Chapitre 23 L ( Travaux divers ) |
la SPIRALE ET LE CENTRE. |
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LA SPIRALE ET LE
CENTRE La Franc Maçonnerie Ecossaise est
perçue comme un chemin qui monte suivant une
spirale conique. En avançant, on revient au même endroit, mais à
un niveau plus élevé et sur un cercle de rayon plus rétréci... On meurt à
chaque fois à une ancienne vie pour se régénérer meilleur à une nouvelle vie
, comme on l'a été à son initiation (cabinet de réflexion, la grotte, la
ventre de la mère), à son élévation au 3è degré et à autres après. C'est la
même image de régénération après une mort véhiculée par le déluge,
l'apocalypse, etc... Être Musulman c'est se
trouver sur le Cercle, la grande
voie (shariyah) accessible à tous avec ses règles et ses lois de vie
en société. Pour aller du Cercle au Centre
(haqîqah), l'Unique et l'Immuable Vérité - en fait Allah -. il
est nécessaire de suivre un chemin qui mène au Centre, le tariqah, c'est
à dire un des innombrables rayons ("les voies de la connaissance sont
aussi nombreux que les enfants d'Adam") accessibles à ceux qui ont
la capacité de comprendre. Le Soufisme,
la voie ésotérique de l'Islam est un de ces chemins. Cercle et Centre "Je ne suis ni de l'Est, ni de l'Ouest, ni de la mer, ni de la terre, je ne suis ni matériel, ni éthéré, ni composé d'éléments, Je n'existe pas, je ne suis une part, ni de ce monde, ni d'un autre, je ne descends ni d'Adam, ni d'Eve, ni d'aucune origine. Ma place n'a pas de place, une trace de ce qui n'a pas de trace, ni corps, ni âme. J'appartiens au Bien-Aimé. J'ai vu les deux mondes réunis en un seul, le premier, le dernier, celui du dehors, celui du dedans, simples comme le souffle d'un homme qui respire." Rumi, Mathnawi, livre premier Les Cercle et Centre évoqués dans la défniition du Soufisme se retrouvent dans la Franc Maçonnerie ou le Cercle est la limite de la connaissance humaine, la Connaissance étant figurée par le cercle de rayon illimité, et le Centre, la Vérité, le Principe, tout ( cercle de rayon infini) et rien ( cercle de rayon nul). Le Bouddhiste , par la méditation et le travail sur soi même , poursuit le but de d'échapper à la roue de la vie et de revenir vers le non soi . Il nie qu'il y a un moi permanent et autonome càd qu'il y a une âme immortelle ou un principe vital, mais admet un "moi empirique" (le corps-esprit) qui est décomposé en cinq "agrégats d'attachement" : 1. Le corps (rūpa ) ; 2.
les sensations (vedanā) ; 3. les perceptions (samjñā) ;
4. les
"fabrications mentales" (samskāra) ; 5. la conscience (vijñāna).
ll faut donc parvenir à séparer les cinq agrégats d'attachement, à briser l'attachement et la croyance qu'ils sont "soi" pour revenir à l'initial "non-soi". Le but du bouddhisme( et aussi du taoisme) n'est pas le même que celui des trois religions monothéistes.
roue bouddhiste de l'existence Le Taoiste, lui, cherche à aller au delà de la dualité qui est la caractéristique de la création, de l'existence, pour revenir vers l'Unité, le Principe . Il ne s'agit pas de se mettre dans une des deux positions de la dualité pour combattre l'autre, de faire disparaître le Yin, le noir, pour ne garder que le Yang, le blanc. Car le noir Yin reviendrait comme le blanc Yang partirait, et le cycle perpétuel continuerait. Car cela correspondrait à rester dans les contradictions de ce qui a été Créé, sans vraiment chercher à s'en échapper pour entamer la route de retour vers l'Origine. La Voie Taoiste consiste à chercher à arriver à ne plus différencier le mal du bien, à recevoir et accepter tranquillement amour et haine, blanc et noir, joie et peine, à ne pas sentir, ni voir, ni vivre des Yin et des Yang différenciés, de ce qui est Créé, pour accéder à la communion intime de soi même avec tout ce qui nous environne.C'est une Voie qui propose des pratiques, un style de vie, des exercices, qui permettent de relier, d'harmoniser le yin et le yang, la terre et le ciel, c'est-à-dire le visible et l'invisible. Tai Ki C’était au temps où Lie
Tseu lui même cherchait encore à apprendre auprès du grand maître Lao
Chan.
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Le moine et l'oiseau (extrait du livre Contes du Moyen-âge Aux éditions du Seuil.) Il était une fois un moine. Selon l'usage
de ce temps-là, ses parents l'avaient consacré à Dieu dès sa naissance et
envoyé au monastère quand il était encore enfant. A présent, il était au
seuil de la vieillesse. Il ne regrettait pas d'avoir passé toute sa vie dans
le même cloître, entre le chœur et le dortoir, entre la salle du chapitre et
le réfectoire, entre l'accueil des pèlerins à l'hôtellerie et la copie des
manuscrits dans le scriptorium. Il avait été un moine heureux, et donc un bon
moine. Sa foi était confiante, sa conscience nette. Il attendait dans la paix
que Dieu qu'il avait servi en ce monde, l'accueillit dans l'autre. Une seule
inquiétude le tourmentait. Un moine mène une vie régulière : une vie soumise
à la règle et une vie où chaque journée, mesurée par les heures des offices
de l'aube à la nuit, de matines à complies, est identique à celle qui la
précède et à celle qui la suivra. Identique ? non, certes. L'année liturgique
s'écoule, alternant le temps de la pénitence et le temps de la joie : au
temps de l'Avent succède le temps de Noël, au temps du Carême le temps
pascal. Elle déroule l'image de la vie du Christ et modèle celle du chrétien.
