Chapitre12 A - Z ( Cathares - Celtes ) |
12 A
DANIEL KIRCHER |
Edition PARDES |
2003 |
ATLANTIDE B.A- BA |
|
Il y a
25 siècles, le grand philosophe Platon, dans deux œuvres
énigmatiques – Critias et Timée -, décrivait une brillante
civilisation, celle de l’Atlantide, et son engloutissement. Un document portant
la date de 1875, et trouvé à Troie (actuelle Hissarlik, en Turquie) par
l’archéologue allemand Schliemann, rend compte de la découverte par cet
archéologue, d’un vase antique, portant l’inscription phénicienne
suivante : |
12 B
B.A- BA
des INDO - EUROPEENS |
BERNARD MARILLIER |
Edition PARDES |
1999 |
Ressuscités par la linguistique
et, en partie, par l’anthropologie, les Indo-Européens ont constitué un
ensemble humain, spirituel et matériel de première importance au sein de
l’histoire de l’humanité. Bien que d’un emploi courant, ce
terme n’en est pas moins problématique par rapport à nos connaissances
actuelles sur les réalités indo-européenne, car ce mot est fils de son temps,
c'est-à-dire du XIXe siècle, époque où, conformément au principe « ex oriente
lux », on situait le foyer d’origine des Indo-Européens en Asie (Pamir,
Hindou-Kouch, Turkestan), le peuplement s’étant fait d’Est en Ouest. Or, de nos jours où la thèse
asiatique est totalement abandonnée, même si l’axe Est-Ouest, mais plus à
l’Ouest, conserve les faveurs d’une majorité d’auteurs, l’emploi de ce terme
est contesté par un nombre croissant de chercheurs qui pensent, au contraire,
que l’expansion indo-européenne s’effectua selon un axe Nord/Nord-Ouest-Est.
Il est probable que l’avenir confirmera cette thèse. Dans la perspective, le
terme et parallèlement, d’autres appellations ont été proposées, mais sans
qu’aucune ne puisse s’imposer durablement. |
B.A- BA des MEGALITHES |
M. PHILIBERT |
Edition PARDES |
2000 |
Les
mégalithes se définissent comme les rochers vénérés par les hommes de la préhistoire,
les menhirs, les dolmens, les enceintes érigées à la gloire de la Terre-Mère
et de leurs ancêtres. On peut dater de 7000 ans avant notre ère, le début de
ce phénomène architectural dont l’ampleur dépasse les frontières de la France
et de l’Europe occidentale pour investir le monde entier. Cette première
architecture a voulu défier l’éternité, opposant la pierre immuable, solide,
inaltérable, au bois et au jonc des premiers abris. Déjà se dessine l’image
du temple, unissant la terre et le ciel, l’eau et le feu, selon un schéma
toujours actuel. De simples
cultivateurs, vivant de récoltes incertaines et soumises aux caprices du
temps, ont souhaité se surpasser dans une tentative d’élévation. Et, avec des
rites initiatiques venus de temps immémoriaux, ils ont pensé gagner
l’immortalité, devenir les égaux des divinités, et participer à une réalité
transcendante. Puis avec les invasions, la race de ces premiers bâtisseurs
s’est éteinte. Mais le souvenir de leur technique, de leur art, de leur
croyance, demeure pour toujours, à travers des monuments, des signes gravés
dans la pierre, des légendes attachées aux lieux où ils ont laissé leur
empreinte. |
brocéliande – un pays nÉ de la forêt |
Yann gouen |
OUEST – FRANCE |
2002 |
Brocéliande. Quand la réalité devient
mythe. |
12 C
CATHARES ET CATHARISME. DE
L’ESPRIT A LA PERSECUTION |
Lucienne JULIEN |
Edition Dangles |
1999 |
Le
catharisme résurgence du manichéisme a fortement imprégné la société
médiévale occitane au 12éme et 13éme siècle. Ce livre nous fait pénétrer
l’esprit des cathares du début jusqu’à leur
persécution et leur disparition. |
CATHARES
– LA CONTRE-ENQUêTE |
A. brenon & j.p. de tonnac |
ALBIN MICHEL |
2008 |
On sait que, en tous domaines, on assiste
à un éternel débat (pour ne pas dire… combat) entre les légendes et
l’histoire. Et, pour aussi séduisantes que soient les premières, il n’en
demeure pas moins que l’étude de la seconde permet d’éviter les égarements et
d’emprunter les voies sans issue. C’est pourquoi nous saluons la publication
de l’ouvrage d’Anne Brenon et Jean-Philippe de Tonnac dont le titre sobre « Cathares,
la contre-enquête » cache une étude très complète et très critique de ce
mouvement incontournable qui émergea soudain voilà huit cents ans et disparut
tragiquement dans les conditions que l’on sait. Le catharisme n’est pas un simple mouvement,
j’allais dire un caprice, de chrétiens en recherche d’une purification alors
que la religion officielle avait déjà prévariqué. Certes non, et les auteurs
le démontrent pièces en mains quitte à décevoir les amateurs de mythes qui,
au fil des siècles, ont tissé un maillage de spéculations fantaisistes. Les
auteurs insistent sur le fait que « cet événement [le catharisme] a constitué
un tournant majeur dans l’histoire de la France, de l’Église et de l’Europe
». Revisitant cette page de l’histoire médiévale, ils apportent un éclairage
objectif sur ce mouvement occitan, sa création, son évolution et sa
disparition dans le sang et le feu. Ces cathares, victimes à la fois de
l’intolérance d’une église au pouvoir absolu et de la cupidité des seigneurs
féodaux du nord de la France, ont marqué en profondeur toute une région et
exercé également la verve d’exégètes qui ont trop souvent pris trop grande liberté
avec les faits. La vie quotidienne des cathares, leurs
aspirations spirituelles, leur ascèse, sont décrites avec justesse et aident
à comprendre les finalités de ce courant chrétien qualifié d’hérétique par
les autorités religieuses. Nous sortons enfin de l’embrouillamini des
multiples thèses contradictoires qui s’affrontaient jusqu’à présent autour de
ce que l’on a appelé l’affaire cathare, cela à tort car le catharisme n’est
