueil de la Lumière pour utiliser un terme maçonnique.

       Œuvrer toute sa vie à décrypter les archétypes du monde, mettre à portée de tous ses propres investigations, voilà l’entreprise épanouissante pour chacun menée par Jung. Est-elle identique à la démarche maçonnique ? Suit-elle dans une autre langue, celle de la psychologie des profondeurs, utilise-t-elle les mots de la Fraternité active, voilà qui nous ramène à notre sujet.

III   La filiation

       Chacun de vous se souvient que le Rite Ecossais Ancien et Accepté, (REAA) parle de cette lumière éclairant "l’esprit humain que lorsque rien ne s’oppose à son rayonnement"

       Le travail de reconquête de son propre moi exige la mise en place d’un processus ; celui-ci passe par une parole libératrice, la formulation du langage de l’inconscient acheminant petit à petit la personne à une transformation par de nouveaux liens relationnels avec la société et le milieu qu’elle choisi d’adopter.

Citation :

Je laissai aller mon pinceau ; sans modèle, des lignes étaient tracées, des surfaces remplies, toutes surgies de mon inconscient. (…) Je regardais la feuille, les épais cheveux bruns, la bouche à demi féminine, le front puissant d’une sérénité singulière. (…) Je sentais s’éveiller en moi la réminiscence, la connaissance. p. 119 Demian H. Hesse, 1925.

Initiation maçonnique et psychanalyse jungienne voici deux démarches qui visent à la conquête de sa richesse intérieure et à un supplément d’épanouissement. Le concept de persona, renvoie autre signification désigne au travail d’identité que chaque personne accomplit dès son plus jeune âge. Ici Jung face à son père, se mesure à son grand-père et face à l’image d’un Goethe symbolique se confronte à S. Freud.

       Ce travail d’arrachement accompli par Jung lui permet de décrire les fonctions que peuvent jouer les rôles de la persona pour grandir par délivrances successives vers une plus grand autonomie. La mort de son père coïncide avec le choix de la psychiatrie. Il écrit : en un éclair, comme par une illumination, j’avais compris qu’il ne pouvait y avoir pour moi d’autre but que la psychiatrie. (p. 76) Par cette orientation, très tôt, Jung refuse la non-dualité, il admet être un rêveur sans complexe et une pragmatique rigoureux. En cherchant, en étudiant, en scrutant les racines de la conscience, le contenu de travaux alchimiques, l’histoire des personnages bibliques, il rassemble ce qui est épars et opposé.

Pour lui : l’archétype est en réalité une tendance instinctive aussi marquée que l’l'impulsion qui pousse l’oiseau à construire un nid et les fourmis à s’organiser en colonie, (p. 118)

C. G. Jung, Essai d’exploration de l’inconscient, Denoël, 1964

Cette ouverture d’esprit lui apporte la notion centrale du processus d’individuation, concept forgé à partir de son histoire personnelle. Revenons à Goethe, son supposé arrière grand-père comme expliqué plus haut.

       On sait que l’œuvre de Goethe, intitulée Faust, opéra sur Jung comme un baume miraculeux coulant sur son âme. (p. 82) ; nous parlerions d’un héritage symbolique. Peut-être que les questions que se posent Jung a cette époque, apparaissent primordiale pour Faust qui s’interroge sur la destinée de l’humanité et sur le rôle de Méphisto ombre de l’homme et de son évolution qui le contrecarre. Cette réalité, ce Faust, Pouchkine (1799-1837) la qualifie d’Illiade de la vie moderne. G. Lukacs (1855-1971) parle d’une œuvre qui traite de la destinée de l’humanité toute entière. En 1934, Jung écrit ce que l’on appelle exploration de l’inconscient dévoile en fait et en vérité l’antique et intemporelle voie initiatique. (p. 85)

       Goethe et Jung ouvrent tous les deux des espaces intérieurs pour que l’individu épanoui puisse vivre actif et libre de concert avec les autres individus, ses Sœurs, ses Frères, qui forment la société. Nous avons parlé plus haut de filiation parce que lorsque Jung dit : J’ai très fortement le sentiment d’être sous influence de choses et de problèmes qui furent laissés incomplets et sans réponse par mes parents, mes grands-parents, et mes autres ancêtres. (p. 92)

Peut-on parler, à ce propos de l’esprit maçonnique transgénérationnel ?

       Né dans un environnement familier des symboles, il en devint après une quête passionnée, un expert mondiale (p. 92). La symbolique maçonnique a-t-elle inspiré profondément Jung ? Son concept propre à sa psychologie des profondeurs à savoir le processus d’individuation, provient sans doute comme le laisse entendre Jean-Luc Maxence, déjà cité, en legs royal, un grand nombre d’outils maçonniques qu’il transpose afin d’explorer les profondeurs de la psyché.

      A partir de l’étude des traités alchimiques et de la lecture des œuvres de chercheurs parmi lesquels Bacon (1214-1294), Arnaud de Villeneuve. Saint Thomas D’Aquin (1228-1274), Isaac Newton (1642-1727), Jung comprend qu’il existe une « concordance entre les images de l’alchimie et celles de l’inconscient de l’homme moderne. Dans cette avancée la démonstration de l’existence des archétypes et de l’inconscient collectif va suivre. Mircea Eliade (1907-1986), Henry Corbin, Georges Dumézil (1898-1986) ont longuement évoqué cette patiente initiation destinée à transformer la condition humaine. (p. 102) Ici l’or de la recherche alchimique, c’est l’immortalité ou la spiritualisation du corps. L’Alchimie une des voies de l’ésotérisme deviendra le fil d’Ariane des recherches de Jung. Dès 1928, Jung concentre ses recherches sur l’alchimie et ses représentations pour fonder plusieurs éléments de la psychologie des profondeurs fondateurs de l’inconscient collectif. L’étude et l’observation des mythes et des contes, de la littérature universelle permet de signaler leur existence partout et toujours. (p. 108)

        A PARIS, JUNG se perfectionne et suit les cors au Collège de France, puis se tend en Angleterre. De retour en Suisse, il épouse Emma Rauschenbach. De cette union naîtront 5 enfants. A Zürich, Jung, chef de clinique de 1905 à 1909 travaille sur les associations de mots sous l’impulsion du professeur Eugen Bleuler (1857-1939)

       Dès 1909, il se fait construire une pittoresque demeure, il s’agit de la fameuse tour de Bollingen. Un de ses biographes signale que dans cette tour, Jung fait représenter un certain nombre d’outils et symboles alchimiques ; là commence son activité professionnelle, il reçoit une clientèle privée. La question de la religion, objet d’étude privilégié intéresse à cette époque Jung et son confrère aîné de 17 ans, Sigmund Freud (1856-1939).

       Rendons hommage à Sigmund Freud et à son courage qui dès 1900 publie des ouvrages, notamment L’interprétation des rêves qui bouleversent les connaissances acquises alors en psychologie et qui observe les travaux de Jung comme une continuité exploratoire de ses propres études.

       Prenons le seul exemple, celui de la libido. Freud définit ce concept en parlant d’une pulsion sexuelle, Jung décrit une énergie psychique capitale, une force vitale.

       Durant sept ans, leur relation passera de la fascination instaurant une relation maître-disciple à une scission théorique instaurant deux mouvements psychanalytiques. Freud lui demande de ne pas abandonner la théorie sexuelle. Il lui somme d’en établir un bastion inébranlable, un dogme. Jung le scientifique de l’alchimie inconsciente accepte l’hypothèse provisoire et réfute l’article de foi éternellement valable. Par cette attitude n’adopte-t-il un comportement maçonnique ouvert aux remises en question ?  

      Encore une fois on aperçoit dans la pensée de Jung, plusieurs âges au cours de l’existence, cette idée fait peut-être référence aux grades de la maçonnerie, donc à la symbolique ?

       Jung dans Les racines de la conscience, parle du travail accompli par les Frères : Si l’explication avec l’ombre est l’œuvre de l’apprenti et du compagnon, l’explication avec l’anima est l’œuvre du maître. (P. 44)

Définition

L’ombre : caractéristiques peu flatteuses ou déplaisantes de la personne, les façons de se comporter, de s’exprimer ou de penser que la personne n’aime pas reconnaître en elle-même. Ces caractéristiques semblent échapper à la volonté consciente de la personne. Une analyse permet de prendre conscience de cette façon dont agit l’inconscient.