Mais elle s'achève, et une autre commence qui est la même. Cette régularité,
cette monotonie, ce retour des jours et des années ne pesaient pas à notre
moine. Il n'avait jamais tien connu d'autre. Surtout, il savait que cette vie
prendrait fin. Il la vivait dans l'attente de l'autre, la vraie. Et là était
son inquiétude. Les élus au paradis chantent les louanges de Dieu comme le
font les moines en ce monde. Mais ils n'attendent rien d'autre. Ils le font
pour l'éternité. Le moine craignait que l'éternité lui pesât. Si heureux que
l'on soit dans le sein de Dieu, il avait peur de s'y ennuyer. Un matin, à l'heure de la
récréation qui suit la réunion du chapitre, il alla, selon son habitude,
faire quelques pas dans la forêt qui bordait le monastère. C'était le temps
de Pâques. L'air était vif et léger, odorant sans être chargé d'aucun
véritable parfum. Les jeunes feuilles des arbres, l'herbe, la mousse, tout
était frais, clair et gai. Le moine s'assit au pied d'un frêne dont les
petites feuilles allongées dessinaient sur le sol les entrecroisements d'une
ombre légère. De minuscules violettes se cachent sous les brins d'herbe. Un
peu plus loin, où l'herbe plus longue et plus sombre signalait un creux
humide, peut-être une source, il y avait des anémones, et plus loin encore
des jonquilles. Le moine s'adossa au tronc de l'arbre et pensa une fois de
plus à la question qui le préoccupait. Il savait bien qu'il avait tort de se
la poser. Il s'en faisait scrupule et reproche. Mais il aurait cependant aimé
que Dieu le rassurât en lui donnant ne fût-ce qu'un indice de ce qui
l'attendait au paradis. Comme il restait là parfaitement immobile, un oiseau,
qui s'était tu à son approche, se remit à chanter. Son chant était si pur, si
modulé, si mélodieux qu'il oublia ses pensées pour l'écouter. Il lui semblait
n'avoir jamais rien entendu d'aussi beau. Toutes les mélodies de l'office et
des heures monastiques, les hymnes et les psaumes, qu'il chantait dans le
chœur avec ses frères depuis son enfance ; toutes ces mélodies qui, chacune
selon son mode, chantaient de la note de base à la tierce ou à la quinte,
enroulaient leurs mélismes autours de la teneur, redescendaient doucement
jusqu'à la note initiale comme si elles suivaient les arcatures de la voûte
de l’église ou celles du cloître ; toutes ces mélodies qui incarnaient pour
lui la beauté et la paix ; toutes ces mélodies lui paraissaient soudain
insipides en comparaison des quelques notes qui formaient le chant de cet
oiseau. Au bout d'un instant, il se dit qu'il était temps de regagner le
monastère s'il ne voulait pas être en retard pour l'office de tierce. Il se
leva, et l'oiseau se tut. Quand il se trouva à l'entrée du monastère, quelle
ne fut pas sa surprise de voir que le frère portier, qu'il avait salué au
passage quelques instants plus tôt, avait laissé sa place à un autre moine,
et à un moine qu'il ne connaissait pas. Ce nouveau portier ne connaissait pas
non plus, car il le regarda avec étonnement et lui demanda ce qu'il voulait.
Décontenancé, vaguement irrité, notre moine lui répondit qu'il voulait
seulement entrer, et entrer bien vite afin de ne pas être en retard pour
tierce. L'autre le regardait sans avoir l'air de comprendre.
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la blessure au côté droit du christ –
longin – lance – le graal – le calvaire – la croix – le golgotha |
Etude réalisée par Frederick
TRISTAN EN 2004 |
l’acacia m’est connu |
j. trescases. |
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Réflexions sur l’acacia,
l’immortalité et la résurrection. |
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la chaîne d’union en loge |
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Symbolisme – fraternité – union. |
LA CLE DANS LA BIBLE |
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la corde a nœuds |
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Poème sur la symbolique de la
corde à nœud. Superbe. |
LA DIVINE COMÉDIE |
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Travail important de Jean CHIARRI sur la divine comédie de DANTE, sur
le plan |
La Flûte enchantée de Mozart. |
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Excellent travail sur cet opéra maçonnique
avec des explications symboliques et ésotériques. |
L’ÉPÉE FLAMBOYANTE ET LE SENTIER DU SERPENT DANS
L’ARBRE SEPHIROTIQUE |
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L’Épée Flamboyante et le Sentier du Serpent dans l’Arbre de VieOn décompose ce rituel en deux parties distinctes : la descente de l’Épée Flamboyante (Kether-Malkhuth ) et la
Remontée (ou Voie) du Serpent (Malkhuth-Kether). KETHER-MALKHUTH (Épée Flamboyante) Ce
premier mouvement est considéré dans la tradition kabbalistique comme
véhiculant les secrets de la Création. Ce mouvement se rapporte au macrocosme
– à l’univers qui nous entoure. Sur l’Arbre de Vie lui-même, ce Sentier, ou
cette Voie, démarre de Kether et aboutit à Malkhuth dans une course en zigzag
que l’on appelle « Épée Flamboyante ». Cette Voie est la course primordiale
de l’énergie créatrice au travers des Sephiroth au travers des trois Piliers
(Miséricorde, Rigueur et Milieu). Son voyage commence dans le Monde
d’Atziluth afin de se rendre dans le monde de Assiah au travers du Monde de
Yetsirah et du Monde de Briah. L’Épée
Flamboyante a encore une autre signification dans la Kabbale : la Tradition
veut que chaque Sephiroth prenne la forme d’un centre d’énergie déséquilibré
et sans harmonie. Ce déséquilibre est personnifié en tant qu’entité
démoniaque – ou « puissance négative » — que l’on met en parallèle avec les
Klippoth ou « coques négatives ». L’harmonisation et l’équilibrage de chaque
Sephirah par la descente de l’énergie de la création prennent la forme d’une
image de la guerre contre les puissances du chaos. Ainsi, l’Épée, dans sa
descente dans l’Arbre de Vie, devient un talisman pour vaincre les forces
destructrices ; ainsi, en magie, la formule de l’Épée est une arme nécessaire
pour le magicien afin d’équilibrer son être – en utilisant ainsi la formule
dans le domaine du microcosme. L’Épée et le Psaume 18 La
tradition kabbalistique relie la descente de l’Épée dans ses phases
successives avec les mots du Psaume
18, versets 8 à 16. «
8 Il s’élevait de la fumée dans ses narines, Et un feu dévorant sortait de sa
bouche : Il en jaillissait des charbons embrasés. 9
Il abaissa les cieux, et il descendit : Il y avait une épaisse nuée sous ses
pieds. 10
Il était monté sur un chérubin, et il volait, Il planait sur les ailes du
vent. 11
Il faisait des ténèbres sa retraite, sa tente autour de lui, Il était
enveloppé des eaux obscures et de sombres nuages. 12
De la splendeur qui le précédait s’échappaient les nuées, Lançant de la grêle
et des charbons de feu. 13
L’Éternel tonna dans les cieux, Le Très-Haut fit retentir sa voix, Avec la
grêle et les charbons de feu. 14
Il lança ses flèches et dispersa mes ennemis, Il multiplia les coups de la
foudre et les mit en déroute. 15
Le lit des eaux apparut, Les fondements du monde furent découverts, Par ta
menace, ô Éternel ! Par le bruit du souffle de tes narines. 16
Il étendit sa main d’en haut, il me saisit, Il me retira des grandes eaux ; » Les
lettres hébraïques du diagramme 2 sont des aides mémoires pour ce texte,
chaque paire comprenant la première et la dernière lettre du verset attribué
à une phase spécifique de la course de l’Épée. Celui
qui médite suit le chemin de l’Épée à partir du sommet de l’Arbre (Kether),
au travers des puissantes influences des sphères (les 8 Sephiroth), vers la
région de la Terre (Malkhuth) – où il doit entreprendre le chemin de retour. À
la fin de la séquence de versets, ayant tracé le Sentier de l’Épée de Kether
à Malkhuth, le méditant déclare : « Il me
retira des grandes eaux ». Car il y a de nombreuses eaux, de
nombreux aspects de l’eau. L’eau en tant que symbole de l’affliction et de la
peine se retrouve dans de nombreux psaumes, mais dans d’autres, l’eau est un
symbole de pureté et de santé, de vie préservée et renouvelée. Elle est aussi
un symbole de naissance ; dans la Sphère de Malkhuth, elle rappelle le verset
1, 9 de la Genèse « Et Élohim dit : Que les eaux qui sont au-dessous du
ciel se rassemblent en un seul lieu, et que le sec paraisse. Et cela fut
ainsi ». Cette
série de versets issue du Psaume
18 est pleine de significations kabbalistiques, et à divers niveaux.