pas un simple avatar de l’histoire de la chrétienté occidentale comme il y en
eut tant d’autres. Les auteurs s’attachent à démontrer cet enracinement du
catharisme à la fois dans leur terre et dans l’esprit des justes. |
croix
& bestiaire celtiques |
David balade |
OUEST-FRANCE |
2007 |
La conversion au christianisme des
derniers Celtes païens, entre le IVème et le Vème siècle de notre ère, s’accompagna
d’un âge d’or de l’art celtique, tant par la profusion que par le raffinement
extrême des œuvres produites qui nous sont parvenues à ce jour. La croix y
revêt une multiplicité d’aspects, qu’elle soit gravée sur des pièces
d’orfèvrerie, tels les reliquaires et la vaisselle liturgique, peinte sur le
vélin des manuscrits enluminés de Kells, Durrow et Lindisfarne, ou encore
sculptée dans la pierre. Mais c’est plus particulièrement au travers des
croix monumentales en pierre, que les sculpteurs celtes vont exprimer toute
leur originalité créative. |
12 D
dialogue
avec merlhyn – le druidisme aujourd’hui |
r. brzesc
colonges |
Edition DU PENNDRAGON |
1998 |
Notre société, en pleine mutation
où l’argent tient souvent lieu de religion, ne parvient plus à combler nos besoins
fondamentaux, ni répondre à nos questionnements essentiels. |
divinités
gauloises |
Henri hubert |
Edition ARQA |
2006 |
On les connaît sous le nom de Lug,
Esus, Cernunnos, Toutatis, Belisama, Belenos, Kronos, Taranis, Silvain… Mais
qui étaient véritablement les Dieux des Celtes, des Ibères, des Ligures et
des Thraces ? Des Germains et des Scythes ? Dans cette étude de 1925 rééditée
par les éditions Arqa, Henri Hubert (1872 – 1927), archéologue et historien
reconnu, grand spécialiste du monde celtique, nous présente avec une
érudition sans pareille, le panthéon de ceux que l’on disaient barbares et
qui n’en avaient que le nom… à la source de la tradition druidique nous
retrouvons avec l’auteur, Sucellus de Dieu au maillet, Nantosuelta la Déesse
à la ruche, Épona juchée sur son coursier de vent, sans oublier les Dieux de
l’Autre Monde… |
dolmens
& menhirs |
J. briard |
Edition GISSEROT |
2003 |
Les dolmens et les menhirs de
Bretagne avec l’explication symbolique, historique et géographique de ces
pierres. Les tumulus, les Celtes, les druides, les fées et les veilleurs de
pierre. |
Druides
– b.a. –
ba |
Thierry jolif |
Edition PARDES |
2006 |
Bien que, comme les Celtes, dont
ils sont inséparables, historiquement et géographiquement originaires de
l’est de l’Europe, les druides se rattachaient au centre spirituel primordial
de notre actuel cycle d’humanité. Étudier la doctrine des druides, c’est se
mettre à nouveau en contact avec la plus haute antiquité spirituelle, avec
une sagesse « non humaine » qui, alors, brillait des derniers feux de l’Âge
d’Or. |
druides & chamanes |
Jean markale |
Edition PYGMALION |
2005 |
Les chamanes qui se multiplient
aujourd’hui seraient-ils les héritiers de nos druides, disparus lors de la
conquête romaine ou absorbés dans le christianisme triomphant ? S’il y a, en effet,
des rapports certains entre ces « hommes médecines » que séparent deux
millénaires, ils ne sont pas ceux qu’on imagine. |
12 E
entretiens
avec un druide nommé gwenc’hlan |
R. blanchet |
Edition du PRIEURÉ |
1993 |
Isoler une source druidique
sérieuse et authentique, cela n’est pas chose facile. Recueillir un
enseignement fiable, l’est encore moins. Ce petit volume a pour objet de
rassembler tous les dialogues que nous avons eu avec GWENC’HLAN Le SCOUËZEC,
le Grand Druide de Bretagne, en tant que rédacteur de la collection du Jardin
des Dragons. |
12 H
histoire
et doctrine de la secte des cathares |
Charles schmidt |
Edition J. de Bonnot |
1988 |
Ce professeur de la faculté de
théologie de Strasbourg nous fait découvrir les cotés obscurs de ces Cathares
mystérieux. |
12 I
itinéraires
cathares – lieux sacrés & initiatiques |
éric le nabour |
Edition DERVY |
1994 |
Cet ouvrage propose des
itinéraires buissonniers dans les hauts lieux sacrés du catharisme. |
12 L
la France
cathare |
André cauvin |
MARABOUT |
1974 |
o À la recherche des « Bonshommes
» et de leur philosophie. |
LE CONSOLAMENT CATHARE |
Ph. Roy |
Edition DERVY |
1996 |
Commentaires sur un fragment de rituel, le
manuscrit de DUBLIN 269. Préface et commentaires de Philippe ROY. Le consolament ou baptême spirituel est au
chœur de la mystique cathare. Affirmant une tradition ininterrompue depuis le
Christ et ses apôtres, les cathares accompagnaient leur rite d’un
enseignement qu’offre le manuscrit du Dublin (14éme S) ici présenté. Il
s’agit d’un commentaire détaillé des rites et croyances propres à l’église
cathare. Le joyau en est une interprétation ésotérique du « Notre
Père » qui représente encore aujourd’hui un document d’importance
capitale pour quiconque est en quête de spiritualité. |
le
druidisme éternel – retrouver le chemin initiatique de nos ancêtres |
Francis WILLIGNES |
Edition MERCURE DAUPHINOIS |
2003 |
Le saviez-vous ? Au XXIème siècle,
notre pays abrite encore quelques irréductibles Druides. |
le grand
livre des bardes |
René bouchet |
Editions TRANSATLANTIQUES |
2002 |
L’originalité de cet ouvrage réside
dans le fait qu’il traite du Bardisme sous toutes ses formes : gauloises,
bretonnes, galloises, irlandaises… |
le
livre de la sagesse celte |
J. wood |
Edition GRUND |
2001 |
|||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Les
descendants des peuples celtes ont surtout conservé de leurs ancêtres un héritage
poétique et légendaire. L’héritage linguistique est, lui, beaucoup moins
préservé : les six langues celtiques l’irlandais, (le mannois, le gaélique,
le gallois, le breton, le cornique) ont été supplantées par le français et
par l’anglais.