       Jung en reliant la symbolique universelle et la démarche initiatique ne jette-t-il pas un pont entre la psychologie analytique et la Franc-Maçonnerie ?

       La maçonnerie à l’éclairage jungien construirait-elle son avenir puisque l’homme contemporain entreprend de plus en plus l’étude des symboles et leurs significations. Selon Jung la vie comporte 9 étapes : la naissance, l’enfance, la passage à l’adolescence, le lever de la maturité, le temps du milieu de la vie, la maturité, le passage vers la fin de la vie, la vieillesse, la mort.

      En construisant, une tour comme lorsqu’il était gosse, (p. 138), Jung accomplit un rite. En satisfaisant un besoin de ritualisation, en usant de pierres comme véhicules symboliques, Jung n’accepterait-il pas, pense J.-L. Maxence, une dette de reconnaissance à l’égard de son « héritage maçonnique » ? Sculptures, constructions deviennent rite d’entrée, ou socle de sanctuaire, vers de nouvelles découvertes (p. 139) marquant les étapes de son individuation, de sa posture individuelle, de son assise psychologique. Le silex transformerait la pierre comme outil travaillant l’inconscient un peu comme la franc-maçonne et le franc-maçon, sur le chemin de son initiation. Jung frappe la pierre, dessine les armoiries de sa famille, interroge les traités d’alchimie, force les portes de sa loge, de son inconscient, de son soi, interroge les religions.

L’écrivain Miguel Serrano, après plusieurs entretiens avec Jung et Hesse, écrit :

Plus je pénétrais dans l’œuvre de Jung, plus je devenais conscient du parallèle qui existait entre sa psychologie des profondeurs, par exemple, et un chemin initiatique ; j’avais l’impression qu’un langage au deuxième degré sous-tendait ses œuvres, dont il n’était peut-être pas lui-même conscient. (…) Jung cherchait à établir un dialogue entre l’individu et l’univers, sans pour autant écarter le concept de personnalité ou d’ego. (7)

Selon J.-L. Maxence, Jung transpose la symbolique maçonnique dans le champ de l’analyse de l’âme humaine (p. 144) et donne aux études consacrées à l’être humain une approche maçonnique, une pédagogie adaptée aux étapes du développement de la personnalité.

V Les symboles, voie de l’initiation

       Tout symbole est dynamique et permet de passer d’un sens à un autre, mu par un élan, une sorte de ricochet du raisonnement et de l’imaginaire. La démarche initiatique de type maçonnique et la psychologie des profondeurs livrent un même combat et raisonnent l’une comme l’autre par analogie. (p. 163). L’histoire de l’âme humain dévoile ses mystères et a recours aux symboles ; on connaît les fonctions de l’animus et de l’anima, du soleil, de la lune, de l’ombre, de l’alter ego, du double, concepts à caractère mythologique permettant d’apporter une explication dynamique

[la lune symbole de transformation et de croissance, l’ombre, image même des choses fugitives, changeantes, l’anima exerce une formation médiatrice entre le moi et le soi, ce dernier constituant le noyau de la psyché. Pour Jung l’anima comporte plusieurs stades de développement.]

       En maçonnerie évoluer en travaillant sur les outils symboliques, en passant progressivement de l’équerre au compas sans oublier la règle, le fil à plomb, le niveau et parfois même la hache qui fend et le maillet qui stimule ou écrase, c’est toujours se réconcilier avec soi-même, se rassembler, décanter sa personne véritable pour mieux engager son éclosion, selon une méthode de progression particulière ». (p. 164)

Chacun de ces outils renvoie à une signification symbolique, le compas, la juste mesure, l’équerre, concilie les contraires et est à l’image de ce que doit être le discours d’un(e) initié(e), parfaitement ordonné. La guérison de l’âme passe fréquemment par l’acceptation et l’appréhension intelligentes de l’ombre. Apprivoiser par un approche progressive la terre inconnue de son propre inconscient !

Jung explique que parmi ses patients ayant passé 35 ans, plus d’un s’interroge quant à la religion et aucun n’est guéri tant qu’il n’a pas trouvé une attitude religieuse, ce qui n’a d’évidence rien à voir avec une confession ou l’appartenance à une Eglise (p. 191). Jung insiste sur cette totalité psychique cohérente puisque « toute religion dit quelque chose de la nature cachée de l’homme et tend à dévoiler son fond ultime » (8) En écho s’impose le concept maçonnique du Grand Architecte de l’Univers incluant la symbolique du Soi et l’idée de transcendance. Loin d’apporter une preuve de l’existence de Dieu, Jung poursuit ses travaux confiant en une présence archétypique ou archétypale de la divinité. Pour lui la vie est sens et non-sens à la fois ou encore elle a du sens et elle a du non-sens. Dans cette  angoisse, je garde l’espoir, en fin de compte, c’est le sens qui l’emporte. (p. 193).

       En appliquant les leçons de Jung à son œuvre, on peut souligner son ardente volonté à comprendre le domaine de l’inconscient suivant en cela deux voies ; l’on pour découvrir les richesses individuelles guidant vers l’individuation, l’autre l’inconscient collectif structuré par des archétypes.

On peut également signaler une œuvre originale suscitant l’admiration et l’opposition ; la première permettant d’accroître le niveau de compréhension des personnes intéressées par leur fonctionnement psychique conscient et inconscient, les secondes offrent un champ d’explication passionnant.

       On peut aussi parler d’un intérêt transversal où la vie comme une énergie rassemble les forces qui concilient les contraires dans une dynamique identitaire.

P. Courthion, un Frère de notre Loge,  rapporte :

On sentait en Jung des idées remontant jusqu’au fond des âges, comme il lui en venait sans doute quand, au bord du lac, devant sa tour d’aspect médiéval, il se mettait à couper du bois et retrouvait la vieille simplicité de l’homme. Je l’imaginais, nouveau Jonas, rejeté des profondeurs de la mer.

[Pierre Courthion, a parlé de sa rencontre avec Jung dans Pierre Couthiou D’une palette à ll’autre, La Baconnière/Ats, 2004, p. 167-168.]

       Après la guerre, Jung aimait répéter : "Je puis seulement espérer et souhaiter que personne ne devienne jungien… je ne peux pas de disciples aveugles." Cette belle invitation, nous renvoie aux maçons qui à l’époque de la construction des cathédrales, s'appelaient les maçons opératifs. Les mouvements de conscientisation des XVIe, XVIIe et XVIIIe siècle ouvrent le chemin des cathédrales personnelles, à ce moment la maçonnerie devient un travail intériorisé, personnalisé, une spiritualisation active en Loge souvent secrète. Les outils des maçons opératifs deviennent patrimoine symbolique pour les loges masculines et féminines spéculatifs contemporains. Les loges féminines ont hérité d’outils identiques puisqu’à l'époque des loges dites opératifs, les femmes n’exerçaient pas les métiers des Frères maçons. Toutefois les outils utilisés symbolisaient les métiers qui aujourd’hui ce sont étendus dans le cadre de pratiques professionnelles non discriminatoires. Ainsi les outils animent les loges de tout ordre et font partie du patrimoine universel. Avant de laissez notre Vénérable dire les mots de la fin de cette tenue, H. Hesse aimerait nous parler en images des âges de notre vie :  

Au matin, le soleil émerge de l’océan nocturne de l’inconscient et contemple la vaste étendue étincelante qui s’offre à lui dans un mouvement d’expansion qui s’élargit à mesure qu’il monte en firmament. Dans l’extension de son champ d’action qu’entraîne son propre lever, le soleil va découvrir sa propre signification ; il va se voir atteindre son zénith et la plus ample dissémination de ses bienfaits où il reconnaît son véritable but. Au douzième coup de minuit, le soleil va amorcer sa descente, le soleil entre alors en contraction avec lui-même, on dirait qu’il absorbe ses rayons au lieu de les émettre. Lumière et chaleur déclinent pour finir par s’éteindre. Heureusement, nous ne sommes pas des soleils levants. Mais il y a en nous quelques chose qui ressemble au soleil,et parler du matin et du printemps de la vie, de son déclin et de son automne ne relève pas d’un simple jargon sentimental. »

LA MORT ET L’AGONIE

 Elizabeth Kubler

 

 

Les quatre étapes de l’agonie

selon Elizabeth Kübler-Ross

Il convient de noter qu’il s’agit là du processus normal de la mort. ,L’agonie s’entendant ici à partir du moment où l’altération du corps initie le processus de destruction de l’enveloppe charnelle (processus de fait initié dès la conception).