L’étudiant en magie devrait entreprendre l’étude de cette symbolique, c’est
là un acte magique en lui-même. Signification
mystique de chaque verset : 1.Cette
première phrase de l’Épée est émise en Kether et se propage vers Hokhmah. 2.Cette
seconde phrase émise en Hokhmah se répand en Binah. 3.Cette
troisième phrase émise en Binah se répand en Hessed. 4.Cette
quatrième phrase émise en Hessed se répand en Guebourah. 5.Cette
cinquième phrase émise en Guebourah se répand en Tiphereth. 6.Cette
sixième phrase émise en Tiphereth se répand en Netzach. 7.Cette
septième phrase émise en Netzach se répand en Hod. 8.Cette
huitième phrase émise en Hod se répand en Yesod. 9.Cette
neuvième phrase émise en Yesod se termine en Malkhuth. MALKUTH – KETHER (Le Sentier du Serpent) Ce
second mouvement est associé avec le travail de la rédemption ; de la
transformation et du soin de l’esprit humain. Ce mouvement est celui du
microcosme – de l’univers en nous. La descente des énergies décrite dans
l’Épée Flamboyante est équilibrée par un courant d’énergie remontant de
Malkhuth à Kether. Ce courant suit un sentier sinueux complexe et dans
l’imagerie traditionnelle de la Kabbale il est symbolisé par l’image du
Sentier du Serpent. Cette
course qui peut paraître étrange de prime abord, n’est pas du tout due au
hasard. Le Sentier du Serpent représente l’ouverture des sentiers entre les
Sephiroth dans la conscience. Plus précisément, il représente l’ouverture de
ces Sentiers dans un ordre équilibré, s’élevant de la base de l’Arbre vers la
Couronne et ouvrant les niveaux les plus élevés de la conscience. Le
Sentier du Serpent est lié aux principes de la polarité. Tout d’abord, le
mouvement d’un côté à l’autre de l’Arbre, d’un pilier à l’autre et ensuite en
sens inverse fait écho à la route en zigzag de l’Épée Flamboyante. Ensuite,
et plus important encore, chacun des sentiers entre les Sephiroth est
lui-même un lien dans la polarité ; une force d’équilibre créé par le conflit
entre deux Sephiroth en interaction. Chaque courbe du Serpent représente donc
une polarité équilibrée. En terme de microcosme humain, le Sentier représente
la jonction de deux aspects de la conscience dans une totalité plus élevée. La très puissante conjuration du Serpent et de
l’Épée Le Rituel Kabbalistique de l’Étoile
Flamboyante Ce
rituel est l’un des plus communs parmi les Kabbalistes et sa pratique peut
être recommandée à la fois pour mieux appréhender les concepts de l’Arbre de
Vie, pour la méditation ainsi que pour opérer une forme de la montée de la
Kundalini. Les exercices qui suivent proviennent de plusieurs traditions
différentes, mais leur efficacité est certaine, c’est pourquoi il nous paraît
utile de les transmettre aujourd’hui. L’Épée
Flamboyante représente la descente de l’énergie divine lors de la Création et
sa remontée vers la source sous la forme du Serpent Dressé. L’Épée
Flamboyante et le Serpent forment ensemble le symbole du processus de la
Création. Lors
de ce rituel, l’étudiant doit s’imaginer prendre la place du Créateur et de
la Création. L’Épée Flamboyante traverse alors l’étudiant et lorsque
l’énergie remonte, l’effet est une élévation de notre conscience et un éveil
des centres psychiques correspondants aux différentes Sephiroth de l’Arbre de
Vie qui sont harmonisées les unes avec les autres. L’étudiant devient alors
l’Adam Kadmon ou Humain Originel précédant la Chute. Les
exercices doivent se pratiquer dans une pièce calme et lumineuse, il faut également
veiller à ne pas être dérangé durant leur pratique. Il est bon d’allumer deux
bougies blanches ou, préférablement, une Menora, ou chandelier à sept
bougies. L’étudiant doit veiller à se laver préalablement et à se vêtir de
vêtements amples, une robe de lin blanche est tout indiquée. Nous
déconseillons l’utilisation d’encens ou de musique. En ce sens, ces exercices
se distinguent des rituels magiques ou théurgiques habituels. Préalablement
à la pratique, il est conseillé également de pratiquer une méditation de
quelques minutes, et de réguler sa respiration par une « respiration de
quatre » (inspirez quatre secondes, retenez le souffle quatre secondes,
expirez pendant quatre secondes et attendez quatre secondes avant de
recommencer, et ainsi de suite). |
l’agneau & le livre des 7 sceaux
de l’apocalypse |
Étude sur le bélier, RAM, le feu
sacré, Igni, la swastika, le sacrifice, les Rose-Croix. |
la hache et la double hache la pierre
cubique surmontée d’un hache. |
l’aigle |
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Documentation importante sur
l’aigle et l’aigle bicéphale. De la symbolique johannique au blason du
Suprême Conseil. |
la kabbale maçonnique |
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Travail très intéressant sur la Kabbale M |
la légende d’hiram – élévation &
initiation tautrique. |
la liberté – maçon libre – loge libre. |
lA VIEILLESSE AUBE DE LA LIBÉRATION |
Jean Chiarri |
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2010 |
LA VIEILLESSE AUBE DE LA
LIBERATION Approcher sereinement de notre fin,
ne peut se faire qu'après avoir dépassé tous les éléments mortifères que
produit notre univers mental, ce dépassement, lui même, est en général acquis
par un travail profond et permanent sur soi même et en relation constante
avec le Religieux, dans le sens de relié au monde invisible de l'Etre. Ce que nous allons dire ne peut
être reçu et accepté que par des hommes ou des femmes ayants engagés une
véritable quête spirituelle, c.a.d. Un vécu intérieur et non une activité
d'ordre mental intellectuel. Ce travail consiste à résorber notre nature duelle homme/Etre, en rétablissant par la vie et dans la vie le Royaume de cet Etre, cette nature, qui est l'image du Principe en nous, cela de toute éternité, et dans toutes les composantes humaines sans aucunes exceptions. De plus aborder la mort, n'est
véritablement efficace qu'à partir du moment ou nous avons quitté toutes les
activités humaines classiques, ceci s'applique évidemment à notre seul monde
moderne, qui exclue de ses structures toutes idées de mort, il n'est que de
constater la disparition complète et totale de toute la symbolique mortuaire
qui accompagnait les défunts il y a seulement une cinquantaine d'années. Une vieillesse bien comprise
doit être prise dans son sens religieux
de séparation et de détachement, le mot détachement est ici fondateur,