|
le livre
des morts celtes & gaulois |
r. &
c. bouchet |
Edition BOUCHER |
1999 |
S’appuyant sur de nombreux
documents celtiques qui s’échelonnent à travers les 20 siècles de notre
Histoire, ce livre est le seul – qui traite de ce sujet intéressant tout le
monde – jusqu’ici introuvable sur le marché. |
LE MONDE DES GRANDES
CIVILISATIONS |
TEXTES ET PHOTOGRAPHIES DE
HENRI STIERLIN |
AGENCE INTERNATIONALE
D’ÉDITION - GENÈVE |
1978 |
Collection
de 12 albums grand format (petit in folio) sur diverses grandes civilisations
qui ont eu lieu dans 12 pays à travers le monde et ce depuis l’Egypte
ancienne. Chaque album contient environ 150 photographies somptueuses en
couleur, accompagnées d’un texte expliquant : les divers monuments, les
fêtes, la dimension spirituelle de la civilisation, ses hommes, ses mythes et
son histoire. 1/ LE MONDE DES
PHARAONS :
Il a été dit souvent que sans le Nil, l’Egypte n’existerait pas, c’est peut
être vrai, et cet album nous fait remonter le temps sur le Nil et à travers
ses monuments plusieurs fois millénaires. Nous voyageons dans l’Egypte
actuelle au milieu des sables et des palmeraies, nous voyons sans cesse se
renouveler ce miracle égyptien permanent grâce à son fleuve, nous visitons
les temples anciens et cette brillantissime civilisation qui nous a léguée
tant de belles choses. On réfléchi sur la formidable éclosion de l’Ancien
Empire, sur le Moyen Empire et ses rares vestiges, sur le nouvel Empire et la
prédominance de Thèbes, on pense a l’influence de la mort sur le peuple
égyptien avec son monde des nécropoles et des mastabas. La grande crise
religieuse d’Akhenaton, et la vie somptueuse de Toutankhamon. Ramsès II avec
sa puissance et sa gloire. Les peuples de la mer et Ramsès III. L’art
ptolémaïque qui sonne le chant du cygne de l’Egypte. La domination romaine et
le christianisme et le legs au monde de cette Egypte antique. 2/ LE MONDE
DE L’INDE : Le
monde de l’Inde pour l’Occidental n’est souvent fait que de clichés, mais en
réalité l’Inde est un berceau où se sont développés des arts qui expriment la
plus haute spiritualité de l’Homme, où sont érigés des monuments qui clament
la pureté de la méditation et du renoncement, en même temps que l’exubérance
d’une foi aux élans irrépressibles. Nous voyageons aux
origines du bouddhisme, avec le visage du Bouddha dans les grottes d’Ajanta,
avec Ellora cette falaise mythique signe de la tolérance, nous allons en Inde
méridionale, là où parti le renouveau de la religion védique avec les temples
de Mahabalipuram, les temples du rivage, les bronzes de Cholas. Khadjuraho
dans la plaine de la Jumma. Maduraï le sanctuaire aux mille dieux, nous
allons chez les musulmans de delhi, nous visitons Daulatabad capitale
éphémère des envahisseurs mongols. Nous rendons visite au Grand-Moghol,
appelé Akbar le Grand (1542), et nous suivons la trace de ses successeurs,
qui furent de grands bâtisseurs mais aussi des sanguinaires, nous sommes au
Tadj Mahall à Agra (1632) dont la construction dura 20 ans, et nous terminons
ce périple par la visite aux maharajas d’Amber et de Jaipur au Rajasthan. 3/ LE MONDE DE
L’ESPAGNE : Ce
monde de l’Espagne offre le survol de l’art et des trésors de l’Espagne,
trésors constitués depuis la préhistoire, en passant par les conquêtes
américaines, les diverses invasions arabes et berbères, et la période de la
reconquête. On voyage depuis
l’époque du néolithique à l’âge du bronze, nous visitons les grottes
d’Altamira, les bijoux fabriqués 800 ans av. J.C, les vestiges romains,
puniques, l’aqueduc de Ségovie, Cordoue et sa grande et belle mosquée,
l’Alhambra de Grenade, les trésors des Wisigoths, Séville et ses minarets,
ses toros et son folklore, l’art mozarabe à Burgos, l’éclosion romane dans le
nord de l’Espagne, le chemin de St Jacques de Compostelle, les trésors
religieux des musées de Barcelone, les monastères roman de San Cugat et de
l’Estany en Catalogne, les remparts superbes d’Avila, le cloitre du monastère
de Santa Maria de Poblet, les magnifiques cathédrales de Tolède, de Séville,
l’alcazar de Ségovie, et toutes les architectures qui embellissent tous les
édifices autant religieux que civils à travers ce pays. 4/ LE MONDE
D’ANGKOR : Situé
entre l’Inde et la Chine, le sud-est asiatique a vu fleurir plusieurs
cultures et pour certaines, elles se hissèrent au niveau des grandes
civilisations. La civilisation des Khmers et sa capitale Angkor en fait
partie. Mais il faut savoir que presque toutes ces civilisations asiatiques
de la Birmanie à Java, ont subi l’influence de l’Inde. Nous visitons Java,
ses temples, ses stupas, son architecture superbe et très décorative, puis
nous abordons le Cambodge et la culture khmère, les diverses pyramides, les
temples et sa statuaire, le site superbe et grandiose d’Angkor dont le début
de la construction date de 650 ap. J.C. Nous allons ensuite sur le site de
Banteay Srei et son style classique, puis Angkor Vat très belle cité
remarquablement conservée, puis Angkor Thom et sa chaussée des Géants, nous
allons en Thaïlande et en Birmanie voit l’Art Champa, art issu de la
civilisation Khmer qui durant des siècles régna de la Birmanie jusqu’à
l’Indochine. 5/ LE MONDE DE LA
RUSSIE :
Depuis la naissance de la Russie que les historiens nationalistes russes
situent à l’époque des Scythes (VIIe siècle av. J.C), les frontières de la
Russie ont beaucoup changé. Cet immense empire a vu défiler les hordes
mongoles, les invasions du Sud et de l’Est, ce qui a donné des colorations
très différentes sur ce territoire, mais aussi des richesses culturelles
extraordinaires, c’est pourquoi il est difficile de parler d’une culture russe,
mais faut il dire plutôt des cultures diverses réuni sous la bannière de la
Russie avec comme point de rassemblement la religion orthodoxe, pour l’ouest
et le chamanisme et l’islam pour l’est. Le voyage commence
avec les Scythes venus d’Asie, la mouvance slave, les relations commerciales
entre les slaves du Nord et Byzance, la conversions des russes à l’orthodoxie
vers l’an 1010, la construction des églises et son style bien particulier
avec ses clochers torsadés et colorés qui en font des petites merveilles,
bien sur les icônes peintes sur les murs ou sur supports mobiles qui en font
un art extraordinaire, on visite des monastères célèbres et riches en
peintures et objets , Kiev, Novgorod, Souzdal, Moscou, Zagorsk, des belles
images couleurs nous montrent les objets d’art, les icônes, l’architecture
des édifices sacrés, on est à l’époque d’Ivan le terrible, à Saint Basile le
Bienheureux sur la place rouge, à l’époque des Romanov, des tsars qui ont
fait la Russie, à St Pétersbourg, au musée de l’Hermitage, dans les
différents palais entourant cette ville, la peinture russe, les musiciens
célèbres, les écrivains et les chants. 6/ LE MONDE
ARABE : On
croit communément que les arabes sont surgis du néant au lendemain de la
prédication du prophète Mahomet, pour faite irruption dans le monde antique
qu’ils auraient bouleversé et anéanti. On a trop souvent publié des ouvrages
sur le monde arabe qui débutent avec l’expansion des cavaliers de l’Islam au
VIIe siècle de notre ère. Le monde arabe ne débute pas avec l’hégire en 622
mais plus d’un millénaire auparavant. Nous partons de la
période préislamique qui débute avec la Perse achéménide et les royaumes
hellénistiques, puis Rome et Byzance, nous visitons les ports du désert que
sont Petra, Palmyre et Hatra. Puis la période de l’Islam classique à partir
du VIIe siècle avec les empires des Omeyyades et des Abbassides, nous allons
à la Mecque, à Médine, à Jérusalem, Damas, Bagdad et Samara. La troisième
période débute vers le Xe siècle au début du Moyen Âge, c’est la période où
la langue arabe s’est imposée avec l’empire turc, les guerres avec les
croisés, les mamelouks en Egypte dont la capitale Le Caire va devenir le
phare du monde arabe. Nous visitons tous ces lieux avec forces photos et
commentaires. 7/ LE MONDE DE LA
PERSE : La
Perse compte parmi les hauts lieux de la civilisation dès l’antiquité la plus
ancienne. Comme une vaste citadelle naturelle, le pays est enfermé dans des