1.      Il y a d’abord la difficulté de croire ce qui arrive. On se raccroche à l’espoir d’une erreur de diagnostic, à un miracle. On ne peut croire que la mort soit si proche. Souvent les proches partagent cette phase.

Cette phase de dénégation, de déni est l’étape de l’attachement dans l’Ars moriendi, ultime tentative de garder le contrôle de la situation.

2.       Elle cède rapidement, laissant la place à une phase de révolte, de colère. Pourquoi cela m’arrive-t-il à moi ? Colère qui s’adresse à Dieu et à l’humanité entière, aux médecins, soignants….

3.       Puis vient l’étape du marchandage, acceptation partielle de l’approche de la mort. La mort est certes inéluctable mais on essaie de gagner du temps… « pas  tout de suite, pas avant d’avoir terminé ceci ou cela, pas avant la naissance de mon petit-fils, pas avant d’être prêt. » Cette échéance aide à tenir jusqu’au bout. Atteinte, souvent la personne s’effondre.

4.       Suit une période de tristesse, c’est un chagrin préparatoire. Il y a repli sur soi, retrait de la communication pour s’intérioriser, mieux réfléchir. C’est une sorte d’épuisement émotionnel, on est las, c’est du lâcher prise. On en arrive alors à une sorte d’acceptation sans sentiment, proche de la résignation.

C’est un processus d’ajustement émotionnel, un travail intérieur qui procède par avancées et reculs. C’est un combat intérieur , le moi tente de s’accrocher à la vie, le Soi désire se libérer.

Le plus souvent, le processus n’est pas linéaire. Les étapes franchies peuvent voir un retour en arrière. Le processus malgré tout ira jusqu’à son terme les 4 étapes finissant par apparaître accomplies. Pour chacun la dominante sera différente : colère, renoncement et tristesse, …

L’ Ars moriendi enseigne que rien n’est jamais acquis, même pour l’accomplissement de cet ultime processus du vivant. Il y a toujours un combat contre l’orgueil.

L’accompagnant doit s’efforcer d’être dans la confiance quand l’autre est dans le doute, dans la patience quand l’autre est dans la colère, dans l’espérance quand il est dans le désespoir… Il lui appartient de symboliser l’autre pôle pour que le mourant par cet équilibre incertain puisse vivre ce qui lui reste à vivre et se sente justement accepté..

 

lA VIEILLESSE  AUBE DE LA LIBÉRATION

 Jean Chiarri

 

 2010

LA VIEILLESSE AUBE DE LA LIBERATION

Approcher sereinement de notre fin, ne peut se faire qu'après avoir dépassé tous les éléments mortifères que produit notre univers mental, ce dépassement, lui même, est en général acquis par un travail profond et permanent sur soi même et en relation constante avec le Religieux, dans le sens de relié au monde invisible de l'Etre.

Ce que nous allons dire ne peut être reçu et accepté que par des hommes ou des femmes ayants engagés une véritable quête spirituelle, c.a.d. Un vécu intérieur et non une activité d'ordre mental intellectuel.

Ce travail consiste à résorber notre nature duelle homme/Etre, en rétablissant par la vie et dans la vie le Royaume de cet Etre, cette nature, qui est l'image du Principe en nous, cela de toute éternité, et dans toutes les composantes humaines sans aucunes exceptions.

De plus aborder la mort, n'est véritablement efficace qu'à partir du moment ou nous avons quitté toutes les activités humaines classiques, ceci s'applique évidemment à notre seul monde moderne, qui exclue de ses structures toutes idées de mort, il n'est que de constater la disparition complète et totale de toute la symbolique mortuaire qui accompagnait les défunts il y a seulement une cinquantaine d'années.

Une vieillesse bien comprise doit être prise dans son sens religieux  de séparation et de détachement, le mot détachement est ici fondateur, il implique le détachement du corps, non pas dans une négation de ce corps, mais dans le fait qu'il n'est considéré que comme un véhicule dans lequel est enchâssé le vivant éternel.

L'âme en tant que principe animateur individuel, doit s'éteindre et laisser la place au principe de vie universel qui anime la Vie, dans cette réalisation, la conscience de l'Ame fait accepter la fin corporelle, quelque soit la déchéance du corps.

Cette Ame/conscience perdure jusqu'au dernier instant, non seulement du souffle, mais de tout le processus neuronal, seule la dissolution est le signe du départ de cette Ame/conscience.

Le principe Ame/Conscience est le formateur créateur du corps et de l'âme, la formation est constituée par la mise en place de molécules, puis de cellules, qui toutes sont programmées pour une fonction ordonnatrice particulière des éléments constitutifs de notre corps.

Comment pouvons nous envisager une harmonie universelle, cela ne peut être conçue mentalement que comme une totalité qui est en correspondance permanente avec l'ensemble des éléments qui la constitue, il y a donc simultanéité, synchronicité, superposition.. le tout se faisant dans un enchevêtrement inaccessible à la dimension mentale.

Cette vision présuppose, une intelligence organisatrice, ce que nos anciens nommaient : « l'Intellect Agent », qui n'est qu'une hypostase d'une puissance absolue.

Pour l'homme en quête de la Lumière, la vieillesse est une période de réalisation, qui s'appuie sur l'expérience de toute une vie ;à la question sommes nous vieux, la réponse dépend du résultat de cette quête du vivant dans le vivant.

L'homme de la dimension intérieure connaît la réponse, la vieillesse n'est qu'un état particulier de la réalisation spirituelle, et les voies spirituelles sont par définition reliées à un hors temps/espace/matière.

Les divers états de la vie concourent tous à un accomplissement que nous nommons la Libération.

Les traditions initiatiques est en particulier la F.M commence par une Illumination, ou naissance dans ce qui est définie  comme le Royaume de l'Etre ou intériorité, et ces initiations finissent de la même manière, par la restauration du corps de Lumière, les initiations considèrent que notre incarnation, n'est qu'une transition entre deux moments de Lumière, qui commencent par Eros et se terminent par Thanatos, la création est par définition une expérience lumineuse.

L'incarnation est un processus totalement conditionné pour répondre à la vie, dans ce conditionnement, il est important de comprendre l'étape de la vieillesse, nous savons que nous sommes constitués d'un corps physique  et d'un corps mental, ces deux corps sont totalement intriqués, le corporel envoie une multitude d'informations au second, qui les transmet à notre conscience, cette conscience, qui siège au centre du mental, mais n'est pas du mental.

La fragilisation corporelle est donc transmise au corps mental, qui lui même nous conditionne à faire ou ne pas faire, la conscience va appréhender en fonction de son évolution,  le type d'action à accomplir. La mission de ces corps est une protection de l'organisme vivant, mais il existe une partie négative, qui est liée au fait qu'ils subissent aussi le phénomène du vieillissement, devant cet état, ils déclenchent les processus négatifs du rejet de la vieillesse et engagent une pensée destructrice et déstabilisatrice de l'ensemble, seule la conscience éclairée par la relation constante avec une transcendance, permet de sortir de cette ultime illusion.

Pour l'initié c'est l'Etre qui compte, cet Etre de Lumière, qui réside dans chaque particule de l'univers, accéder à cette dimension, c'est être dans l'éternelle jeunesse, non pas celle du scientisme technologique, des pilules de jouvence, de la chirurgie esthétique ou des cellules souches du bon docteur Faust. La vieillesse doit donc être le moment le plus exaltant de notre vie, celui du véritable détachement, nous reprendrons l'idée de la transformation de la chenille, la vieillesse est le moment ou nous construisons le cocon de notre nouvelle naissance, ou passant au-delà des limites nous recevrons nos ailes d'Ange.

C'est dans cette dernière étape que nous devons réaliser la séparation ( C.K.H), cette séparation ne peut jamais être de la seule volonté de l'homme,mais le résultat de son alchimie intérieure, qui est elle même le produit de l'intelligence Divine.

Les modifications de cet ordre sont toujours d'une extrême rapidité, pour ne pas dire d'instantanéité, le mot qui résume le mieux ces changements est celui d'effacement, la chose devient un simple souvenir appartenant à un autre monde. (Tchouan Tseu).

Dans cet état, les ruptures se succèdes , et c'est elles qui vont constituer la trame du cocon intérieur, nous entrons dans l'avènement de l'Etre à l'intérieur de l'univers manifesté ( rétablissement du Royaume) ou encore la vision finale de Dante dans sa Divine Comédie.