il implique le détachement du corps, non pas dans une négation de ce corps,
mais dans le fait qu'il n'est considéré que comme un véhicule dans lequel est
enchâssé le vivant éternel. L'âme en tant que principe
animateur individuel, doit s'éteindre et laisser la place au principe de vie
universel qui anime la Vie, dans cette réalisation, la conscience de l'Ame
fait accepter la fin corporelle, quelque soit la déchéance du corps. Cette Ame/conscience perdure jusqu'au
dernier instant, non seulement du souffle, mais de tout le processus
neuronal, seule la dissolution est le signe du départ de cette
Ame/conscience. Le principe Ame/Conscience est le formateur créateur du corps et de l'âme, la formation est constituée par la mise en place de molécules, puis de cellules, qui toutes sont programmées pour une fonction ordonnatrice particulière des éléments constitutifs de notre corps. Comment pouvons nous envisager
une harmonie universelle, cela ne peut être conçue mentalement que comme une
totalité qui est en correspondance permanente avec l'ensemble des éléments
qui la constitue, il y a donc simultanéité, synchronicité, superposition.. le
tout se faisant dans un enchevêtrement inaccessible à la dimension mentale. Cette vision présuppose, une
intelligence organisatrice, ce que nos anciens nommaient :
« l'Intellect Agent », qui n'est qu'une hypostase d'une puissance
absolue. Pour l'homme en quête de la
Lumière, la vieillesse est une période de réalisation, qui s'appuie sur l'expérience
de toute une vie ;à la question sommes nous vieux, la réponse dépend du
résultat de cette quête du vivant dans le vivant. L'homme de la dimension
intérieure connaît la réponse, la vieillesse n'est qu'un état particulier de
la réalisation spirituelle, et les voies spirituelles sont par définition
reliées à un hors temps/espace/matière. Les divers états de la vie concourent tous à un accomplissement que nous nommons la Libération. Les traditions initiatiques est
en particulier la F.M commence par une Illumination, ou naissance dans ce qui
est définie comme le Royaume de l'Etre
ou intériorité, et ces initiations finissent de la même manière, par la
restauration du corps de Lumière, les initiations considèrent que notre
incarnation, n'est qu'une transition entre deux moments de Lumière, qui
commencent par Eros et se terminent par Thanatos, la création est par
définition une expérience lumineuse. L'incarnation est un processus
totalement conditionné pour répondre à la vie, dans ce conditionnement, il
est important de comprendre l'étape de la vieillesse, nous savons que nous
sommes constitués d'un corps physique
et d'un corps mental, ces deux corps sont totalement intriqués, le
corporel envoie une multitude d'informations au second, qui les transmet à
notre conscience, cette conscience, qui siège au centre du mental, mais n'est
pas du mental. La fragilisation corporelle est donc transmise au corps mental, qui lui même nous conditionne à faire ou ne pas faire, la conscience va appréhender en fonction de son évolution, le type d'action à accomplir. La mission de ces corps est une protection de l'organisme vivant, mais il existe une partie négative, qui est liée au fait qu'ils subissent aussi le phénomène du vieillissement, devant cet état, ils déclenchent les processus négatifs du rejet de la vieillesse et engagent une pensée destructrice et déstabilisatrice de l'ensemble, seule la conscience éclairée par la relation constante avec une transcendance, permet de sortir de cette ultime illusion. Pour l'initié c'est l'Etre qui
compte, cet Etre de Lumière, qui réside dans chaque particule de l'univers,
accéder à cette dimension, c'est être dans l'éternelle jeunesse, non pas
celle du scientisme technologique, des pilules de jouvence, de la chirurgie esthétique
ou des cellules souches du bon docteur Faust. La vieillesse doit donc être le
moment le plus exaltant de notre vie, celui du véritable détachement, nous
reprendrons l'idée de la transformation de la chenille, la vieillesse est le
moment ou nous construisons le cocon de notre nouvelle naissance, ou passant
au-delà des limites nous recevrons nos ailes d'Ange. C'est dans cette dernière étape
que nous devons réaliser la séparation ( C.K.H), cette séparation ne peut
jamais être de la seule volonté de l'homme,mais le résultat de son alchimie
intérieure, qui est elle même le produit de l'intelligence Divine. Les modifications de cet ordre
sont toujours d'une extrême rapidité, pour ne pas dire d'instantanéité, le
mot qui résume le mieux ces changements est celui d'effacement, la chose
devient un simple souvenir appartenant à un autre monde. (Tchouan Tseu). Dans cet état, les ruptures se succèdes , et c'est elles qui vont constituer la trame du cocon intérieur, nous entrons dans l'avènement de l'Etre à l'intérieur de l'univers manifesté ( rétablissement du Royaume) ou encore la vision finale de Dante dans sa Divine Comédie. Dans cette expérience finale,
c'est l'intérieur qui va absorber l'extérieur, les valeurs internes étant
universelles , elles effaceront l'ensemble du fonctionnement relatif du corps
mental, c'est ici le moment du véritable lâcher prise, le passage à la
Sanctification. L'ensemble des turpitudes du
plan corporel et de ses souffrances, ainsi que les souffrances psychologiques
du corps mental sont relativisées, ces dernières sont le véritable enfer de
la fin d'une vie ; nous n'avons cessé de lire cette horreur dans les
yeux des mourants que nous avons accompagné, ce que nous avons lu dans ces
regards ne peut être défini, mais l'enfer de Dante en est une aimable
représentation. Le moment de notre passage à
l'Orient éternel, se prépare ici et maintenant, pour l'initié la psychostasie
n'est pas une expérience de l'au-delà, mais un jugement immédiat à l'instant
de la séparation. La psychostasie est la porte de passage par le tunnel de Lumière, cette vision est commune à toutes les traditions et émane de la Tradition, vision de Jéromes Bosch, de S.Dali, textes des Bardos ou des livres Egyptiens, portails de nos églises, ou expériences des comas dépassés... Revenons au Bardo Thodol,
improprement appelé livre des morts, et qui est dans sa signification
traditionnelle signifie : « libération par reconnaissance de la
grande Lumière Primordiale » et mettons ce texte en rapport avec notre
rituel de Maître secret, qui commence par l'affirmation de l'ouverture des
travaux : « que la Grande