chaînes de montagnes qui lui permettent très tôt d’affirmer son identité
culturelle. Elle mit longtemps avant de trouver ses frontières car cet empire
était bien plus vaste qu’actuellement et sa capitale changea souvent de lieu
(par ex. Herat qui actuellement est en Afghanistan - à la frontière
avec l’Iran- cette ville est florissante malgré la guerre car ses habitant
sont d’origine perse, parlent le perse et ont souvent de la famille en Iran, Herat
fut la capitale de l’empire Perse). Nous visitons les trésors de deux
millénaires de culture perse, Bam (avant le terrible tremblement de terre),
ses statuaires, ses objets, son architecture, ses édifices militaires et
religieux, les ziggourats, Marlik et son site majestueux qui fut le centre
culturel de l’Iran entre le XIIe et le XIXe siècle, les citadelles de
Hasanlou et de Ziwiyé, l’histoire de la dynastie des Achéménides et le règne
de Cyrus II (550 av. J.C), la religion de Zoroastre et son dieu de
Sagesse : Ahura-Mazda. Pasagardes capitale de Cyrus, le site
majestueux de Persépolis édifié par le Roi Xerxès Ier et qui recèle des
trésors d’architecture, le roi Darius Ier (521-486 av. J.C) célèbre pour sa
défaite contre les grecs à Marathon, les sépultures royales de Nakh-é-Rustam,
Alexandre le Grand qui reprit à son compte cet empire suite à sa victoire sur
Darius III, puis vint l’âge des Parthes, des Séleucides, des Sassanides, puis
les Abbassides pacifièrent le pays et y installèrent la religion musulmane,
ainsi l’empire reçu des influences Seldjoukides et Timourides. Ispahan
capitale de Shah Abbas et sa dynastie des safavides, qui donnera au pays sa
coloration « shi’ite » 8/ LE MONDE DU
JAPON : C’est
un grand pays qui est tiraillé entre ses traditions ancestrales et son
présent futuriste. Malgré ses buildings ultramodernes construit de
verre et d’acier, malgré toutes ses nouvelles technologies, le Japon reste
déroutant pour les occidentaux. Cela tient au fait que la Japon n’a pas subi
de rupture sur le plan culturel, et ces racines plongent dans les mythes de
la préhistoire. Les japonais n’ont jamais renié ni oublié leurs traditions
anciennes Le voyage commence
sur divers archipels du Japon qui possèdent des traces de cette culture
ancestrale, venue des diverses vagues d’immigration et qui surent s’adapter.
Le kofun, venu de Sibérie en est un exemple, le plus grand kofun (tombeau
impérial) est à Osaka, nous visitons les sanctuaires shintoïstes à Isé, et à
Itsukushima, on nous apprend la symbolique des danses shinto, le mélange
subtil de bouddhisme et du shintoïsme, on visite Nara, capitale bouddhique
avec ses merveilleux temples, et son architecture sacrée, ses statuaires
géantes. On part pour Kyoto avec ses jardins, ses maisons, son art et ses
pagodes, mais aussi on y apprend les diverses dynasties qui ont fondé le
Japon. La magie des jardins japonais est largement expliquée avec son art
floral et ses célèbres paysagistes qui ont érigé cet art en symbole
permanent. L’habitation et son décor extérieur et intérieur avec ses
peintures, et son art populaire, celui de l’estampe et du théâtre. Nous
visitons des villas princières et nous terminons sur les techniques Zen et
les arts martiaux. 9/ LE MONDE DE LA
GRECE : La
Grèce antique est la mère de notre culture occidentale, de nos modes de
penser, de nos catégories intellectuelles. Elle a donné également le jour à
notre idéal esthétique. Elle constitue un système de référence auquel nous
recourons inconsciemment, tant sont vivaces les racines qui nous relient à ce
« grand ancêtre ». Le monde de la Grèce, c’est cette aube occidentale
que constitue la radieuse civilisation monoenne qui se muera, sans solution
de continuité, en civilisation mycénienne, lorsque les souverains
continentaux auront réussi à dominer la thalassocratie crétoise. Après quelques
pages sur l’historique de ce monde, nous partons pour l’île de Minos en
Crète, carrefour méditerranéen de l’antiquité, avec ses ressources agricoles
importantes, il reste des vestiges très important de temples, d’objets et
surtout de ses légendes avec le célèbre minotaure, Ariane et son labyrinthe,
nous continuons par Santorin qui possède un remarquable site minoen vieux de
3500 ans et qui bouleverse les connaissances du monde crétois. Nous
rencontrons les guerriers achéens de Mycènes, les fresques des temples et des
maisons bourgeoises, la statuaire magnifique de toutes ces cités et de tous
ces temples, statuaire qui nous fait remonter le cours de l’histoire de nos
origines. On revisite les guerres Médiques, Périclès, Platon, Aristote et
tous les philosophes, les hommes de théâtre, l’épopée d’Alexandre, et la
visite de la tombe de son père Philippe II, et les magnifiques sites de
l’Acropole, de Delphes, de Sparte etc.… 10/ LE MONDE DE LA
TERRE SAINTE : Palestine, c’est ainsi que depuis l’antiquité on
appelle toute la nation qui s’étend depuis la Phénicie jusqu’à l’Egypte, le
long de la mer Méditerranée. Comme Hérodote, Cassius, Philon d’Alexandrie ou
Flavius Josèphe, cette définition désigne d’abord une région maritime. La
Palestine est le creuset où se forgèrent les trois grandes religions
monothéistes du Livre. Cette terre dégage une incroyable densité spirituelle,
due aux diverses successions de cultures et de civilisations, à partir de
l’époque chalcolithique (4000 av. J.C). Ce pèlerinage
commence dans les paysages de Judée, avec ses poteries, ses vestiges millénaires,
le lac de Tibériade, la vallée du Jourdain, la mer morte et Qumran centre
historique de la secte des Esséniens. Nous visitons le monde des
Phéniciens et des Nabatéens, le Liban avec Byblos et ses vestiges romains,
les temples et sarcophages datant de 3000 ans, l’art des bijoux, Petra et son
site unique ayant abrité des tribus nabatéennes, l’amphithéâtre de Beit Shean
le plus vaste de Palestine, les vestiges d’abord grecs avec Alexandre, puis
romains à partir de -63 à + 324, les paysages bibliques de cette terre, l’art
des synagogues, la richesse des sanctuaires byzantins comme Oboda dans le
désert du Néguev, le monastère de saint Saba (originaire de Cappadoce) dans
le désert de Judée qui a gardé le même aspect depuis le début,
Jérusalem et tous ses édifices sacrés, le monastère de sainte Catherine au
mont Sinaï, les icônes. On se promène parmi les splendeurs de l’art omeyyade,
avec la mosquée d’el- Aqsa, à Jérusalem. Damas et sa superbe mosquée, ses
palais, on se balade dans les vestiges des châteaux des croisés, à saint Jean
d’Acre, Césarée, le Krak des chevaliers en Syrie, on est avec les Mamelouks
et les Ottomans qui édifièrent un réseau de châteaux, de mosquées et de
remparts magnifiques, le tout avec un art raffiné des mosaïques et des peintures. 11/ LE MONDE DE
ROME : Le
seul nom de Rome symbolise l’une des plus grandes civilisations de
l’humanité, tant par l’extension territoriale que par les progrès accomplis
au temps de sa splendeur. En outre elle constitue nos racines et nos sources
les plus directes. Le destin de Rome s’identifie avec celui d’un empire
immense, elle va se constituer une conscience d’une unité culturelle dont
surgira l’Europe. Car s’est dans cet Occident romain que s’élabore une
manière de penser, de vivre, d’habiter et de gérer le monde qui va
progressivement s’étendre à la planète entière, au travers de cette
Renaissance. Nous commençons le
voyage par essayer de comprendre le mystère étrusque (région de Toscane), et
nous visitons des tombes, avec leur architecture, leurs objets d’orfèvrerie,
leurs peintures, puis lors du déclin des étrusques, nous assistons à la
montée de la puissance romaine, la fondation de Rome, ses monuments, ses
crises et ses victoires, sa splendeur à son apogée, on visite la Gaule qui
fut une seconde Italie, avec ses monuments magnifiques centralisés surtout
dans le sur de la France (Nîmes, Montpellier, Arles, Vienne, Orange, St Rémy
de Provence, le pont du Gard ), nous visitons Pompéi, Herculanum, on nous
explique les divers arts architecturaux, de peintures, d’outils, de bijoux,
nous devenons archéologues tellement cette terre possède de vestiges enterrés
ou non, nous visitons le mur d’Adrien en Ecosse (122-124) sur 117 km de long.