Dans cette expérience finale, c'est l'intérieur qui va absorber l'extérieur, les valeurs internes étant universelles , elles effaceront l'ensemble du fonctionnement relatif du corps mental, c'est ici le moment du véritable lâcher prise, le passage à la Sanctification.

L'ensemble des turpitudes du plan corporel et de ses souffrances, ainsi que les souffrances psychologiques du corps mental sont relativisées, ces dernières sont le véritable enfer de la fin d'une vie ; nous n'avons cessé de lire cette horreur dans les yeux des mourants que nous avons accompagné, ce que nous avons lu dans ces regards ne peut être défini, mais l'enfer de Dante en est une aimable représentation.

Le moment de notre passage à l'Orient éternel, se prépare ici et maintenant, pour l'initié la psychostasie n'est pas une expérience de l'au-delà, mais un jugement immédiat à l'instant de la séparation.

La psychostasie est la porte de passage par le tunnel de Lumière, cette vision est commune à toutes les traditions et émane de la Tradition, vision de Jéromes Bosch, de S.Dali, textes des Bardos ou des livres Egyptiens, portails de nos églises, ou expériences des comas dépassés...

Revenons au Bardo Thodol, improprement appelé livre des morts, et qui est dans sa signification traditionnelle signifie : «  libération par reconnaissance de la grande Lumière Primordiale » et mettons ce texte en rapport avec notre rituel de Maître secret, qui commence par l'affirmation de l'ouverture des travaux : «   que la Grande Lumière commence à paraître », nous pouvons alors avoir une lecture très différente de la hiérarchie des hauts grades, lecture qui n'est plus de nature strictement individuelle, mais une représentation des divers états de la réalisation spirituelle en tant que résorption complète du Karma, ce qui confirme pleinement la réalité de l'élévation à la Maîtrise.

Nous avons toujours affirmé que notre Ordre constituait une voie avatarique, ce que nous venons de dire  et qui est l'aboutissement de la réalisation ascendante, peut se lire en sens descendant et confirmer notre vision.

Les signes intérieurs évidents de cette transformation ultime, peuvent se résumer en deux étapes, elles sont des ressentis, des vibration intérieures, qui nous propulsent sur une onde  magnifique qui porte le nom de Bonté, mot totalement oublié de notre époque, cela est indéfinissable, nous ajouterons à ce terme et en complément celui de compassion.

La seconde étape est inscrite  et imprègne la précédente, elle est symbolisée par l'ouverture du cœur, le jaillissement d'une puissante énergie qui se nomme Amour, cette énergie est la seule capable de procéder à l'effacement du corps mental, et de le remplacer par une vision, un regard, qui est une non séparation de la création, c'est la véritable mise en œuvre du principe d'identification, de retour à la Parole créatrice ou connaissance, si bien affirmée par la tradition de notre Rite.

Là, est le paradoxe total, la séparation réalisée dans cet état, est en réalité l’absorption complète des puissances vitales animatrices, ce que la Tradition nomme l'Homme Primordial.

Nous devons dire et redire que cette expérience du vivant, libère l'homme et lui donne la maîtrise sur cette vie et sur sa destinée, mais qu'il reste toujours les attaches à cette manifestation, surtout dans sa représentation de beauté, il y aura toujours dans le regard de celui qui part pour l'ultime voyage, les sentiments de la séparation, le regret de quitter cette humanité, à la joie de la Libération, se joignent les larmes du départ.

Dans tous les cas, nous devons être dans une tension permanente vers l'absolu, dans une disposition consciente qui affirme que sa volonté soit faîte, et suivant M.E. Non pas de ma volonté, mais de sa volonté.

 

la mystérieuse langue des oiseaux.

Son ésotérisme, son origine égyptienne et ses divers codes.

 

la parole perdue & le sacrÉ

 

 

 

Étude sur le bouddhisme et le Dalaï Lama. La notion du sacré et les explications sur le Mutus Liber, le livre muet, pilier central de l’hermétisme. Une très belle étude historique et rituelle sur le rite standard d’Écosse.

Enfin des travaux sur le déisme, le théisme, l’agnoscisme, le scientisme etc.

 

La pierre de porphyre, l’arche de Noé, et les Nautoniers de l’arche royale. Son rapport avec les chakras et son énergie vibratoire.

 

 

 

l’apocalypse – les lettres aux 7 églises

 

 

 

(explications et messages)

 

 

 

 

 

 

 

l’arbre séphirotique.

 

l’arche d’alliance

 

 

 

Le Saint des Saints – l’Arche – les Chérubins – la SHE’KHINAH – MOÏSE – le décalogue – la tente d’assignation – la manne – AARON – les 7 alliances – l’Arc-en-ciel.

 

la reine de saba  -  GÉrard de nerval  et le voyage en orient

 

 

 

2 volumes pour ce voyage où Gérard de NERVAL (dont le père était Franc-Maçon) y a mis beaucoup de symboles maçonniques et où la trame est un voyage initiatique.


De Chateaubriand à Gobineau, maints voyageurs, gascons ou véridiques, ont conté leur pèlerinage aux pays du Levant. Que restera-t-il de ces itinéraires, dont la seule nomenclature ferait un gros volume ? Quelques morceaux de bravoure pour anthologies, force documents propres à réjouir d’honnêtes géographes, et, intégralement sans doute, deux livres, bien différents par l’inspiration, l’éclairage et le style : Trois ans en Asie, de l’auteur des Pléiades, et de Gérard, le Voyage en Orient.


Ni carnet de route ingénu, ni reportage où se devinerait une investigation méthodique, moins encore « livre de poste des ruines » le Voyage en Orient est une œuvre d’art patiemment élaborée, un véritable roman, chatoyant tissu de mensonges : une « re-vie », eût dit Restif de la Bretonne. Nerval sait y fondre ce qu’il a vu lui-même – ou rêvé ! – et ce qu’ont vu les yeux des autres : dans une trame ingénieusement ourdie se mêlent les authentiques incidents de son voyage et les extraits de ses lectures, les images cueillies dans les albums d’estampes et les visions « super naturalistes » de la première « descente aux enfers ».


Serait bien naïf, qui, feuilletant le livre où d’ailleurs font défaut les dates et les « allusions aux choses du moment », se flatterait de reconstituer avec exactitude l’itinéraire du poète. Son récit nous conduit de Paris à Trieste, par l’Allemagne et Vienne ; et par l’Adriatique, de Trieste à Cerigo, – « Cerigo qui fut Cythère ». Après une escale imprévue à l’île de Vénus, voici le Caire où Zeynab la femme jaune va grouper toutes les impressions d’Égypte autour de sa pittoresque silhouette. Et c’est la Syrie, de Beyrouth à Balbek, – Saléma et sa tulipe rouge – Constantinople enfin.
Nul, quoi qu’on en ait dit, n’est mieux que Nerval rompu aux artifices littéraires. Ses protestations de sincérité ne l’empêchent pas de se jouer du lecteur : la route qu’il suivit pour gagner l’Orient n’est pas celle dont son livre nous énumère les étapes ; il raccorde avec adresse à son itinéraire d’Égypte – sa correspondance nous le révèle – les souvenirs du séjour qu’il fit à Vienne en 1839.


En réalité, c’est à Marseille qu’il s’embarqua, le 1er janvier 1843, pour arriver le 16 à Alexandrie, après avoir fait escale à Malte et à Syra, mais non à Cerigo. Du 7 février au 2 mai, il vécut au Caire, et tint pour une fantaisie de mauvais goût l’achat que son ami Fonfrède y fit d’une esclave javanaise.

Quel fut l’emploi de son temps pendant les trois mois qu’il passa en Syrie, nous l’ignorons ; mais il ne put visiter Balbek, et la blonde Salème ne fut sans doute qu’un gracieux fantôme. On sait qu’il se fixa à Constantinople du 25 juil.-08 au 28 octobre, avant de regagner la France ; le 5 décembre, Gérard débarquait à Marseille et un mois plus tard, le paysan de Paris retrouvait ses amis, et sa ville.

 

La légende force toujours un peu le trait, surtout lorsqu’elle est romantique. Gérard de Nerval n’a pas été cet écrivain maudit et ignoré comme pourraient le laisser supposer sa vie en marge et sa mort tragique. Au contraire, la disparition du poète dans des circonstances sordides a ému le Paris intellectuel des années 1850 où beaucoup avaient déjà reconnu son génie. Ses obsèques, le 30 janvier 1855, furent un événement et un hommage. Mais, bien loin des cénacles littéraires, on a la surprise d’en découvrir aussi un compte-rendu dans la revue Le Franc-maçon. En effet, comme le souligne le rédacteur de l’article, on pouvait y discerner une composante maçonnique.