Lumière commence à paraître », nous pouvons alors avoir une lecture très
différente de la hiérarchie des hauts grades, lecture qui n'est plus de
nature strictement individuelle, mais une représentation des divers états de
la réalisation spirituelle en tant que résorption complète du Karma, ce qui
confirme pleinement la réalité de l'élévation à la Maîtrise. Nous avons toujours affirmé que
notre Ordre constituait une voie avatarique, ce que nous venons de dire et qui est l'aboutissement de la
réalisation ascendante, peut se lire en sens descendant et confirmer notre
vision. Les signes intérieurs évidents de cette transformation ultime, peuvent se résumer en deux étapes, elles sont des ressentis, des vibration intérieures, qui nous propulsent sur une onde magnifique qui porte le nom de Bonté, mot totalement oublié de notre époque, cela est indéfinissable, nous ajouterons à ce terme et en complément celui de compassion. La seconde étape est
inscrite et imprègne la précédente,
elle est symbolisée par l'ouverture du cœur, le jaillissement d'une puissante
énergie qui se nomme Amour, cette énergie est la seule capable de procéder à
l'effacement du corps mental, et de le remplacer par une vision, un regard,
qui est une non séparation de la création, c'est la véritable mise en œuvre
du principe d'identification, de retour à la Parole créatrice ou
connaissance, si bien affirmée par la tradition de notre Rite. Là, est le paradoxe total, la
séparation réalisée dans cet état, est en réalité l’absorption complète des
puissances vitales animatrices, ce que la Tradition nomme l'Homme Primordial. Nous devons dire et redire que
cette expérience du vivant, libère l'homme et lui donne la maîtrise sur cette
vie et sur sa destinée, mais qu'il reste toujours les attaches à cette
manifestation, surtout dans sa représentation de beauté, il y aura toujours
dans le regard de celui qui part pour l'ultime voyage, les sentiments de la
séparation, le regret de quitter cette humanité, à la joie de la Libération,
se joignent les larmes du départ. Dans tous les cas, nous devons
être dans une tension permanente vers l'absolu, dans une disposition
consciente qui affirme que sa volonté soit faîte, et suivant M.E. Non pas de
ma volonté, mais de sa volonté. |
la mystérieuse langue des oiseaux. |
Son ésotérisme, son origine
égyptienne et ses divers codes. |
la parole perdue & le sacrÉ |
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Étude sur le bouddhisme et le Dalaï
Lama. La notion du sacré et les explications sur le Mutus Liber, le livre
muet, pilier central de l’hermétisme. Une très belle étude historique et
rituelle sur le rite standard d’Écosse. |
La pierre de porphyre, l’arche de Noé, et les Nautoniers de l’arche royale.
Son rapport avec les chakras et son énergie vibratoire. |
l’apocalypse – les lettres aux 7
églises |
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(explications et messages) |
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l’arbre séphirotique. |
l’arche d’alliance |
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Le Saint des Saints – l’Arche –
les Chérubins – la SHE’KHINAH – MOÏSE – le décalogue – la tente d’assignation
– la manne – AARON – les 7 alliances – l’Arc-en-ciel. |
la reine de saba -
GÉrard de nerval et le voyage
en orient |
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2 volumes pour ce voyage où Gérard de NERVAL (dont le père était Franc-Maçon) y a mis beaucoup de symboles maçonniques et où la trame est un voyage initiatique.
Quel fut
l’emploi de son temps pendant les trois mois qu’il passa en Syrie, nous
l’ignorons ; mais il ne put visiter Balbek, et la blonde Salème ne fut sans
doute qu’un gracieux fantôme. On sait qu’il se fixa à Constantinople du 25
juil.-08 au 28 octobre, avant de regagner la France ; le 5 décembre, Gérard
débarquait à Marseille et un mois plus tard, le paysan de Paris retrouvait
ses amis, et sa ville. La
légende force toujours un peu le trait, surtout lorsqu’elle est romantique.
Gérard de Nerval n’a pas été cet écrivain maudit et ignoré comme pourraient
le laisser supposer sa vie en marge et sa mort tragique. Au contraire, la
disparition du poète dans des circonstances sordides a ému le Paris
intellectuel des années 1850 où beaucoup avaient déjà reconnu son génie. Ses
obsèques, le 30 janvier 1855, furent un événement et un hommage. Mais, bien
loin des cénacles littéraires, on a la surprise d’en découvrir aussi un
compte-rendu dans la revue Le Franc-maçon. En effet, comme le souligne
le rédacteur de l’article, on pouvait y discerner une composante maçonnique. Les liens entre Nerval et la
Maçonnerie ont fait couler beaucoup d’encre. S’il n’a vraisemblablement
jamais été reçu Maçon en bonne et due forme, il y a de grandes chances pour
que Gérard ait été fait « Louveteau » dans sa jeunesse dans la Loge
de son père, le docteur Etienne Labrunie, « Les Sept
Écossais réunis » (GODF). « Fils de Maçons et simple
Louveteau » comme il l’écrit lui-même dans une correspondance. Dans les
années 1820, les cérémonies paramaçonniques, comme l’adoption d’un
« Louveteau » par une Loge, connaissent une grande vogue. Elles
donnent d’ailleurs lieu à un véritable rituel symbolique. Ce qui est sûr,
c’est que le 14 novembre 1829, Gérard est invité par la Loge « Les Sept
Écossais réunis » à présenter un discours en vers sur Les Bienfaits
de l’enseignement mutuel. Le Vénérable est le docteur Vassal, un
important dignitaire du Grand Orient et un ami de son père. Il est possible
que le jeune Gérard ait aussi bénéficié de l’étonnante bibliothèque de cet
ami de la famille, voisin et cousin par alliance. L’article du Franc-maçon
est intéressant a plus d’un titre. Poète lui aussi, Joseph Boulmier –
l’auteur oublié de Rimes brutales – a connu Nerval. Il nous fait
ainsi état du propos de Gérard sur l’attachement de son père à la
franc-maçonnerie tenu « il y a quelques jours ». De plus, en raison
de l’objet particulier de la revue, notre chroniqueur signale les Maçons
illustres accompagnant le poète à sa dernière demeure. Certains sont des
Frères bien connus, d’autres n’ont semble-t-il fait qu’un petit tour en
Loge même s’ils y ont conservé des amitiés et se considèrent comme« faisant
partie de la famille ». De fait, Joseph Boulmier identifie ainsi une
sorte de « délégation maçonnique » dans le cortège. Parmi diverses
célébrités, on a la surprise de trouver Paul Lacroix, alias « Le