Nous partons pour l’Afrique du Nord où là aussi de très nombreux vestiges
attestent de cette puissante civilisation romaine, avec les gigantesques
amphithéâtres, les villas luxueuses, les arcs de triomphes, les statuaires,
puis le Moyen Orient est visité avec la Liban, la Jordanie, la Syrie et bien
d’autres pays, le périple se termine à Constantinople qui fut un temps la
capitale de cet empire. 12/ LE MONDE
PRÉCOLOMBIEN : la découverte du Nouveau Monde par C. Colomb en 1492,
va marquer un effondrement total des civilisations qui ont jusqu’alors fleuri
sur les vastes territoires des Amériques. Tant pour le aztèques au Mexique,
que vaincra Cortes entre 1519 et 1547, que pour les Incas au Pérou,
pourchassés par les troupes de Pizzaro entre 1524 et 1536. L’arrivé de
l’homme blanc, constitue un cataclysme effroyable. Sous couvert de conversion
à la foi chrétienne des païens adorateurs d’idoles, les Espagnols en quête
d’or et d’esclaves se livrent à un génocide. Une poignée
d’aventuriers résolus et intrépides, bien décidés à s’enrichir, étouffe à
jamais les grandioses civilisations précolombiennes, grâce à une avance
technologique considérable : métallurgie du fer, armes à feu, navires de
haute mer, cavalerie, etc. Notre voyage
commence au Mexique à Tikal et Palenque, métropoles mayas, avec leurs
pyramides superbes, leurs statuaires envoutantes et une architecture géniale,
on visite les palais somptueux d’Uxmal dans la Yucatan, on est à Chichen
Itza, métropole maya qui fut envahi par la civilisation Toltèque qui lui
apporta l’astronomie et une renaissance architecturale et religieuse. On
rejoint les hauts plateaux pour visiter Teotihuacan et Monte Alban, lieux
d’où parti ces grandes civilisations et qui dominera les Amériques durant
plusieurs siècles, c’est la « cités des dieux », son centre en est
la « Pyramide du Soleil » véritable et gigantesque monument
religieux qui dominait et rythmait toute la vie sociale, culturelle et
religieuse des Mayas-toltèques. Entre les mayas et les aztèques s’érigea une
civilisation appelée les Totonaques, sa capitale était Tajin, puis nous
allons à Tula cité toltèque, on y parle de sacrifices humains, d’astronomie,
de peintures murales. On quitte le Mexique pour rejoindre le Pérou des Incas,
on est dubitatif devant les immenses dessins de Nazcas, dont le grand condor
mesurant 120 mètres, l’ancienne cité de Tiahuanaco avec ses alignements de
monolithes, on monte sur l’altiplano et on admire le lac de Sillustani à 4000
mètres, Cuzco capitale des Incas et ses superbes vestiges, ses lamas,
vigognes et autres alpagas datant de plusieurs millénaires, le voyage se
termine par le très célèbre site de Machu Picchu découvert en 1911 par Hiram
Bingham. |
les
cathares |
Julie ROUX & A. DRENON |
msm |
2001 |
Très
bon ouvrage sur les CATHARES. On y retrouve les dogmes et hérésies, les Cathares d’Europe et d’Occitanie. Les
différents prêches et croisades contre eux. L’inquisition, les châteaux et
les différents protagonistes de l’affaire. Tous les sites en Languedoc
Roussillon. Importante iconographie couleur. |
les cathares
– histoire et spiritualité |
Philippe roy |
Edition du
Cosmogone |
2004 |
L’auteur fait revivre dans sa
profondeur la pureté (Catharsis) de ces spiritualistes du Moyen Âge, revenus aux
pures sources de leur foi. Y est expliquée la doctrine cathare avec le pain,
le consolament, le baptême, le mariage, le jeûne, la chasteté, le serment, la
justice, l’humilité, le travail, les troubadours, la femme, le Christ, le
Nouveau Testament, le dualisme, la gnose, la trinité, la diaspora, la
croisade contre les albigeois, etc. |
LES CELTES |
VENCSELAS KRUTA |
PUF |
1996 |
Un petit livre pour décrire les
sources historiques et linguistiques des Celtes, l’art, la numismatique, et les
grands événements de cette civilisation. |
les
celtes expansion & civilisation |
Henri hubert |
JEAN DE BONNOT |
2007 |
L’archéologie nous livre ces «
guerriers aux figures rasées, qui emportaient leurs rasoirs dans les tombes, armés
de longues et larges épées de fer aux lourds pommeaux coniques et aux
fourreaux de bois, rarement casqués, rarement cuirassés et protégés par des
boucliers ronds. » |
les
celtes – les druides – le druidisme – rites forestiers |
Divers Auteurs |
ARCADIA |
2003 |
Importants travaux (dont un de 40 pages)
sur cette civilisation et son cœur religieux. « Le Druidisme », ses légendes,
ses symboles (triskel, gui, dolmens, menhirs etc.) ses druides, et son
histoire en général, également sur les rites forestiers, le fendeur, les
charbonniers, le cycle arthurien, Merlin, le Graal, la fée Viviane, etc.