Les liens entre Nerval et la Maçonnerie ont fait couler beaucoup d’encre. S’il n’a vraisemblablement jamais été reçu Maçon en bonne et due forme, il y a de grandes chances pour que Gérard ait été fait « Louveteau » dans sa jeunesse dans la Loge de son père, le docteur Etienne Labrunie, « Les Sept Écossais réunis » (GODF). « Fils de Maçons et simple Louveteau » comme il l’écrit lui-même dans une correspondance. Dans les années 1820, les cérémonies paramaçonniques, comme l’adoption d’un « Louveteau » par une Loge, connaissent une grande vogue. Elles donnent d’ailleurs lieu à un véritable rituel symbolique. Ce qui est sûr, c’est que le 14 novembre 1829, Gérard est invité par la Loge « Les Sept Écossais réunis » à présenter un discours en vers sur Les Bienfaits de l’enseignement mutuel. Le Vénérable est le docteur Vassal, un important dignitaire du Grand Orient et un ami de son père. Il est possible que le jeune Gérard ait aussi bénéficié de l’étonnante bibliothèque de cet ami de la famille, voisin et cousin par alliance.

L’article du Franc-maçon est intéressant a plus d’un titre. Poète lui aussi, Joseph Boulmier – l’auteur oublié de Rimes brutales – a connu Nerval. Il nous fait ainsi état du propos de Gérard sur l’attachement de son père à la franc-maçonnerie tenu « il y a quelques jours ». De plus, en raison de l’objet particulier de la revue, notre chroniqueur signale les Maçons illustres accompagnant le poète à sa dernière demeure. Certains sont des Frères bien connus, d’autres n’ont semble-t-il fait qu’un petit tour en Loge même s’ils y ont conservé des amitiés et se considèrent comme« faisant partie de la famille ». De fait, Joseph Boulmier identifie ainsi une sorte de « délégation maçonnique » dans le cortège. Parmi diverses célébrités, on a la surprise de trouver Paul Lacroix, alias « Le Bibliophile Jacob ».

Article paru dans Le Franc-maçon, année 1855,                                                      GÉRARD DE NERVAL

La froide journée du 30 janvier 1855 laissera dans plus d’un cœur de poignants et profonds souvenirs. Ce jour-là, une foule nombreuse accompagnait à sa dernière demeure le plus délicat, le plus rêveur, le plus allemand des écrivains de la France actuelle, l’auteur de Lorely et des Illuminés, l’héritier direct de Jean-Paul et d’Hoffmann, Gérard de Nerval !

Qui donc n’a pas lu les Illuminés où il passe en revue toutes les sectes ou sociétés secrètes qui, depuis l’Inde jusqu’à la France, ont enfanté Menou, Hermès, Cagliostro, né, a-t-on dit, sans souillure et sans péché du sein d’Abraham même. Sous la plume de Gérard, cette histoire des initiés, des illuminés, fait rêver avec un charme infini, une foi d’enfant, une terreur secrète ! Le cœur et l’âme sont prises à croire tout ce que le peintre, l’écrivain raconte de Saint-Germain, de Cazotte et de Mesmer avec cet art qui attire, qui plaît, séduit et magnétise, la clarté, la simplicité.

L’art, la littérature, l’amitié, avaient été fidèles au rendez-vous funèbre. Illustres et inconnus suivaient pêle-mêle le convoi ; car tous aimaient, admiraient, pleuraient ce noble et bon Gérard, qui disait il y a quelques jours : Mon père, digne vieillard, âgé de quatre-vingt-huit ans, n’a conservé d’amour, de foi et d’enthousiasme que pour la Franc-Maçonnerie.

Interprète de la douleur commune, M. Francis Wey a prononcé sur la tombe du mort un simple et touchant discours, que le devoir des grands journaux était de reproduire ; ce qu’ils n’ont pas fait. Louis Jourdan a eu plus de mémoire ; il a parlé du poète et de son enterrement. Nous y avons vu Louis Jourdan, Labédollière, Achille Jubinal et Théophile Gauthier, dont l’admirable feuilleton attira la foule des bons cœurs à la Morgue, à Notre-Dame, et au cimetière du Père-Lachaise,

Dechevaux-Dumesnil, nous faisait remarquer dans cette légion d’élite, dans ce monde de l’intelligence universelle, les frères Taylor, Alexandre Dumas, Cari Elshoëct, Louis Ulbacli, Ernest Legouvé, Fiorentino, Paul Bocage, Auguste Maquet, le bibliophile Jacob et l’auteur d’un nouveau livre, les Ressuscites, Henri Delaage, Auguste Luchet, Schœffer, Allyre Bureau, Nadar, Vallon, et vingt autres. Quelques femmes, nous disait-il, prient, et elles seules, avec un bien petit nombre d’hommes, ont l’air triste et grave. Néanmoins, ajoutait notre ami, parmi ce monde qui tient un peu de l’étudiant par la mise et la tenue excentriques, le baron Taylor était grave et digne, Henri Delaage profondément ému , et jusqu’au bord de la fosse Théophile Gautier a eu les yeux noyés de larmes.

Gérard de Nerval laisse un nom qui ne périra pas, une gloire sérieuse. C’est l’un des plus purs joyaux de la couronne littéraire du XIXe siècle. Est-ce lui qu’il faut plaindre, l’enfant naïf et mystique, qui se repose à présent dans le sein de sa mère, l’antique nature, l’éternelle providence ! Où ne faut-il pas plaindre plutôt ceux qui survivent, exposés à tous les hasards, à toutes les angoisses de la lutte quotidienne ? Telles étaient les pensées qui se présentaient à notre esprit à nous, obscur volontaire de la jeune littérature.

 

LA RÉMINISCENCE. et la Maïeutique  - Platon et Socrate

 

l’art des bâtisseurs une invitation au voyage.

 

 

 

L’histoire en 3 pages de la cathédrale, de ses bâtisseurs, de son évolution religieuse, de sa structure, de ses mystères.

 

LA ST JEAN D’ÉTÉ et la ST JEAN D’HIVER – JANUS.

 

 

 

Les fêtes païennes et populaires d'ordre Initiatique primordial et Tradition Ésotérique. St jean le Baptiste et St Jean l’Évangéliste. Les Solstices d’été et d’hiver.

 

 

 

 

 

 

 

la tolérance.

 

la tradition primordiale – la tradition – les traditions.

Définition de la Tradition en ésotérisme et au R.E.A.A.

 

la vallée – son symbolisme – son origine.

 

 

 

Pourquoi certaines loges appellent-elles « vallée » les colonnes. Solide documentation.

 

LA VIOLENCE

 

 

 

Violence dans la vie actuelle, dans la nature. Comment trouver l’équilibre ?

 

la voûte céleste – la voûte étoilée

 

 

 

Mystères et symbolismes de ces deux voûtes. Sont-elles identiques ? Pas sûr !
Cet article tente d’y répondre.

 

LE BÉNITIER DU DIABLE

 

 

 

C’est l’histoire d’une chaîne initiatique qui part des Templiers et passe par la F. M. le prieuré de Sion et certains cercles ésotériques. On y parle de RENNES LE CHÂTEAU, du mot INRI avec le N renversé etc…. Un récit historique, symbolique et ésotérique.

 

LE CERCLE DONT LE CENTRE EST PARTOUT ET LA CIRCONFÉRENCE NULLE PART.

 

 

 

Travail court mais intéressant sur la place du maçon au centre du cercle.

 

LE CHAPEAU       (Voir chapitre 2. Le symbolisme)

 

 

 

Étude du chapeau maçonnique et profane. Couvre-chef, Couronne, Tiare, tonsure, cheveux.

 

 

 

le coq – un appel à l’éveil

 

 

 

Une belle histoire.

 

LECTURE  INITIATIQUE DES INDES NOIRES

Jules VERNE

 

 

 

 

le delta lumineux

 

 

 

Symbole du Grand Architecture de l’Univers. La porte Daleth. Les triangles isocèles et équilatéraux. Le prisme – l’œil – le tétragramme – la synthèse – le guimel.

 

le désert intérieur par m.m. davy.

 

le désert intérieur – désert géographique.

Le désert source de méditation et de transformation.

 

LE FEU AU 18EME DEGRE.