Bibliophile Jacob ». Article paru dans Le Franc-maçon,
année 1855, GÉRARD DE NERVAL La froide
journée du 30 janvier 1855 laissera dans plus d’un cœur de poignants et
profonds souvenirs. Ce jour-là, une foule nombreuse accompagnait à sa
dernière demeure le plus délicat, le plus rêveur, le plus allemand des
écrivains de la France actuelle, l’auteur de Lorely et des Illuminés,
l’héritier direct de Jean-Paul et d’Hoffmann, Gérard de Nerval ! Qui donc
n’a pas lu les Illuminés où il passe en revue toutes les sectes ou sociétés
secrètes qui, depuis l’Inde jusqu’à la France, ont enfanté Menou, Hermès,
Cagliostro, né, a-t-on dit, sans souillure et sans péché du sein d’Abraham
même. Sous la plume de Gérard, cette histoire des initiés, des illuminés,
fait rêver avec un charme infini, une foi d’enfant, une terreur secrète ! Le
cœur et l’âme sont prises à croire tout ce que le peintre, l’écrivain raconte
de Saint-Germain, de Cazotte et de Mesmer avec cet art qui attire, qui plaît,
séduit et magnétise, la clarté, la simplicité. L’art,
la littérature, l’amitié, avaient été fidèles au rendez-vous funèbre. Illustres
et inconnus suivaient pêle-mêle le convoi ; car tous aimaient, admiraient,
pleuraient ce noble et bon Gérard, qui disait il y a quelques jours : Mon
père, digne vieillard, âgé de quatre-vingt-huit ans, n’a conservé d’amour, de
foi et d’enthousiasme que pour la Franc-Maçonnerie. Interprète
de la douleur commune, M. Francis Wey a prononcé sur la tombe du mort un
simple et touchant discours, que le devoir des grands journaux était de
reproduire ; ce qu’ils n’ont pas fait. Louis Jourdan a eu plus de mémoire ;
il a parlé du poète et de son enterrement. Nous y avons vu Louis Jourdan,
Labédollière, Achille Jubinal et Théophile Gauthier, dont l’admirable
feuilleton attira la foule des bons cœurs à la Morgue, à Notre-Dame, et au
cimetière du Père-Lachaise, Dechevaux-Dumesnil,
nous faisait remarquer dans cette légion d’élite, dans ce monde de
l’intelligence universelle, les frères Taylor, Alexandre Dumas, Cari
Elshoëct, Louis Ulbacli, Ernest Legouvé, Fiorentino, Paul Bocage, Auguste
Maquet, le bibliophile Jacob et l’auteur d’un nouveau livre, les Ressuscites,
Henri Delaage, Auguste Luchet, Schœffer, Allyre Bureau, Nadar, Vallon, et
vingt autres. Quelques femmes, nous disait-il, prient, et elles seules, avec
un bien petit nombre d’hommes, ont l’air triste et grave. Néanmoins, ajoutait
notre ami, parmi ce monde qui tient un peu de l’étudiant par la mise et la
tenue excentriques, le baron Taylor était grave et digne, Henri Delaage
profondément ému , et jusqu’au bord de la fosse Théophile Gautier a eu les
yeux noyés de larmes. Gérard de Nerval laisse un nom qui ne périra pas,
une gloire sérieuse. C’est l’un des plus purs joyaux de la couronne
littéraire du XIXe siècle. Est-ce lui qu’il faut plaindre,
l’enfant naïf et mystique, qui se repose à présent dans le sein de sa mère,
l’antique nature, l’éternelle providence ! Où ne faut-il pas plaindre
plutôt ceux qui survivent, exposés à tous les hasards, à toutes les angoisses
de la lutte quotidienne ? Telles étaient les pensées qui se présentaient à
notre esprit à nous, obscur volontaire de la jeune littérature. |
LA RÉMINISCENCE. et la Maïeutique - Platon et Socrate |
l’art des bâtisseurs une invitation
au voyage. |
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L’histoire en 3 pages de la cathédrale,
de ses bâtisseurs, de son évolution religieuse, de sa structure, de ses
mystères. |
LA ST JEAN D’ÉTÉ et la ST JEAN D’HIVER – JANUS. |
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Les fêtes païennes et populaires d'ordre Initiatique primordial et
Tradition Ésotérique. St
jean le Baptiste et St Jean l’Évangéliste. Les Solstices d’été et d’hiver. |
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la tolérance. |
la tradition primordiale – la
tradition – les traditions. |
Définition de la Tradition en
ésotérisme et au R.E.A.A. |
la vallée – son symbolisme – son
origine. |
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Pourquoi certaines loges
appellent-elles « vallée » les colonnes. Solide documentation. |
LA VIOLENCE |
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Violence dans la vie actuelle, dans
la nature. Comment trouver l’équilibre ? |
la voûte céleste – la voûte étoilée |
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Mystères et symbolismes de ces
deux voûtes. Sont-elles identiques ? Pas sûr ! |
LE BÉNITIER DU DIABLE |
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C’est l’histoire d’une chaîne initiatique qui part des Templiers et
passe par la F. M. le prieuré de Sion et certains cercles ésotériques. On y
parle de RENNES LE CHÂTEAU, du mot INRI avec le N renversé etc…. Un récit
historique, symbolique et ésotérique. |
LE CERCLE DONT LE CENTRE EST PARTOUT ET LA CIRCONFÉRENCE NULLE
PART. |
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Travail court mais intéressant sur
la place du maçon au centre du cercle. |
LE CHAPEAU (Voir chapitre 2. Le symbolisme) |
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Étude du chapeau maçonnique et
profane. Couvre-chef, Couronne, Tiare, tonsure, cheveux. |
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le coq – un appel à l’éveil |
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Une belle histoire. |
LECTURE INITIATIQUE DES INDES NOIRES |
Jules VERNE |
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le delta lumineux |
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Symbole
du Grand Architecture de l’Univers. La porte Daleth. Les triangles isocèles
et équilatéraux. Le prisme – l’œil – le tétragramme – la synthèse – le
guimel. |
le désert intérieur par m.m. davy. |
le désert intérieur – désert
géographique. |
Le désert source de méditation et
de transformation. |
LE FEU
AU 18EME DEGRE. |
le frère terrible en franc-maçonnerie
& dans tous les rites & rituels & au rite français en particulier. |
le grade de maître – avatars &
symbolisme - Le texte fondateur |
La
maçonnerie disséquée. Les cinq points parfaits. Le manuscrit GRAHAM. NOE et
son arche. L’alliance. Les hauts grades du R.E.A.A. et leur développement par
rapport au 3ème degré. L’Étoile flamboyante et JEHOVAH. La légende d’HIRAM et
JUBELOS – JUBELAS – JUBELUM – L’ACACIA – MAHABONE – MAC BENAC – MOHABOW –
GIBLIM – TUBALCAIN - PALINGENESIE. Le signe d’horreur. Signe de détresse.