(Dossier 172). |
les
civilisations perdues |
Richard bessiÈre |
Edition DANGLES |
2004 |
Au cours des millénaires, des
hommes ingénieux ont apporté aux civilisations primitives la charrue, le verre,
l’art de fondre le cuivre et le bronze, le tour du potier, les bateaux à
voile ; ils ont appris à manier les chiffres en un vaste trésor de théories
sur l’arithmétique, l’algèbre et l’astronomie. Des civilisations de
l’antiquité se sont, comme les Hittites, essayés à la fusion du fer ; les
Mésopotamiens ont créé d’importants systèmes d’irrigation ; les Chaldéens ont
construit des tombeaux et des palais merveilleux ; les marchands phéniciens
ont inventé de nouvelles numérotations pour tenir leurs comptes, alors que
les médecins égyptiens découvraient une sorte de pénicilline en récoltant des
moisissures à fleur d’eau. |
les
druides & le druidisme |
Le roux & c. guyonvarc’h |
OUEST-FRANCE |
1995 |
Les renseignements antiques et
médiévaux sur l’importance de la classe sacerdotale celtique concordent dans
les grandes lignes. |
LES GAULOIS |
PIERRE GILLIETH |
Edition PARDES |
2005 |
Mieux
connaître aujourd’hui « nos ancêtres les gaulois »,
c’est renouer avec notre plus longue mémoire. Arrivés vers
1500 avant notre ère, les Celtes ont insufflé un souffle civilisateur
sur toute l’Europe de l’âge du bronze et, surtout de l’âge du fer. Ils
conquirent la Gaule, à l’orée du premier millénaire avant J.C, c’est ainsi
que naquit la civilisation gauloise, beaucoup plus riche et développée que
certains le croient. Une civilisation avancée,
culturellement et artisanalement brillante, différente de celle de la Grèce
et de Rome en bien des points (oralité, religion, art non représentatif…),
techniquement ingénieuse ( les Gaulois ont inventé,
notamment , la moissonneuse ou le tonneau ). Le lecteur retrouvera dans la
Gaule de nos ancêtres, bien des traits de caractères qui perdurent
aujourd’hui dans notre peuple. Ce livre sur
les Gaulois, permet de s’initier à la riche civilisation gauloise, de
découvrir les origines des gaulois, leur histoire, la geste de Vercingétorix,
le premier héros de notre Histoire collective. Mais également, leur langue,
leur religion, leur vie quotidienne, leur art et leur manière de faire la
guerre. On remontera le temps, dans les rues des antiques Bibracte et Lutèce . Et
l’on terminera ce voyage de 2500 ans par la fusion gallo-romaine. C’est aussi
l’occasion de découvrir des pages méconnues de l’Histoire gauloise, comme
l’ultime résistance d’Uxellodunum, la vérité sur les sacrifices
humains, les mots gaulois qui existent encore dans notre langue, qui furent
les empereurs gaulois , comment nos ancêtres étaient perçus par leur
voisin antiques ou quelle influence les gaulois peuvent avoir dans la
littérature, la bande dessinée ou le cinéma . |
les
mythes celtes |
Robert graves |
DU ROCHER |
1995 |
Le livre de référence de la
tradition et de la mythologie celte par l’un des grands spécialistes de
l’histoire des civilisations, auteur notamment des Mythes grecs et de La
Toison d’or. |
les
royaumes celtiques |
M. dillon & n.k. chadwick |
marabout |
1974 |
L’histoire de ces royaumes qui
allaient de la mer du Nord à la mer Caspienne. Leur civilisation et leur
chute. |
les traditions
celtiques |
Robert amberlain |
Edition DANGLES |
1995 |
Cet ouvrage se présente avec le
simple désir de résumer et rassembler des données éparses et peu accessibles
au grand public quant à la Tradition Celtique, considérée tant sous l’angle
de la religion que des enseignements ésotériques en découlant. Il est en
effet particulièrement important, en notre époque de profonde mutation
spirituelle, de montrer que l’Occident possède, lui aussi, une de ces
religions purement métaphysiques qu’on supposait – jusqu’à présent du moins –
l’exclusif privilège de l’Orient. |
les
symboles des celtes |
S. heintz |
Edition TRÉDANIEL |
2002 |
Les Celtes – un peuple ancien, entouré
de mystères, dont le mode de vie et la vision du monde s’estompent dans la
brume du passé. Et pourtant, leurs symboles ont gardé toutes leurs
significations ; nous les retrouvons partout : sur le portail de vénérables
églises, les calvaires, sur les pierres tombales rongées par le temps, sur
des bijoux et des objets d’art. |
12 M
mandalas
celtes |
Klaus holitzka |
COURRIER DU LIVRE |
1997 |
De plus en plus de gens savent
aujourd’hui que le vieux mot sanscrit de « mandala » signifie le centre, le
cercle magique, le mystère, et toujours plus nombreux sont ceux qui cherchent
et trouvent leur calme et leur force intérieurs dans la contemplation ou le
dessin d’un tel « cercle magique ». Il semble, à notre époque où les valeurs
et les traditions religieuses et profanes se désagrègent de plus en plus et
où les nouvelles valeurs demandent encore à être créées, que l’on se tourne
instinctivement vers un symbole dont l’origine remonte à la nuit des temps.
Un symbole qui, jusque dans sa forme la plus sobre, représente le fondement
de toute existence : le cercle, symbole de vie éternelle. Le
mandala est la structure de base de la création elle-même. Nous le découvrons
dans la plus petite parcelle d’élément dont se compose le monde visible, mais
aussi quand nous réfléchissons sur nous-mêmes. |
merlin
l’enchanteur |
Jean markale |
Edition RETZ |
1981 |
Qui est Merlin l’Enchanteur ? Des
images récentes en ont fait un magicien toujours prêt à plaisanter, à jouer
des tours. Mais c’est réduire ce personnage à peu de choses. Merlin est en
effet l’incarnation la plus audacieuse qui n’ait été jamais faite de la
Sagesse. À travers lui, à travers ce conseiller du roi Arthur, organisateur
de la Table Ronde, se cristallisent les rapports entre l’Homme et la Nature,
entre le Passé et l’Avenir, la connaissance des pouvoirs cachés qui sont à la
disposition de l’être humain, mais dont il ne sait pas se servir. |
MYTHOLOGIE CELTIQUE B.A- BA |
THIERRY JOLIF |
Edition PARDES |
2002 |
La doctrine
traditionnelle des druides et la religion celtique ne nous sont parvenues que
de façon fragmentaire. L’étude mythologique, basée sur l’analyse et la
comparaison des textes irlandais et des informations des auteurs classiques
concernant les Gaulois, reste la seule voie possible pour une compréhension
nette et précise de la religion celtique. Les faits mythologiques
représente aujourd’hui la vois d’accès la plus directe à la compréhension de
l’univers spirituel des Celtes qui, s’il reste mystérieux et largement
incompris, offre néanmoins une perspective métaphysique des plus importantes.