 

le frère terrible en franc-maçonnerie & dans tous les rites & rituels & au rite français en particulier.

 

le grade de maître – avatars & symbolisme - Le texte fondateur

La maçonnerie disséquée. Les cinq points parfaits. Le manuscrit GRAHAM. NOE et son arche. L’alliance. Les hauts grades du R.E.A.A. et leur développement par rapport au 3ème degré. L’Étoile flamboyante et JEHOVAH. La légende d’HIRAM et JUBELOS – JUBELAS – JUBELUM – L’ACACIA – MAHABONE – MAC BENAC – MOHABOW – GIBLIM – TUBALCAIN - PALINGENESIE. Le signe d’horreur. Signe de détresse. HOUZZE. La Reine de Saba.
Très belle étude, très fouillée et très pointue. Sur le grade de Maître, par la loge de recherche ALPINA. Un support de réflexion extraordinaire.

 

l’ÉGRÉGORE   -  qu'’Est-ce qu'’UN ÉGRÉGORE ?

 

 

 

Partager l'information est notre arme la plus puissante...Ceci est notre devoir de transmission. "La décision prise au plus profond de la conscience individuelle de faire partie de la solution est la clé pour mettre un terme à l'emprisonnement de l'humanité et apporter la vraie liberté aux habitants de cette planète. «seule, une véritable générosité lie à la transmission des connaisses  permettra au plus grand nombre de sortir de leur ignorance et des ténèbres qu'elle génère …   qu'est ce qu'un égrégore?

Nous connaissons l'inconscient collectif, la mémoire collective ou encore les archétypes décrits par Jung. De bien des manières, nous nommons déjà ce phénomène mal connu et pourtant inscrit en nous : l'égrégore. Mais si nous sommes capables de générer ensemble cette conscience partagée, elle aussi a le pouvoir d'agir sur nous...
© Stephen Criscolo
Un égrégore est produit par un puissant courant de pensée collective. Lorsque plusieurs personnes se focalisent ensemble sur un même objet, avec une même intensité, ils développent une énergie commune. Nous connaissons tous cet effet stimulant, éprouvé lorsque l'on partage avec d'autres un projet passionnant ou un moment fort. L'activité concentrée rassemble les intentions de chacun en une conscience collective, qui semble porter le groupe. Mais derrière l'impression personnelle, un processus réglé se déroule entre nous.

Une émotion active les atomes de nos cellules, transformant le corps en une pile électrique, capable de fabriquer sa propre énergie. Ainsi, par la seule force d'une émotion mutuelle et sans même s'en rendre compte, nous connectons nos sources d'énergie et en créons une plus grande, globale. Comme branchés les uns sur les autres, nous vibrons sur la même longueur d'onde. La tension est alors assez haute pour qu'émerge un esprit de groupe. « Le biochimiste Rupert Sheldrake parle de champ morphogénétique. Le ressenti d'un individu exerce une force sur celui de l'autre. Ce mouvement, par résonance, va influencer leurs comportements et leurs pensées », explique Rosa Claire Detève, formatrice en psychologie quantique. Mais cet esprit de groupe n'est pas que la résultante passive d'un instinct grégaire.

Pierre Mabille, médecin et anthropologue, proche des artistes du surréalisme, considérait que l'égrégore possède « une personnalité différente de celles des individus qui le forment ». A l'échelle individuelle par exemple, nous savons qu'une pensée enracinée depuis longtemps finit parfois par nous dépasser. Elle est en quelque sorte devenue autonome et agira sur nous aussi longtemps que nous l'alimenterons par nos croyances. De la même manière, l'égrégore est une entité vitalisée. Il agit comme un accumulateur d'énergies, nourri par les sentiments, les désirs, les idéaux ou les peurs de ses membres. Plus ces derniers sont nombreux, plus l'égrégore se renforce jusqu'à influencer leurs existences.« Dès lors qu'au moins deux personnes partagent une vision, elles forment un égrégore. Certains auront une durée de vie courte, d'autres traverseront les siècles : une histoire d'amour peut durer quelques jours, l'égrégore de l'église catholique a plus de 2000 ans », nous dit Alain Brêthes qui a beaucoup écrit sur le phénomène. L'auteur a répertorié les égrégores en trois catégories. Les égrégores neutres sont les plus nombreux. Ce sont les amicales de quartiers, les cercles professionnels ou les groupes d'amis de longue date. Ces égrégores ne sont pas très inductifs sur le plan de la pensée. Les gens partagent des choses mais vivent leur quotidien sans que cela n'ait de réelle incidence sur leur psyché.

Ensuite, nous trouvons les égrégores dits « limitatifs » ; ce sont les égrégores de l'égo. L'individu se doit d'adopter les croyances et schémas comportementaux du groupe. C'est le cas des partis politiques, des religions. Ces dernières sont sans doute les égrégores les plus puissants car les plus longuement et largement partagés. L'égrégore s'appuie souvent sur une représentation. Et, de tous temps, les sociétés ont associé leur conviction à une symbolique forte. Or, le symbole c'est justement l'être humain qui projette sa pensée. Il est la manifestation formelle d'une énergie latente dirigée vers son accomplissement. Typiquement, l'étoile de David, la croix latine ou le yin et le yang servent de support de visualisation et de point de contact entre les membres, qui, célébrant leur foi, cultivent ainsi leur égrégore. A l’extrémité de cette catégorie, on trouve les radicaux, les gangs et les sectes. Enfin, les égrégores « féconds » sont ceux qui élèvent la conscience, qui s'efforcent d'unir et de rassembler, qui expriment des valeurs de justice, d'équité et de bienveillance. Ce sont des énergies utiles à la communauté mondiale, qui prennent la forme de courants de psychologie humaniste, d'associations humanitaires ou de mouvements spirituels contemporains. 

« Observez un dîner entre amis, il y a toujours celui qui fait rire, celui qui râle etc. Chacun joue un rôle qu'il quitte une fois rentré chez lui. Ils entretiennent leur égrégore. Un match de foot avec son équipe préférée, la rentrée des classes de son enfant ou un déjeuner dans la maison de famille... Nous évoluons en permanence parmi ces zones sociales invisibles, très conditionnantes. Même quelqu'un qui voudrait échapper à ce phénomène en partant vivre sur une île déserte, se relierait encore à l'égrégore des gens qui aspirent à s'isoler sur une île déserte », plaisante l'auteur. Parfois trop forte, l'empreinte peut néanmoins donner cette impression d'être englué dans l'existence d'un autre. « Pour autant, souligne Kaly, magnétiseur, il ne faut pas confondre égrégore et possession. On sort d'un égrégore en quittant les gens ou les idées qui nous y rattachent. Cela peut être difficile mais il n'y a que ça à faire ». Dans ce cas, la psychothérapie peut être un moyen pour prendre conscience du parasitage « énergétique » qu'exercent les valeurs de notre cercle ou de notre communauté.

Mais quitter un égrégore n'est jamais que l'occasion d'en intégrer un autre. Un cheminement de vie clairvoyant permettra simplement de choisir ses sources d'inspiration, toujours avec le cœur. « Car, insiste Alain Brêthes, on ne peut pas y échapper. Tout est égrégore, c'est l'archétype universel, ce qui vient conditionner nos représentations ». Lorsque l'enfant qui naît prend son premier inspire, il se relie déjà à l'égrégore de la famille dans laquelle il arrive, mais également à l'égrégore de son pays et de l'histoire de son pays. Il inhale une quantité d'énergie collective qui ne lui appartient pas en propre et qu'il va faire sienne. « L'égrégore est la contre-partie psychique d'un groupe humain », ajoute-t-il. Il vit donc à la fois sur un plan physique, au travers des êtres qui le portent et sur un plan astral. Celui-ci est un espace intermédiaire, une sorte de canal qui nous relie à notre dimension éthérique, ultra-pronfonde. C'est par lui que communiqueraient les énergies subtiles des uns et des autres qui, unifiées, forment l'égrégore. Nul besoin donc d'être physiquement ensemble ; l'égrégore est comme le négatif de notre expérience vécue, une réalité alternative dans laquelle nous sommes en présence les uns des autres.