HOUZZE. La Reine de Saba. |
l’ÉGRÉGORE
- qu'’Est-ce qu'’UN
ÉGRÉGORE ? |
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Partager l'information est notre arme la plus puissante...Ceci
est notre devoir de transmission. "La décision prise au plus profond de
la conscience individuelle de faire partie de la solution est la clé pour
mettre un terme à l'emprisonnement de l'humanité et apporter la vraie liberté
aux habitants de cette planète. «seule, une véritable générosité lie à la
transmission des connaisses permettra au plus grand nombre de sortir de
leur ignorance et des ténèbres qu'elle génère … qu'est ce
qu'un égrégore? |
L’ÉGRÉGORE |
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Travaux effectués par le professeur
MURPHY en 1851 sur cette secte. Intéressant pas son explication sur les rituels de cette secte
basée en Irak et en Iran. Secte qui sublime l’eau, la lumière et la
nature. |
le martinisme |
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Le martinisme et les divers courants
qui le traversent. Martinez de PASCUALLY, Louis Claude de St MARTIN, Augustin
et Jean CHABOSEAU, PAPUS, CHEVILLON, BLANCHARD, l’Amorc et tous ceux qui
participèrent à cette aventure, aujourd’hui les divers courants martinismes
sont discrets mais dans la ligne voulu par PAPUS et LCSM. |
le miroir, le reflet, les jumeaux.
sur le chemin de la sagesse. le mariage alchimique |
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le mutus liber |
Gros travail sur les
15 planches de ce livre muet. Tentative d’explication. |
le mythe de la caverne. |
le panthéisme. |
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Ce n’est pas par une facile
association d’idées que le concept de panthéisme évoque le nom de Giordano
BRUNO. Celui-ci est effectivement l’un des plus marquants parmi les philosophes
de la totalité, et la chaîne qui relie PLOTIN à SPINOZA passe nécessairement
par lui. Mais cette association d’idées comporte une justification plus
profonde encore, bien qu’elle n’apparaisse pas immédiatement : Giordano
BRUNO, condamné par un tribunal d’inquisition, fut brûlé en 1600 à Rome. Si
l’on se souvient que, non plus au début, mais au milieu du XVIIème siècle,
SPINOZA fut excommunié, lui aussi pour délit d’opinion, on ne peut manquer de
saisir le vrai sens d’une telle affirmation : le panthéisme est une
philosophie subversive, et les philosophes dits panthéistes mettent en cause
tout le système dogmatique élaboré par la métaphysique d’origine
aristotélicienne. |
le pèlerin du moyen âge. |
Une silhouette de légende. Pèlerin
nous-même nous pérégrinons comme le MAT à travers le tarot de la vie. |
le phénix |
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Le symbole du PHÉNIX décliné à
travers les mythes littéraires, l’alchimie, l’herméneutique, dans les civilisations
chinoises judéo-chrétiennes, musulmanes, et iraniennes avec le Simorgh qui
est le phénix de la religion mazdéenne. |
le plus ancien rituel maçonnique
français : le manuscrit luquet – 1745. |
l’équerre et le compas. |
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Étude intéressante sur les 2
outils qui, de la Chine antique à nos jours, représentent universellement le
cercle et le carré. |
le rite pourquoi & comment origine – définition
& pratique. |
le sacré |
Pourquoi nous l’avons
perdu et comment le récupérer. Sa définition. Son rôle. |
les bénédictions et la règle de St
benoît. |
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LES CAGOTS. Histoire et généalogie |
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les chakras. |
Centres énergétiques et vibratoires.
Tous les points de distribution avec des planches en couleur magnifiques. |
les chevaliers teutoniques & les
croix templières. |
les 5 voyages du compagnon. |
LES DÉBUTS DU R.E.A.A |
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Travail de " Renaissance
Traditionnelle " sur la formation du Suprême Conseil à CHARLESTON |
les deux natures de l’être humain |
les 12 lithos couleur du zodiaque de
johfra. |
le rituel, outil de transformation. |
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Travail présenté par la R.F.
Robert Dot en janvier 2006 à Perpignan. |
LE SECRET. |
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Importante documentation sur ce
sujet maçonnique et profane. |
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LE serment. |
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Souvent oublié par la
Franc-maçonnerie, il est la base de l’éthique maçonnique. |
LE SERPENT |
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Son symbolisme et ses relations
avec la F.M. à travers l’Alchimie, le Judaïsme et les religions. |
les fidèles d’amour |
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Nom que se sont donnés au Moyen
Âge des grands initiés et certaines sectes. Cette doctrine s’était donné pour
but l’Amour de Dieu par la connaissance supérieure à la Foi. |
les grandes constitutions de 1786 |
les grands boiteux |
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Historique et explication sur les
grands boiteux de l’histoire que sont JACOB, TUBALCAIN ou HEPHAÏSTOS, ŒDIPE etc.
Voyage à travers l’Ancien et le Nouveau Testament, l’alchimie et le
symbolisme. On y retrouve le symbolisme du pied, de la pantoufle, de la
jambe, du genou, du boitement, de la chaussure, des forgerons et autres
alchimistes. |
les icônes orthodoxes. |
Images sacrées et de vénération. |
LES IDOLES |
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Dans la Bible - Ancien
Testament, les images de l'utopie. A travers les icones. Articles du
Suprême Conseil. Idolâtrie et totalitarisme. |
LE SILENCE. |
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Oublier de parler pour mieux
écouter les autres. Oublier de parler pour mieux écouter sa voix intérieure.