Perspective qui ne peut être approchée autrement que par une étude précise
des fonctions des principaux dieux celtiques, que ceux- ci soient irlandais (Dagda,
Ogma, Lug) ou gaulois (Ogmios, Taranis, Lugus ou Teutatis). Le récit mythique
fit certainement partie de la formation et de l’éducation de l’aristocratie
celtique dans son ensemble, son exégèse et son analyse herméneutique devaient
être réservées à ceux qui étudiaient afin de devenir druides. |
12 O
otto
rahn –
croisade contre le graal |
Otto rahn |
Edition PH. SCHRAUBEN – Réédition
1974 |
1985 |
En 1933, paraissait en Allemagne sous
le titre Kreuzzug gegen den Graal, un ouvrage curieux qui allait susciter
bien des polémiques, dans son pays d’origine d’abord et dans toute l’Europe
ensuite. Son auteur, décédé mystérieusement en 1939, intéressa les historiens
à plus d’un titre suite aux fouilles qu’il avait entreprises dans les
fameuses grottes cathares de Lombrives, d’Ornolac et des environs. Secondé
qu’il était dans ses recherches par des personnages aussi connus qu’Antonin
GADAL et Déodat ROCHE, Otto RAHN est indissociable à présent de ces grands
Quêteurs de la Lumière qui ont marqué à tout jamais de leur empreinte
l’histoire récente de Montségur. |
OTTO
RAHN - du
catharisme au nazisme – le mystÈre otto rahn |
Christian bernadac |
Edition FRANCE-EMPIRE |
1978 |
En 1931 s’installe en Ariège un
jeune universitaire allemand, Otto RAHN, qui prépare un ouvrage sur le
catharisme, tout en veillant au développement d’un hôtel qu’il a pris en gérance.
Très vite la police enquêtera sur les étranges locataires des « Marronniers
», connus pour la plupart des Services de contre-espionnage français. Très
vite des journalistes régionaux s’étonneront des méthodes de ce « curieux
chercheur » qui n’hésite pas à dessiner des faux symboles sur les parois des
cavernes pour mieux étayer ses thèses. Déclaré en faillite par le Tribunal de
Commerce de Foix, Otto RAHN, échappe à l’emprisonnement en s’enfuyant. |
otto
rahn – faux
cathares & vrai nazi |
Mario baudino |
Edition PRIVAT |
2007 |
Toulouse, 1234 : un évêque
catholique extorque par la ruse la profession de foi d’une vieille femme cathare
sur son lit de mort. Paris, 1930 : à la Closerie des Lilas, quelques
intellectuels fantasment sur les trésors mystérieux censés avoir appartenu
aux cathares exterminés au XIIIème siècle, au cours de la croisade lancée
contre eux par le pape Innocent III. Pour le plus jeune d’entre eux, Otto
RAHN, c’est une révélation. Pendant deux ans, ses recherches vont le conduire
vers le château de Montségur qu’il identifie comme « le château fort du Graal
décrit dans le récit de Perceval ». Ses thèses transforment cette fable
locale en une mythologie européenne vouée à influencer le sommet du régime
nazi. |
otto
rahn – la
cour de lucifer |
Otto rahn |
Edition Tchou |
1974 |
À en croire l’histoire officielle,
la civilisation européenne médiévale devrait tout – ou presque – au christianisme.
Un regard tant soit peu lucide jeté sur le millénaire qui s’étend (en gros)
de l’évangélisation des Gaules à l’extermination des cathares d’Occitanie
suffit à faire éclater l’absurdité d’une telle affirmation. |
12 R
Résurgences
du manichéisme |
Déodat roche |
société
des études cathares |
1981 |
Une étude sur les Ismaéliens, les
frères de la pureté, les Cathares et les Rose-Croix et leurs points communs dans
la filiation. |
12 S
spirales
& triskels celtiques |
David balade |
OUEST-FRANCE |
2008 |
Par une nouvelle sélection de
motifs, l’auteur, David Balade, nous révèle les différentes sources d’inspiration
et les styles ayant contribué à l’évolution de l’ornementation celtique. |
SYMBOLES CELTIQUES |
THIERRY JOLIF |
Edition PARDES |
2004 |
Les
symboles forment l’alphabet du langage de la métaphysique universelle,
c'est-à-dire de la haute spiritualité. Les druides, initiés occidentaux attachés à la Tradition Primordiale, ont usé des symboles
avec art pour exprimer leur connaissance de l’Ineffable,
connaissance propre à la période cyclique qui fut la leur, mais qui,
néanmoins, se trouva, en partie, transmise jusqu’à nous. Avec les mythes, les
symboles celtiques sont nos seules portes d’accès pour une compréhension
juste de ce que fut l’expression druidique et celtique de la Sophia Perennis. Dans ce petit livre
des symboles celtiques, l’auteur présente les symboles récurrents en usage
dans la tradition celtique, en ne perdant jamais de vue que, quelques
fragmentaires et éparses que soient nos informations, l’expression symbolique
fut, partout et toujours, une force unifiante. Ceci nous amènera, par
exemple, à envisager les représentations de l’art celtique (trop souvent
analysées du seul point de vue historique et esthétique) à la lumière du symbolisme
verbal et des autres symboles majeurs mieux connus (parfois en
apparence seulement). A l’instar
de l’arbre et du bois, symboles majeurs de la tradition celtique, les
symboles ont, avant tout – donc par- delà les traditions particulières - , un rôle de support, essentiel, certes, mais qui ne
doit pas masquer le but, à savoir : l’émergence de la pure intuition
intellectuelle , seule capable d’appréhender les Principes Immuables |
12 S
TRADITION CELTIQUE. B.A-BA
|
THIERRY JOLIF |
Edition PARDES |
2001 |
Inséparable de la
tradition celtique, la doctrine des druides, ne nous est malheureusement que
très difficilement accessible, et elle doit être approchée avec d’infinies
précautions. Il s’agit de
présenter, d’une matière simple et précise, une matière complexe et souvent
mal comprise, car elle est absolument irréductible aux catégories modernes.