Le rapport entre le caractère invisible, impalpable de cette énergie et son pouvoir bien tangible a très tôt fait sa dimension sacrée. Dans certains courants occultes, l'égrégore est un véritable support rituel. Les premiers à avoir exploré leur potentiel égrégorique furent les francs-maçons, reliés à travers le monde et les époques par leurs codes et initiations mystérieuses. Les écoles ésotériques utilisent l'égrégore comme un puissant outil divinatoire. Le chamanisme fait également de la transe et des cérémonies collectives une porte d'accès vers l'énergie universelle. Mais aujourd'hui, notre sacro-sainte science moderne tend elle aussi à s'emparer du phénomène.

 
Depuis un peu plus de quinze ans, une théorie discrète est en train de révolutionner toutes nos connaissances sur la conscience humaine. Le Global Consciousness Project (Projet de Conscience Globale) est une expérience parapsychologique débutée en 1998 au sein de la prestigieuse université de Princeton, aux États-Unis. L'initiative, qui réunit scientifiques et ingénieurs, cherche à établir l'existence d'une activité énergétique universelle, grâce à un générateur aléatoire de nombres, un petit boîtier conçu au départ pour détecter les mouvements de pensées d'un cobaye. Après en avoir éprouvé l'efficacité sur une seule personne à la fois, l'appareil, baptisé Egg, est testé sur un groupe. On réunit une trentaine de personnes et on les invite à parler et à bouger comme bon leur semble. L'appareil de mesure, placé dans un coin de la pièce, ne réagit pas. Mais quand on demande ensuite au groupe de s'asseoir et de méditer ensemble, l'appareil semble capter une synergie et amorce une courbe. La découverte fait l'effet d'une bombe dans la communauté scientifique. Bientôt, des dizaines d'autres boîtiers Egg sont envoyés aux quatre coins du globe, de l'Alaska aux Fidji, avec une question précise : est-il possible de détecter un émoi collectif à l'échelle planétaire ? Les premiers résultats sont étonnants : lors des funérailles de Lady Di, les boîtiers enregistrent jusqu'en Chine une variation du champ psychique.

A ce jour, 65 générateurs sont positionnés dans presque autant de pays, dont deux en France. Tous reliés en réseau, ils archivent en continu l'encéphalogramme terrestre. Chaque fois qu'un événement mondial se produit, des fluctuations sont enregistrées. Plus il est fort et médiatisé, plus elles sont importantes. L'informaticien Pierre Macias héberge l'un des deux Egg français à Toulouse : « Le flot de données des capteurs tend à s'éloigner des valeurs attendues lorsque se produit un événement public qui concentre les pensées et les émotions d'un grand nombre de gens. Le jour de l'attaque terroriste du 11 septembre 2001, la probabilité pour que les capteurs enregistrent une telle variation ''par hasard'' fut de l'ordre de 1 pour 1 million... Nous ne savons pas encore comment expliquer ces relations subtiles entre des événements d'importance pour les hommes et les données obtenues mathématiquement, mais elles sont indéniables aujourd'hui. Ces résultats montrent à l'évidence que le monde physique et le monde de l'esprit humain sont liés d'une relation encore inconnue ».

 

L’ÉGRÉGORE

 

 

 

Travaux effectués par le professeur MURPHY en 1851 sur cette secte. Intéressant pas son  explication sur les rituels de cette secte basée en Irak et en Iran. Secte qui sublime l’eau, la lumière et la nature. 

 

le martinisme

 

 

 

Le martinisme et les divers courants qui le traversent. Martinez de PASCUALLY, Louis Claude de St MARTIN, Augustin et Jean CHABOSEAU, PAPUS, CHEVILLON, BLANCHARD, l’Amorc et tous ceux qui participèrent à cette aventure, aujourd’hui les divers courants martinismes sont discrets mais dans la ligne voulu par PAPUS et LCSM.

 

le miroir, le reflet, les jumeaux. sur le chemin de la sagesse. le mariage alchimique

 

 

 

 

 

le mutus liber

Gros travail sur les 15 planches de ce livre muet. Tentative d’explication.

 

le mythe de la caverne.

 

le panthéisme.

 

 

 

Ce n’est pas par une facile association d’idées que le concept de panthéisme évoque le nom de Giordano BRUNO. Celui-ci est effectivement l’un des plus marquants parmi les philosophes de la totalité, et la chaîne qui relie PLOTIN à SPINOZA passe nécessairement par lui. Mais cette association d’idées comporte une justification plus profonde encore, bien qu’elle n’apparaisse pas immédiatement : Giordano BRUNO, condamné par un tribunal d’inquisition, fut brûlé en 1600 à Rome. Si l’on se souvient que, non plus au début, mais au milieu du XVIIème siècle, SPINOZA fut excommunié, lui aussi pour délit d’opinion, on ne peut manquer de saisir le vrai sens d’une telle affirmation : le panthéisme est une philosophie subversive, et les philosophes dits panthéistes mettent en cause tout le système dogmatique élaboré par la métaphysique d’origine aristotélicienne.

 

le pèlerin du moyen âge.

Une silhouette de légende. Pèlerin nous-même nous pérégrinons comme le MAT à travers le tarot de la vie.

 

le phénix

 

 

 

Le symbole du PHÉNIX décliné à travers les mythes littéraires, l’alchimie, l’herméneutique, dans les civilisations chinoises judéo-chrétiennes, musulmanes, et iraniennes avec le Simorgh qui est le phénix de la religion mazdéenne.

 

le plus ancien rituel maçonnique français : le manuscrit luquet – 1745.

 

l’équerre et le compas.

 

 

 

Étude intéressante sur les 2 outils qui, de la Chine antique à nos jours, représentent universellement le cercle et le carré.

 

le rite pourquoi & comment origine – définition & pratique.

 

le sacré

Pourquoi nous l’avons perdu et comment le récupérer. Sa définition. Son rôle.

 

les bénédictions et la règle de St benoît.

 

 

 

 

 

LES CAGOTS. Histoire et généalogie

 

 

 

 

 

les chakras.

Centres énergétiques et vibratoires. Tous les points de distribution avec des planches en couleur magnifiques.

 

les chevaliers teutoniques & les croix templières.

 

les 5 voyages du compagnon.

 

LES DÉBUTS DU R.E.A.A

 

 

 

Travail de " Renaissance Traditionnelle "  sur la formation du Suprême Conseil à CHARLESTON

 

les deux natures de l’être humain

 

les 12 lithos couleur du zodiaque de johfra.

 

le rituel, outil de transformation.

 

 

 

Travail présenté par la R.F. Robert Dot en janvier 2006 à Perpignan.

Les rituels de la Franc-maçonnerie, sont fondés sur le symbolisme de la construction et en particulier celle du temple de Salomon.

 

LE SECRET.

 

 

 

Importante documentation sur ce sujet maçonnique et profane.

 

 

 

 

 

 

 

LE serment.

 

 

 

Souvent oublié par la Franc-maçonnerie, il est la base de l’éthique maçonnique.

 

LE SERPENT

 

 

 

Son symbolisme et ses relations avec la F.M. à travers l’Alchimie, le Judaïsme et les religions.

 

les fidèles d’amour

 

 

 

Nom que se sont donnés au Moyen Âge des grands initiés et certaines sectes. Cette doctrine s’était donné pour but l’Amour de Dieu par la connaissance supérieure à la Foi.

 

les grandes constitutions de 1786

 

les grands boiteux

 

 

 

Historique et explication sur les grands boiteux de l’histoire que sont JACOB, TUBALCAIN ou HEPHAÏSTOS, ŒDIPE etc. Voyage à travers l’Ancien et le Nouveau Testament, l’alchimie et le symbolisme. On y retrouve le symbolisme du pied, de la pantoufle, de la jambe, du genou, du boitement, de la chaussure, des forgerons et autres alchimistes.

 

les icônes orthodoxes.

Images sacrées et de vénération.

 

LES IDOLES

 

 

 

Dans la Bible - Ancien Testament,  les images de l'utopie. A travers les icones. Articles du Suprême Conseil. Idolâtrie et totalitarisme.

 

LE SILENCE.

 

 

 

Oublier de parler pour mieux écouter les autres. Oublier de parler pour mieux écouter sa voix intérieure. Oublier de parler pour mieux écouter l’Autre.

 

les lévites

 

 

 

Leur rôle, leur position dans l’Ancien Testament. Les 2 branches de LEVY & d’AARON. Le Lévite en Franc-maçonnerie.

 

les lumières de la franc-maçonnerie

N. Flubacher

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

LES ORIGINES DU GRADE DE 33° au R.E.A.A.

J.P. LASSALLE

 

 

Travail à Renaissance Traditionnelle

 

les prophètes & les prophéties dans l’Histoire biblique.