Oublier de parler pour mieux écouter l’Autre. |
les lévites |
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Leur rôle, leur position dans l’Ancien
Testament. Les 2 branches de LEVY & d’AARON. Le Lévite en
Franc-maçonnerie. |
les lumières de la franc-maçonnerie |
N. Flubacher |
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LES
ORIGINES DU GRADE DE 33° au R.E.A.A. |
J.P. LASSALLE |
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Travail à Renaissance
Traditionnelle |
les prophètes & les prophéties dans l’Histoire biblique. |
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25 prophètes ont laissé leur
empreinte. De la première Déborah (1125 avant JC) à Daniel, on trouve Samuel,
Nathan, Ahiyya de Silo – Elie – Élisée – Amos – Osée – Isaïe – Michée –
Nahoum - Sophonie – Jérémie – Habaquq – Ézéchiel – Second Isaïe – Abdias –
Aggée – Zacharie – Malachie – Jonas – Joël – Second Zacharie – Troisième
Isaïe – Daniel. |
l’ésotérisme dans les jeux pour enfants. |
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La Kabbale des lettres, la porte Daleth,
l'année maçonnique et le calendrier hébreux, Adonaï et une étude sur Lilith. |
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les signes de foi & de fidélité
dans tous les rites. |
les symboles des évangélistes |
N. Flubacher |
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Son chemin, sa
démarche, son but |
LES
TEMPLIERS ET L’ISLAM |
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Travail historique sur les relations des templiers avec les ordres
ésotériques soufis durant les |
les veilleurs & les 7 dormants
d’éphèse |
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Jésus dit : veillez
donc car vous ne savez pas quel jour va venir votre maître. |
LE
SYMBOLE et L’ÉSOTÉRISME |
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Qu’est ce que le symbole et à quoi sert-il ? qu’est-ce que
l’ésotérisme ? La F.M. et la bande dessinée |
le symbolique des cathédrales. |
Du Moyen Âge à nos jours. |
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le symbolisme du chien |
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En maçonnerie dans les diverses
civilisations et l’alchimie. |
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LE Témoin DE LA PAROLE : St
jean. |
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Conférence donné par Claude GUERILLOT en 2002 à la GLNF
/ Suprême Conseil. Des remises en place des idées, reçus et une belle
histoire, celle de notre tradition. |
le temple & la vision que l’homme
se fait du divin. |
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le tétagramme sacré – le gadlu, la
notion de dieu. |
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2 travaux remarquables, l’un par
Sam ECHED, l’autre paru dans R.T. |
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le 29° degré du r.e.a.a. |
Grand Écossais de St
André d’Écosse |
LE 30° du R.E.A.A. GRADE
D’ACTION. QUELLE ACTION ? |
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Travail par Pierre
PREVOST sur R.T. |
L’HOMME DU 8é JOUR |
M/M/ DAVY |
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Travaux présentés par M.M. DAVY en
1980 et ayant parus dans V. de HONNECOURT. Le jour le plus important pour l’homme,
celui de l’homme ressuscité qui déjà
durant sa vie |
l’homme primordial dans le r.e.a.a |
Y sont expliqués :
la déité, Dieu, le G.A.D.L.U., l’incarnation, Adam, les séparations, les purifications,
la lumière, le dévoilement et le corps de lumière. |
LIBERTÉ – égalité – fraternité |
Oswald wirth |
l’imaginaire chevaleresque & la
franc-maçonnerie au XVIIIème siècle. |
l’initiateur invisible |
par Jean servier. |
L’OEIL – LE VOYAGE
DE TOBIE – |
|
|
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L’œil OUDJAT – L’ Œil de SHIVA – L’œil frontal – L’œil
alchimique – Le mauvais œil – L’œil du cœur – L’œil maçonnique. |
l’oralité et L’ECRIT. |
La
balustrade |
Le mal
en Égypte |
Le
tablier |
Le
secret |
Le
Saint des Saints |
La
nature et la Franc-maçonnerie |
Les
Archétypes |
La
vengeance |
L’Exode |
La
nature |
L’Être-temps
(Sponville) |
L'initiation |
Le
Devoir |
Les
grands gardiens (18ème degré) |
Le
cœur du maçon (symbole) |
L’initiation
(symbole) |
Le
sacré (symbole) |
Le
Pentacle |
La
couleur bleue |
La
scolastique |
Le
Soufisme |
La
pierre d’Agate |
Les
axes du temple |
Les
Pères du désert |
Liberté |
Livre
des morts égyptiens |
La
grenade |
Le chevalier
du soleil (28°) |
Le
Graal / Golem |
Les
noms divins |
Les
cagots |
Les 3
questions |
Lecture
de la Bible |
Le
serpent |
La
voie initiatique |
Les 12
tribus |
La
Bible est née en Arabie |
Le
Sphinx |
L’Idée
sous le symbole |
Les
Esséniens |
Le vin |
Le
Pain et l’Eau |
Les 3
temples de Jérusalem |
La
caverne |
Levier
(Arche Royale) |
Lancelot
du Lac |
Le Roi
Arthur |
Le
bâton |
La
divine comédie |
Les
mythes |
Les
Lévites |
La
solitude du désert |
Le
Golem |
Le
Maître et le disciple |
Les 5
sens |
La
régularité |
Le
Graal / Grand œuvre |
La
géométrie – le sacré – la raison |
Les 5
Points parfaits |
La
Houppe dentelée |
Le
vedanta – Shiva |
La
franc-maçonnerie face au monde moderne |
La
franc-maçonnerie – une école de vie |
L’instruction
cette chance |
Les 2
natures de l’être humain |
La loi
unique et multiple |
La
franc-maçonnerie face au monde |
Les
Marranes |
Lecture
de la Bible |
Le
labyrinthe |
Le
devoir de la bienfaisance en franc-maçonnerie |
L’âme
et la mort |
La
bouée (réflexion maçonnique) |
Le St
Empire |
L’esprit
de l’Ecossisme |
La
sphère et la pierre |
La
lettre Z |
La
parole perdue / parole de vie |
La
parole perdue (St Jean) |
Les 4
éléments |
Le
vitrail de Chartres |
La
compassion |
La
solitude |
Les
Sociétés initiatiques |
L’intégrisme |
La
sagesse |
Les
couleurs du 5ème au 12ème |
Le
secret des Égyptiens |
L’ésotérisme
de la franc-maçonnerie |
Lumière
initiatique |
Le
cœur |
L’humilité |
dossier st paul – st annanie
– damas. |
Les livres
sacrés |
La
Kabbale 14ème |
L’Exil
et le retour |
La
Palingénésie |
La
mort profane |
Les 3
mauvais compagnons |
La
mort d’Hiram |
Le
buisson ardent |
Les
rites – Pourquoi ? |
Légende
d’Hiram |
Les
Elohim |
Les
Thérapeutes d'Alexandrie |
Le Sacrifice |
La
clef d’ivoire |
L’ésotérisme
du petit prince |
Le
passage du pont 15ème degré |
La
pyramide égyptienne |
Le
thème du feu 18ème degré |
Le
bijou de l’Arche Royale |
L’égrégore |
Le
profil écossais |
Les
couleurs dans l’écossisme |
L’étoile
flamboyante |
Le
Rouge |
Loge
de St Jean (St Ex) |
Loi
divine décalogue |
La
connaissance |
Le
sens du sacrifice |
Les
trois fenêtres |
Le
mythe de Sisyphe |
La
boulimie |
Le
voyage de la vie à la mort et les besoins spirituels |
L’équerre
et le compas |
L'apocalypse
– le message des 7 lettres |
histoire drôles et salées. |
L’acclamation
écossaise – Houzze – Houzze – Houzze |
Le
temps - sa conception maçonnique et son symbolisme Spacio - temporel |
Connais-toi
toi-même |
L'Islam
au 21° siècle; conférence donnée par le docteur Akari- Ahmad à la rue Adam |
Les
voyages initiatiques du maître secret au Rose-Croix |
Tu ne
te forgeras pas d’idoles humaines |
La 11ème
porte et la transgression |
Justice
humaine et justice transcendantale |
L’échafaud |
-Le
Grand Architecte qui est Dieu |
Les
salles voûtées et les portes |
Le
delta lumineux |
La
Tradition au 18ème degré |
L’Utopie |
Au-delà
du royaume des formes |
Le
petit Prince |
La
Cène au 18ème |
l’importance de la bible en franc-maçonnerie. |
L’appellation
d’Élu |
En
quoi les transgressions dans les 30 premiers degrés préparent-elles le Ch.
KADASH |
le parrain – son rôle – un guide pour le jeune
Franc-maçon. |
Au
commencement était le Verbe |
les chiffres & leurs symbolismes. Du
chiffre 1 au chiffre 100 et ses multiples. |
chaîne d’union en général et émulation en
particulier. |
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