Chaque point de doctrine est donc ici présenté dans de courtes et
claires notices, de l’origine polaire de la tradition celtique à
l’écriture magique des ogam, en passant pat l’oursin fossile ;
l’immortalité de l’âme, le sacrifice, le temps et l’éternité. Dans le domaine
celtique, toutefois, les choses ne peuvent se résumer totalement de cette
façon. La prééminence de la classe sacerdotale nous oblige à plus de finesse
dans l’analyse. En effet ; les druides avaient dans leurs attributions
tout ce qui concerne le sacré, et nous aurons l’occasion de constater que,
pour les sociétés celtiques, il n’existait pas de différences entre sacré et
profane, ce dernier n’étant même pas concevable. Les druides représentaient
et régissaient donc la tradition et la religion, cette dernière, pouvant bien
sur, appartenir à la sphère privée, et donc connaître, en fonction des clans
et des familles, quelques adaptations particulières qui ne changeaient rien à
la doctrine en tant que telle. On a pu parler de religion celtique, ou de
religion gauloise, mais tout ceci ne découle que des changements, des
adaptations encore une fois, apportés dans des régions et à des
époques différentes. Il paraît tout à
fait certain que la tradition celtique doit être considérée comme un tout
cohérent, comme un véritable corps de doctrine. La tradition elle-même
confirme fort simplement ce que les études ont démontré : en effet dans
certains écrits de César à l’Irlande, nous apprenons que les druides
s’instruisaient aux mêmes sources. César mentionne le fait, que les druides
gaulois partaient recevoir leur enseignements en Grande Bretagne, ce que les
textes irlandais corroborent , et nous verrons plus loin que la structure de
la classe sacerdotale, elle-même, présente très peu de disparité en Gaule et
en Irlande . Les Celtes où
qu’ils s’établissent, furent accompagnés des druides, c’est un fait et celui
çi ajouté aux autres ne fait que renforcer la conviction que la tradition
celtique fut longtemps et parfaitement homogène, en tout cas
aussi longtemps que les pays celtiques furent indépendants. Que la religion
le fut moins, c’est une perspective que nous ne pouvons ignorer,
mais ceci ressortira toujours du dualisme religion/tradition
ou exotérisme/ésotérisme, mais : qui
dit exotérisme dit en même temps ésotérisme, ce qui signifie que les
énonciations du premier sont les symboles du second. |
TRADITION
ÉTRUSQUE B.A- BA |
DANIEL KIRCHER |
Edition PARDES |
2002 |
Un peuple comme un
individu, peut-il avoir une existence limitée et prédéterminée ? Le commencement et
le terme des siècles étrusques étaient marqués par des signes envoyés par les
dieux. Généralement, c’était une catastrophe naturelle, telle qu’un
tremblement de terre ou une épidémie, voire une naissance monstrueuse, ou le
passage d’une comète. Vers l’an 88 av.
J.C des devins annoncèrent la fin de l’Âge d’Or, on peut les comprendre :
la guerre sociale venait de ravager l’Italie, pour l’apaiser, le Sénat avait
dû accorder la citoyenneté romaine à tous les alliés demeurés fidèles. En
-89, cette disposition fut étendue à tous les insurgés qui déposeraient les
armes. L’Etrurie, de sujette qu’elle était, devenait donc pleinement
romaine ! L’événement était fondamental, mais l’année -88 fut plus
bouleversante encore. Ce fut l’année de la guerre de Mithridate :
ce roi du Pont, ayant vaincu les proconsuls d’Asie, tout l’Orient se rallia à
lui. Exacerbant les frustrations et les haines raciales, ce monarque avait
donné l’ordre de massacrer tous les Italiens d’Asie (y compris les épouses,
les esclaves affranchis et les enfants). Ce gigantesque pogrom avait fait
80.000 morts en un seul jour. A Rome même, les discordes civiles avaient pris
un tour insurrectionnel : le consul Sylla « le
couteau sous la gorge, fut conduit dans la maison de Marius » et contraint d’accepter les
conditions de son rival. Son gendre, fut égorgé par les émeutiers. Puis Sylla
rejoignit son armée et marcha sur Rome où pénétrant dans l’enceinte sacrée,
il s’empara des chefs et pris le contrôle de la ville. |
12 U
UN CATHARE AU XXe Siècle, DEODAT ROCHER (1877-1978) Sa
vie, son œuvre, sa pensée |
José DUPRE |
Edition La CLAVELLERIE |
2001 |
Fondateur des
études cathares, il voua sa vie au catharisme. Il aborda plusieurs voies
spirituelles fût F \M \membre de l’église gnostique,
anthroposophe et termina ermite afin de pratiquer l’ascèse méditative des
pères du désert. On ne peut pas s’intéresser aux cathares sans passer par
lui. Un très beau livre. Nombreuses photos. |
12 V
VIKING - B.A. – BA |
Bernard MARILLIER |
Edition PARDES |
2003 |
A partir de la fin
du VIIIe siècle après J.-C., L’Europe occidentale eut à subir une
longue période d’incursions de navigateurs scandinaves dont les objectifs
étaient surtout les riches monastères, les églises et les cités. Ces
intrépides marins, les Vikings, semèrent partout la terreur et la désolation.
On connaît la célèbre prière qui s’élevait alors en maints points de la
Chrétienté : « Protège-nous, Seigneur, de la fureur des
hommes du Nord !». Telle est la réputation faite de rapacité, d’esprit
de lucre et de cruauté, en forme d’image d’Epinal, que nous a léguée la
postérité du Viking, « loup prédateur des mers.» L’étude
approfondie des textes et les constantes découvertes archéologiques ont
toutefois modulé cette sinistre réputation en nous révélant une réalité
infiniment plus complexe. Durant trois siècles (VIIIe-XIe siècle), les
bateaux vikings appareillèrent des ports scandinaves pour des expéditions à
travers les mers de l’hémisphère Nord, dont le but n’était pas
systématiquement le pillage, mais aussi les échanges commerciaux,
l’exploration et la colonisation de terres vierges et même la création de
principautés dont certaines devinrent, avec le temps, des puissants Etats. On
trouve, en effet, des établissements vikings des rivages de l’Amérique du
Nord, voire de l’Amérique du Sud selon Jacques de Mathieu, aux confins du
sous-continent indien, des côtes de l’Islande à celles de l’Afrique. Les fleuves et les
rivières du continent européen permirent aux Vikings d’atteindre en
profondeur le cœur de L’Europe ; tandis que les cours d’eau russes,
notamment la Volga et le Dniepr, véhiculaient les marchandises de toutes
natures en direction de la mer Caspienne et de la mer Noire, au centre même
des royaumes byzantins et musulmans avec lesquels les hommes du Nord nouèrent
de solides liens commerciaux. La représentation du Viking pillard et cruel
s’estompe alors au profit, plus juste et moins réducteur, d’un personnage méthodique
et minutieux organisateur, un homme excellant dans les intrigues
diplomatiques, se doublant bien souvent d’un homme d’affaires avisé et rusé.
Au XIe siècle, le monde Viking est stabilisé et organisé, car, à cette
époque, les colons vikings sont définitivement installés et, bien souvent,
assimilés aux populations locales, elles-mêmes d’origine indo-européenne à
l’instar des Vikings. Le paganisme ancestral a fait aussi place, dans la
plupart des cas, au christianisme. En terre scandinave, les états norvégien,
danois et suédois sont devenus chrétiens, comme du reste les autres pays
européens dont les vikings païens n’avaient cessé d’aborder les côtes et
d’investir les territoires. Au final, l’épopée viking
fut l’une des épopées majeures de l’histoire européenne. Leur esprit
d’aventure, de découvreurs de nouvelles terres, l’excellence de leur science
nautique, leur hardiesse et leur intrépidité à surmonter les obstacles, leur
univers mental qui les pousse au défi et au combat où l’homme affronte
librement son destin, permirent aux Vikings, ces romains de la
mer, comme les qualifièrent certains auteurs, de devenir fécondateurs de
terres et des bâtisseurs de villes, de royaumes et d’empires. A ce titre,
l’aventure viking changea radicalement le visage politique, économique et
géographique de l’Europe, changement dont les traces sont encore discernables
de nos jours. |
visage du
druidisme |
André savoret |
Edition Dervy |
1977 |
Sa naissance et son développement en
Gaule. Le Graal, sa magie, ses symboles, son organisation. |
retours
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