 

 

 

25 prophètes ont laissé leur empreinte. De la première Déborah (1125 avant JC) à Daniel, on trouve Samuel, Nathan, Ahiyya de Silo – Elie – Élisée – Amos – Osée – Isaïe – Michée – Nahoum - Sophonie – Jérémie – Habaquq – Ézéchiel – Second Isaïe – Abdias – Aggée – Zacharie – Malachie – Jonas – Joël – Second Zacharie – Troisième Isaïe – Daniel.

Dans cet excellent dossier on y trouve également les prophètes de Mésopotamie et au Moyen Âge avec Joachim de Flore (dossier 291).

 

l’ésotérisme dans les jeux pour enfants.

 

Les 4 niveau de lecture de la Tora

 

 

 

La Kabbale des lettres, la porte Daleth, l'année maçonnique et le calendrier hébreux, Adonaï et une étude sur Lilith.

 

LES 4 VOYAGES ET LEURS SENTENCES 4EME DEGRE.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

les signes de foi & de fidélité dans tous les rites.

 

les symboles des évangélistes

N. Flubacher

 

 

Son chemin, sa démarche, son but

 

LES TEMPLIERS ET L’ISLAM

 

 

 

Travail historique sur les relations des templiers avec les ordres ésotériques soufis durant les Croisades.

 

les veilleurs & les 7 dormants d’éphèse

 

 

 

Jésus dit : veillez donc car vous ne savez pas quel jour va venir votre maître.

 

LE SYMBOLE  et L’ÉSOTÉRISME

 

 

 

Qu’est ce que le symbole et à quoi sert-il ? qu’est-ce que l’ésotérisme ? La F.M. et la bande dessinée du 21ème Siècle, des explications maçonniques qui nous aident à comprendre et à avancer.

 

le symbolique des cathédrales.

Du Moyen Âge à nos jours.
Un livre à ciel ouvert inscrit dans la pierre.

 

 

 

 

 

 

 

le symbolisme du chien

 

 

 

En maçonnerie dans les diverses civilisations et l’alchimie.

 

 

 

 

LE Témoin DE LA PAROLE : St jean.

 

 

 

Conférence donné par Claude GUERILLOT en 2002 à la GLNF / Suprême Conseil.

Des remises en place des idées, reçus et une belle histoire, celle de notre tradition.

 

le temple & la vision que l’homme se fait du divin.

 

 

 

 

le tétagramme sacré – le gadlu, la notion de dieu.

 

 

 

2 travaux remarquables, l’un par Sam ECHED, l’autre paru dans R.T.

 

 

 

le 29° degré du r.e.a.a.

Grand Écossais de St André d’Écosse

 

LE 30° du R.E.A.A. GRADE D’ACTION. QUELLE ACTION ?

 

 

 

Travail par Pierre PREVOST sur R.T.

 

L’HOMME DU 8é JOUR

M/M/ DAVY

 

 

Travaux présentés par M.M. DAVY en 1980 et ayant parus dans V. de HONNECOURT.

Le jour le plus important pour l’homme, celui de l’homme ressuscité  qui déjà durant sa vie terrestre accède à l’éternité. L’homme du 8° jour est ce porteur de lumière, fils de la lumière et elle nous explique  le pourquoi et le comment y arriver c’est le sens de notre chemin initiatique hors du tumulte de la ville et du stress journalier. De la pure spiritualité.

 

l’homme primordial dans le r.e.a.a

Y sont expliqués : la déité, Dieu, le G.A.D.L.U., l’incarnation, Adam, les séparations, les purifications, la lumière, le dévoilement et le corps de lumière.

 

LIBERTÉ – égalité – fraternité

Oswald wirth

                                                                                     

l’imaginaire chevaleresque & la franc-maçonnerie au XVIIIème siècle.

 

l’initiateur invisible

par Jean servier.

 

L’OEIL – LE VOYAGE DE TOBIE –

 

 

 

L’œil OUDJAT – L’ Œil de SHIVA – L’œil frontal – L’œil alchimique – Le mauvais œil – L’œil du cœur – L’œil maçonnique.

 

l’oralité et L’ECRIT.

 

La balustrade

Le mal en Égypte

Le tablier

Le secret

Le Saint des Saints

La nature et la Franc-maçonnerie

Les Archétypes

La vengeance

L’Exode

La nature

L’Être-temps (Sponville)

L'initiation

Le Devoir

Les grands gardiens (18ème degré)

Le cœur du maçon (symbole)

L’initiation (symbole)

Le sacré (symbole)

Le Pentacle

La couleur bleue

La scolastique

Le Soufisme

La pierre d’Agate

Les axes du temple

Les Pères du désert

Liberté

Livre des morts égyptiens

La grenade

Le chevalier du soleil (28°)

Le Graal / Golem

Les noms divins

Les cagots

Les 3 questions

Lecture de la Bible

Le serpent

La voie initiatique

Les 12 tribus

La Bible est née en Arabie

Le Sphinx

L’Idée sous le symbole

Les Esséniens

Le vin

Le Pain et l’Eau

Les 3 temples de Jérusalem

La caverne

Levier (Arche Royale)

Lancelot du Lac

Le Roi Arthur

Le bâton

La divine comédie

Les mythes

Les Lévites

La solitude du désert

Le Golem

Le Maître et le disciple

Les 5 sens

La régularité

Le Graal / Grand œuvre

La géométrie – le sacré – la raison

Les 5 Points parfaits

La Houppe dentelée

Le vedanta – Shiva

La franc-maçonnerie face au monde moderne

La franc-maçonnerie – une école de vie

L’instruction cette chance

Les 2 natures de l’être humain

La loi unique et multiple

La franc-maçonnerie face au monde

Les Marranes

Lecture de la Bible

Le labyrinthe

Le devoir de la bienfaisance en franc-maçonnerie

L’âme et la mort

La bouée (réflexion maçonnique)

Le St Empire

L’esprit de l’Ecossisme

La sphère et la pierre

La lettre Z

La parole perdue / parole de vie

La parole perdue (St Jean)

Les 4 éléments

Le vitrail de Chartres

La compassion

La solitude

Les Sociétés initiatiques

L’intégrisme

La sagesse

Les couleurs du 5ème au 12ème

Le secret des Égyptiens

L’ésotérisme de la franc-maçonnerie

Lumière initiatique

Le cœur

L’humilité

dossier st paul – st annanie – damas.

Les livres sacrés

La Kabbale 14ème

L’Exil et le retour

La Palingénésie

La mort profane

Les 3 mauvais compagnons

La mort d’Hiram

Le buisson ardent

Les rites – Pourquoi ?

Légende d’Hiram

Les Elohim

Les Thérapeutes d'Alexandrie

Le Sacrifice

La clef d’ivoire

L’ésotérisme du petit prince

Le passage du pont 15ème degré

La pyramide égyptienne

Le thème du feu 18ème degré

Le bijou de l’Arche Royale

L’égrégore

Le profil écossais

Les couleurs dans l’écossisme

L’étoile flamboyante

Le Rouge

Loge de St Jean (St Ex)

Loi divine décalogue

La connaissance

Le sens du sacrifice

Les trois fenêtres

Le mythe de Sisyphe

La boulimie

Le voyage de la vie à la mort et les besoins spirituels

L’équerre et le compas

L'apocalypse – le message des 7 lettres

histoire drôles et salées.

L’acclamation écossaise – Houzze – Houzze – Houzze

Le temps - sa conception maçonnique et son symbolisme Spacio - temporel

Connais-toi toi-même

L'Islam au 21° siècle; conférence donnée par le docteur Akari- Ahmad à la rue Adam

Les voyages initiatiques du maître secret au Rose-Croix

Tu ne te forgeras pas d’idoles humaines

La 11ème porte et la transgression

Justice humaine et justice transcendantale

L’échafaud

-Le Grand Architecte qui est Dieu

Les salles voûtées et les portes

Le delta lumineux

La Tradition au 18ème degré

L’Utopie

Au-delà du royaume des formes

Le petit Prince

La Cène au 18ème

l’importance de la bible en franc-maçonnerie.

L’appellation d’Élu

En quoi les transgressions dans les 30 premiers degrés préparent-elles le Ch. KADASH

le parrain – son rôle – un guide pour le jeune Franc-maçon.

Au commencement était le Verbe

les chiffres & leurs symbolismes. Du chiffre 1 au chiffre 100 et ses multiples.

chaîne d’union en général et émulation en particulier.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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